63 Fiches Revision Cejm

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CEJM : 63 fiches de révisions

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Sommaire
Les notions d’économie

21 Fiches Culture économique
Les notions de droit

21 fiches Culture juridique
Les notions de management des entreprises

21 fiches culture managériale
Les notions à réviser en économie

Notion 1 Notion 2 Notion 3 Notion 4
Thème 1 Chap 1
Les agents Financement
Les agents Marché financier
économiques interne / externe
économiques
Le marché
Thème 1 chap 2 fonctionnement et Degré de
Les externalités La coopération
Le marché dysfonctionnement concurrence
)
Thème 2 chap 1 Les objectifs des Les indicateurs
Les fonctions de Les leviers de la
Les finalités des politiques politiques économiques (PIB,
l’État croissance
économiques économiques croissance, IDH, …)
Politiques
Thème 2 chap 2 Politiques
nationale /
Les limites des politiques structurelles / Le rôle de la BCE
supranationale
économiques conjoncturelles
(européenne)
Thème 3 chap 1 Facteurs de Combinaison Externalisation

Chaine de valeur
Les facteurs de production production productive (=impartition)
Avantages /
Thème 4 chap 1 Mode de
Ubérisation inconvénient du
Le numérique tarification
numérique
Thème 4 chap 2 Avantages Désintermédiation/

Effet de réseau
Les relations d’échanges marketplace Réintermédiation
Thème 5 chap 1 Le marché du La flexibilité et Les politiques de

Le marché du travail travail dualisme l’emploi
Fiche 1 : Les agents économiques
Ce qui faut retenir, il existe 5 agents économiques :
• Les ménages (comprend les salariés)

• Les sociétés non-financières (les entreprises)
• Les sociétés financières (finance l'économie)
• Les institutions sans but lucratif (les associations, syndicats, ONG, ..)
• L'administration publique (l'Etat)
On ajoute aussi aux agents économiques, le reste du monde (import/export)
Il y a des interactions entre ces agents économiques avec des :
• flux marchands (ex : service des entreprises aux ménages)

• flux non-marchands (ex : service de l'administration publique)
Fiche 2 : Le marché financier
Le marché financier est composé de 2 parties :
• Le marché primaire
• Le marché secondaire
Le marché primaire
C'est le marché du "neuf", c'est ici qu'on finance l'économie à travers le marché
financier.
Les entreprises émettent des actions* ou obligations** pour les vendre sur le marché
primaire à des investisseurs qui ont des moyens financiers à placer.
Le marché secondaire
C'est le marché de "l'occasion", c'est ici qu'on échange des titres financiers (actions et
obligations) suivant la règle de l'offre et de la demande.
Fiche 3 : Le marché de biens et services
Définition du marché : Le marché est un lieu réel ou fictif où se rencontre l'offre et la

demande. La rencontre entre l'offre et la demande permet d'établir un prix d'équilibre.
Lorsque l'offre est supérieure à la demande on parle de surproduction, quand la
demande est supérieure à l'offre on parle de pénurie.
Le fonctionnement du marché
Lorsque la quantité offerte est plus importante que la quantité demandée, le prix baisse
Lorsque la quantité demandée est plus importante que la quantité offerte, le prix monte
Prix
La demande
L’offre
Prix
équilibre
Quantit
é
Fiche 4 : La concurrence
Définition de la concurrence : Rivalité entre plusieurs entreprises sur un même marché

qui cherche à satisfaire le même besoin d’une clientèle.
Il existe plusieurs types de concurrence :
r Concurrence directe : même produits/services

r Concurrence indirecte : produits/services différents, mais réponse au même
besoin d’une même clientèle.
On peut aussi parler de :
r Compétition prix : qui sera le moins cher

r Compétition hors prix : qui aura la meilleure qualité / innovation
Une autorité administrative indépendante est garante du fonctionnement de la

concurrence sur le marché : l’Autorité de la concurrence
Fiche 5 : La coopération
Lorsqu’on aborde la notion de « coopération » on doit tout de suite penser aux éléments
suivants :
L’alliance
Des entreprises qui vont coopérer car elles développement le même produit, mais on
besoin d’atteindre une masse critique de production afin de réduire ou optimiser des
coûts.
Ex : Les alliances entre les marques automobiles
Le partenariat
Des entreprises complémentaires qui souhaitent partager une clientèle ou une
ressource. Cela permet de protéger des relations clients / fournisseurs
Ex : Un vendeur de chaussette qui propose des chaussures, et le vendeur de chaussure

qui propose des chaussettes.
L’entente
C’est une forme de coopération qui est illicite. Les ententes peuvent être sanctionné
par l’autorité de la concurrence (lourde amende).
Souvent les ententes (ou cartel) se forment pour permettre aux entreprises de
conserver leurs parts de marché et leurs marges.
Fiche 6 : Les externalités
Définition :
Une externalité apparaît lorsque l’activité d’un agent économique agit sur le bien-être
des autres agents économiques de manière positive ou négative sans contrepartie
financière.
Les externalités ne sont pas prises en compte par la loi des marchés.
Exemples d’externalités positives :

r Développement durable.
r Investissement dans l'éducation
r Investissements dans la santé
r Innovation technologique
r Commerce équitable
r Politiques sociales inclusives
r Responsabilité sociale des entreprises (RSE)
r …
Exemples d’externalités négatives :

r La pollution de l'air, de l'eau et sonore
r La déforestation.
r Les émissions de gaz à effet de serre
r L’utilisation excessive des ressources naturelles
r Les déchets toxiques
r Les discriminations sur le lieu de travail
r …
Fiche 7 : Les politiques économiques
Domaines d’intervention (fonctions)
Selon Richard MUSGRAVE l’État doit :

- Allouer des ressources (Structuration du territoire)
- Stabiliser des indicateurs économiques
- Redistribuer (Impôts et taxes / Aides et subventions)
Objectifs
- Faire baisser le taux de chômage
- Stabiliser l’inflation
- Équilibrer la balance commerciale
- Améliorer la croissance
On peut s’appuyer sur le carré « magique » de

Nicholas KALDOR, on parle de carré « magique », car
il est très compliqué d’atteindre tous les objectifs en
même temps (avoir de la croissance, avec un taux
d’emploi important, une balance commerciale
excédentaire et des prix stables).
Types de politiques économiques
Il existe deux types de politiques économiques :
r Les politiques économiques conjoncturelles (court terme)

o Politique budgétaire (budget de l’État – Dépenses et recettes)
§ Politique de relance (KEYNES et l’effet multiplicateur)
§ Politique d’austérité
o Politique monétaire (BCE – Taux d’intérêt directeur)
r Les politiques économiques structurelles (long terme)
o Éducation
o Santé
o Réseaux (routiers, ferrés, internet, électricité, eau, …)
o La recherche et la technologie
o L’agriculture
o …
Fiche 8 : Les indicateurs économiques (PIB, croissance, IDH, …)
PIB
Le PIB est un indicateur économique qui permet d’évaluer la valeur ajoutée créé durant
une période sur une zone géographique et dans un secteur d’activité (ex : en France en
2023 dans l’aéronautique ou encore en Nouvelle Aquitaine durant l’été 2022 dans le
tourisme).
Il est possible aussi de la calculer le PIB en France en 2023 (Ensemble des secteurs
d’activités sur toute la période 2023)
On utilise le PIB plutôt que le PNB (Produit National Brut) car il représente mieux la valeur
ajoutée créée sur un territoire. Le PNB c’est la valeur ajoutée créée par les entreprises
nationales (peu importe la localisation géographique).
La croissance
La croissance c’est l’évolution (positive) du PIB d’une période sur l’autre.
Croissance = (PIBn - PIBn-1) / PIBn-1
Les leviers de la croissance
r Le travail (la quantité d’heures travaillées dans un pays)

r Le capital (les investissements réalisés)
r La productivité : le rapport entre la production et le facteur de production utilisé
(travail et/ou capital)
r Et l’innovation
Fiche 9 : Le rôle de la BCE
La BCE (Banque Centrale Européenne) fixe un taux t’intérêt directeur (Actuellement

4%).
Ce taux permet à la BCE de faire les évoluer les taux d’intérêts des banques
commerciales (Crédit agricole, CIC, BNP, Société générale, …).
Si les taux sont élevés, les investissements ralentissent. Si au contraire les taux
baissent, ça relance les investissements.
Fiche 10 : Les facteurs de production
Le travail
2 aspects importants du facteur travail :

r Quantité du facteur travail, le nombre de personnes capable d’être une main
d’œuvre pour les entreprises
r Qualité du facteur travail, la formation et éducation de la main d’œuvre
employée par les entreprises.
Les éléments peuvent jouer sur la motivation et la performance de ce facteur travail :

r La rémunération
r Les conditions de travail
r L’aide à travers la technologie
r La démographie
Le capital
2 aspects importants du facteur capital :

r L’aspect physique : les machines, la technologie et les logiciels
r L’aspect financier : les investissements à réaliser
Les ressources naturelles

r Les terrains
r Les énergies fossiles
r Les métaux
r …
Fiche 11 : La chaîne de valeur
L’idée de la chaîne de valeur, on doit savoir si l’entreprise est en capacité ou non de

créer de la valeur sur une de ses activités (voir le schéma).
On a les activités de support (infrastructure, R&D, RH et achat) et les activités

principales (logistique, production, marketing ventes, services).
Lorsque l’entreprise sait créer de la valeur sur une activité => elle développe l’activité
Lorsque l’entreprise ne sait pas créer de la valeur sur une activité => elle externalise
l’activité.
L’infrastructure de l’entreprise
La recherche et le développement
Les ressources humaines
Les achats et approvisionnements
Production
Logistique
Logistique
Marketing
et ventes
entrante
Services
sortante
Fiche 12 : L’impartition ou externalisation
3 modes d’externalisation :
- La sous-traitance (réalisation d’une partie de l’activité de l’entreprise par une

autre entreprise
- La Franchise (réalisation du développement ou déploiement de la marque par
d’autre entrepreneur
- La co-entreprise (ou Joint-venture), partage du risque sur une nouvelle activité
complémentaire avec une autre entreprise.
Fiche 13 : L’ubérisation
Néologisme né de la manière dont la société UBER a révolutionné le secteur du

transport en véhicule avec chauffeur.
L’ubérisation a 2 caractéristiques :
- La remise en question d’un secteur économique (ex : les taxis pour UBER, le
logement touristique pour AIRBNB)
- La précarisation des emplois (création de micro-entreprise pour effectuer la
production de ces plateformes, par exemple : chauffeur, livreur, …)
Fiche 14 : Avantages / inconvénient du numérique
Avantages :
- Élargissement géographique du marché
- Élargissement des services (innovation et nouvelles activités)
- Dématérialisation de l’offre
Inconvénients :
- Investissements couteux
- Augmentation de la concurrence
- Pouvoir renforcé des consommateurs (accès à l’information, personnalisation
de l’offre)
Fiche 15 : Les nouveaux modes de tarification
Modèle économique
Le modèle économique décrit comment l’entreprise va créer de la valeur (Le marché,
les clients, le produit/service, Quels sont ses coûts ? Quels sont ses revenus ?). Les
modèles économiques dans le numérique intègre des caractéristiques de coûts qui
sont :
- Coûts fixes élevés
- Coûts variables faibles
- Coût marginal qui tend vers zéro
Mode de tarification
- Freemium
- Free to play
- Gratuité en échange de publicité
Mode de consommation
- Consommation d’usage en augmentation (abonnement musiques, films,
logiciel, ...)
- Consommation de possession en diminution (on n’achète moins les objets, on
accède aux services via les applications ou en mode SaaS)
Fiche 16 : La marketplace
La marketplace est une plateforme d’échange :
ð Marchande
o B to B (ex : Alibaba, Amazon business, …)
o B to C (ex : amazon, cdiscount, …)
o C to C (ex : leboncoin, blablacar, …)
ð Non-marchande
o G to C (plateforme de l’État)
Fiche 17 : L’effet de réseau
L’effet de réseau est le principe sur lequel repose le marketing viral.
L’utilité d’une plateforme augmente avec son nombre d’utilisateur.
Plus il y a d’utilisateur sur une plateforme comme Amazon (des acheteurs et des
vendeurs), plus cela incitera à ce que de nouveaux utilisateurs rejoignent la plateforme
pour acheter ou vendre. Les premiers trouveront ce qu’ils cherchent à acquérir et les
seconds trouveront un débouché pour vendre leurs produits.
Fiche 18 : La désintermédiation et la réintermédiation
La désintermédiation
L’un des intérêts de l’économie numérique est de s’affranchir des intermédiaires :

- L’échange d’argent via la blockchain (sans les banques)
- L’achat directement au producteur (via sa propre site e-commerce)
- L’échange de particulier à particulier
La réintermédiation
L’autre intérêt est de rendre plus lisibles des offres complexes et pouvoir les comparer
entre elles. C’est le rôle des comparateurs d’offres (assurances, prêts, voyages, …)
Fiche 19 : Le marché du travail
Fonctionnement identique au marché de biens et services. On ajoute la notion de travail

(= main d’œuvre)
L’offre de travail = offre de main d’œuvre = les travailleurs
La demande de travail = demande de main d’œuvre = les entreprises
L’équilibre entre l’offre et la demande détermine un salaire … à l’exception du fait qu’il

existe un salaire minimum (SMIC : Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance).
Fiche 20 : La flexibilité et dualisme
La flexibilité du marché du travail se réfère à la capacité du système à s'adapter aux

changements économiques, technologiques et organisationnels. Les entreprises ont
besoin de s’adapter à leur environnement
On voit donc apparaitre des contrats plus flexibles pour les entreprises :
- CDD
- CTT
- Contrat d’apprentissage
La flexibilité permet aussi aux salariés de changer plus facilement d’emploi. Cela permet
une mobilité plus importante de la main-d’œuvre.
Le dualisme se réfère à la division du marché du travail en deux segments distincts :

- Les emplois protégés (CDI)
- Les emplois précaires (CDD, CTT)
Le dualisme peut avoir des conséquences sociales en renforçant les inégalités

Fiche 21 : Les politiques de l’emploi
Politiques Actives de l'Emploi :
- Formation Professionnelle : Investir dans des programmes de formation pour

améliorer les compétences des travailleurs et les rendre plus adaptables aux
besoins du marché du travail.
- Subventions à l'Emploi : Offrir des incitations financières aux employeurs pour

encourager l'embauche de travailleurs, en particulier ceux appartenant à des
groupes vulnérables.
- Mesures de Soutien à l'Entrepreneuriat : Encourager la création d'entreprises en

fournissant des aides financières, des conseils et des ressources pour stimuler
l'entrepreneuriat.
Politiques Passives de l'Emploi :
- Indemnisation du Chômage : Fournir des prestations financières aux travailleurs

qui perdent leur emploi pour atténuer les conséquences économiques de la perte
d'emploi.
- Sécurité Sociale : Mettre en place des filets de sécurité sociale, tels que des soins
de santé et des pensions, pour protéger les travailleurs contre les risques sociaux
liés à l'emploi.
- Règlementation du Marché du Travail : Établir des normes et des règlements pour

garantir des conditions de travail équitables, telles que la durée légale du travail,
les congés payés et les normes de sécurité.
- Retraite Anticipée : Encourager les départs anticipés à la retraite pour libérer des
opportunités d'emploi pour les jeunes travailleurs.
En combinant ces approches actives et passives, les gouvernements cherchent à créer

un environnement favorable à l'emploi, à réduire le chômage et à promouvoir la stabilité
économique.
Les notions à réviser en droit

La validité de
La phase de formation du Théorie de
Thème 1 chap 3 : Les clauses
négociation contrat : l’imprévision
Le contrat existantes
(3) Capacité et (2)
consentement
Les pratiques
Marque et
Thème 2 chap 3 : Les actes anti-
Brevet
La concurrence déloyaux concurrentielles
(4)
(1)
La protection du
SARL ou SAS ou
Thème 3 chap 2 : patrimoine SCOP
SA ?
Structure juridique personnel du (1)
(2)
dirigeant
Engagement de
Exonération
la
Responsabilité de la
Thème 3 chap 3 : responsabilité
civile ou responsabilité
Gestion du risque civile de
pénale ? civile de
l’entreprise
l’entreprise
(1)
Thème 4 Chap 3 :
CNIL / RGPD Respect vie Identité
Protection des
(1) privée (1) numérique
personnes
Protection du
Contrat de
Thème 4 chap 4 : nom de
Droit auteur vente en ligne
Règles numérique domaine
(1)
(2)
Thème 5 chap 2 : La Validité d’un Clause de non-
Le lien de Clause de
formation contrat de contrat de concurrence
subordination mobilité
travail travail (2)
Modalité de
Thème 5 chap 3 : modification de
Rupture de
L’exécution du contrat de
contrat
contrat travail
(2)
Thème 5 chap 4 : Principe de
L’environnement Représentativité Convention / faveur /
juridique du salarié des syndicats accord collectif accord
dérogatoire
En vert, les notions qui sur lesquelles nous avons eu des questions dans les derniers
examens avec le nombre de fois où sont apparus ces notions entre parenthèses.
Les questions posées en droit dans les examens passés
Sujet Verger de Thau
1) La légalité de la rupture des pourparlers des dirigeants de la « La graine »

2) La solution juridique qui pourrait être retenue par M. Garcia s’il souhaitait
protéger sa future innovation
Sujet Insteack
1) Déterminer, en prenant appui sur un raisonnement juridique, si le nom « Insteack

» remplit les conditions pour être déposé en tant que marque.
2) La légalité de la rupture des négociations par le fournisseur d’insectes.
3) La validité de la clause de non-concurrence proposée par l’entreprise ENTOMA.
Sujet Biscuiterie Jeannette
1) Évaluer, à l’aide d’un raisonnement juridique, la possibilité pour le dirigeant de la

Biscuiterie Jeannette, de refuser cette renégociation.
2) Analyser la conformité du contrat de vente électronique de la Biscuiterie
Jeannette
3) Analyser si le statut de SAS est adapté à la situation de la Biscuiterie Jeannette
Sujet Teebike
1) Analyser la pertinence du choix de la structure juridique de l’entreprise.

2) Analyser, à l’aide d’un raisonnement juridique, si la responsabilité contractuelle
de l’entreprise Teebike peut être engagée.
3) Analyser, en utilisant un raisonnement juridique, si la société Teebike peut
exercer une action en contrefaçon contre le concurrent.
Sujet Altho
1) Expliquer, à l’aide d’une argumentation juridique, si Laurent Cavard peut faire

cesser l’utilisation de la marque Breitz.
2) Analyser, à l’aide d’une argumentation juridique, la validité de cet avenant au
contrat de travail.
Sujet Librairie la Montagne
1) Expliquer pourquoi les principes de participation des salariés de la SCOP librairie

« La Montagne » favorisent leur motivation.
2) Expliquer à Madame Rosanne pourquoi elle a l’obligation d’informer la CNIL de
l’existence de sa base de données clients.
3) Évaluer, à l’aide d’un raisonnement juridique, la légalité du possible usage du
nom de domaine « www.LivresLaMontagne.com ».
Sujet Helite
1) Apprécier, à l’aide d’un raisonnement juridique, la validité de la clause figurant

dans le contrat de travail de M. Gilet et les conséquences pour M. Thevenot.
2) Apprécier, à l’aide d’un raisonnement juridique, la possibilité pour M. Thevenot
de déposer un brevet concernant la ceinture airbag pour cyclistes.
Sujet Gemdoubs
1) Analyser, à l’aide d’un raisonnement juridique, si l’entreprise GEMDOUBS peut

rompre le contrat la liant à l’entreprise TRANSDOUBS.
2) Analyser, à l’aide d’un raisonnement juridique, si GEMDOUBS peut utiliser la
vidéosurveillance pour prendre la décision de licencier le salarié.
3) Analyser, à l’aide d’un raisonnement juridique, si l’entreprise GEMDOUBS peut
continuer d’utiliser ce nom de domaine.
Sujet INNOV’SA
1) Expliquer en quoi le statut juridique de la SA permettrait d’accompagner le

développement de l’entreprise.
2) À l’aide d’un raisonnement juridique, analyser si M. Andurand peut rompre les
négociations avec l’entreprise QUALIMOUSS.
3) Déterminer, à l’aide d’un raisonnement juridique, si Madame X peut s’opposer
au changement de mission de son poste au sein du service marketing.
Fiche 1 : La phase négociation
Phase de négociation = pourparlers = phase précontractuelle
Il y a des règles à respecter durant les pourparlers (phase précontractuelle) :

- La bonne foi
- L’échange d’informations nécessaires
- La confidentialité
En cas de non-respect de ces règles et de rupture abrupte des pourparlers, la partie

plaignante peut demander réparation du préjudice subi.
Les parties n’ont pas l’obligation d’aller jusqu’à la signature si elles ne trouvent pas
d’accord.
Fiche 2 : La validité de formation du contrat
3 conditions pour la validité d’un contrat :

- Le consentement
- La capacité
- Le contenu licite et certain
Le consentement
Il doit être libre et éclairé :

o Libre : pas de violence (morale ou physique)
o Éclairé : non vicié par un dol* ou par une erreur
*Dol = manœuvre frauduleuse en vue de tromper une personne
La capacité de signature
Pour la personne morale (une société), ce sont les dirigeants ou les personnes ayant
reçu une délégation de pouvoir (afin de signer des contrats jusqu’à un certain montant)
qui peuvent engager la société sur un contrat.
Pour la personne physique, ce sont les majeurs ou mineur émancipé. Les majeurs
protégés (tutelle ou curatelle) n’ont pas forcément la capacité de signer des contrats
Le contenu licite et certain
Le contrat doit respecter la loi et ne pas contrevenir à l’ordre public. Il doit avoir un objet
certain. L’objet doit être possible et déterminé ou déterminable.
Nullité du contrat
En cas de non-respect des conditions de validité du contrat, il est considéré comme nul
et comme n’ayant jamais existé.
Fiche 3 : Les clauses existantes dans un contrat
La clause de réserve de propriété (précise que le bien demeure propriété du

vendeur jusqu’à son paiement intégral)
La clause de limitation ou d’exonération de responsabilité (plafonnement de

l’indemnité dû en cas de non-réalisation du contrat)
La clause d’indexation (elle permet d’aligner sur un indice l’évolution du prix pour
ne pas le renégocier à chaque période)
La clause résolutoire (elle permet de mettre fin à un contrat sans passer par la voie
judiciaire)
La clause pénale (fixe par avance la pénalité dû par la partie qui a manqué à son
obligation)
Fiche 4 : Théorie de l’imprévision
Dans un contrat où l’exécution s’étale dans le temps (exemple un contrat de fourniture)

il peut survenir un changement dans les conditions économiques (guerre, crise
importante, …), créant ainsi un déséquilibre dans le contrat. La partie désavantagée peut
alors demander la révision du contrat (Théorie de l’imprévision art. 1195 du code civil)
Il est donc donné aux parties la possibilité d’adapter le contrat par la négociation et si
nécessaire par le juge.
Fiche 5 : Les actes déloyaux
Quels sont les actes déloyaux :

- Le dénigrement (faire porter le discrédit sur un concurrent)
- La désorganisation (mise en œuvre des agissements entraînant une
désorganisation du concurrent, ex : embauche d’un salarié)
- L’imitation (création d’une confusion avec une entreprise concurrente en
l’imitant, ex : imitation du nom, du produit ou de l’enseigne)
- Le parasitisme (quand une entreprise d’un secteur différent profite de la
notoriété d’une autre, ce n’est pas un concurrent direct)
La présence d’un dommage doit être démontrée : perte de clientèle, altération de son
image ou diminution du CA
Fiche 6 : Les pratiques anti-concurrentielles
2 types pratiques anti-concurrentielles (surveillées par l’autorité de la concurrence) :

- Les ententes (horizontale ou verticale)
o Rapprochement entre concurrent dans le but préserver leur part de
marché en faussant le principe de libre concurrence
- L’abus de position dominante

o L’entreprise doit être en position dominante (ce qui peut arriver)
o L’entreprise doit abuser de cette position (en utilisant cette position pour
empêcher une concurrence de s’installer)
Fiche 7 : Le dépôt de brevet ou de marque
Le dépôt de brevet
Il faut certaines conditions pour déposer un brevet :

- Issus un processus d’invention
- Nouveau
- Débouché industrielle
Protection du brevet
Brevet : 20 ans non renouvelable
Le dépôt de marque
La marque peut être :

- Textuelle
- Figurative
- Semi-figurative
Elle est déposée sur une classe (classification de Nice) et sur une région géographique.
Conditions de protection de la marque
- Elle doit être distinctive

- Elle ne doit pas être descriptive (description du produit et de sa qualité)
Marque : 10 ans renouvelable

Fiche 8 : Le statut juridique d’une entreprise
Quelles sont les différences entre une entreprise individuelle et une société ?
Entreprise individuelle Société

Nombre d’associés 1 seul 1 ou +
Capital de départ Pas de capital Pas de minimum
Séparation des
Non Oui
patrimoines
Statut du dirigeant TNS TNS ou Salarié
Comptabilité Simplifiée Réelle
Imposition Impôt sur le revenu (IR) Impôt sur les sociétés (IS)
Pourquoi faire évoluer sa structure juridique ?
1) Pour protéger son patrimoine
On transforme l’EI en une EURL ou SASU (patrimoine distinct entre entrepreneur et

entreprise)
2) Pour avoir un meilleur statut pour le dirigeant
On choisit un statut du type TNS (moins couteux, moins de protection sociale) ou

d’assimilé-salarié (plus couteux, plus de protection sociale)
3) Pour optimiser la fiscalité de l’entreprise
On peut chercher à opter pour l’IR (impôt sur le revenu) ou sur l’IS (impôt sur les
sociétés) afin d’optimiser son taux d’imposition
4) Pour s’associer plus facilement
En SARL, SAS ou SA, si l’on souhaite s’associer avec plusieurs partenaires. En SA si l’on
souhaite être côté en bourse.
Fiche 9 : La SCOP
Une SCOP peut avoir une structure juridique du type : SARL, SAS, …
Part sociale
Le capital social de la SCOP est détenu au minimum à 51% par les salariés de
l’entreprise. Ils détiennent aussi 65% des droits de vote en assemblée générale.
Les bénéfices
Les bénéfices sont répartis en majorité pour réinvestir dans l’entreprise et rémunérer le
travail des salariés. Une petite partie rémunère les actionnaires (dont les coopérateurs).
Les raisons de création d’un SCOP
- Reprise de l’entreprise par les salariés suite au départ à la retraite du dirigeant

- Reprise de l’entreprise par les salariés à la suite de la liquidation de l’entreprise
- Volonté d’une entreprise d’intégrer les salariés aux décisions concernant
l’entreprise
Fiche 10 : CNIL & RGPD
CNIL (Commission nationale Informatique et Libertés)
- Créée en 1978
- Autorité administrative indépendante
- Missions :
o Informations
o Prospectives
o Accompagnement et conseil
o Protection et sanction
RGPD (Règlement général sur la protection des données)
- Créé en 2016 (mise en œuvre en 2018)

- Texte européen
- Doit permettre d’éviter le « dumping » sur la protection des données des
utilisateurs
- Nouveaux droits et obligations :
o Portabilité des données
o Notification en cas de piratage
o Permet l’action de groupe en cas de litige
o Prévoit la réparation des dommages financiers et moraux
Fiche 11 : Vie privée et numérique
3 principes à retenir :
- Le respect de la vie privée, même sur le lieu de travail

- Le principe de transparence concernant les outils de surveillance
- Le principe de proportionnalité dans l’usage des outils de surveillance
Fiche 12 : Protection d’œuvres numériques
Droit d’auteur
Les droits d’auteur sont composés de :

- Droit patrimoniaux (ce qui permet d’obtenir des royalties)
- Droit moraux (paternité de l’œuvre)
Nom de domaine
Principe du premier arrivé, premier servi.
Un nom de domaine ne peut pas être utilisé si une entreprise a déposé une marque
précédemment.
Le logiciel
Un logiciel n’est pas brevetable, en revanche, il peut y avoir des droits d’auteur ou de
producteur.
Fiche 13 : Le contrat de vente en ligne
Conditions de validité de l’offre en ligne
Il y a 4 conditions à respecter pour vendre un produit en ligne :

- Les caractéristiques du produit
- Le prix
- Le délai de livraison
- Les informations sur le vendeur
Délai de rétractation
15 jours de délai de rétractation, mais ça doit être préciser dans les conditions
générales de vente, sinon le délai est porté à 15 jours et 1 an.
Formation du contrat en ligne
Principe de 2 clics :
- 1er clic pour aller sur une page récapitulative
- 2ème clic pour aller vers une page de paiement (formation du contrat)
Fiche 14 : Les spécificités du contrat de travail
Éléments essentiels du contrat
- Identité des parties,

- Lieu de travail,
- Date de début du contrat,
- Durée du congé payé,
- Durée prévisible du contrat s’il est précaire,
- Convention collective applicable,
- Durée du travail (quotidienne ou hebdomadaire),
- Durée du préavis,
- Éléments sur la rémunération et sa périodicité.
Les clauses et leurs conditions de validité
Clause de non-concurrence :
- Limité dans le temps
- Limité géographiquement
- Contrepartie financière
- Protège un intérêt légitime de l’entreprise
Clause de mobilité :
- Limité géographiquement
- Préavis suffisant pour changer de lieu de travail
Modification du contrat
- Les conditions de travail (horaires par exemple) peuvent être modifiées par
l’employeur.
- Les éléments essentiels du contrat de travail ne peuvent pas être modifiés sans
l’accord du salarié.
Fin du contrat
Décision de la part du salarié :

- CDI : Préavis de départ
- Retraite
Décision de la part de l’employeur

- Licenciement
- Mise à la retraite
Fiche 15 : Accord et convention collectif
Convention collective
La convention collective est une adaptation de l’ensemble des règles du droit du travail
à un secteur d’entreprise (branche).
La convention collective peut s’appliquer au niveau :

- Du pays
- De la région
- Localement
Accord collectif
L’accord collective est une adaptation d’une ou quelques règles du droit du travail.
L’accord collectif peut s’appliquer au niveau :
- Interprofessionnel
- D’une branche
- D’une entreprise
Principe de faveur (exception au principe de faveur)
En principe, la convention collective, l’accord collectif ou même un contrat doit

améliorer les conditions du salarié. C’est toujours la norme la plus favorable au salarié
qui va s’appliquer.
Néanmoins, il existe des accords dérogatoires, qui peuvent être des exceptions au
principe de faveur.
Fiche 16 : Hiérarchie des normes
Le principe est que les normes en bas de la pyramide doivent respecter les normes se
trouvant au-dessus.
1. Le bloc constitutionnel : La constitution
2. Le bloc conventionnel : Les conventions internationales
3. Le bloc législatif : Les lois du pays
4. Le bloc réglementaire : Les règlements intérieurs, les contrats, …
Le bloc
constitutionnel
Le bloc
conventionnel
Le bloc législatif
Le bloc réglementaire
Les notions à réviser en Management des entreprises

Theme 1 Chap 4 : Logiques
Les parties La performance
Le rôle de Les finalités (3) entrepreneuriale
prenantes (2) globale (2)
l’environnement et managériale (3)
Theme 2 chap 4 :
L’environnement PESTEL (7)
global
Theme 3 chap 4 : Les structures Les mécanismes
Les ressources
Les facteurs de Les compétences organisationnelle de coordination
(1)
production s (1)
Financement de
Theme 3 chap 5 : Financement de
l’investissement
Le financement l’exploitation
(4)
Thème 4 chap 5 :
Avantages et
L’incidence du Le Système
risques du
numérique sur le d’information
numérique
management
Thème 5 chap 4 :
La gestion des La GEPP (1)
compétences
Thème 5 chap 5 : Théories des
Théorie de Théorie des Les génération X,
La motivation des besoins (Maslow
l’équité (Adams) attentes (Vroom) Y et Z
salariés et Hergberg) (2)
Theme 6 chap 1 : Analyse interne Analyse externe
L’analyse (Ressources et (PESTEL, Forces SWOT
stratégique Compétences) de PORTER)
Thème 6 chap 2 : Stratégie par
Stratégie globale Internationalisati Croissance de
Les choix domaine
(5) on l’entreprise
stratégiques d’activité (4)
En vert, les notions qui sur lesquelles nous avons eu des questions dans les derniers
examens avec le nombre de fois où sont apparus ces notions entre parenthèses.
Les questions posées en Management des entreprises dans

les examens passés
Sujet Verger de Thau

1) Analyser les principales opportunités et menaces de l’environnement de
l’entreprise « verger de thau ».
2) Analyser les formes classiques et alternatives de financement possibles pour
développer la plateforme de vente en ligne de Michel Garcia
3) Démontrer en quoi l’entreprise « verger de thau » adopte une démarche RSE
4) Expliquer pourquoi la mise en place d’une démarche RSE est source de
croissance pour l’entreprise
Sujet Insteack
1) Présenter les principaux éléments du diagnostic du macro-environnement de
l’entreprise ENTOMA.
2) Démontrer que la mise en œuvre du projet « Insteack » par Clément Scellier et
Bastien Rabastens s’inscrit dans une logique entrepreneuriale.
3) Identifier des mécanismes de coordination pertinents répondant aux objectifs du
projet « Insteack ».
4) Proposer des leviers de motivation adaptés aux objectifs de recrutement de
l’entreprise ENTOMA
Sujet Biscuiterie Jeannette

1) Présenter les ressources sur lesquelles s’appuie M. Viana pour relancer une
production artisanale.
2) Analyser la stratégie globale de l’entreprise.
3) Expliquer l’intérêt du mode de financement participatif retenu à deux reprises
par M. Viana.
Sujet Teebike
1) Montrer que la démarche de Laurent Durrieu relève à la fois d’une logique
entrepreneuriale et d’une logique managériale.
2) Présenter les principaux éléments de diagnostic du macro-environnement de
Teebike.
3) Analyser la pertinence des choix stratégiques envisagés par l’entreprise Teebike
à moyen terme
4) Proposer des modes de financement adaptés à ce projet.
Sujet Altho
1) Identifier les finalités de la société Altho.
2) Distinguer les parties prenantes de la société Altho et leurs attentes respectives.
3) Proposer des leviers de motivation que la société Altho peut mobiliser pour
fidéliser ses salariés.
Sujet Librairie la Montagne

1) Identifier les finalités de l’entreprise librairie « La Montagne ».

2) Établir un diagnostic externe du macro-environnement de la librairie « La
Montagne ».
3) Analyser les choix stratégiques mis en place par la gérante depuis le
redressement judiciaire de 2014.
Sujet Helite
1) Montrer en quoi la démarche de Gérard Thevenot relève d’une logique
entrepreneuriale.
2) Analyser la stratégie globale et la stratégie de domaine adoptées par Helite.
3) Analyser le macro-environnement de Helite
Sujet Gemdoubs
1) Présenter les principales opportunités du macro-environnement de l’entreprise
GEMDOUBS.
2) Distinguer les parties prenantes de l’entreprise GEMDOUBS et présenter leurs
attentes.
3) Caractériser les modes de financement utilisés pour investir dans la centrale de
cogénération biomasse.
Sujet INNOV’SA
1) Montrer si l’entreprise INNOV’SA réussit à concilier ses différentes finalités.
2) Analyser les évolutions du macro environnement d’INNOV’SA.
3) Analyser les stratégies globale et de domaine choisies par INNOV’SA.
4) Montrer qu’INNOV’SA doit poursuivre une gestion prévisionnelle des emplois et
des compétences (GPEC).
Fiche 1 : Les finalités de l’entreprise
La finalité de l’entreprise est sa raison d’être
Il y a 3 types de finalités :
Économique Sociale Sociétale
Économique : l’entreprise cherche à vendre, améliorer son CA, améliorer son résultat,
développer la croissance de l’entreprise.
Sociale : l’entreprise cherche à améliorer le bien-être des salariés et leur condition de

travail
Sociétale : l’entreprise cherche à améliorer le bien-être des agents économiques en

relation ou non avec elle.
Fiche 2 : Les parties prenantes
La typologie d’Ed Freeman :
Les parties prenantes Primaires Secondaires
Salariés
Internes
Actionnaires
Clients Etat
Externes Fournisseurs Associations & ONG
Médias
Fiche 3 : La performance globale
Il y a recherche de performance globale lorsque l’entreprise cherche à être performant

sur ses indicateurs économiques, sociaux et environnementaux.
La performance = Efficience x Pertinence x Efficacité

Efficience = Atteinte d’un résultat avec le moins de ressources possibles
Pertinence = Utilisation des ressources adéquates au projet
Efficacité = Atteinte des résultats
Pour que l’on dise qu’une entreprise recherche une performance globale, on doit
prouver qu’elle cherche à développer 3 types de performance :
• Performance économique (CA, Marge, …)
• Performance sociale (RH, Mobilité, Recrutement, ...)
• Performance environnementale (Émission de CO2, Valorisation des déchets,
…)
Il faut trouver les indicateurs qui vont vous permettre de comprendre que l’entreprise
mesure les performances économique, sociale et environnementale.
Fiche 4 : Les logiques entrepreneuriales et managériales
Quelles sont les caractéristiques d’un dirigeant qui a une logique entrepreneuriale ?
- Prise de risque
- Vision stratégique (long terme) de son marché
- Capacité à fédérer autour de son projet
- Notion d’innovation (il va où personne n’est jamais allé)
Quelles sont les caractéristiques d’un dirigeant qui a une logique managériale ?
- Gestion des ressources à sa disposition pour atteindre les objectifs
Fiche 5 : L’environnement global (PESTEL)
Opportunités Menaces
Politique
Économie
Socio-culturel
Technologie
Écologie
Légal
Fiche 6 : Les ressources

Selon la typologie d’Edith Penrose on peut catégoriser les ressources en deux parties :
Tangibles Financières
Matérielles
Humaines
Intangibles Immatérielles
Technologiques
Réputationnelles
Fiche 7 : Les compétences
La compétence est composée de :

- Savoir (connaissances acquises en formation)
- Savoir-faire (expériences dans le milieu professionnel ou extra-professionnel)
- Savoir-être (aussi appelé soft-skills, comportements en milieu professionnel)
Ex :
Savoir Savoir faire Savoir être

Connaissance du plan Enregistrer des factures en Travailler en condition de
comptable comptabilité stress afin d’être à jour au
niveau de la comptabilité
Sur une question concernant les compétences présentes dans une entreprise. Nous
pouvons répondre en 2 parties (ou 3) :
1) Les compétences individuelles

Savoir x Savoir-faire x Savoir-être
2) Les compétences collectives

Qui permet le travail collaboratif
3) Les compétences distinctives

Qui apportent un avantage concurrentiel.
Fiche 8 : Les structures organisationnelles
Il y a 3 types de structures organisationnelles :
Structure fonctionnelle
Direction générale
Assistant(e)
Direction Ressources
Direction commerciale Direction financière
Hulaines
Structure divisionnelle
Direction générale
Assistant(e)
Division Amérique
Division Europe Division Asie
du nord
Structure matricielle
Direction
Production Finance Marketing Commercial
Générale
Responsable Responsable Responsable
Projet 1 Chef produit 1
financier 1 marketing 1 commercial 1
Fiche 9 : Les mécanismes de coordination
Selon Henry Mintzberg il y a 6 modes de coordination :
1) L’ajustement mutuel
2) La supervision directe
3) La standardisation des normes
4) La standardisation des résultats
5) La standardisation des qualifications
6) La standardisation des procédures

Fiche 10 : Les styles de direction
Selon Rensis LIKERT, il y a 4 styles de direction
1) Autoritaire
2) Paternaliste
3) Consultatif
4) Participatif
On peut aussi ajouter un style holocratique : autonomie totale des équipes (aucun
manager).
Fiche 11 : Les différents niveaux de management
Direction : Décisions
Stratégiques
Managers : Décisions
Tactiques
Salariés : Décisions
Opérationnelles
Décisions stratégiques : Décisions qui engagent beaucoup de ressources sur le long

terme.
Décisions tactiques : Décisions qui engagent des ressources sur le moyen terme.
Décisions opérationnelles : Décisions qui engagent peu de ressources sur le court

terme.
Fiche 12 : Financer le cycle d’exploitation (BFR)
Il y a 2 cycles à financer dans l’entreprise :
1) Le cycle d’exploitation (court terme)

2) Le cycle d’investissement (long terme)
Pour comprendre comment nous finançons le cycle d’exploitation, nous devons

comprendre comment se forme le BFR (Besoin en Fonds de Roulement).
Le BFR c’est le décalage de trésorerie entre les encaissements (auprès des clients) et
les décaissements (paiements des fournisseurs)
On le calcule de la manière suivante :
BFR = (Stocks + Créances) – Dettes fournisseurs
+ le BFR est faible, moins il y a besoin de financement pour l’exploitation, mieux c’est !
Si le BFR est négatif, c’est encore mieux !
Afin de financer le cycle d’exploitation il nous faut donc des outils financiers à court
terme :
- Découvert bancaire
- Facilité de caisse
- Affacturage (cession des factures à un organisme bancaire)
Fiche 13 : Financer le cycle d’investissement (FR)
Il y a 2 cycles à financer dans l’entreprise :
1) Le cycle d’exploitation (court terme)

2) Le cycle d’investissement (long terme)
Pour comprendre comment nous finançons le cycle d’investissement, nous devons

comprendre comment se forme le FR (le Fonds de Roulement).
Le FR c’est la capacité de l’entreprise à financer son exploitation et ses investissements

à moyen et long terme.
FR = capitaux propres – actif immobilisé
+ le FR est important, + l’entreprise a des moyens pour financer son exploitation et ses
investissements.
Afin de financer le cycle d’investissement il nous faut donc des outils financiers à
moyen et long terme :
- L’autofinancement
- Emprunt bancaire
- Crowdfunding
- Augmentation de capital
- Nouveaux actionnaires
- Compte courant d’associés
- Crédit-bail
- « Subvention » (financement incertain)
Fiche 14 : Le système d’information
L’intérêt du système d’information :

- Récolter
- Stocker
- Traiter
- Diffuser
Fiche 15 : Les avantages et les risques du numérique
Le numérique offre donc à l’entreprise de la :

- Flexibilité
- Réactivité
- Compétitivité
Le numérique peut aussi être une source de risques pour l’entreprise.
- Risques de malveillance (piratage, espionnage, vol d’informations)
- Risques juridiques (non-respect de la réglementation, attaques en justice)
- Risques financiers (coûts d’acquisition/de transformation digitale, coûts de
formation)
- Risque opérationnels (Pannes, pertes d’informations)
- Risques stratégiques (Mauvaise définition de la stratégie de transformation
numérique, cannibalisation entre les points de vente)
- Risques sociaux (résistance au changement, manque de compétences)
Fiche 15 : La GEPP (ex-GPEC)
La Gestion des emplois et du parcours professionnel remplace la GPEC.
4 étapes :
- Analyse des besoins futurs
- Analyse des ressources existantes
- Analyse des écarts
- Mise en place d’actions (formation, recrutement, mobilité interne, …
licenciement)
Outils d’analyse :
- L’entretien professionnel (comment le salarié se projette dans le futur avec

l’entreprise)
- La pyramide des âges (évolution de la démographie de l’entreprise)
Fiche 16 : La motivation des salariés
Deux facteurs motivations existent (ou co-existent) :

- Les facteurs monétaires (rémunération, avantages, …)
- Les facteurs non-monétaires (condition de travail, horaires, …)
Plusieurs théories existent :

- La théorie des besoins (Maslow) :
o Pyramide de Maslow
- La théorie de l’équité (Adams)

o Évaluation par les salariés d’un ratio contribution / rétribution
- La théorie bi factorielle des besoins (Herzberg) :

o Les facteurs d’hygiène et de satisfaction
- La théorie des attentes (Vroom) :

o Expectation : « suis-je capable de faire ? »
o Instrumentalité : « que vais-je obtenir en échange ? »
o Valence : « quelle valeur j’attribue à ma récompense ? »
Fiche 17 : Les générations X, Y et Z face au travail
Génération X Génération Y Génération Z
Avant 1980 1980 à 2000 Après 2000
Exigeante
Besoin de motivation
Carriériste Indépendant
Besoin de formation
Individualiste Ultra connecté
Flexible
Compétiteurs Entreprenant
Change d’employeur
Séparation vie pro et Télétravail
Connecté
vie perso Polyvalent
Fidélité
Fiche 18 : L’analyse stratégique
L’analyse stratégique utilise différents outils.
Analyse interne
Ressources et compétences
Selon Edith PENROSE on retrouve 2 types de ressources :

- Les ressources tangibles
- Les ressources intangibles
Type de ressources
Humaines
Tangibles Financières
Matérielles
Technologiques
Intangibles
Réputationnelles
Nous retrouvons deux types de compétences dans l’entreprise :

- Les compétences individuelles
- Les compétences collectives
Hamel & Prahalad nous parle aussi de compétences distinctives
L’ensemble de ces compétences apportent un avantage concurrentiel à l’entreprise
La chaine de valeur de Porter

Analyse externe
Macro-environnement (PESTEL)
Micro-environnement (Forces de Porter)
Résumé de l’analyse stratégique : le SWOT

L’analyse SWOT (ou FFOM), est un résumé de l’analyse interne et externe de
l’entreprise
Positif Négatif Résultats
Ressources et compétences Avantage

Interne
Chaine de valeur de Porter concurrentiel
Micro-environnement : Forces de Facteurs clés de

Externe
PORTER succès
Macro-environnement : PESTEL
Fiche 19 : Les stratégies de domaine (PORTER)
Sur quoi se fonde l’avantage concurrentiel
Lié au coût Lié à la différenciation
Marché
Domination par les coûts Différenciation
large
Cible
Marché
Focalisation
restreint
Exemples :
Stratégie de domination par les coûts

Une entreprise qui adopte une stratégie de domination par les coûts pourrait mettre
en œuvre des actions pour minimiser ses coûts de production et gagner un avantage
concurrentiel
Stratégie de différenciation
Tesla, le fabricant de voitures électriques, a adopté une stratégie de différenciation
réussie. Grâce une technologie de pointe, un design spécifique, un réseau de
chargeurs électricques et une expérience client réussie.
Stratégie de focalisation
Le Swatch Group est un exemple de société qui a adopté une stratégie de focalisation
dans l'industrie horlogère. Avec la Swatch, pour un public jeune et la marque Omega
pour le haut de gamme.
Fiche 20 : Les stratégies globales (ANSOFF)
Stratégies liées à l’implantation
Marchés existants Nouveaux marchés
Spécialisation :
Produits existants Diversification de marché
Pénétration de marché
Produits nouveaux Diversification de produit Diversification
Stratégies liées à la filière
- L’intégration (développement de l’entreprise en amont et en aval de la

production)
- L’externalisation (transfert d’une partie de l’activité à une autre entreprise)
Exemples :
Stratégie de spécialisation
Stratégie de diversification
Stratégie d’intégration
Stratégie d’externalisation
Fiche 21 : Internationalisation et croissance
Les différentes stratégies d’internationalisation :

- Une entreprise exportatrice
- Une implantation commerciale
- Une FMN (Firme Multi Nationale) et la délocalisation de la production à l’étranger
- Des alliances internationales
Les différentes stratégies de croissance de l’entreprise :

- Croissance organique (développement du CA, effectif, …)
- Croissance externe (rachat d’entreprises)
- Croissance conjointe (joint-venture, GIE, consortium, …)

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CEJM : 63 fiches de révisions

Les notions d’économie

Les notions de droit

Les notions de management des entreprises

Les notions à réviser en économie

Thème 3 chap 1 Facteurs de Combinaison Externalisation

Thème 4 chap 2 Avantages Désintermédiation/

Thème 5 chap 1 Le marché du La flexibilité et Les politiques de

Fiche 1 : Les agents économiques

Ce qui faut retenir, il existe 5 agents économiques :

• Les ménages (comprend les salariés)

On ajoute aussi aux agents économiques, le reste du monde (import/export)

Il y a des interactions entre ces agents économiques avec des :

• flux marchands (ex : service des entreprises aux ménages)

Fiche 2 : Le marché financier

Le marché financier est composé de 2 parties :

Fiche 3 : Le marché de biens et services

Définition du marché : Le marché est un lieu réel ou fictif où se rencontre l'offre et la

Définition de la concurrence : Rivalité entre plusieurs entreprises sur un même marché

Il existe plusieurs types de concurrence :

r Concurrence directe : même produits/services

On peut aussi parler de :

r Compétition prix : qui sera le moins cher

Une autorité administrative indépendante est garante du fonctionnement de la

Ex : Les alliances entre les marques automobiles

Ex : Un vendeur de chaussette qui propose des chaussures, et le vendeur de chaussure

Fiche 6 : Les externalités

Exemples d’externalités positives :

Exemples d’externalités négatives :

Fiche 7 : Les politiques économiques

Domaines d’intervention (fonctions)

Selon Richard MUSGRAVE l’État doit :

On peut s’appuyer sur le carré « magique » de

Types de politiques économiques

Il existe deux types de politiques économiques :

r Les politiques économiques conjoncturelles (court terme)

Fiche 8 : Les indicateurs économiques (PIB, croissance, IDH, …)

La croissance c’est l’évolution (positive) du PIB d’une période sur l’autre.

Croissance = (PIBn - PIBn-1) / PIBn-1

Les leviers de la croissance

r Le travail (la quantité d’heures travaillées dans un pays)

Fiche 9 : Le rôle de la BCE

La BCE (Banque Centrale Européenne) fixe un taux t’intérêt directeur (Actuellement

Fiche 10 : Les facteurs de production

2 aspects importants du facteur travail :

Les éléments peuvent jouer sur la motivation et la performance de ce facteur travail :

2 aspects importants du facteur capital :

Les ressources naturelles

Fiche 11 : La chaîne de valeur

L’idée de la chaîne de valeur, on doit savoir si l’entreprise est en capacité ou non de

On a les activités de support (infrastructure, R&D, RH et achat) et les activités

Fiche 12 : L’impartition ou externalisation

- La sous-traitance (réalisation d’une partie de l’activité de l’entreprise par une

Néologisme né de la manière dont la société UBER a révolutionné le secteur du

Fiche 14 : Avantages / inconvénient du numérique

Fiche 15 : Les nouveaux modes de tarification

La marketplace est une plateforme d’échange :

Fiche 17 : L’effet de réseau

L’effet de réseau est le principe sur lequel repose le marketing viral.

L’utilité d’une plateforme augmente avec son nombre d’utilisateur.

Fiche 18 : La désintermédiation et la réintermédiation

L’un des intérêts de l’économie numérique est de s’affranchir des intermédiaires :