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Conjoncture économique de l’entreprise

Introduction

-Eco= E d act d’1 collectivité hu relatives à la X°, la distri et la conso° de richesse

-les =/= dim de l’éco :

*Quelles activités ? créa°, destruc° et éch par des b pr rép à d needs (en partie)

*Quelles approches ? Théories, pol, conjoncture

*Quelles préoccupa° ? Finance, croissance, acteurs, revenus, crises, RI

-Les 2 grd approches :

*micro= analyse du marché à travers comportement producteur et consommateur

*macro= étude d qtté glo ou agrégats au niv national : conso, épargne, inv, stock, éch extérieurs, X°

- + 1 autre approche : la méso-économie = DE BANDT (1991) Traité d’économie industrielle :


expliquer les performances et l’évolu° du système productif et aussi les act indus et les services qui
s’y rattachent au niv d e*, d indus et des éco. Se réfère aux comportements d e* et aux forces /
contraintes globales q la micro et la macro ne peuvent pas appréhender.

-Le paradigme de base de l’éco indus : le modèle SCP.


Focus modèle SCP :

-D’abord dvpé par Mason en 1939 et affiné par Bain en 1968

-utilisé pr analyser d indus et d strat concurrentielles

-Ds sa forme la + simple : la structure du marché affecte le comportement d firmes ds 1 indus et ça


affecte ensuite la performance.

Structure= facteurs institutionnels, envi et phy influençant les interac° parmi les firmes participantes.
Mesurée en termes de concentra° du marché, existence/intensité d barrière à l’entré, degré
différencia° de l’offre, normes/réglementa°.

Comportement= ce que les firmes font et comment elles le font : positionnement, R&D, X°, prix,
distribu°, collusion

Performance= Rentabilité, efficacité de X°, progrès tech, croissance

Concentration du marché = l'état de la répartition des opérateurs et de leur influence sur un marché
donné. Elle s'apprécie principalement en fonction du nombre d'opérateurs présents, de leur
dynamisme effectif respectif et de leurs parts individuelles détenues sur le total du marché

-Formula° d’ori : 1 + forte concentra° du marché (nbr + réduit de firmes) conduit à 1 concu moins vive
(prix + élevés et vol + faibles)

- à partir 70’s : conquis les chercheurs

-Dvpt de l’approche évolutionniste :

*car critique : réfuta° de sa causalité à sens unique


*FRIEDMAN 1971 : les firmes au sein d’1 marché peuvent tacitement s’associer pr appliquer des prix
élevés s’ils pensent à LT

*BAUMOL, PANZAR et WILLING (1982) : théo d marchés contestables : compéti° potentielle et non
pas actuelle. Fixé un prix le plus proche possible du coût de revient (coût complet de fabrica° et de
commercialisa°) : ne diminue pas forcément le nbr de firmes sur le marché si les nvx entrants sur le
marché sont en mesure d’attirer des clients en offrant d prix inférieurs et dc réalisa° de profit
permettant de contourner les barrières sortie.

*NELSON et WINTER (1982) : théo éco évolutionniste : met en lumière mnq de réalisme de cette
théorie. Les capacités dynamiques des firmes sont les déterminants de leur comportement
stratégique et de leur performance.

*Cette théorie évolutionniste considérée cm la base conceptuelle de l’approche fondée sur les
« ressources internes » qui est une réac° de frustra° et d’insatisfac° vav du paradigme PENROSE
(1959).

-Analyse des crises :

*Contexte de crise ?

Les 3I : Instabilité, Incertitude, Insoutenabilité qui entraînent des phénomènes globaux, des
phénomènes sectoriels, des phénomènes pol

Thème 1  : La performance de l’entreprise

I)La performance

-Se mesure selon :

* balance commerciale déficitaire depuis 15 ans : -26,9 milliards d’euros de janvier à fin juillet 2019

*conso° d ménages 

*coût du capital et tx d’inv d s* non financières


-performance =

*résultat ultime de l’ensemble des efforts de l’e*

*un indicateur de performance évalue l’évolu° d’1 variable jugée critique ds la réalisa° de résultats
désirés BOBULESCU et ULGEN (2004)

*indicateurs : productivité, compétitivité, rentabilité

-marché pertinent = relevant Market. Marché ds lequel un produit ou une marque est en compéti° ac
d’autres produits / marques q l’acheteur juge substituables.

II)La performance par la productivité et la rentabilité

-la productivité est un facteur classique de croissance

-loi des rendements décroissants = l’aug° de l’use° d’1 facteur de X° n’entraîne pas tjr une aug° de la
Xté si les autres facteurs de X° ne sont pas à leurs tours améliorés : + on use une parcelle de terrain
pr semer du blé moins celle-ci est fertile et donc productive. Les rendements de la terre finissent par
ê décroissants. TURGOT dès 1768, RICARDO « Principes de l’économie politique et de l’impôt » 1821.

-Croissance : Y=F(L,K) : croissance en f° de la techno de X° (L et K) et dc de l’aug° quantitative d


facteurs de X°.

-Productivité est un facteur classique de croissance

-De la productivité à la rentabilité :

*Productivité du capital = rentabilité du capital et rémunéra° du propriétaire du K

*évolu° de la rentabilité= crises, partage de la VA, réparti° du tx de marge / d salR et des dividendes
III)La performance par la compétitivité

-Compétitivité= capacité d’1 na° ds 1 contexte de marché libre et équitable, à fabriquer d b et s


répondant aux exigences d marchés inter, tt en maintenant ou en augmentant le revenu réel de ses
citoyens. Déterminée par le taux de change et les coûts de production.

https://www.youtube.com/watch?v=uHDpRAXiiq0&feature=youtu.be

OU

= capacité à atteindre une progress° soutenue d R réels et d condi° de vie ds les rég° ou les états,
produisant d postes de W pr ts les demandeurs d’emplois.

Définition La Toupie : ce qui est capable de supporter la concurrence ac d’autres. Comp d’1 e* est
sa capacité à occuper une posi° dominance. Pt ê appréciée par l’évolu° de sa part de marché.

A l’échelle d’1 pays / continent : c la capacité de son outil de X° à satisfaire les dem intérieures et
extérieures (exporta°) en contribuant à l’améliora° du niv de vie de ses hab. Pt ê mesurée en pdm.

Différentes origines de la comp :

*par les prix : à produit ou service équivalent, la plus compétitive est celle qui propose les prix les +
bas. AU niv international se voit ds les exporta° : comparaison de l’évolu° d prix d’exporta° par
rapport aux partenaires commerciaux ms attention le tx de change pt avoir un impact.

Cette compétitivité pt résulter de : gains de productivité, économie d’échelle, progrès technique,
sous-évalua° de la monnaie nationale etc.

*par les coûts : liée à l’évolu° d coût de X°, relativement à ceux d concurrents sans nécessairement
gains de Xté.

D’autres facteurs peuvent influencer sur la compétitivité d’1 éco nationale :

*niv d’imposi° d s*

*qlté de la X°

*qual° de la main d’œuvre

*tissu de PME

*présence d’infrastructure

Il existe un autre type de compétitivité en dehors de prix/coûts : celle hors prix/ coûts : cad la
qualité, l’innova°, l’image de marque, les services associés, délais de livraison, processus de vente,
ergonomie , design … Ce sont les leviers d’ac° d pays dvpés pr améliorer leur comp vs en pays en
voie de Dvpt qui ont d coûts de moe très faibles.

-La comp est =/= de l’attractivité d’1 na° qui =

*attrait du marchait : taille et tx de croissance


*intensité concurrentielle : nbr de concu, niv d prix

*accessibilité du marché : réseaux, éduca°

-Le dvpt d indicateurs globaux ou synthétiques :

-WEF= world economic forum. Forum éco mondial soit le forum de Davos. Est de la Suisse. Chefs
d’états + chef de gouvernements + dirigeants de grd groupes + directrice FMI etc. Présentée cm
indépendante et impartiale. Direc° globale du monde.

-Global Competitiveness report = c 1 rapport annuel publié par le forum de Davos basé sur un index
Competitiveness Index. Sur la compétitivité.

-World Competitiveness center= IMD est une fondation indépendante à but non lucratif qui ne
bénéficie d'aucune subvention gouvernementale. Cette institution a pour mission principale de
former les dirigeants des grandes entreprises internationales dans le domaine du leadership et du
management.

-IDH= indice de Dvpt hu. 3 critères : PIB/hab, espérance de vie à la naissance, niv d’éduc° d enfants
de 17 ans et +.

-Forbes Misery Index = index sur la misère ds un pays + pds d impôts.


IV) Vers la performance globale

-pr créer de la valeur, performance éco est 1 condi° nécessaire ms non suffisante

-PASSET (2003) : «  c seulement, au niveau dela finalité humaine, q l’on peut poser les critères
permettant d’assurer et d’apprécier la performance de l’appareil économique ».

-Focus sur la performance sociale et les condi° de W :

-lien entre la performance sociale et la performance économique

-évolution d confi° de travail pour la généra° Y : rythmes de travail, contraintes organisationnelles,


intensité et complexité du travail TIC

-généra° Y= catégorie de personnes occidentales nées entre 1980 et 2000. Aussi appelée Net
Generation ou digital natives. Car liées au Web et aux new tech. Ces individus ont grandi ac les jeux
vidéo, les ordis, les réseaux sociaux, la tv etc.

-La vision de l’entreprise sous 4 types de représentation :

*Modèle de dépense : réparti° et opérationnel

*Modèle de marché : commercial

*Modèle financier : partage du profit


*Modèle global :

V)Les annexes  :

La performance de l’entreprise  : un concept complexe aux multiples dimensions, ZINEB ISSOR, 2017

A) La performance de l’entreprise  : un concept complexe et difficile à définir

-La performance = no° qui intègre différentes dimensions pr la définir et diff indicateurs de mesure

-étymologie : vient de l’ancien français « parformer » = accomplir, exécuter aux XIII° s. Verbe anglais
« to perform », apparaît au XV° s ac 1 significa° + large.

-au sens strict= résultat chiffré ds une perspective de classement. Constat officiel enregistrant 1
résultat accompli à 1 instant T.

-d’autres sens ds la physique (effet utile) ou dans le sport (compéti°).

-à partir d 80’s, économistes cherchent à déf le terme cm : BOUQUIN, BESCOS, LEBAS etc.

-va s’intégrer ds la littérature managériale : LEBAS et EUSKE (2007) : performance utilisé ds ts les do
de la ges°.

-Performance de l’entreprise= niv de réalisa° d résultats par rapport aux efforts engagés et aux res
consommées. Il s’appuie largement sur les no° d’efficacité et d’efficience (voir fiche prépa).

-BOURGUIGNON 1997 : à partir d critère d’E et d’E performance ds champs de la ges° à travers 3 sens
primaire :

*performance-succès : qd la performance est synonyme de succès

*performance-résultat : évalua° d résultats obtenus

*performance-action : ac° ou processus

- P. LORINO (1997) est performance ds l’e* ce qui, et seulement ce qui, contribue à atteindre les
objectifs stratégiques.

-BOURGUIGNON répond / complète en disant que la no° de réussite est une réalité subjective.
-BESSIR (1999) : 4 points de convergence entre ttes les défs° qui ont pu être données :

*performance svt use ds 1 contexte d’évalua°

*performance a plusieurs dim

*mise en rela° ac la cohérence et la pertinence

*concept subjectif.

-TCHANKAM (2000) : l’entreprise performante = celle qui fait mieux q ses concu sur le CT, MT et LT.

-Performance financière : Comment se positionne l’organisa° face à ses actionnaires ? maximisa° du


profit + retour sur inv.

-MATHE et CHAGUE 1999 + BARILLOT (2001) : envi éco + complexe prise de conscience q pilotage de
l’e* ne se réduit pas au seul aspect financier. Et dc dvpt d’1 vis° + large par KAPLAN et NORTON
notamment.

B) La performance de l’entreprise un concept multidimensionnel

- = agréga° d performances éco, so et envi.

- Mot-valise, dépend du contexte ds lequel le mot est utilisé.

-YVON PESQUEUX : performance = « attracteur étrange » qui absorbe plusieurs traductions :

*éco : compétitivité

*financière : rentabilité

*juridique : solvabilité

*organisationnelle : efficience

*sociale

-performance à LT : croissance des activités, stratégie, culture d’entreprise dynamique etc..

-performance concurrentielle : avantages concu etc.

-performance organisationnelle : KALIKA 1988, KAPLAN et NORTON 1992, MORIN 1994 = manière
dont est organisée l’entreprise pr atteindre ses obj.

-performance éco et financière à LT : loyauté d clients, satisfac0 d employés, processus internes,
degré d’innova° de l’e* CUMBY et CONROD 2001.

Raison d’être des entreprises, normes comptables et choix politiques DANIEL BACHET 2019

-comptabilité participe à la reproduction de l’e* néo-libérale fondée sur la recherche de profits pr les
actionnaires

-comptabilité diff est possible : structure productive et la s* en cohabita° cad : trouver équilibre entre
la valeur ajoutée et le coût global de la structure + mise en valeur du travail : et dc comptabilité
nvelle qui intègre la conserva° systématique de la nature de l’être humain.

-débat sur la finalité de l’entreprise


Thème 2  : Les nouvelles «  frontières  » des firmes, Compétitivité, industrie, coûts de transaction

I)Etat des lieux pr la compétitivité  : quel positionnement sur les marchés mondiaux (la  ?° d
territoires, les frontières géo)

- l’organisation des firmes en pleine muta° :

*Ericsson : 175 millions d’euro de bénef. Car déploiement coûteux de la 5G. S’est transformé en
équipementier télécoms

*Airbus : adop° d’1 modèle intégré pr accélérer les processus de décision et supprimer les silos.
C’est-à-dire absorption de l’avionneur Airbus par sa maison mère Airbus Group. Toutes les divisions :
avions commerciaux, hélicoptères de défense et spatial prendront le nom d’Airbus avec la disparition
de la structure corporate.

*Carrefour : spécialisé dans les cartes de paiement et ds les prêts à la consommation. Compte C-Zam
ouverture facile mais ce n’est pas un compte Nickel. C’est très proche de Lydia ou Monabanq
(banque en ligne). Possibilité de faire du groupement de crédit. + assurance.

*Schneider Electric : Converse= petit spécialiste allemand de la construction des sites électrique à
Vinci (BTP). Car inscrip° ds son programme « d’optimisation du portefeuille ». + stratégie visant à se
reconcentrer sur son corps de métier : la gestion des sites existants.

-Redéfinition de l’organisation des firmes :

*Quels territoires ? Pr la compétitivité

*Quels secteurs ? Pr l’industrie

*Quelles activités ? Quant aux frontières des firmes

-Quelle compétitivité ?

*Prix, Hors-prix interne ou externe qui dépend d’éléments conjoncturels / structurels (déjà vu) .
-Evolu°d coûts salariaux et les nvx lieux de X° :

II)La mutation des secteurs éco  : où est l’industrie  ?

-intensité industrielle inégale selon les pays :


(Graphiques de la Banque Mondiale)

-Les exportations ont changé :

*l’exemple de la France : les exporta° françaises explosent ds le secteur de l’armement : entre 2010
et 2019, la France est 3° ds les exportateurs.
-

-Solde extérieur= solde du commerce extérieur c la =/= entre la valeur des exportations et celle des
importations. Le rapport entre c 2 valeurs c le taux de couverture.

-Forme de désindustrialisation : 2 raisons principales :

*compétitivité moyenne

*sociétés post-industrielles = c 1 courant intellectuel de sociologie occidentale qui existe dp le deb


des 70’s. Chefs de fille : DANIEL BELL et ALAIN TOURAINE (français). S’oppose au concept
d’industrialisation. Subordina° des éléments matériels cad d matière 1° et des machines à d éléments
immatériels qui sont la connaissance et l’info ds l’organisa° de la s*. Renversement de la s*
industrielle : fonctionnement par réseaux sur le mode horizontal et non plus sur le schéma pyramidal
classique et dc nvelles propriétés. La technologie et l’intellect succèdent à la technologie de la
machine et ça se voit) travers l’augmenta° exponentielle du secteur des services.

Mode horizontal= intégration horizontale ou concentra° horizontale : intégra° au même niv sur la
chaîne de valeur cm par ex rachat de concu.

-Toutefois l’industrie reste 1 secteur fondamental :

-La nature stratégique et politique de l’industrie :


*PAUL KRUGMAN : Politiques commerciales stratégiques= dvpée ds 70’s. Ds un contexte
oligopolistique, protectionnisme ponctuel pt ê un élément de conquête d marchés extérieurs. En
subventionnant la firme nationale ou en érigeant d barrière douanières un pays pt exclure les firmes
étrangères du marché et obtenir 1 situa° de monopole. Pr favoriser une entreprise nationale clé.

*MICHAEL PORTER : Politiques d’avantages stratégiques= il distingue 2 grd types d’avantages concu
pr 1 e* : des coûts peu élevés par rapport à ses concu et différencia° de l’offre par rapport à ses
concu. Le champ concurrentiel de l’e* varie selon la taille de la cible. En combinant c 2
caractéristiques déf° de 3 stratégies de bases :

+domina° par les coûts

+différencia° fondée sur les coûts ou sur la différencia°

+la concentra° ‘’ ‘’

*P. AGHION et E. COHEN : politiques industrielles= ???? demander au prof.

-3° révolution industrielle moins industrielle :


Donc la définition même d’industrie évolue :

III)Les frontières de la firme  : ses activités définies par les coûts de transactions 

L’approche contractuelle de la firme a pour objectif de définir la forme d’organisation la plus


efficiente compte tenu du contexte, en particulier informationnel (asymétries d’informa°). Trois
approche contractuelles différentes : théorie des coûts de transac° , théorie des incita° (ou théorie de
l’agence) et la théorie des contrats incomplets.

Coût de transaction= c 1 coût lié à 1 échange éco, lié à 1 transac° sur le marché. Il pt ê direct :
commission en bourse ou alors indirect : coût de prospec° ou le tps et les efforts passés à la négo et à
la vérifica° de la transaction. Appartient à la théorie des organisations.

La différence fondamentale entre marché et firme, est que sur un marché, la coordination se fait par
le système des prix, alors que la firme propose une coordination administrative qui passe par
l'autorité et la hiérarchie.

-R. COASE (1937) « The nature of the firm » = « Lorsque l’on souhaite opérer une transaction sur un
marché, il est nécessaire de rechercher son ou ses contractants, de leur apporter certaines
informations nécessaires et de poser les conditions du contrat, de conduire les négociations
instaurant ainsi un véritable marché, de conclure le contrat, de mettre en place une structure de
contrôle des prestations respectives des obligations des parties, etc. ». Soit : la coordina° marchande
a un coût. Il ne doit pas y avoir de rela° d’autorité ms seulement d rapports contractuels : tte
organisa° est constituée d’1 ensemble de contrats qui définissent rela° d acteurs. C’est l’autorité qui
caractérise fondamentalement une firme. Une fois posée l'existence de deux modes de coordination
alternatifs, COASE s'interroge sur le fait de savoir pourquoi les deux modes de coordination
coexistent. En fait, si la coordination marchande génère des coûts de transaction, la gestion
internalisée des transactions entraîne des coûts de coordination, en particulier parce que les
rendements des activités managériales sont décroissants. Ainsi, tant que les coûts de coordination
interne sont inférieurs aux coûts de transaction, la coordination se passe à l'intérieur de la firme, à
partir du moment où ils deviennent supérieurs, la coordination marchande est préférable.
-H. SIMON (1947) : rationalité limitée des individus (apparition du concept qui va servir à
WILLIAMSON).

-O. WILLIAMSON (1975 et 1985) : identification des variables à la base des coûts de transaction +
approche contractuelle de la firme. Les agents sont dotés que d’1 rationalité lim (= les agents ont des
capacités cognitives limitées. Lorsque l'environnement est complexe, ils ne peuvent pas envisager
tous les événements possibles et calculer parfaitement les conséquences de leurs décisions) tout en
se comportant de manière opportuniste (= 'est une conséquence de la rationalité limitée. Comme le
contrat ne peut pas prévoir toutes les alternatives possibles, un agent peut être tenté d'adopter un
comportement opportuniste pour favoriser ses intérêts au détriment de ceux des autres). Tte
transac° éco engendre d coûts liée à :

*la recherche d’info

*aux défaillances du marché

*à la préven° de l’opportunisme des autres agents

*etc.

Il ne faut pas laisser faire le marché qui provoque ces coûts mais les internaliser par contrats par des
arrangements institutionnels alternatifs, sous-traitance, concession, réseau etc.

-H. DEMSETZ, P. MILGROM, J. ROBERTS (1988) précision sur les coûts d’info° + précision sur les coûts
de négo°. Forme de renouveau de la théorie des organisations. ?? à demander au prof

!!! Confusion : théorie économique des droits de propriété + théorie des organisations !!!!

-Les coûts de transaction et la firme :

*coûts de recherche d’info

*coûts de négociation et de décision

*coûts de surveillance et de contrôle

-Les stratégies :

*internalisation : la firme comme une réponse aux imperfections du marché.

*externalisa° : marché

*COASE (1937) : rapport entre les coûts de transaction du marché et les coûts d’organisation internes
à la firme.

-Quand c coûts de transac° vont-ils ê + élevés  ?

*Rationalité limitée et opportunisme augmentent les coûts de transaction, en particulier de


conception des contrats et de contrôle.

*Williamson pose aussi des hypothèses sur les caractéristiques des transactions :
*La spécificité des actifs : un actif est dit spécifique s'il nécessite des investissements spécifiques. Ce
sont des investissements durables, effectués pour réaliser une transaction particulière, et qui ne sont
pas redéployables sans coûts vers d'autres usages 

*L'incertitude sur les conditions de réalisation de la transaction risque d'augmenter son coût
(incertitude liée à des perturbations exogènes à la transaction par exemple).

*La fréquence de la transaction : plus une transaction est répétée, plus les contractants ont des
occasions d'être opportunistes, ce qui augmente d'autant les coûts de transaction.

Compte tenu de ces caractéristiques des comportements et des transactions, il s'agit pour
Williamson de trouver la forme organisationnelle la plus adaptée, au sens où elle limite les coûts de
transaction. Ainsi pour Williamson, la firme est un système contractuel particulier, un « arrangement
institutionnel » caractérisé par un principe hiérarchique qui permet à la direction de l'entreprise de
prendre les décisions en cas d'événements non prévus par les contrats, et qui permet de limiter les
risques liés à l'opportunisme.

L'analyse de Williamson peut être résumée par le schéma suivant :

*Marché : il correspond à une transaction occasionnelle dont l'objet est parfaitement délimité et où
toutes les éventualités sont prévues (pas d'incertitude). L'identité des parties importe peu, la relation
est impersonnelle.

*Contrat avec arbitrage : c'est une relation qui ne peut pas se dérouler sur le marché car elle se
déroule sur le long terme, elle est donc soumise à une incertitude forte. Dans ces circonstances, les
comportements opportunistes sont possibles ainsi que les conflits d'intérêts. Pour y faire face, ce
type de contrat prévoit l'arbitrage d'un tiers.

*Contrat bilatéral : il se déroule entre des contractants qui restent autonomes. Exemples : contrat
de sous-traitance, contrat de franchise.

*Internalisation : cette relation se distingue de la précédente par le degré d'incertitude, qui est plus
élevé dans un mode de coordination internalisé. Ainsi, la firme est le mode de coordination le plus
adapté lorsque la transaction est répétée, dans un contexte de forte incertitude et que les actifs
mobilisés sont très spécifiques.
-Les différents modes de coordina° pr l’e* et le marché :

-De nouveaux apports théoriques aux problèmes spécifiques :

*théorie de l’information : ?? à demander au prof

*théorie des jeux : VON NEUMAN et MORGENSTERN 1944 « The theory of Games and Economic
Behavior ». Analyse des relations éco et so sous la forme de jeux stratégiques. Cela permet d’aboutir
à un équilibre cad 1 situa° ds laquelle aucun joueur ne souhaite modifier son comportement compte-
tenu du comportement d autres joueurs. Le jeu se caractérise par la qualité et la quantité de
l’information dont les joueurs disposent. Il y a des jeux à information complète et des jeux à
information parfaite. Typologie des jeux :

+jeux coopératifs et non-coopératifs : coali° entre joueurs

+jeux à somme nulle et somme non-nulle : l'intérêt de l'un des deux joueurs est strictement opposé à
l'intérêt de l'autre joueur cm le Poker

+jeux simultanés : joueurs décident en même tps de leur stratégie.

+jeux séquentiels : l'ordre des décisions de sorte qu'un joueur peut décider de sa stratégie
conditionnellement à ce qu'ont joué les autres joueurs précédemment

+jeux déterminés, jeux finis, jeux répétés etc. !! La liste est longue, décrit que les principaux !!

On dit qu'un jeu est à information complète si chaque joueur connaît lors de la prise de décision :

 ses possibilités d'action ;


 les possibilités d'action des autres joueurs ;
 les gains résultants de ces actions ;
 les motivations des autres joueurs.

Les jeux en information incomplète sont des situations où l'une des conditions n'est pas vérifiée. Ce
peut être parce qu'une des motivations d'un acteur est cachée (domaine important pour l'application
de la théorie des jeux à l'économie). Ces jeux sont aussi appelés : jeux bayésiens.
On parle de jeu à information parfaite dans le cas de jeu sous forme extensive, où chaque joueur a
une connaissance parfaite de toute l'histoire du jeu.

Un jeu à information incomplète est aussi à information imparfaite. Les jeux à information complète
peuvent être à information imparfaite soit du fait de la simultanéité des choix des joueurs, soit
lorsque des événements aléatoires sont cachés à certains joueurs.

Equilibre de NASH <- chaque joueur prévoit correctement le choix des autres. Chaque joueur
maximise son gain compte tenu de cette prévision.

*théorie des compétences : ??? demander au prof ??

-Les réactions stratégiques des firmes-organisation

-Application des coûts de transactions :


Annexes  :

L’intégration verticale  Xerfi Canal

-Qd 1 organisation inclut l’activité de l’un de ses fournisseurs ou de l’un de ses clients. Élargir le
périmètre d’activité aux filières de l’entreprise. 2 types :

*intégra° vers l’amont : inclure l’activité du fournisseur dont remonter vers le haut de la
filière cad produire une partie de ce que l’orga° vend
Ex : Intermarché, Decathlon, Apple
*intégra° vers l’aval : inclure l’activité d’un client, quand un industriel devient distributeur
Ex : LVMV rachat d parfumeries Sephora

-Objectif :

*sécuriser les approvisionnements et les débouchés

* capter des marges supplémentaires / mieux es répartir sur la filière

*migrer le long de la filière (quand l’activité de base a un problème d’attractivité

Ex : DeBeers, ArcelorMittal, IBM

-Risques de cette migration :

*ressources et compétences diff

*dispers° si intégra° complète

-On observe plutôt 1 phénomène de désintégra°, chaq e* qui se spécialise sur une étape de la filière
Les diversifications liées et conglomérantes Xerfi Canal

-diversification= étendre périmètre d’activité sur d marchés sur lequel l’e* n’était pas présente.

-2 grd types :

*liée : nvelle act ou new marché présente des liens / synergies avec le périmètre précédent

*conglomérale : la nvelle act ou mar ne présente aucun lien ac le périmètre d’avant. Permet d’éviter
les risques.

Les conglomérats ne sont pas appréciés des inv boursiers qui vont pratiquer une décote de holding
sur le prix de l’ac° du conglomérat : de manière à les forcer à se séparer en plusieurs entreprise
distinctes.

Ce qui est reproché au conglomérat c de détruire de la valeur actionnariale car 1 seule DG + difficulté


à mesurer la performance du conglomérat car ils sont uniques et dc pas de point de comparaison.

https://www.youtube.com/watch?v=0rTzHN9M85I

https://www.youtube.com/watch?v=KqG93skGzPk

https://www.lesechos.fr/2014/02/le-cout-du-travail-ralentit-dans-de-nombreux-pays-de-la-zone-
euro-274223

Thème 3  : Matières premières et approvisionnements

I)Matières premières  : De quoi parle-t-on  ? / déf des matières premières

-Définition : Première forme sous laquelle un produit issu de l’exploitation d’une ressource naturelle
peut voyager pour entrer dans sa phase suivante de transformation.

->En gros la forme première d’un produit qui provient de l’exploitation d’une ressource naturelle
avant qu’elle soit transformé

Ex de ressources naturelles : l’air, l’eau (sous toutes ses formes), pétrole, gaz, la biomasse végétale +
animale, le rayonnement solaire…

-Toutefois il est préférable de privilégier la notion/le terme de commodités à la place de matière


première. Le terme commodité provient de la traduction anglaise de commodity. Contrairement à
matière première, le terme commodité a un sens plus large.

-Les commodités sont des produits de bases pouvant être classé en 4 catégories distinctes :

 Denrées alimentaires : blé, maïs, riz, café, sucre…


 Matières énergétiques : Pétrole, charbon, gaz
 Métaux ferreux et non ferreux : cuivre, zinc, éthanol, plomb, aluminium
 Métaux rares et critiques : holmium, samarium, yttrium…

Les commodités sont très substituables car les produits sont standardisés sur le marché mondial
subissant ainsi une concurrence sur les prix. Les fournisseurs de commodités sont eux aussi
facilement substituables et la relation fournisseur-client est une relation commerciale.
-Focus sur les métaux rares :

Tous les métaux rares (cobalt, titane, indium, gallium…) ont des critères communs :

 Quantitatif : ce sont des petites productions


 Technique : il faut de la technique pour les extraire, demande un niveau élevé de raffinage
 Critique : les métaux rares sont très présents dans la high-tech genre téléphone ou ordi et
ont souvent à usage unique.
 De comportements : cours fluctuant, alternation entre période prospère et période de crise
voire de pénurie

Les métaux rares (appelé aussi terres rares) sont répartis inégalement dans le monde : les plus
grosses réserves se trouve en Chine(1 er) puis au Vietnam (2ème), au Brésil (3ème) et enfin Russie (4ème).

Les plus gros producteurs de minerais rares sont la Chine, le Brésil, les USA et la Russie.

-Focus sur le pétrole  :

 Les plus grosses réserves de pétrole se trouvent :

1er : Russie

2ème : USA

3ème : Chine suivit par Argentine et Libye

 Les plus gros producteurs mondiaux de pétrole :

1er : USA (16,2% de la part mondiale)

2ème : Arabie Saoudite (13%)

3ème : Russie (12,1%) suivit par le Canada et l’Iran

 Les plus grosses réserves de gaz de schiste :

1er : Chine

2ème : Argentine

3ème : Algérie suivit par USA et Canada

-Focus sur l’eau (le pétrole de demain  ?) :

Disponibilité en eau très élevé en Russie, au Canada, en Amérique du Sud. Pénurie d’eau en Afrique
subsaharienne. Pour 2025, il est prévu une pénurie aussi au Moyen-Orient et en Asie du Sud.

70% de l’eau mondiale est utilisé pour l’irrigation, 22% pour l’industrie et 8% pour l’usage
domestique.
-La Chine et les métaux rares :

La Chine est le premier importateur de métaux rares car elle importe la moitié des métaux rares
échangés mondiaux. Elle consomme entre 30% et 50% de la production mondiale d’acier, de cuivre,
d’aluminium et de nickel. En effet, la Chine utilise énormément de métaux rares pour tout types de
productions (high tech…). Le Brésil et l’Australie étant des réserves importantes de métaux rares
commerce principalement avec la Chine. Par ailleurs, les autorités chinoises poussent les groupes
miniers et métallurgiques chinoises à s’implanter en Afrique et Amérique latine (délocaliser la
production dans ces régions du monde).

II)La hausse des cours, une tendance inévitable à long terme   ?

-Depuis le début de 2019, le cours des commodités (pétrole, métaux rares, produits agricoles) ne
cesse d’augmenter.

Selon les dernières statistiques (2017), nous sommes 7,53 milliards d’êtres humains sur Terre. En
2050, il est prévu que nous serons 9,77 milliards sur Terre. Or la hausse des habitants dans le monde
n’est pas corrélée par une hausse des ressources alimentaires. -> Sommes-nous trop nombreux sur
Terre ? Retour sur la théorie de THOMAS ROBERT MALTHUS

-RAPPEL : Le classique de l’école anglaise THOMAS ROBERT MALTHUS est connu pour sa théorie des
liens entre croissance et population. Constat de Malthus : la population accroit toujours plus vite que
la production des ressources nécessaires pour assurer son alimentation.

->Toute hausse du revenu par habitant se traduit par une hausse des naissances qui suscite, à terme,
une pénurie de ressources ; s'en suit une hausse de la mortalité, notamment infantile, ramenant la
population à un niveau compatible avec les ressources.

-Le nombre de personnes sous-alimentées dans le monde ne cesse d’augmenter dans le monde
depuis 2014. Toutefois, il ne faut pas oublier le rôle du gaspillage alimentaire dans tout ça. En effet,
environ 40% de la nourriture produite dans le monde est gaspillé.

 En théorie, il est donc possible de nourrir tous les habitants du monde, tout en produisant
moins, dès lors qu’il n’y a plus de gaspillage alimentaire.

De plus les produits agricoles sont soumis aux fluctuations des marchés financiers, effectivement, ils
sont des actifs financiers comme les autres. Les produits agricoles sont alors soumis à la spéculation.

Vidéo d’explication des marchés financiers des matières premières :

https://www.youtube.com/watch?v=Kesk9ZOSp94

https://www.youtube.com/watch?v=i8x85KycTFc
-Quelques grands marché à terme de produits agricoles :

*Paris -Euronext (nom de la bourse) : blé, colza, maïs…

*Chicago -Bot et ME (nom des bourses) : blé, maïs, soja, riz…

*Tokyo : Soja, maïs, café, sucre…

-Le pétrole : une matière première stratégique cruciale :

Les crises économiques mondiales impactent énormément le cours du pétrole. A chaque crise éco, le
prix du baril de pétrole baisse. Ex : crise de 2008.

Mécanismes de baisse du prix du pétrole :

https://www.youtube.com/watch?v=Hz2AwHVFl8g

III)Les firmes fassent à la rareté

Les stratégies des firmes pour peser au niveau mondial :

1-L’internalisation

A-L ’internalisation par la concentration industrielle

Cette stratégie optée par les entreprises consiste à faire des acquisitions ou des fusions de
compagnies minières. Les firmes deviennent ainsi des géants miniers internationaux occupant alors
une position de quasi-monopole et peser sur les prix.

B-La diversification

Les frimes peuvent décider de se diversifier afin de ne pas mettre tous les œufs dans le même panier
et ainsi limiter les risques.

Def : Stratégie de diversification : lancement dans de nouveaux domaines d’activités. Il existe la


diversification verticale et horizontale.

 Diversification verticale : analyse le long d’une filière, une entreprise qui fabrique un produit
peut décider de se diversifier vers des opérations qui avant été confié au marché, lancement
d’une entreprise dans des activités qui sont soit celle de l’amont soit celle de l’aval.
Ex : Michelin qui a décidé d’internaliser sa prod de fil de câble nécessaire à la prod
pneumatique plutôt que de faire appel à des fournisseurs. La diversification verticale est une
diversification nécessairement liée au regard de la présence dans la filière.

 Diversification horizontale : l’entreprise se lance dans des activités qui n’appartiennent pas à
la filière qui est celle de l’entreprise. Cela peut être des activités qui ont des liens ou non avec
l’entreprise d’origine soit des activités liés ou non liés.
Ex : « LEGO » qui se lance dans les films en plus des jouets c’est une diversification liée. Le
lien peut être la recherche de synergie, terme de marque, de marché etc…
Ex : La marque « Samsonite » spécialisé dans le bagage s’est lancé dans le secteur
automobile en tant qu’équipementier donc a opté pour une stratégie de diversification
horizontale liée.
Ex de diversification horizontale non lié : « Phillip Morris » c’est diversifié dans l’agro-
alimentaire en plus du marché du tabac parce que dans les années 70-80 sont apparus les
campagnes de prévention contre le tabac.

2-L’économie circulaire

L’économie circulaire propose un cadre cohérent de stratégies qui permettent une utilisation
optimale des ressources qui circulent dans le marché. L’économie circulaire est une solution qui
s’offre à l’entreprise pour optimiser les ressources et transformer les stratégies d’approvisionnement
en matières premières.

Ex de Renault : Les pièces usagées des véhicules sont notamment réutilisées après réparation pour
des opérations SAV, à des prix 30 à 50 % moins chers. Toute perte de matière première est par
ailleurs limitée. Renault collecte, par exemple, les faisceaux électriques des voitures pour en
récupérer le cuivre. « Nous tentons de nous désensibiliser des flux du cours des matières premières,
en réutilisant le plus de matériaux possibles. Pour le cuivre, nous sommes devenus complètement
indépendants grâce à ce système ».

3-La sobriété

Ceci consiste en une nouvelle relation entre l’offre et la demande, non plus basée sur la simple vente
de biens et de services, mais sur les « effets utiles » : l’offre s’adapte aux besoins réels des
bénéficiaires (personnes, entreprises, collectivités) et aux enjeux du développement durable.

IV)Conclusion

« L'âge de pierre n’a pas pris fin par manque de pierres. » Cheik Zaki Yamani (ministre saoudien du
pétrole entre 1962 et 1986)

-> De même, l'âge du pétrole ne s'arrêtera pas faute de pétrole ; seulement, nous en consommerons
de moins en moins. Les réserves connues et utilisables économiquement sont estimées à plus d'un
siècle : à l'horizon 2125, voire 2250, voire encore plus loin.

Annexes :

https://www.youtube.com/watch?v=TcutuPI9u2Q&feature=youtu.be

https://www.youtube.com/watch?v=sGwskgtS5jY

https://www.youtube.com/watch?v=4V5jH6ue_WU

https://www.youtube.com/watch?v=ZryUzaJvKZg&t=8s

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