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1-Historique de la BNA:
La création de la Banque Nationale Agricole : le 1er Juin 1959, trois ans après
l'indépendance de la Tunisie, a été vécue comme un événement de souveraineté
nationale. En effet, à cette époque l'agriculture était financée par l'ancien système de
crédit agricole constitué par la Caisse Mutuelle de Crédit Agricole, la Caisse Foncière
et les Sociétés Tunisiennes de Prévoyance et adapté aux structures du Protectorat.
En 1990, évoluant dans un environnement marqué par les mutations entraînées par
la libéralisation de l'économie et son ouverture sur l'extérieur et les réformes
engagées par les autorités au niveau du système monétaire, financier et bancaire, et
afin de s'adapter à ce nouvel environnement, la BNA a restructuré son organisation,
modernisé ses outils et ses méthodes de gestion et mis en place une stratégie
commerciale axée sur l'approche client / produit, l'amélioration de la qualité du
service et l'innovation financière.
Forte d'une expérience plus qu'un demi- siècle, la BNA ne cesse de consolider sa
position grâce à :
Son professionnalisme.
Sa capacité d'innovation.
L'amélioration de ses méthodes de gestion.
L'intégration de nouvelles technologies de l'information et de la
communication.
L'ouverture sur les nouveaux métiers.
Le développement et la modernisation de son réseau de distribution.
L'élargissement de son réseau de correspondants dans le monde.
En outre, pour être d'avantage proche de ses clients, la BNA n'a cessé de
multiplier les canaux d'accès aux services de la banque, ainsi que le développement
de la banque à distance.
Toutes ces contraintes poussent la Banque à créer de la valeur et à produire une information
financière fiable qui satisfait les besoins de tous ces utilisateurs.
Dans cette logique, la Direction de la Comptabilité est organisée en fonction d’un processus
qui aboutit à la production d’une information financière envisagée comme un tout qui peut servir les
différents utilisateurs. Ce processus commence de la réception des journées et situations
comptables, du contrôle, du rapprochement, du suivi et de la préparation des états financiers. C’est
essentiellement par les états financiers que l’information financière est communiquée.
SERVICE
SERVICE SERVICE CONTROLE COMPTABILITE
COMPTABILITE COMPTABLE CLIENTELE
GENERALE
SERVICE ETUDES
DIVISION COMPTABILITE
CLIENTELE
Contrôler les échelles d’intérêts et les balances d’agios éditées par la Direction
Informatique ;
Etudier les réclamations de la clientèle concernant les décomptes des intérêts des
comptes clients ;
Etudier les états des anomalies établies par la Direction Informatique et procéder aux
régularisations en collaboration avec les services centraux et les agences ;
Sur la plupart des relevés de compte, apparaissent deux dates distinctes : une date
d'opération et une date de valeur.
La date d'opération, ou date comptable, est aussi la date à laquelle a été enregistrée en
comptabilité l'opération de retrait, de paiement ou de dépôt. La date comptable peut être reportée
au lendemain lorsqu'une opération est parvenue tardivement à la Banque pour pouvoir être
enregistrée le jour même.
la date de valeur : c’est la date à laquelle un mouvement est pris en compte pour le
calcul des intérêts débiteurs ou créditeurs. Elle consiste à retarder artificiellement de quelques jours
la date à laquelle une opération est créditée sur le compte et inversement à avancer de quelques
jours la date à laquelle elle est débitée. Autrement et d’une façon générale, les opérations au crédit
sont affectées d'une date de valeur postérieure à la date d'opération, et celles au débit d'une date de
valeur antérieure à la date d'opération. Ce décalage revient donc à majorer la durée d'un découvert
en compte, qui sert d’assiette pour le calcul des agios.
1-1-2 - Caractéristiques :
La justification des jours de valeur réside dans les délais de traitement des opérations qui
empêchent les Banques de disposer réellement des fonds dès le moment où elles les comptabilisent
et essentiellement en matière de chèques. D’où ce décalage entre la date d'opération et la date prise
en compte pour le calcul des intérêts qui permet de compenser le temps nécessaire au traitement
comptable et technique des opérations.
1-1-3 - Fonctionnement :
Toute opération au crédit est inscrite en compte à une date de valeur postérieure à
la date d’opération.
Toute opération au débit est inscrite en compte à une date de valeur antérieure à la
date de l'opération.
Les dates valeurs sont normalement détaillées sur les conventions de comptes. Elles sont
fixées en vertu de la circulaire BNA 2004/34 du 20/05/2004.
Exemple :
Ces paramètres consistent essentiellement à faire apparaître les opérations dont le nombre
de jours, le montant et/ou l’antériorité ou la postériorité des dates valeurs appliquées sont assez
importants. Par conséquents, elles constituent des zones de risque et doivent faire l’objet de
vérification.
A la suite de la vérification, des notes sont adressées aux agences concernées pour demander
des explications et pour régularisation.
Les notes de réponses émises par les agences font l’objet d’une étude et d’analyse. L’agent
chargé se base, dans son étude, en plus des explications fournies par l’agence sur le journal auxiliaire,
les décisions et les circulaires en application.
L’agent chargé rectifie les dates de valeurs erronées en saisissant les bonnes dates et en
informe la Direction Informatique. Cette dernière procède à la clôture du mois et remet au service
clientèle la prise en charge des rectifications par le système central.
1 - 2 - AGIOS RESERVES
1-2-1 - Présentation et définition :
Trimestriellement un ticket d’agios sera prélevé sur les comptes courants débiteurs des
clients. Ces agios seront constatés normalement en produit. Toutefois en cas d’insolvabilité ces
créances seront classées. En effet, selon les dispositions de la circulaires BNA 1991-106 du
30/11/1991, la Banques est tenue d’effectuer une classification de tous leurs actifs quelles qu’en soit
la forme, qu’ils figurent au bilan ou en hors bilan, libellés en dinars ou en devises.
Pour l’évaluation du risque d’insolvabilité, la Banque doit distinguer leurs actifs du bilan et
hors bilan en :
Actifs courants : ce sont les actifs dont le recouvrement intégral dans les délais paraît
assuré et qui sont détenus sur des entreprises dont la situation financière est équilibrée.
Actifs classés : ce sont les actifs dont le recouvrement est incertain voir même menacé.
Les agios sur les comptes courants débiteurs font parties des actifs de la Banque et sont par
conséquent soumis à la classification. Pour les agios classés dans la classe 0 et 1, ils seront constatés
en produit, tant disque pour les autres classes (2, 3,4) ils seront retirés du compte produit et
constatés dans un compte d’ordre 1105.081303 Agios réservés.
Sur la base d’un état émanant du service informatique, un triage se fait selon la classe (0 et 1
à éliminer et 2, 3 et 4 à prendre). L’état contient des indices matricules qui concernent les relations
et non les comptes. Ce même service doit fournir aussi un ticket d’agios sur chaque indice (un indice
peut avoir plusieurs comptes et pour chaque compte un ticket) qui contient les informations
suivantes : intérêts perçus, commission de garantie, commission de péréquation de change,
commission de découvert, frais et taxe sur la valeur ajoutée).
Par la suite, l’agent chargé du contrôle vérifie la vraisemblance des tickets. Dans certains cas,
il y a des clients qui bénéficient d’une condition de faveur en terme de commissions ou de taux,
l’agent doit s’assurer qu’elle est correctement appliquée. Par exemple, pour le cas de la non
application d’une commission de découvert, il faut vérifier que la base de calcul de la TVA en tient
compte.
Lors de la constatation :
DT : Intérêts perçus
DT : xxx.1123.112301 Commission de péréquation de change
DT : Commission de découvert
DT : Frais
Lors de l’annulation :
L’annulation totale ou partielle peut se faire lorsque certains clients viennent régler leur
situation, ou sur la base d’une décision du CCI ou de la Direction Générale ou d’un redressement qui
touche les agios réservés ;
CR : Intérêts perçus
CR : Commission de découvert
CR : Frais
L’arrêté des comptes consiste à l’élaboration d’une échelle d'intérêt qui est une fiche qui
permet de calculer les agios d'un compte débiteur ou créditeur. Elle est aussi une échelle d’intérêt
unique correspondant aux opérations de plusieurs comptes ouverts au sein d’une même Banque.
Elle se traduit par la fusion des comptes d’une même relation ayant la même nature et la
constitution d’un compte leader et offre un moyen relativement souple de gestion des soldes
bancaires. La Banque recalcule les intérêts débiteurs ou créditeurs sur le solde fictif du compte
leader.
L’établissement d’une échelle d’intérêts nécessite d’avoir les dates de valeur des opérations
effectuées au cours de la période considérée, les taux d’intérêts débiteur et créditeur, la base et la
fréquence de calcul. Elle se matérialise par l’élaboration d’un ticket d’agios trimestriel qui se
compose de :
Intérêts débiteurs ;
Intérêts créditeurs ;
Commission de découvert ;
Et TVA.
L’échelle d’intérêts est arrêtée trimestriellement sur les comptes à vue 0101, 0103, 0109,
0115 et sur les comptes spéciaux d’épargne 0121 et annuellement sur les autres comptes d’épargne
(ménage, logement, étude et comptes verts). La Direction Informatique envoie à la fin de chaque
trimestre un bouquin des conditions générales et conditions particulières. Ces dernières sont prises
suivant décision du sous comité de crédit. Sur la base des comptes leaders, la Direction Informatique
procède au tirage des arrêtés des comptes.
Le calcul se fait à travers la méthode des nombres qui consiste à calculer des soldes en valeur
et un produit :
Par la suite, il faut appliquer à ce solde le taux d’intérêt débiteur ou créditeur selon le signe
du solde.
Pour la TVA, elle de 18% ayant pour assiette la somme des commissions de découvert, de
mouvement et des divers frais.
Pour certains client privilégiés, la Banque peut prévoir l’instauration d’une condition
particulière pour rémunérer leur solde créditeur par un taux créditeur fixe 1% ou 2%.
Le service est tenu d’actualiser ses applications en suivant les nouvelles conditions éditées. Il
est aussi tenu de vérifier leur bonne application et surtout de vérifier l’exactitude des dates de
valeur.
Concernant les comptes d’épargne, l’arrêté, qui consiste à calculer les intérêts suivant le
nombre de jours créditeurs, est soit trimestriel soit annuel. Il est trimestriel pour les comptes :
«0121» : comptes spéciaux d’épargne.
Il est annuel pour les comptes : 0105 : épargne logement, 0111 : épargne ménage, 0177 :
épargne études.
Les taux de rémunération sont soit le taux de rémunération de l’épargne (TRE) pour les
comptes 0121,0105, soit le taux du marché monétaire (TMM) diminué d’un point pour le compte
0111 ou TMM-0.5 pour le compte 0177.
Lorsque le client ne fait que verser de l’argent dans son compte d’épargne sans faire des
retraits, il bénéficiera d’une prime de fidélité
Il faut remarquer que les intérêts créditeurs sont passibles d’une retenue à la source selon le
taux en vigueur (20%). Les intérêts créditeurs servis sont net de la retenue à la source, frais,
commission et TVA sur commission.
Lorsque la situation d’un client est inquiétante à la suite d’un compte débiteur qui existe
depuis une longue période, l’agence concernée est tenue de mener les actions précontentieuses et
de le rappeler pour régulariser son engagement. A défaut, elle est tenue de déclencher la procédure
de transfert à contentieux.
On aura :
0115 devient 1114
Schéma comptable : le service est tenu d’établir les pièces comptables des écritures
suivantes :
Concernant l’agence
DT : xxx.1104.xxx835
CR : xxx.0115.xxxxxx
DT : 835.1114.xxxxxx
CR : 835.1104.xxxxxx
Puis le service envoi les relevés certifiés conformes et les notes à la Direction du Contentieux.
Pour les Directions Régionales de Gabès, Bizerte, Sousse, Sfax et Nabeul, le virement à contentieux
est décentralisé.
2 - SERVICE CLIENTELE :
2-1 – DIFFERENCE DE CAISSE :
2-1-1 - Présentation :
Chaque agence possède une ou plusieurs caisses pour satisfaire les besoins de liquidité de sa
clientèle. Ces caisses peuvent être tenues manuellement (dinars ou devises) ou électroniquement
(GAB). Le caissier de l’agence en est responsable. Suite aux différentes transactions et après la
clôture de sa journée comptable, le caissier peut trouver une différence de caisse qui est un écart
entre le solde comptable de la caisse et l’existant en terme de pièce de monnaie. Cette différence
peut être soit un déficit soit un excédent.
Ces déficits sont supportés par le caissier selon une échelle progressive.
Prise en charge :
Entre 51 TND et 500 TND : le caissier doit informer dans les 48 heures la Direction
Régionales dans le but de faire un rapport d’enquête pour voir la cause du déficit ;
* si cause justifiée telle que une mauvaise manipulation de l’argent, on aura les 3
cas suivants :
Au-delà de 500 DT : l’agence doit informer la Direction Générale qui prend une décision
de prise en charge totale ou partielle.
L’agence est tenue aussi d’informer la Direction de la Comptabilité qui elle même informe la
Direction de Gestion des Ressources Humaines, service paie pour retenir les montants des déficits sur
les émoluments du caissier après avoir vu l’historique du caissier pour décider de la prise en charge.
Pour la restitution réclamée par la clientèle, l’agence est tenue d’adresser une note
circonstanciée, la demande du client et l’avis favorable du chef d’agence à la Direction de la
Comptabilité qui l’examinera avant d’instruire l’agence pour la régularisation.
Pour le GAB, en cas de problème d’ordre technique, le suivi est du ressort de la Division
Monétique.
Schéma comptable : à passer chez l’agence tableau n°3 : Schéma comptable relatif aux excédents
CR compte client
A fin de donner suite à la réclamation, l’agent responsable procède soit à la consultation des
journées comptables pour les copies des avis ou des chèques, sinon soit au tirage sur STARFIND pour
les relevés des comptes et échelles d’intérêts.
Les réponses sur les demandes de réclamation des clients sont rémunérées par des
commissions, par nature d’opération et par nombre. A cet effet, le service adresse une note à
l’agence concernée pour prélever les frais de recherche et TVA.
Schéma comptable :
DB : Compte client
de contrôler les opérations affectant les comptes de résultat, ainsi que les retenues
d’impôts effectuées ;
de contrôler les décomptes des intérêts servis sur les placements en dinars ;
Nous remarquons que ce service se focalise sur les comptes de charges et de produits
autrement dit, sur l’état de résultat. Ce dernier mesure le succès de l’exploitation d’une entreprise au
cours d’une période donnée. Le monde des affaires et la finance se sert de cet état pour, entre
autres, mesurer la valeur d’un investissement et évaluer la solvabilité et la rentabilité d’une
entreprise. L’information que présente l’état de résultat aide les différents utilisateurs, dirigeant,
investisseurs, créanciers et l’administration fiscale, à évaluer sa fidélité et à analyser et prévoir le
business plan des exercices futurs. C’est pour ces raisons et pour d’autres, le contrôle des différents
comptes qui touchent l’état de résultat et l’analyse de cohérence des différentes rubriques s’avèrent
nécessaire.
Les ristournes d’intérêts : c’est le cas d’un remboursement anticipé d’un crédit net
d’escompte où les intérêts sont décomptés dès le déblocage. Il y aura ristourne des intérêts (de la
période restante). Le service demande aux agences de donner tous les détails concernant le crédit
(taux d’intérêt, principal, échéance, date de remboursement anticipé et tableau d’amortissement).
Le service refait le calcul pour vérification.
Réajustement des cours de change : le stock de devises chez les agences doit être
converti à chaque fin de journée en dinars car la comptabilité est tenue en dinars. Par conséquent,
entre deux jours, il peut y avoir une différence de change, l’agence est tenue de réajuster la valeur de
son stock de devises et d’envoyer au service une copie du tableau de réajustement comme pièce de
justification.
Si le bien ne respecte pas l’une de ces conditions, il doit être comptabilisé en charges.
Le service est tenu de préparer aussi les justificatifs de calcul des amortissements pour les
besoins du commissaire aux comptes.De plus, le service est tenu de déterminer la situation des
immobilisations encours qui ne font pas l’objet d’un amortissement.
Schéma comptable :
Pour paiement
DB : xxx.0141.000000
DB : Compte client
CR : Compte bénéficiaire
CR : xxx.0141.000000
Ou pour annulation
Numéro du chèque
DB : xxx.0141.000000
CR : Compte client
Bons de caisse : Le bon de caisse est un placement à rentabilité fixe. Il est matérialisé par
un titre endossable et négociable sur le marché monétaire. Le montant, l’échéance et le
taux d’intérêt sont fixés à la souscription. le capital minimum exigé est de 500 TND et la
durée varie entre 3 mois et 5 ans. Les intérêts sont servis soit au début de période soit en
fin de période après déduction de la retenue à la source.
Bon du Trésor négociable : Il est émis par le trésor public sous forme d'adjudications
hebdomadaires ou mensuelles. Les durées habituelles des bons du Trésor sont 13, 26, 52
semaines, 2 ans et 5 ans. L'intérêt du produit réside avant tout dans la qualité de la
signature de l'émetteur et l'important encours des bons du Trésor négociables
garantissant une liquidité satisfaisante, même pour les gros volumes. Les investisseurs
peuvent y trouver une solution relativement intéressante pour des placements de courte
durée.
Billet de trésorerie : Les billets de trésorerie sont des titres de créance négociables émis
par les entreprises sur le marché monétaire pour une durée pouvant s'étendre de 10
jours à 5 ans. Ils sont émis par coupure de 50 000 TND minimum.
Les bons de caisse et les comptes à terme sont accompagnés d’une certaine flexibilité pour le
client matérialisée par les avances et les remboursements anticipés. La demande d’une avance doit
se faire au plus tard 15 jours avant l’échéance. Le taux d’intérêt appliqué est celui du placement
majoré d’un point. Quant au remboursement anticipé, le taux applicable est celui du placement
diminué d’un point. Cependant, si la demande parvient dans les 3 mois qui suivent la souscription, la
Banque ne rembourse que le principal.
Il est à noter que le taux de la retenue à la source au titre des revenus des capitaux mobiliers
est de 20%.
Le contrôle de ses opérations consiste à rapprocher les données issues des différentes
sources avec les données comptables. Les sources sont de trois types :
Source trésorerie : état déclaré par la Direction de Trésorerie sur les différentes
opérations de placement des agences.
Les opérations passibles et les taux de la retenue à la source sont : tableau n°7 : synthèse des RAS
1107.110901 Retenue à la source Sur les marchés et concerna la Sur les résident 50%
Impôts /intérêts
1107.110853 les intérêts servis aux 20%
servis/emprunts
obligataires souscripteurs des emprunts
obligataire émis par la
Banque.
Retenue à la source IRPP et
1107.110877 IS/plus value immobilière. L’acquisition des valeurs 2.5%
immobilières
Retenue impôt /int des
1107.110889 prêts payés à des Banques Remboursement des 2.5%
non établies en Tunisie emprunts à des Banques non
établies
PROCEDURES DE CONTROLE :
Les agences sont tenues d’effectuer la retenue à la source sur les différentes opérations
citées ci-dessus et d’envoyer au service un état d’information détaillé sur les retenues effectuées. Ces
informations sont nécessaires pour l’établissement de la déclaration de l’employeur de fin d’année.
Il y a 3 sources d’informations :
Source trésorerie : état déclaré par la Direction de Trésorerie sur les différentes
opérations de placement des agences.
Le service est tenu, chaque mois, de rapprocher ces états et de s’assurer de la bonne
application de la réglementation en vigueur. En premier lieu, il procède au rapprochement du
comptable par rapport à l’extra. Les différences relevées telles que le changement de la nature, un
taux erroné ou une omission, doivent être justifiées en consultant le détail de l’opération par Starfind
ou par un entretien téléphonique avec l’agence concernée. En deuxième lieu, il procède au
rapprochement du comptable par rapport à l’état reçu de la Direction de Trésorerie et de même pour
la justification des différences s’il en existe.
Cependant, lorsqu’une agence ne transmet pas le détail de ses opérations, l’agent envoi un
état sous forme de tableau qui contient les détails qui manquent.
En outre le service reçoit pour les besoins de la déclaration, les listes des retenues à la source
suivantes :
Listes des RAS sur les intérêts à servir sur les différents types de placements émanant du
service contrôle comptable ;
Listes des RAS sur les intérêts créditeurs des clients émanant du service comptabilité
clientèle ;(arrêté trimestriel des comptes dépôts à vue)
Listes des RAS sur les jetons de présence servis émanant du service comptabilité générale ;
La déclaration mensuelle doit se faire au plus tard le 28 de chaque mois. Elle se fait par télé
déclaration. La déclaration de l’employeur se fait une seule fois par an avant le 28 Février.
Chaque opération inter siège est accompagnée d’une référence qui est composée de 9
caractères :
Les codes opérations sont des codes composés de 2 chiffres et qui indiquent la nature de
l’opération. Ils sont utilisés pour récapituler les opérations communiquées à la Division de
procédures comptables pour les besoins des travaux d’arrêtée des états financiers et de déclaration
BCT.
Les opérations sur le compte 1104 peuvent donner lieu à des discordances ou suspens en 3
catégories :
1. suspens fictifs ;
2. suspens réels ;
3. suspens en cours d’affectation.
Ces suspens doivent être apurés. Au 31/12, le solde du compte 1104 doit être nul.
La Direction Informatique envoi au service le premier tirage qui contient les suspens fictifs,
réels et en cours d’affectation. Le deuxième tirage est envoyé après l’apurement des suspens fictifs
par le service inter siège.
Exemple : selon les statistiques du service, lors du premier tirage, il y a environ 30.000
suspens global 10.000 fictifs et 20.000 à apurer dont 5.000 réels et 15.000 en instance d’affectation
et qui concernent la monétique, la télé compensation et l’étranger.
Les suspens fictifs sont causés par un problème de référence. Ainsi toute opération
(montant) ayant la même référence est éliminée automatiquement. Par conséquent chaque
opération qui dégage une différence de référence, sera présentée dans un état appelé « état de
suspens fictifs » édité et envoyé par la Direction Informatique. Le service diagnostique les opérations
de cet état. Après leur identification, il communique à la Direction Informatique les numéros
d’enregistrement relatif à ces opérations pour correction. Ce rapprochement est effectué
manuellement.
Ils sont causés par une affectation irrégulière au niveau du compte inter siège. Ils sont de
vrais suspens qui nécessitent une analyse sur la base de l’écriture comptable justifiant l’inter siège
tout en se référant à la circulaire qui régit l’opération. Il n’y a pas de procédure standard. Chaque cas
est étudié à part. La solution trouvée sera communiquée par courrier à la structure concernée pour
procéder à l’apurement.
Le contrôle peut révéler des cas douteux. Dans ce cas, le service saisit la Direction de
l’Inspection, la Direction de l’Audit interne et parfois la Direction Générale.
Ce sont des opérations initiées à la fin du mois dont le dénouement est effectué au début du
mois suivant. Le contrôle se fait en vérifiant si leur affectation a été réalisée, à défaut, ils seront
classés au niveau des suspens réels et subiront le même traitement.
2 – 2 – Service rapprochement des comptes de trésorerie :
Ce service est chargé de confronter les soldes des comptes de trésorerie (BCT et CCP) sur nos
livres avec ceux sur les livres de nos correspondants.
Assurer les liaisons de la Banque avec les organismes extérieurs (recette des finances,
CMF ...).
Les états financiers présentent la situation financière de la Banque à une date donnée. Ces
états financiers fournissent de l’information sur la nature des ressources dont la Banque dispose et
sur les sommes qu’on y a investies, ainsi que sur les obligations de la Banque à l’égard de ses
créanciers et sur l’intérêt des propriétaires dans les ressources de la Banque. Ils aident à prévoir les
montants et le calendrier des flux de trésorerie futurs, et la probabilité de réalisation de ceux-ci.
L’information présentée permet d’évaluer le risque et les flux de trésorerie futurs. Pour y parvenir, il
faut analyser les états financiers, puisque cela permettra en retour d’établir la liquidité et la
solvabilité de la Banque ainsi que sa flexibilité financière.
1-1-2 - Reporting comptable :
Parallèlement à ces états financiers, la Banque est tenue d’établir l’état de flux de trésorerie
et les notes aux états financiers lors de l’établissement des états financiers intermédiaires et de fin
d’exercice.
Cadre réglementaire :
L’obligation d’établissement des états financiers est prévue par la Loi n°96-112 du
30/12/1996 relative au système comptable des entreprises.
Les états financiers doivent être préparés conformément aux dispositions des normes
comptables tunisiennes prévues par le système comptable des entreprises et notamment les normes
comptables sectorielles n°21 à 25 relative aux établissements de crédit.
Balance,
Une fois ce classeur est reçu, l’agent chargé de l’établissement des états financiers doit
procéder à l’ajustement du dit classeur tout en passant par les étapes suivantes : affectation des
rejets, affectation classique et affectation de l’inter siège.
L’affectation des rejets : elle porte, à la fois, à l’affectation des comptes fantaisistes
(voir leur imputation exacte) et à l’affectation des comptes nouvellement mouvementés dans les
postes des états financiers correspondants par leur actualisation au niveau du système central du
programme du bilan gérer par la Direction Informatique.
Si on a dans la liste de rejet : 1105.082275, dans ce cas, on doit imputer le compte rejeté au
compte suivant 1105.081275.
Pour les comptes qui demeurent sans explications, ils sont classés dans la rubrique
AC7A sous l’intitulé compte fantaisiste. Le service rapprochement est tenu de suivre ces comptes
pour une éventuelle régularisation.
Affectation classique : elle consiste à affecter la différence des comptes en hors bilan,
les doubles solde et le rachat des actions BNA détenues par les fonds gérés.
La différence en hors bilan se subdivise en deux types de différences, à savoir, différence des
intérêts à échoir et différences des comptes en hors bilan. Pour la différence des intérêts à échoir
(différence entre intérêt à courir et intérêt à percevoir) est transmise au niveau du bilan sous forme
d’agios réservés en soustraction des impayés en intérêts pour établir l’équilibre de l’équation
suivante :
Alors que la différence des comptes en hors bilan est inscrite dans la rubrique AC7A si elle est
débitrice ou PA5B si elle est créditrice.
Quant au double solde il est affecter pour corriger les dépôts et les comptes débiteurs des
clients. Concernant le rachat d’actions propres, l’affectation vise à corriger les capitaux propres et le
portefeuille titre en l’occurrence les fonds gérés.
Le principe de la permanence des méthodes prévoit que les mêmes méthodes de prise en
compte, de mesure et de présentation soient utilisées par la Banque d’une période à l’autre. Si par
exemple un reclassement de compte est effectué au cours de l’exercice N, on doit alors procéder à
un retraitement des postes des états financiers de l’exercice N-1 et ceci pour assurer la fiabilité de la
comparaison.
Quant au principe de rattachement des charges aux produits, il vise à établir une
correspondance directe ou indirecte entre les charges et les produits de la Banque. Ainsi, lorsque des
revenus sont comptabilisés au cours d’un exercice, toutes les charges ayant concouru à la réalisation
de ces revenus doivent être déterminées et rattachées à ce même exercice. Pour se conformer à ce
principe, on va se référer à la technique de l’abonnement des charges et des produits. Il se fait extra
comptablement pour les états financiers intermédiaires et comptablement pour les états financiers
de fin d’exercice.
Résultat comptable
(+) Produits à percevoir (Les produits qui ne sont encore échus à la date d’arrêtée mais qui
ne sont pas encore comptabilisée tel que les intérêts courus et non échus sur un placement)
(–) Charges à servir (Les charges non décaissées, mais encourues à la date d’arrêté, et qui ne
sont pas encore constatées dans les charges d’exploitation bancaire).
(+) Charges payées d’avance (Les charges d’intérêts et les commissions décaissées et qui
concernent des périodes postérieures à la date d’arrêté et qui sont prises en compte dans les charges
d’exploitation bancaire).
Pour le calcul de l’impôt sur les sociétés, il faut déterminer le résultat imposable. Ceci se fait
à travers le décompte fiscal.
(+) Réintégrations (ce sont les charges qui ne sont pas fiscalement admises en déduction
mais qui sont comptablement déduites. Exemple : pénalité de retard, timbre de voyage).
(-) Déductions (ce sont les produits qui ne sont pas imposables mais qui sont comptablement
pris en compte. Exemple : dividendes, plus values sur cessions de titres de participations).
= Résultat corrigé
(+) Réintégrations des provisions
Résultat fiscal
= Résultat imposable
Les indicateurs d’activité sont élaborés et présentés conformément aux principes comptables
généralement admis en Tunisie et notamment les normes relatives aux établissements bancaires
(normes 21 à 25) ; ainsi qu’aux règles de la BCT édictées par les circulaires 91/24 du 17/12/91, 93/08
du 30/07/93 et 99/04 du 19/03/99.
Cet état est préparé à partir des rubriques de l’état de résultat. C’est une autre manière de
détermination du résultat en fonction du modèle prévu par la Banque Centrale de Tunisie.
L’objectif de l’état de flux de trésorerie est de fournir l’information pertinente concernant les
rentrées et les sorties de liquidités durant l’exercice. Il présente l’effet sur la trésorerie des activités
d’exploitation d’une entreprise, de ses activités d’investissement, de ses activités de financement et
de l’augmentation ou la diminution nette des liquidités et équivalent de liquidités durant le même
exercice. En effet, les activités d’exploitation comprennent les opérations qui entrent dans la
détermination du bénéfice net et qui ont un effet sur la trésorerie. Pour les activités
d’investissement, elles comprennent l’octroi ou le recouvrement de prêts, l’acquisition ou la cession
de titres de créances ou de capitaux propres, ainsi que l’acquisition ou la cession d’immobilisations.
Les activités de financement portent sur les changements dans les passifs et les capitaux propres tels
que l’apport en capital, les emprunts effectués et les remboursements réalisés.
Le lecteur de l’EFT examine d’abord les flux de trésorerie d’exploitation pour voir si
l’entreprise est capable grâce à ses activités courantes de générer suffisamment de liquidités pour
régler ses engagements à court terme sans faire appel aux emprunts.
1-1-2-5- Les notes aux états financiers :
Le service établit les notes aux états financiers qui font parties intégrantes des états
financiers. Ces notes contiennent des informations complémentaires et réunissent des données qui
ne sont présentées nulle part ailleurs dans le bilan ou état de résultat ou fournir des explications ou
des nuances sur certains postes. Trois types d’informations sont généralement présentés, il s’agit des
éventualités, des méthodes comptables et des engagements.
Chiffre d’affaire Hors Taxes = la sommes des comptes de produit – reprise de provision
sur créances et titres – plus values sur cession de titres – service de conseil et d’assistance – jetons de
présence encaissés.
Les acomptes provisionnels sont des avances sur l’impôt sur les sociétés (IS) qui sont égales
en tous à 90% de l’IS de l’exercice précédent et qui sont payés sur trois tranches égales. Ils sont
déclarés et payés (selon la LF pour la gestion 2007) pendant les 28 premiers jours du sixième,
neuvième et douzième mois.
Après avoir déterminé le résultat imposable (Voir modalité de calcul du résultat de l’exercice
net), on applique le taux d’imposition du secteur bancaire (35%) pour avoir l’impôt dû. Lors de la
liquidation de l’impôt, il faut tenir en compte les retenues à la source supportées par la banque sur
les différents revenus et les acomptes provisionnels payés.
IS à payer = IS due – Acomptes provisionnels – retenues à la source supportées
L’IS est déclarée une fois par an avant le 25 Mars qui suit la date de clôture de l’exercice.
La politique monétaire ;
Concernant la politique monétaire, il s'agit dans la plupart des cas de la lutte contre l'inflation
afin de garantir la valeur de la monnaie. Généralement, la Banque Centrale s'est fixée un niveau
d'inflation à ne pas dépasser, pour cela, elle dispose de plusieurs instruments lui permettant de faire
varier la masse monétaire en circulation dans le pays et le coût des crédits accordés aux particuliers
et aux entreprises. Parmi ces instruments, il y a la réserve obligatoire, les bons de trésor et le taux
directeur. La Banque Centrale exerce son rôle d’organe de contrôle des banques afin de s’assurer de
leur bon fonctionnement. Les travaux de déclaration de la situation comptable de la Banque suivent
cet objectif.
La déclaration à la Banque Centrale de Tunisie est régie par les dispositions de la circulaire
BCT n°93/08 du 30/07/1993 qui prévoit les différentes informations et annexes à joindre à la
déclaration. Cette dernière peut être soit mensuelle soit trimestrielle. Deux dates à respecter chaque
mois ; au plus tard le 10 et le 25 de chaque mois. En effet il faut déclarer au plus tard le 10 du mois la
situation résumée des emplois et ressources (SRER) du mois qui précède et au plus tard le 25 du mois
la situation mensuelle comptable des actifs passifs et les engagements en hors bilan ainsi que les
différents annexes. Cette déclaration a une fréquence mensuelle, cependant chaque trimestre, en
plus des documents mensuels il faut joindre d’autres annexes.
A la fin de chaque mois, la situation comptable de la banque est arrêtée par la Direction
Informatique qui l’envoi électroniquement au service pour préparer la déclaration. Au niveau du
service, et moyennant une application informatique BCT, l’agent effectue un tirage de la balance de
contrôle qui contient d’une part une liste détaillée (compte, sous compte et mouvement) des
comptes rejetés, et d’autre part la situation mensuelle comptable selon les dispositions de la B.C.T.
En effet la situation mensuelle comptable de la BCT est organisée d’une manière différente à celle
des états financiers. Elle est organisée en indice, chapitre, paragraphe, signe, compte et sous compte.
Tableau n°8 : organisation BCT
3. l’affectation classique.
■ L’affectation des rejets : elle a la même définition que celle au niveau des travaux des états
financiers. L’affectation consiste à déterminer les indices, chapitre, paragraphe et signe afin de les
classer dans leurs rubriques. En outre l’agent doit mettre à jour l’applicatif des comptes
nouvellement mouvementé.
■ L’affectation de l’inter siège : il s’agit d’affecter le compte 1104 en fonction des codes
opérations et des indices, chapitre et paragraphe.
■ L’affectation classique : elle concerne le double solde, les agios réservées, la différence en
hors bilan, les sociétés de leasing, le rachat d’action propres et le marché monétaire.
L’affectation du double solde, des agios réservés et le rachat d’actions propre suit la même
démarche que celle au niveau des états financiers. Les sociétés de leasing sont assimilées à des
établissements de crédit et par conséquent elles sont reclassées au niveau du chapitre système
financier. Le marché monétaire comprend les prêts et emprunt en dinars ou en devises réalisés avec
les intervenants (BCT, inter banque et hors cotes). Ces opérations seront affectées en fonction des
rubriques qui les concernent.
Par la suite, la situation résumé des emplois et ressource sera éditée et déclarée avant le 10
de chaque mois et la situation mensuelle comptable sera éditée et déclarée avant le 25 de chaque
mois. A cette dernière date, et chaque mois le service est tenue de déclarer les annexes 9 et 14 ainsi
que la réserve obligatoire, le ratio de liquidité et l’effort des banques dans l’investissement de
l’économie.
L’annexe 9 nous renseigne sur la ventilation des ressources collectées par la Banque auprès
de la clientèle par catégorie d’agent économique. La répartition se fait suivant le caractère de
résidence et en fonction du secteur d’activité. L’annexe 14 nous renseigne sur les crédits à long
terme accordés par la Banque sur la base de ses fonds propres. Le service détermine le solde
théorique de la réserve obligatoire et le déclare à la BCT. Il détermine aussi le ratio de liquidité de la
Banque qui est le rapport entre les emplois et les ressources de la Banques. La préparation de ses
différents états se fait essentiellement sur la base de la situation mensuelle comptable.
Après les déclarations à la B.C.T, le service effectue une analyse de la variation des
différentes rubriques de la situation telle que le portefeuille escompte les comptes courants de la
clientèle, pour les justifier auprès de la B.C.T. L’analyse porte aussi sur la situation de la liquidité et la
position de la Banque (emprunteur ou prêteur).
3 - SERVICE ETUDE :
La Direction de la Comptabilité, de par ses trois divisions, est engagées dans ce sens.
Cependant, certaines difficultés et tracas qui font l’objet de nos remarques ci-dessous peuvent
constituer un handicap et nuire à la qualité des informations fournies :
Nonobstant les notes adressées par la Direction de la Comptabilité aux différents services
gestionnaires de la Banque leur demandant d’envoyer avant un certain délais les
informations nécessaires à l’établissement des travaux périodiques communiqués à la BCT
(situation résumée des emplois et des ressources et situation mensuelle comptable) et au
CMF (états financiers et indicateurs d’activités trimestriels), un retard de disponibilité de
l’information persiste chose qui va peser lourd sur l’avancement des travaux. A titre
d’exemple, nous pouvons citer le cas des échelles d’intérêts trimestriels nécessaires à
l’établissement des indicateurs d’activités qui doivent parvenir au CMF dans les 20 jours qui
suivent la date d’arrêté alors que cette balance ne peut être établie par la Direction
informatique qu’au cours de la deuxième moitié du mois.
Ces remarques peuvent avoir une influence sur la fiabilité et la rapidité de divulgation et par
conséquent la non satisfaction des différents utilisateurs de l’information financière. Outre les
contraintes externes (CMF, BCT, CAC, Ministère des Finances et actionnaires), la Banque est
confrontée à des contraintes propres, concernant son système d’information.