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Introduction générale à

l’économie industrielle
by Abdoulaye TRAORE

Powerpoint Templates Page 1


PLAN
• Qu’est-ce que l’économie industrielle?
• Qu’est ce qu’un marché ?
• Structure de marché
• Notions de performance, de concentration, de
stratégie, de barrières
• La concurrence parfaite
• Exercices d’application sur l’équilibre de
marché
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Qu’est-ce que l’économie industrielle ?

• Economie industrielle : branche de l'économie consacré :


à la compréhension du fonctionnement d'un marché en fonction
de sa structure (principal déterminant)
aux comportements des firmes sur ces marchés.
• Economie industrielle : c’est aussi l’objet de la microéconomie,
mais...
elle se concentre sur l’analyse des situations dans lesquelles les
entreprises disposent d'un pouvoir de marché, c’est-à-dire
la concurrence imparfaite
une entreprise ayant un pouvoir de marché est une entreprise qui le
pouvoir d’agir sur le marché et par conséquent d’introduire des
distorsions dans la concurrence.

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Qu’est-ce qu’un marché?
• Dans l’utilisation courante du terme, un marché correspond à un
lieu particulier où certains types de marchandises sont vendus et
achetés
• La définition du marché dépend aussi de ce qu'on veut en faire.
 Si on veut étudier la politique énergétique, il faut prendre le
marché de l'énergie dans sa globalité : charbon, pétrole,
électricité,..
 Si on veut étudier les effets d'une fusion entre deux
producteurs de charbon sur la concurrence, il doit uniquement
être considéré le marché du charbon.

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Qu’est-ce qu’un marché ?

• Dans l’analyse économique, un marché existe à partir du moment


où des individus sont prêts à effectuer des échanges de
marchandises quelque soient le lieu et la date.
• Ainsi le mot marché indique une situation d’échange !
 Pour chaque marchandise, un marché doit exister et toute chose
qui ne peut pas être échangée sur un marché n’est pas une
marchandise.
• Il faut distinguer le marché comptant d’un marché à terme.
 Sur le premier marché, on passe un accord qui implique que
l’échange de marchandises soit accompli dans la période
présente.
 Sur le second, la transaction concerne les marchandises qui
seront livrés dans une période future.
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Structure de marché

La structure d’un marché correspond à la nature et à la taille des firmes. Le


tableau suivant résume les différentes structures

 Monopole bilatéral, Enchères et Appel d'offre : concernent principalement


les marchés des biens d'équipement ou de production
 Monopsone et Oligopsone très présents sur les marchés agricoles ou le
marché du travail.
 Monopole et oligopole : concernent le marché des biens de
consommation.

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Objet de l’économie industrielle

• L’économie industrielle ne se réduit pas à l'analyse de la


concurrence imparfaite.
• Un de ses objectifs est d'évaluer la performance des marchés
en termes d'efficacité et de bien-être collectif. À cet égard,
l'économie industrielle comporte une dimension importante
d'aide à la décision publique, pour tout ce qui touche à
la régulation des marchés.
• Elle permet une intervention plus efficace des autorités de
régulation (ex ARTP, ARMP, CNRA) et d’autres autorités
publiques afin d’éviter les conséquences négatives auxquelles
peut conduire le pouvoir de marché.

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Objet de l’économie industrielle

• L’économie industrielle permet également aux entreprises et


cabinets de conseil en stratégie d’analyser et d’anticiper les
comportements des entreprises sur les marchés
• Elle approfondit l’analyse de la concurrence entre firmes en
mettant l’accent sur les variables non tarifaires (stratégies de
publicité ou d'innovation, de différenciation, de discrimination,
investissements en R&D, le degré d'intégration verticale de la
firme,...)
• Globalement, l’économie industrielle sert à fournir des outils pour
analyser les marchés et les stratégies des firmes : comprendre,
évaluer, anticiper.

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Notion de discrimination

• La discrimination (pratique commerciale) consiste à vendre un


même bien ou service à des prix différents suivant la nature des
acheteurs (tarif étudiant, tarif enfant…) et/ou les circonstances de
la vente (l'heure, le jour, la saison ….)
• Quelques exemples :
• Tarifs heures pleines/heures creuses des appels voix ;
• Tarif étudiant pratiqué par une auto école ; Tarifs de la chaloupe
(non résidents en Afrique/résidents en Afrique,
nationaux/goréens)
• Tarifs dégressifs en cas d'achat en grande quantité ;
• Prix de vente d'un journal à l'unité ou dans le cadre d'un
abonnement ;
• Billets d'avion d'une même compagnie pour un même vol vendus
à des prix différents ...
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Notion de performance

• La performance est une notion aux contours divers rarement


définie explicitement.
• Selon Bourguignon (1995), ce terme, apparu en français au
19ème siècle, dérive dans son acception du mot anglais
performance (fin 15ème siècle) qui désignait la réalisation,
l’accomplissement, l’exécution.
• De manière plus contemporaine, la littérature académique
retient généralement la définition de Bourguignon (2000) qui
renvoie, à la fois à l’idée de « l’action, son résultat et son
succès ». Il définit, la performance « comme la réalisation des
objectifs organisationnels, quelles que soient la nature et la
variété de ces objectifs (gestion de la main d’œuvre, les
besoins en personnel, gestion de la paie et de la retraite).
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Déterminants de la performance

• Plusieurs facteurs déterminent la performance : facteurs de


marché, de facteurs financiers, de caractéristiques personnelles du
créateur et de l’entreprise, du capital social, de l’accès au
financement bancaire
• Ces déterminants peuvent être classés en deux types de facteurs :
 les facteurs internes (les caractéristiques de l’entreprise, la
recherche et le développement, etc.) ;
 les facteurs externes (financement externe dont l’accès au crédit
bancaire, le coût des facteurs de production, l’environnement des
affaires, les infrastructures, etc.)

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Indicateurs de performance issus du
compte de résultat
L’appréciation de la performance, au niveau de la rentabilité de
l’ent implique de rapporter le résultat aux moyens mis en œuvre
La rentabilité commerciale se Mesure la performance économique de l’ent, mais
traduit par le rapport : 𝑹𝑶𝑬/ est influencé par la politique de financement et les
𝑪𝑨 (𝒐𝒖 𝑷) options fiscales de l’entreprise
Elle répond à la question : « Combien faut-il vendre
pour gagner 1 franc ?

La rentabilité économique se Elle répond à la question : « Combien faut-il


traduit par le rapport : investir pour gagner 1 franc ?
𝑹𝑶𝑬/𝑰𝒏𝒗

La rentabilité financière se Permet de mesurer la rentabilité des capitaux


traduit par le rapport : investis dans l’ent. Ce taux doit être comparé avec
𝑹𝑵 /𝒄𝒂𝒑𝒊𝒕𝒂𝒖𝒙 𝒑𝒓𝒐𝒑𝒓𝒆𝒔 la rentabilité offerte par les marchés financiers
Elle répond à la question : « Combien faut-il placer
pour gagner 1 franc ? »

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Indicateurs de performance issus du
compte de résultat
Il mesure la capacité d’une ent à générer du RN à
Taux de marge nette : 𝑹𝑵/𝑪𝑨
partir du CA
Rentabilité ou productivité Il permet de mesurer la création de richesse par
apparente de la main d’œuvre: salarié qui doit être analysé d’une année sur l’autre
𝑽𝑨 / 𝑬𝒇𝒇𝒆𝒄𝒕𝒊𝒇 𝒎𝒐𝒚𝒆𝒏 (charges de et comparé par rapport à d’autres ent évoluant dans
pers) le même secteur d’activité.

Productivité apparente du capital Mesure l’efficacité du capital fixe productif


VA/ capital fixe (ou investissement
de l’ent)
Répartition de la VA = Salaires + Permet d’observer le poids de la rémunération du
Ch. Sociales/ VA travail dans la VA.
Si le ratio diminue cela peut signifier une croissance
plus rapide de la VA par rapport à la masse salariale
et une hausse de la productivité du facteur travail
Répartition de Atteste des efforts de l’entreprise pour investir et
la valeur ajoutée = DAP/ VA renouveler son matériel

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Notion de concentration

• La notion de concentration est associé à la structure d’un secteur


économique ou plus précisément, dans l’approche anglo-saxonne,
à la structure d’une « industrie », celle-ci étant entendue comme
une activité de production associée à un produit et à un marché.
• Elle se réfère alors aux nombres de producteurs sur ce marché et à
la part de marché détenue par chacun d’eux.
• Une industrie est dite concentrée si le nombre de producteurs est
très faible ; elle ne l’est pas si le marché est partagé entre de
nombreux intervenants dont aucun n’occupe une position
dominante.
• Dans le premier cas, on peut penser que la concurrence ne joue
pas à plein, dans le second cas, on peut penser qu’elle joue
davantage
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Notion de concentration

• Tout regroupement d’entreprises, par fusions et acquisitions, tend à


accroître la concentration.
– La fusion est l’opération par laquelle 2 sociétés se réunissent pour former
1 seule

• Ainsi, le concept de concentration est associé à celui de pouvoir de


marché (entreprise ou groupe d’entreprises ayant le pouvoir d’agir
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sur le marché).
Notion de stratégie

• La « stratégie » tire sa définition du vocabulaire guerrier : ‘’La


stratégie : détermine le lieu, le moment du combat et les forces
nécessaires’’
• La stratégie se distingue de la tactique, en ce sens qu'elle
concerne des objectifs à MT ou à LT tels que la victoire
d'une guerre, alors que la tactique concerne des objectifs à court
terme tels que la victoire dans une bataille.
• A la différence des militaires, les entreprises sont en guerre
quotidienne « en raison des bouleversements à tous les niveaux
(Technologique ; Politique, Economique, sociale, etc)
• Dans une approche économique, la stratégie désigne l'ensemble
des méthodes qui maximisent dans un univers conflictuel ou
concurrentiel les chances d'atteindre un objectif donné malgré les
actions de l'autre.
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Notion de barrières

• Une barrière à l’entrée désigne le fait que les conditions de


marché (dans un secteur donné) limitent ou rendent impossibles
l’entrée de nouvelles firmes sur le marché. Il existe un débat
académique sur la définition d’une barrière à l’entrée.
• Initialement, Bain (1956) définit une barrière à l’entrée
– comme toute situation qui permet à la firme établie d’obtenir
des profits élevés sans que cela ne crée de menace d’entrée de
nouveaux concurrents.
• Il identifie quatre éléments de structure de marché renforçant ce
phénomène : les économies d’échelles, les avantages de coûts
absolus (grâce à « l’apprentissage par la pratique »), les
avantages liés à la différenciation des produits (licences, brevets),
et les besoins en capitaux.

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Notion de barrières
• Dans un second temps, Stigler (1968) offrira une définition
alternative :
– une barrière à l’entrée se définit comme telle si la firme établie
n’a pas eu à y faire face lors de son entrée sur le marché.
Autrement dit, une barrière à l’entrée peut désigner toute
nouvelle réglementation qui a été imposée sur le marché mais
dont la firme établie a été exempte (présence de clause
d’antériorité, un ancien monopole régulé etc…).
• Le concept de barrière à l’entrée est souvent associé à la théorie
des marchés contestables (Baumol et al., 1982). Selon cette
théorie, un marché est dit contestable si les barrières à l’entrée -
et à la sortie - du marché sont suffisamment faibles.
• La contestabilité du marché dépend de l’absence de coûts
irrécouvrables et de la présence d’entrants potentiels menaçant la
profitabilité de la firme établie. Page 18
Rappel : CCP – Modèle abstrait et hypothèses «
irréalistes »
• Les hypothèses d’un marché en CPP sont au nombre de cinq

 Concurrence pure :

1.Atomicité des agents : le marché avec un nombre élevé de vendeurs et


d’acheteurs, le poids de chacun est négligeable

2.Homogénéité des produits, non différenciés.

3.Fluidité (libre entrée et libre sortie du marché): il n’y a notamment pas de


barrière par les coûts.

Concurrence parfaite :

4.La fluidité de l’offre et de la demande: mobilité des facteurs de production

5. La transparence : les agents sont parfaitement informés du prix et de la qualité


des produits, l’information est identique pour tous les intervenants.
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L’offre et la
demande

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la demande
• Demande = ensemble des quantités de B/S que les
acheteurs sont prêts à se procurer au prix du marché.
• Pour les néoclassiques, chaque unité supplémentaire
consommée apporte une satisfaction de moins en moins
importante au consommateur (concept utilité marginale).
Ceci explique que prix et quantités demandées varient en
sens contraire.
• En effet, si la satisfaction supplémentaire décroît lorsque
les quantités consommées augmentent, l’acheteur
n’acceptera de payer qu’un prix de plus en plus faible

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Déplacement le long de la courbe DE DEMANDE

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Déplacement le long de la courbe DE DEMANDE

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Déplacement le long de la courbe DE DEMANDE

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Propriétés de la courbe de demande

• Il existe de nombreux déterminants de la


demande
- Le prix du bien
- Le revenu des demandeurs
- Le prix de biens comparables (cf. biens
substituables ou complémentaires)
- Les goûts des demandeurs
- Les anticipations

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DÉPLACEMENT DE LA COURBE DE DEMANDE

La courbe de demande se déplace


si, pour un prix donné, les quantités
demandées varient
Sources de variation des quantités :
a) Modification des autres
déterminants de la demande :
Revenu, Prix de biens substituables,
Goûts, Anticipations
b) Modification du nombre de
demandeurs : démographie,
guerre…)

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DÉPLACEMENT DE LA COURBE DE DEMANDE

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DÉPLACEMENT DE LA COURBE DE DEMANDE

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L’offre

 Les quantités offertes évoluent également en fonction du


prix de marché.
 Un niveau de prix élevé permet au producteur d’envisager
des profits élevés, en fonction des coûts de production.
 Si les coûts de production restent inchangés, un producteur
a intérêt à répondre à une augmentation du prix de marché
par une augmentation des quantités offertes.
 La fonction d’offre est donc typiquement une fonction
croissante du prix.

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Déterminants de l’offre

• Les producteurs choisissent les quantités


offertes de façon à maximiser leur profit.
• Il existe de nombreux déterminants de l’offre
Le prix du bien
Le coût des facteurs de production
La technologie disponible
Les anticipations

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DÉPLACEMENT LE LONG DE LA COURBE D’OFFRE

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DÉPLACEMENT DE LA COURBE D’OFFRE

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DÉPLACEMENT DE LA COURBE D’OFFRE

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DÉPLACEMENT DE LA COURBE D’OFFRE

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Équilibre et optimum

• Équilibre : Aucun
intervenant n’est incité à
modifier son comportement.
• Marché concurrentiel : Le
prix est une donnée qui
s’impose à tous les
intervenants, qui, à titre
individuel, n’ont pas
d’influence sur ce prix.
• Le prix d’équilibre p* est le
prix pour lequel l’offre du
bien = à sa demande.

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Équilibre et optimum

• Si le prix est en dessous de p*(D>O) , certains offreurs se


rendront compte qu’ils peuvent vendre à un prix plus élevé.
Au fur et à mesure, le prix du marché s’accroît jusqu’au
niveau qui égalise O et D.
• Si le prix est au-dessus de p*(O>D). La seule façon pour
certains offreurs de vendre plus d’output est de vendre à un
prix plus bas. Mais si les autres offreurs vendent un bien
identique, ils doivent également adopter ce prix. On arrive
ainsi à la situation d’équilibre O=D .

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Équilibre et optimum

• Deux cas particuliers


• a) Courbe d’offre verticale : L’offre est fixe, indépendante du
prix (par ex, lorsque le gouvernement oblige les producteurs
d’un même bien à produire une quantité déterminée, quoi
qu’il arrive). Le prix d’équilibre est déterminé par la courbe
de demande et la quantité d’équilibre par la condition d’offre.
• b) Courbe d’offre horizontale : On offre n’importe quelle
quantité désirée d’un bien à un prix constant (par exemple,
lorsque le gouvernement impose un prix à tous les
producteurs d’un même bien, quoi qu’il arrive)). Le prix
d’équilibre est déterminé par les conditions d’offre et la
quantité d’équilibre est déterminée par la courbe de
demande.
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Intervention sur le marché (1) prix plafond

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Intervention sur le marché (2) prix garanti

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ILLUSTRATIONS

Le marché pour la pierre d’ornement est décrit par les fonctions suivantes :
Offre : P = 10 + 0,01 Q
Demande : P = 100 – 0,01 Q
où P est le prix par unité en dollars et Q représente les ventes par semaine en
tonnes.
1. Calculer les prix et les quantités d’équilibre
2. Déterminer les conséquences si le gouvernement fixe le prix à 40
dollars/tonne
3. A l’aide graphique, illustrer un cas où la réglementation gouvernementale
peut provoquer de la pénurie. Fournissez quelques explications

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La Commission de transport AFTU estime la demande quotidienne de transport par
autobus sur l’axe Almadie-Dakar Plateau par la relation suivante :
• Qd = 5450 – 200P – 0,1R + 100 Pb
où Qd représente le nombre de billets d’autobus demandés quotidiennement ; P le prix
du billet d’autobus ; R le revenu hebdomadaire moyen des usagers du transport en
commun; Pb le coût moyen d’un déplacement par automobile pour couvrir la même
distance.
A) Comment doit-on interpréter le signe précédant le coefficient de chacune des
variables de cette fonction de demande ?
B) Quelle est l’équation de la demande si R = 30000 et Pb = 580? Représentez
graphiquement.
C) Quel devrait être le prix du billet d’autobus si la Commission de transport ne dispose
quotidiennement que de 40000 places et qu’elle vise un taux d’occupation de ses
autobus de 100 % ?
D) Quel serait le nombre de passagers supplémentaires si le coût moyen du
déplacement par automobile augmentait de 100 ?
E) En tenant compte de l’augmentation de 100 calculée en D), quel serait l’ajustement
que la Commission devrait apporter au prix du billet si elle entend maintenir le nombre
d’usagers égal au nombre de places disponibles ?
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A. L’offre de main-d’œuvre pour les emballeurs de supermarché est la
suivante : QO = 2 + 2P. De plus, la demande de main-d'œuvre pour cette
catégorie de travailleurs est donnée par l’équation QD = 30 – 2P. Un
salaire minimum à 8 $ l’heure va-t-il nécessairement aider ces
travailleurs?
B. Question : une diminution dans le prix des puces électroniques (entrant
dans la fabrication des ordinateurs) associée à une diminution dans le revenu
disponible des consommateurs feront-elle diminuer le prix des ordinateurs?
(Un graphique est nécessaire.)

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