RAPPORT MISION DIRECCION FINANCIERE REGIONALE

DU 07/05/2023 AU 12/05/2023

INDICE

I. NTRODUCTION

II. LES ROLES D'UNE DIRECTION FINANCIERE

III.LES ACTIVITES DE LA DIRECTION FINANCIERE

3.1. ALM

3.1.1. PILOTAGE DE L'ACTIVITE ALM

3.1.1.1. GESTION DU RISQUE STRUCTURELLE

3.2. PRODUCTION COMPTABLE

3.2.1. PASSAGE EN NORMES

3.2.1.1 PRINCIPAUX RETRAITEEMNTS CPMTABLES

3.2.2. CALCULE DU RWA

3.3. FISCALITE

3.3.1. CODE DE CONDUITE FISCALITE GROUPE

3.3.2. PROCEDURE FISCALE AU AIN DE LA SGBGE

3.3.3. GPUVERNANCE FISCALE ENTITES SOUS LE PERIMETRE CSMCR

3.4. PILOTAGE

3.5. QUALITE CONFORMITE (CN2 FINANCES)

3.6. RPODUCTION REGLEÑEMTAIRE

3.7. SUIVI PRECONISATION

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 I. INTRODUCTION

Cette mission s'inscrit dans le cadre d'une prise de contact avec l'équipe de la Direction
Financière Régionale, afin de connaître le fonctionnement ainsi que les différentes activités qui
se déroulent au sein de cette Direction.

Cette formation a été anime par les membres suivants de la Direction Financière:

 GEORGE KOUAME, Directeur de Finances de la regionale

 JEAN EFE, superviseur regional POOL ALM chargé de la gestion de risques structurels,
pool reglementaire-reporting reglementaire et le suivi de projets COBAC
 OUSSENI FIFEN, BI AND SME MANAGER AFCE FINANCE, charge de la production
comptable
 Aubin Moutaman, Superviseur fiscal charge des repportings groupe trimestriels,
reportings locals, accompagnements metiers dans la gestión fiscale
 TCHOUAWOU TCHAPA, Supevisseur activites de gestion: suivi budjetaire-performence
comercial, evolution de l'historique compare a la realite, construction du budjet.
 ARSEN, CN2 FINANCES, control des activites porteurs de risques (identification de
risques et control sur la maitrise de ce risques par les metiers)

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 II. LE ROL D'UNE DIRECTION FINANCIERE

Il y a une diference entre une direction financiere et une banque.

L'activite de une Direction Financiere d'une entreprise classique c'est paiement founisseur,
enregist

rement des encaissement des clients, paie de salaire, declaration compatablr, travailler avec le
comisseure aux comptes pour faire les comptes, il vont gerer la Tresorerie, les emprunts avec
la banque, etc…Tous ce qui est entre et sortie de l'argent de l'entreprise c'est realice par la
Direction Finciere.

Dans une banque, l'entree et sortie de l'argent ne concerne pas uniquement la DIR-FIN, les
autres metiers de la banque pouvent etre une porte d'entre et sortie de l'argent exemple,
paiements effectues par les caissiers aux clients, le retrait effectue par les clients dans les DAB,
mise en place des credits fait par le back-office, les operations des transferts executes par le
service des operations etc…, tous ces operations impacten les comptes de la banque mais la
DIR-FIN n'est pas au coeur.

Un direction Financiere doit etre en relai avec les autres acteurs et mettre en place les
elements de control, ce pour cela la supervisión comptable est fait sur les diferents service et
presente soit au comité d'audit soit au comité de qualite comptable. Ce sont les metiers qui
doivent justifier leurs comptes, une comité de suspens a ete constitue a cet effet.

Si la DIR-FIN est embete par sa qualite comptable, elle est embete sur 90% du travail. Le reste
ce la gestión.

Quand les comptes de la FIN sont propres, le control de gestión pourra suivre le budjet. Quand
ont fait le budjet, Il faut toujours que les comptes ont le montant budjete. Avant d'engage la
depanse il faut s'assurer qu'il reste de l'argent dans le compte, cas contraire FIN ne valide pas.

A part l'ajustage des comptes fait par le control de gestión, sur la base de l'historique il faut
aussi les proyection a fin d'avoir une visión de la ou on será dans un futur. Cela dependra de la
determination des indicateurs de performance etablit sur:

I. Le retail, gagne de l'argent pour les credits octroyes au client, par les services des
comissions et le cout du retail ce sont les agences, le personnel et tout la structure
de gouvernance retail DCPP et sont equipe. Ce le cout et l'apport du retail.
II. Le corporate quelle est son apport, les depots, les transferts, credoc, virements
internationaux, et aussi son cout.

En syntheses, les elements de la performance sont:

- Le retail
- Le corporate
- Les flux

Ca fait de la rentabilite, c'est le centre de profit; apres il y a le centre de cout:

- Le Service des Operations,

- Le Back-office
- l'Informatique
- La Finance
- La Direction General
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Tous ces elements sont analyses pour la performance.

Le Point de vue economique est la deuxieme methode d'analyse de la performance (pas de

BIA a la SGBGE). En effet, economiquement la banque gagne de l'argent, tous les depots sont
transferes au sain d'une structure ALM, ce cette central financiere qui achete les depots et
vent des credits aux autres structures, un Prix est fixe en effet sur le depot et sur les credits
tous cela se base sur la coup du TCI (taux de cession interne), ce dernier c'est est le prix de
l'argent. En fonction du taux du suverain, FIN bate un coup de taux, cela fait par ALM.

En plus de tous les roles evoques ci-dessus, a la DIR-FIN ce rajout le role utilice dans le
commerce les comptes internes, les operations d'inventaire, les relations avec les CAC et la
fiscalite. Meme les salires il ne sont pas fait a la DIR-FIN, ils sont fait a RRHH. La DIR-FIN
s'assure que ce qu'il sont passe dans leurs etat correspond a qu'il sont dans les comptes.

Aussi le riques, quant il Font leurs provisions il faut s'assurer que sa correspond a ce qu'il sont
dans l'etat, en conclusión, il faut toujours faire les raprochement.

Il faut asussi suivre le risque structurelle:

 Le risque de liquidite, il faut modeliser les depots en ALM pour voir s'il y a un risque de
liquidite

 Risque de taux, il faut voir s'il y a une evolution du taux parce que le taux evolue sur le
marche, nous ne sommes pas dans un environement ou le taux sont stables. En
fonction des dificultes que les pays peuvent avoir le taux peut augmenter. exemple, le
taux de la BEAC est passe de 2% a 4%.
La banque accorde des credit a un taux fixe, et les depot sont consideres comme taux
fixe mais si le client veut renegocier si la DIR-FIN s'appui sur le depot, il va faloir
emprunter a la banque central et le cout va etre a 5% il y a dans ce ca un risque de
taux.

 Le risque de change, sur les operations en devises

III. ACTIVITES DE LA DIRECTION FINANCIERE

III.1. PILOTAGE DE L'ACTIVITE BANCAIRE PAR L'ALM: ASSET LIABILITIE

MANAGEMENT (GESTION ACTIVITES ACTIF + PASSIF)

 Le but est d'etudier et piloter l'equilibre du bilan au regard des risques prises par la
banque sous contrait d'un niveau de rentabilite et d'un cadre reglementaire precis
et varaible selon les pays. En effet, le passif contient les ressources (les depots) et
les emplois sont les credits mise en places et inscrit a l'actif. Il faut s'assurer que le
blian suit le temps la duree de vie puisque, les elements que nous avons dans le
secteur bancaire sont des elements a duree. Example: quant ont prend un credit
c'est pas forcement un credit ponctuel, c'est parfois un credit qui va sur 15 ans,
parfois les depots sont aussi longs. Avec les calculs mathematiques ont mobilise les
depots a vue, sont de depot quont peut retirer a n'importe quelle moment. Il est
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 dont important de veiller a ce que il soient correlatives. Les depots de la banque
accroisent, cela veut dire quont etudie le comportement et ont voi comment ont
peut l'allonger pour s'assuer que ses elements d'emplois et ressources sont
addosses pour qu'il n'y a pas de dessequilibres pouvant gener le risque de
liquidite et le risque de taux.

 Risque structurel: Il s'ágit du pilotage du risque

de liquidite, taux et change.
Le but est de securiser la marge.

Le príncipe de la banque collete de depot, il y a de depot a vue (solde des cav), le

depot a terme (DAT) et le compte d'epargne.

La banque donne des credits, les decouverts, credits a CT et MLT

Les clients signes des convention des credits lors de l'octroi avec la duree accordee.
L'argent qui n'est pas prete aux clients, une partie est deposse a la caisse de la banque
(les encaisse) et le reste a la BANQUE CENTRAL.

Une partie de l'argent garde a la Banque Centrale est retenu comme reserves
obligatoires. La partie libre serve a executer les ordres du clients (les virements, payer
les cheques, les salaires de fonctionnaires, preter aux autres banques, acheter les
obligations de l'Etat-Bon du Tresorie la tresorerie qui gere cette dernier partie, un
comité est effectue a cet effet). La compensastion se passe toujours par le bia de la
banque centrale.

POURQUOI CONSTITUER LES RESERVES OBLIGATOIRES

Dispositive reglementaire, c'est un instrument de la politique monetaire

La constitution de reserves obligatoire permettre a la banque central de controler

l'activite de distribution de credit. La banque ne doit pas tout donner en credit car il se
met en risque, ce dans ce sans que cette argents est bloque.

Les DEPOTS A VUE le client peut retirer de l'argent n'importe quelle moment.

DAT, l'argent est bloque pendant un certain temp

RISQUE DE LIQUIDITE: quand la banque accorde des credits s'achant qu'il y a de credit
a CT et MLT ont regard pour l'equilibre du bilan comment s'eculent les elements dans
le futur, ceux du depot et credit, parceque si la banque donne trop de credit et les
client viennent chercher de l'argent il se trouvera avec une manque de liquidite.
On doit s'assurer a tout momento que la banque peut gerer son activite pour les
clients qui fond leurs virements sans que sa cuence.

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INDICATEURS DE MESURE
o Le gap de liquidite: diference sur chaque maturite entre les montants des
encours restant du passifs et les montants des encours restants d'actifs
(bilan+hb) projetes dans le temps en focntion de la date de sortie prevu du
bilan
o Le LCR: Liquidity Coverage Ration: Ratio court terme, qui exigerait des banques
de detenir un stock d'actifs facilement mobilisables, au regard des cash
outflows potentiels pendant 30 jours de crises.
o Le NSFR (Net Stable Funding Ratio): ratio long terme, qui vise a obliger les
banques a financer par de leurs ressources stables une partie significative de
leurs actifs dans un contexte de crises sur un an
o Le ratio de liquidite COBAC, capacite qu'ont les disponibilites a court terme a
couvrir les exigibilites a court terme (1 mois)

Le premier indicateur calcule par ALM region, le 2 et 3 calcule au niveau du groupe sur
la base de donnes remontes par ALM et le 4 en local.

RISQUE DE TAUX: perte potentielle consecutive a une variation des taux d'interets; cet
a dire, il a pour origine le non-adossement de ressources et emplois en terme de date
de rouvellement, nature de taux, duree, profil d'amortissement et devise.
Il s'agit de la façon dont le bilan peut etre affecte s'il y a une variation de taux d'interet,
si ont perte ou ont gagne de l'argent. Cela permettre de voir comment orienter la
politique comercial en terme de tarification des operations.

Le risque de taux d'interet est mesure par le gap de taux

Les diferents gaps de taux actualices a une date T et additionnes donnent la sensibilite
de la VAN.

La sensibilite permet de mesurer quelle est la valeur que le bilan peut perdre si jamais
les taux d'interets sur le marche varient de x:

o Sesibilite positif, risque a la baisse a la baisse de taux et une

antitransformation
o Sensibilite negative, risque a la hausse des taux et une position
trasformation, vour surtransformation

RISQUE DE CHANGE, dans le cadre des operations realises en devises, il ne faut pas
que la banque soit dans une position ouvert (position ou la banque peut perdre de
l'argent et par consequence de la marge en cas de variation du cours de devises).
Le gestionnaire ALM doitverifier que la position de change globale pour cahcune de
devises utilisees par l'entite se trouve a l'interieur des limites calculees par la Direction
financiere du groupe SG.

Le COMITÉ ALM se tien chaque trimestriel qui va sortir lanalyses du bilan de baque
avec le calcule tous ses indicateurs.

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 Relatif au gap de liquidite, on va resortir lanalyse qui ressort de l'activite tel qu'il est
presente au trimestre analyse avec des plan d'action et de preconisations qui indique
ce qu'il faut faire, comment orienter l'activite en sachant que comme il de
problematique qui sont la consequence du model economique de l'entite, dont ce
toujours a mettre en perspective avec le contexte de la filial. Cas particulier SGBGE qui
enregistre toujours un exces de ressources

III.2. PRODUCTION COMPTABLE

L'objectif s'explique par le fait que nous avons une norme local et nous devons arriver
a une norme GROUPE, comment le passage est effectue.

3.2.1. PASSAGE EN NORMES: TRAVAUX DE PRECONSOLIDATION

Il s'agit de la trasformation de normes du regulateur COBAC en norme IFRS pour

pemettre au groupe SG presenter ses etats consolides. Pour se faire il y a un tableau
de correspondants, il faut que les amortissements qu'ont comprendre en norme local
correspond aux normes IFRS

A chaque rubrique du bilan et du compte de resultat, un retraitement est fait sur la

base de normes qui sont edictes pour avoir une image IFRS; cet a dire, nous avons des
comptes en social et une obligation de comptes IFRS et pour chaque chapitre il y a une
definition pour passer du local au groupe, il faut regarder en effet, la definition du
chapitre et la definition de ce que la norme dit ensuite ratacher chaque chapitre social
a un compte du groupe; ont aura ainsi un compte d'exploitation social et un compte
d'exploitation groupe.

LES 8 PRINCIPAUX RETRAITEMENTS COMPTABLES

 Le credit BAIL (IAS17). La banque achete un bien pour le mettre en location.

Aproche economique (comptes consolides), inscripción d'un encours de
credit a l'actif et comptabilisation des interets en P&L
Aproche Juridique (comptes sociaux), immobilisation et amortissement
d'un bien accquis en vue de la location, et perception de loyers
Retraitement, suprimer tous les immobilisation, amortissements et loyers
et comptabiliser uniquement l'encours du credit et la charge d'interet
Reserve latente, decoule de ce retraitement il s'agit de la diference entre
la dotation aux amortissement pour depreciation du bien et les
amortissements du credit.

 La location simple (IFRS16), la banque loue un bien meuble ou immeuble pour ses
activites
Aproche economique (comptes consolides), inscripción du bien meuble a
l'actif en contre partie d'une dette au passif et comptabilisation de la charge
d'amortissement et de la charge d'interet

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 Aproche Juridique (comptes sociaux), paiement de loyeurs
Retraitement, suprimer tous les loyeurs et comptabiliser le bien a l'actif net
des amortissements, au passif, la dette locative et en P&L la charge interet et
les dotations aux amortissements

 Avantage du personnel (IAS19), toutes formes de remuneration ou contreparties

donnes par une structure a son employe au titre de services rendus.
Principes de retraitement IFRS. - comptabiliser les charges du personnels une
fois les services rendus. Le cabinet d'actuariel externe publie a frequence
annuel le montant des avantages a enregitrer dans les IAS
Retraitement, aligner le stock de provisions de AVP social avec ceux du fichier
de actuaires. De l'actualisation ressort l'ecart actuariel, c'est la diference entre
le stock provisions social et ceux du cabinet externe.

 Immobilisations IAS16 (Reevaluation), reevaluation d'une immobilisation est

l'application d'un índice de valeur sur la valaur nette comptable a la date de prise de
decisión de la reevaluation; deux types, reevaluation legale impose pa la loi et libre
prise de decisión de gestión.
Aproche economique (comptes consolides), reevalidation du bien immobilier
non autorise par le groupe, donc aucun impact de la reevaluation ne doit etre
constate
Aproche Juridique (comptes sociaux), les fonds propres sont impactes par
l'ecart de reevaluation et le P&L par des amortissements et dotation
complementaires
Retraitement, suprimer l'ecart de reevaluation ainsi que le reprise des
amortissements constates en social et montant des amortissements et
dotations suplementaires

 Traitement de provisions (IFRS9) 1/2, il ne faut pas tenir en compte la provision 0.5%,
il faut considerer les provisions IFRS sur S1 et S2.
Pour les biens acquis, les BAPA sont provisiones a hauteur de 20% chaque annet et
totalement la 5eme annee.

 Interets IAS (IRFS9), comptabiliser le stock des interets IAS publies par la filial risques
dans la notification a la fin de l'exercice de provisions et pas les agios reserves
comptabilises en social.

 IFRIC 21

Lorsque le fait generateur lie au paiement de la taxe est ponctuel ou a date specifiee,
le passif est comptabilise immediatement et integralent. De ce fait, la patente et taxe
fonciere doivent etre integralement comptabilisees au momento du paiement de la
taxe.
Retraitement, le paiement de l'impot doit se faire selon la norme local en vigueur.

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  Charges fiscales (IAS12)
Le montant de la charge fiscale dans les comptes consolides represente la Somme
algebrique de la charge fiscale sociale, de la provision pour redressement fiscale et de
l'impot differe obtenu.
L'impot differe est calcule par l'application du taux d'impot local sur la valeur des
differents retraitements IAS generant une diference temporaire en fonction du
caractere deductible des elements retraites.

3.2.2. CALCULE DU RWA

Dans la banque ont prend de risques et nous sommes obliges a prendre des mesures de
securite pour securiser d'avantage notre acivite quotidiane.

LE RWA: est la partie non couvert des engagements il compris les collatereaux associes.

Le RWA est calcule sur le portefeuille de credits et de depots. Les depots sont aussi suceptible
de generer le RWA; en effet, les depots sont l'argent des clients. Apres la collecte de depots et
sont placement dans un compte hors la banque, il y a toujours un risque de les perdre il faut
dont avoir une couverture pour la couverture.

Lors du budjet un enveloppe de RWA (enveloppe de risques qui permettre de couvrir

l'enssemble de risques lies a l'activite) est affecte a l'implantation.

Trois methode de calcul:

 Aproche standard, ponderations normatives donnees par le regulateur (bassees sur de

notations externes ou a defaut sur sur des ponderations forfaitaires dependents du
portefeuille et de l'agregat balois).

RWA = RW x EAD

 RW (Risk Weight). - pourcentage mesurent le risque associe aux expositions. Depand:

Du rating externe de contreparties s'il est disponible
De ponderations forfetaires selon le portefeuille et l'agregat si le rating n'est
pas disponible
 EAD (Expositions en cas de defaut). - Pour chaque contrat porteur de de risque de
credit, l'encours probable en cas de declassement en defaut du client contractant.

EAD = (encours + provisions) x CCF (avec CCF = 100% pour le bilan)

Au niveau contractuel, l'EAD correspond aux creances (au bilan) du client plus la
sommes des engagements hors bilan ponderes du CCF (Credit Conversion Factor).

Pour le Hors Bilan l'utilisation d'un CCF permet de convertir l'enssemble des
engagements hors bilan de la banque a l'egard de sa clientele en equivalent bilan

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 CCF (Credit Conversión Factor = facteur de conversión credit)

CCF.- correspond a la probabilite de tirage. 100% pour les creances bilan. Pour les hors
bilan, la valeur nominale doit d'abord etre multiplie par la CCF adequat pour obtener
une valeur ajuste a chaque montant d'encours d'encours associe en code produit DEVL
pour lequel il existe un CCF specifique.

Pour la plus part des operations de financement, le CCF est determine selon un tableau
de correspondence. Exceptions a cette regle est le CCF des lignes de credit revocables
est forcé a 0%.

Voir Tableau de ponderations en annexes.

 Impact des garanties

Exigence minimales

La garantie/protection doit etre directe, explicite, irrevocable, inconditionnel et

d'une validite juridique assuree.

Garanties eligibles

Souverains, collectivite locales, banques avec une ponderation moindre que celle
de la contrepartie, autres entites au moins notees A- (y comprise maison mere et
filiale)

Traitement

La portion couverte par la garantie/derive de credit se voit affecter la ponderation

du garant, fonction de sa notation externe.

 Impact des collatereaux

Eligibilite

Pour que le colateral soit reconnu, il ne doit pas y avoir consanguinite entre
colateral et la contrepartie. Les asimetries de d'echeance ne sont pas acceptes. Le
colateral doit etre reevalue a des Prix de marche avec frequence au moins
semestrielle.

Suretes eligibles:

 Especes, or, certificats de depots et instruments assimiles deposes dans le

banques
 Titres a long terme faisant l'objet d'une notation externe
 Certains titres de dette senior non emises par une banque dont les autres
emisions de meme seniorite sont au moins notees BBB- ou A3P3

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  Actions ou obligations convertibles entrant dans la composition d'un índice
principal, et part d'OPCVM et de SICAV contenant de telles actions
 Actions cotees sur un marche reconnu et parts d'OPCVM et de SICAV
contenant de telles actions

Traitement

L'effet du colateral est prise en compte au niveau de l'exposition en diminuant la

valeur de l'exposition de la valeur du colateral apres decotes.

 Deux aproches basses sur les notations internes:

IRB-F (Internal Rating Based Fundation): Utilisation d'estimations internes
pour la PD; valeurs normatives donnees par le regulateur par le LGD, EAD et M
IRB-A (Internal Rating Based Advanced): Utilisation des estimations internes
pour les parametres PD, LGD et EAD; calcule de la maturite (M) sur la base
d'une formule de calcacul donne par le regulataire.

Le calcul se fait par une calculette disponible sur le portail Risque pour calculer le
RWA d'une transaction en methode IRBA.

 Impact de garanties

Eligibilite

Pas de limite. La banque doit definir precissement les types de garantis

qu'elle retient.

Les garanties conditionnelles peuvent etre reconnues

Eligibilite

ParSubstitution: la PD et LGD de la contrepartie sont remplacees par la PD

et LGD du garant lors du calcul de RWA.

On tien compte des asymetries de devises et d'echeance (les asymetries

d'echeances dont la duree initiale est < a 1 an ne sont pas acceptes).

 Impact des collatereaux

Eligibilite

Pour que le colateral soit reconnu, il ne doit pas y avoir consaguiinite entre
colateral et la contrepartie. Aucune autre restriction en methode IRBA

Les banques doivent par ailleur etablir des regles et des procedures
internes relatives a la gestión des suretes reelles, a l'heure securite

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 juridique et au modalites de gestión du risques globalement coherentes
avec les egigences des aproches et IRBA.

Eligibilite

L'effet colateral est prise en compte au niveau du LGD en diminuant la LGD

en fonction du degre de surcollaterisation de l'exposition (la reduction de
la LGD est limitee sauf pour les collatereaux financieres ou elle peut etre
totale). L'EAD reste calculee sans prendre en compte le colateral.

Portefeuille balois: Definition

 La segmentation des engagements de la banque par portefeuille est la base de

toute information conduissant aux calculs de ratio reglementaires, ce qui
permet:
Organiser le processus de collection des donnees
De determiner les ponderations appliquer aux engagements suivant
les regles specifiques a chaque portefeuille
De s'assurer de l'exaustivite des engagements remontes et de leur
coherence avec la comptabilite

 Pour le repporting Bale 2, les creances doivent etre clases selon la nature de la
contrepartie initiale, meme s'il existe un garant
 La pluspart des portefeuilles sont determines selon la nature de la
contrepartie, d'autres selon la nature de la transaction, d'autres selon une
combinaison de ces deux elements.

3.3. FISCALITE

3.3.1. CODE DE CONDUITE FISCALITE GROUPE

Le Code de Conduit Fiscale du groupe constiue un enssemble de príncipes partages et

apliques a travers le Goupe, constituant un referentiel de base.

Il doit etre applique par toutes les entites du groupe Societe Generale sans povoir
jamais etre altere pour tenir compte des situations locales specifiques.

Il definit des normes minimales qui doivent s'appliquer y compris dans le pays dans
lesquels la reglementation fiscale est plus supple.

Autrement dit, meme si les regles techniques locales ou les autorites fiscales d'un pays
autoriseraient un produit ou une transaction qui s'averait pour autant non conforme a
un ou plusieurs príncipes du code de conduit fiscale groupe, ce produit ne serait pas
valide. Toutefois, dans les situations specifiques ou seul l'avantage fiscal permet la
mise en oeuvre d'une transaction mais est obtenu confromement a l'intention du

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legislateur, cet avantage fiscal est considere comme obtenu en plaine conformite avec
le code conduit fiscale.

LES PRINCIPES DU GROUPE

Respect de tous les regles fiscales aplicables a ont activite

conformement aux conventions internationales et aux lois nationales
Relations avec les clients: Informer leurs clients des obligations
fiscales aux operations realisees avec le groupe et le groupe respecte
les obligations declaratives qui sont les cas echeance aplicables en tant
que tener de compte a tout autre titre.
Relations avec les administrations fiscales, Societe Generale s'attache
a respecter strictement les procedures fiscales et veille a entretenir
des liens de qualite, le preservent de tout risque de reputation
Societe Generale n'encurage, ni promeut l'evation fiscale ni pour lui
meme o uses filiales, ni pour ses clients.
Societe Generale n'encurage a une politique fiscale conforme a sa
strategie de rentabilite durable et s'interdit tout operation dont le but
ou l'effet reposerait sur la recherche d'un profit essentiellement fiscal,
sauf s'il est conforme aux intentions du regulateur.

3.3.2. LE POOL FISCALITE AU SEIN DE LA DIRECTION FINANCIERE REGIONAL

Il assure pour le compte des entites la supervisión et le pilotage.

L'assistence apporte aux filiales est variable en fonction du niveau

d'apropiation de problematiques et en fonction aussi du RACI qui soit formel au tacite
entre les entites.

Il y a des entites pour lesques il Font tous les taches fiscales et pour certain au
regard du leurs contexte specifique, la gestión d'une pente d'activite est reste a leur
niveau. Ca SGBGE qui produise ses declarations elle meme, il a sussi la production et la
transmisión aux autorites fiscales pour ce quie est l'enssemble des declarations.

Au niveai de fiscalite región, il Font le suivi et l'accompagnement dans le cadre

notement de declarations groupe (repportig GTC).

La problematique qui empeche que tous les taches fiscales ne soient pas etre
realices par la fiscalite región, est l'abssence de l'integration de la SGBGE sur SIMBA, en
effet, la fiscalite pool travail sur la base des donnes extraies de SIMBA, les donnes
comptable, les grands livres de compte ainsi que les consultations fait sur les ecritures
qui sont comptabilises ce qui limite le pool a ce jour.

Pour le reporting groupe le pool obtien de la SGBGE le rapport de ce qui a ete

declare et de ce qui a ete paye et cela est remonte dans le reporting par fiscalite
regional.
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 Il Font la prise en charge des preconisations, la prise en charge des controls
fiscaux lorsqu'il sont remonte a leur niveau et la prise en charge de problematique
specifique comme celle lie a la TVA prestataires etragers.

Il conseil d'abord aux entites d'avoir un consieil locaux fiscal a la practique de

l'administation locaux fiscal car dans le cadre de control le le conselleur locaux fiscal
est sur place dont lors qu'il aura de seance de travail avec l'administration fiscale il será
plus dispose a accompagner l'entite dans le cadre de seance de travail.

L'avantage est que dans le cadre ou la reponses a ete redige enssemble entre
le conseiller ficale et fiscalite región et sont recu de la part de ce dernier des elemts et
des arguments qui sont útiles a sa comprehension de l'activite, a sa comprehension de
ce qui a ete fait par fiscalite región qui puis defendre au mieux les interets de l'entite
dans le cadre de reuinion sur place.

Il fond la production de repporting fiscaux (DSF), les liales fiscales aux

declarations mensuelles et meme aux declarations ponctuelles en foction du scop.

Mise en conformite reglementaire et legistavi, cet a dire mettre a la disposition

des entites l'enssemble des documents qui leur sont requis par l'administration fiscale
exemple: documentation sur la prise de transferts, declarations des honoraires, tous
les documents que l'administration pourra requerir pour que le contribuable soit en
regle avec l'administration fiscale.

Eficacite et l'expertise aux filiales, c'est du conseil et de la formations. Dans ce

cadre des seminaires et call mensuelles sont organices.

Redaction de la mutualisation de certains problematiques fiscals qui sont leves.

Maintien de lien fonctionnel avec SEGL/FIS (pool fiscalite au niveau du siege) il y a de
sujet qui leur sont sollicites.

Garants de la difusión de la gouvernance et du respect du code de conduit

fiscale aux entites.

Il font de l'animation de la filial fiscal, cet a dire, lors du recrutement d'un

conseil fiscal d'une entite il participe a la redaction de l'expresion du besoin, definition
de fiche de poste, emisión de cahier de charges et mettre un avis fiscal sur le
conseilleur qu'il faut retenir.

LES DIFERENTS IMPOTS APPLIQUES EN GUINEE EQUATORIALE

Il y a deux types d'impots, direct et indirects. Les ipots directs sont payes par le client meme et
indirects sont apliques lau client lors d'effectuer des achats.

En guinee Equatorial l'un des impots indirects est la IVA.

La TVA, est assis sur le montant hors taxes facture. Taxe sur la valeur adjoutee (IVA),
aplique sur les operaions fait par des personnes physiques ou morales en Guinee
Equatoriale:

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La TVA a un mecanismo de focntionnement, Il y a la TVA collecte et la TVA que la banque a
supporte sur ses achats de bien et services appele la TVA recuperable ou deductible.

Le montant nette verse a l'Etat dans ce cas c'est la diference entre ce que la banque a collecte
chez ses clients moins ce qu'il a paye chez ses fournisseurs/prestateurs de services.

Si la diference est negatif ont dit qu'ont a un credit d'impot qui est importe le mois prochain
quant ce positive ont paie.

Aucun cas/situation constate a la SGBGE ou ce resulta test negative.

Il y a parmis des operations factures aux clients, des operations qui ne sont pas soumise a la
TVA, les operations exoneres des impots. Pour ses operations quand ont calcul le TVA ont
aplique le prorrata de deduction. Ca s'effectue a la fin de l'exercise.

CONDITIONS POUR QUE LE TVA SOIT DEDUCTIBLE

La loi prevoit que certains TVA ne sont pas deductibles, et ce TVA on prendre en charge,
exemple: la TVA sur les frais de restauration, les frais d'hotel, les charges qui ne sont pas lies a
l'exploitation.

 Taux normal de 15%

 Taux reduit de 6%
 Taux 0 pour les exportations

Cotisations sociales (INSESO), branche de cotisation:

 Le risque d'accident au de travail et de maladies
professionnelles
 Les prestations familiales
 L'assurence maladie
 L'action sanitaire social

Cotisation pour les salaries, 25% dont 4.5% pour l'employe et 21.5% pour l'employe.

Cotisations reverses sur le Tresor Public et INSESO au plus tard le 15 du mois suivant

IMPOTS DIRECTS

IRPP (revenu des personnes physiques), FPP (cedula personal), FPT

L'impot sur le revenu des personnes physiques (regroupe plussieurs categories de revenus):

- Le traitements, salaires, pensions et rentes viageres

- Le revenus de capitaux mobiliers
- Les revenus fonciers
- Les benefices artisanaux, industriels et commerciux

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 - Les benefices agricoles et les benefices noin commerciaux
- Les revenus non commerciaux

Taux de 1.5% soit 1% pour l'employeur et 0.5% par l'employe.

Cotisations reverses sur le Tresor Public et INSESO au plus tard le 15 du mois et reverse au plus
tard a la fin du mois suivant celui duquel le salairs ont ete payes

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