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Ces 4 agents économiques interagissent entre eux ; c’est cela qui génère de l’activité
économique.
Ils mènent leurs objectifs sur des marchés : ⟶ lieu fictif ou réel sur lequel s’échangent des
biens et des services en fonction des mécanismes de l'offre et de la demande.
La demande représente la totalité des consommateurs mais aussi les entreprises et l'État
lorsqu'ils souhaitent investir. L’offre concerne la totalité des entreprises présentes sur le
marché.
Leurs objectifs sont contradictoires : Les entreprises veulent vendre le plus au prix le plus
élevé possible. A l'inverse, les consommateurs souhaitent les prix les plus bas pour plus de
quantité. Finalement, les mécanismes de marché vont aboutir à une situation d’équilibre P*
et Q*
2) COMMENT FONCTIONNENT LES MARCHÉS :
A. La loi de l’offre et de la demande : la recherche de l’équilibre :
La loi de l’offre et de la demande est une loi économique qui prévoit que la hausse du prix
d'une marchandise conduit à la baisse de sa demande et à l'augmentation de son offre, et
réciproquement. Elle suppose des ajustements successifs des prix et des quantités pour
aboutir à une situation d'équilibre dans laquelle, pour le prix d’équilibre, les quantités
offertes et les quantités demandées s’égalisent.
B. Les barrières à l’entrée et les asymétries d’information : des obstacles au bon
fonctionnement des marchés :
Les barrières à l’entrée sont des obstacles techniques (taille des équipements, nature du
processus de production) ou réglementaires (normes légales) rencontrés par des entreprises
qui cherchent à s’implanter sur un marché (c’est-à-dire à produire une certaine catégorie de
produits).
Plus ces barrières sont élevées et plus il est difficile pour de nouvelles entreprises de se
lancer dans l’activité concernée.
Les asymétries d’information sur un marché correspondent à un déséquilibre dans l’accès à
l’information pour les acteurs de ce marché : les uns sont mieux informés que les autres.
Elles altèrent la transparence sur ce marché, le plus souvent en défaveur des
consommateurs qui ont moins facilement accès à l’information sur la qualité des produits.
C’est pourquoi le législateur a instauré, pour les professionnels vendeurs, une obligation
d’information et de conseil à l’égard des particuliers.
C.Les externalités : : des effets indirects induits par l’activité productive des entreprises :
Ce sont des conséquences directs et indirects des activités économiques elle peuvent
d'être positives ou négatives.
Lorsque l'entreprise, s'installe, plusieurs choix vont d'être réalisées en fonction des
exématisation liées à celui-ci.
Zone de chalandise / Infrastructures / Présence d'autres entreprise / Capital institutionnel.
Dans une seconde temp l'entreprise va produire et générer des propres externalités.
Les externalités négatives : donnent lieu à sanctions mais aussi à une perte de compétitivité
hors prix (image de marque) elle doit anticiper les conséquences négatives liées à sa
production.
Externalités positives : lorsque l’activité d’un agent améliore le bien-être d’autres agents
gratuitement pour les bénéficiaires de cette externalité.
Le rôle des banques dans le financement de l'entreprise
Dans économie de marché La plupart des entreprises ont des besoins de financement
qu’elles ne peuvent pas couvrir seule (auto-financement). Elles font appel à des
établissements bancaires. Elles présentent un projet garce à business plan à prévisionnelle
sur 3 ans.
La banque alors d'octroyer ou non un crédit. En contrepartie, l'entreprise va rembourser
cette somme en ajoutant des intérêts. Elle doit donc négocier le taux d'intérêt sur son
avantage.
Attention les banques choisissent un taux qui situé dans intervalle décidé par la banque
centrale. Cela limite fortement son pouvoir négociation.
Plus l’entreprise a un actif élevé (la valeur), plus elle négocie pour faire démunir les taux
dans l'intervalle la banque n’est pas toujours en position de force.
Recourt, au crédit bancaire, les entreprises font peser le risque de leurs projets aux
banques.
MANAGEMENT - De quelle manière l'entreprise s'inscrit-elle dans son environnement ?
1) DE LA LOGIQUE ENTREPRENEURIALE À LA LOGIQUE MANAGÉRIALE :
Dans une on d'Estaing auto-entrepreneur et le manageur. Les rôles sont différents et
complémentaire.
● Auto-entrepreneur : C’est un acteur économique majeure, il est au centre de
développement
Économique car c’est cellui qui prend de risque pour l'ensemble de la société. Il permet
l'innovation mais surtout l'emploi.
Les éléments qui caractérisent un entrepreneur : Un état d’esprit : la volonté
d’entreprendre.
-Une implication personnelle dans son projet, un investissement moral, matériel et financier
important.
-Une personnalité marquée par un leadership naturel et de la ténacité (mothabara).
-La capacité à innover et à saisir des opportunités d’affaires.
-La prise de risques.
Pour Joseph Alois Schumpeter, l’entrepreneur est un innovateur, car il lance un produit,
ouvre un marché… Il fait preuve de créativité et, tel un leader, il sait rompre avec les
habitudes. Les anciennes pratiques deviennent obsolètes, son innovation lui procure « un
profit temporaire »
● Le manageur : souvent n'est pas le créateur mais on lui confie un rôle très précis le
Manageur est un gestionnaire, il a donc objectif d'optimiser les ressources à sa disposition.
La direction va fixer des objectifs quantitatifs mais aussi qualitatifs. Ensuite elle déicide des
ressources qui seront mise à disposition de manageur : Des ressources humaines,
financière, matériel et immatériel.
Le mangeur va donc devoir réaliser des objectifs pour qu'entreprise continuer de se
développer, il y a un phénomène de continuité mais surtout une coordination entre les
dirigent et les manageurs. Ainsi le manageur, joue un rôle intermédiaire entre les dirigent et
les autres salaries.
Les compétences des manageurs : la responsabilité, l'esprit gestionner, gestion des conflits,
une bonne communication.
On a expliqué que les manageurs devaient s'assurer de la motivation et de la productivité de
leurs équipes. Or depuis quelques anones on considère que la productivité Dun salarie lié à
la QVT. C’est pourquoi les manageurs sont désormais insistés de demander à leur société
des actions pour améliorer QVT. (Les conditions de travail. Les horaires
adaptés. Formation. Des plans des carriers. Autonomie. )
2. UNE ENTREPRISE PERFORMANTE TIENT COMPTE DE SES PARTIES PRENANTES ET
POURSUIT UNE FINALITÉ ÉCONOMIQUE, SOCIALE ET SOCIÉTALE
A. les finalités de l'entreprise : La finalité est la raison d’être de l’entreprise, le ou les buts
qu’elle poursuit.
• La finalité économique : L’entreprise joue un rôle économique, elle participe à la
croissance économique. Son activité est créatrice de valeur et génère des profits dans le but
d’assurer sa pérennité (stabilité) et de satisfaire différentes parties prenantes, notamment
les parties prenantes primaires internes.
• La finalité sociale : concerne la satisfaction des salariés en leur offrant de bonnes
conditions de travail, la possibilité d’évoluer, de se former. Une politique de gestion des
ressources humaines est alors mise en place.
• La finalité sociétale : l’entreprise s’engage dans une logique de RSE. À mettre en place des
actions dans long terme pour être en face avec les nouveaux enjeux sociétaux (Lutte contre
l'inégalité).
Pour n’importe quelle entreprise on peut utiliser des indicateurs pour avoir une
représentation de ses performances.
Peter Drucker (1909-2005), qui établit une différence entre les objectifs et la finalité, précise
que la finalité première d’une entreprise est sociale et sociétale et que son principal objectif
est la satisfaction des clients
B) les parties prenantes : sont constituées par l'ensemble des individus ou groupes
d'individus qui peuvent avoir une influence sur l'activité de l'entreprise. R.E. Freeman (1984)
définit les parties prenantes comme étant « tout groupe d’individus ou tout individu qui
peut affecter ou être affecté par la réalisation des objectifs organisationnels «.
Internes : Salariés : Les salariés attendent de leur employeur une reconnaissance tenant
compte de leurs compétences, de leur expérience et de leur implication. Ils souhaitent avoir
un salaire convenable, des responsabilités, de bonnes conditions de travail et une évolution
de carrière.
Actionnaires ou associés : Propriétaires de l'entreprise, ils espèrent qu'elle va faire des
profits dont une partie leur sera versée sous forme de dividendes. Un de leur principal
objectif est de rentabiliser les sommes qu'ils ont investies dans l'entreprise.
Externes : État et collectivités territoriales : Ils attendent que l'entreprise leur verse des
impôts et des taxes et qu'elle respecte la réglementation et les lois. Ils sont aussi sensibles à
la création d'emplois et à la préservation de l'environnement.
Banques : Les banques prêtent de l'argent à entreprises pour favoriser son développement.
Elles attendent que l'entreprise rembourse ses emprunts et paye les intérêts dus.
Clients : Les clients exigent des produits fiables et sécurisés répondant à leurs besoins au
meilleur prix.
Associations : Ces organisations ont des attentes très variées : protection des
consommateurs, respect de l'environnement, lutte contre l'exclusion
C) les indicateurs de performance de l'entreprise
La performance consiste dans la capacité à mener une action conforme
aux objectifs fixés en minimisant le coût des ressources et le processus de mise en œuvre.
Elle dépend de l’efficience (rapport entre les résultats obtenus et les ressources engagées)
et de l’efficacité qui dépend des résultats obtenus face aux objectifs fixés.
On distingue plusieurs types de performance :
● La performance économique et financière (rentabilité des capitaux, marche,
rotation des capitaux engagés). On utilise souvent la notion de
valeur économique ajoutée (VAE) qui se calcule en faisant la différence entre
les bénéfices après impôts et le capital investi que multiplie le
taux de rémunération moyen des capitaux investis.
● La performance sociétale (sociale et environnementale). Elle repose notamment sur
le bilan social pour les entreprises de plus de 300 salariés (Peter Drucker) ;
● La performance globale qui inclut les deux précédentes.
Pour mettre en œuvre ces performances, on utilise des tableaux de bord prospectifs. Le
plus connu a été défini par Robert Norton et David Kaplan.
Il comprend quatre axes principaux (résultats financiers, satisfaction des
clients, processus interne – innovation – apprentissage organisationnel –
compétences des salariés) qui se décomposent en objectifs, indicateurs et
mesures. Ils permettent de mettre en œuvre la stratégie.
Droit : Comment les contrats sécurisent-ils les relations entre l'entreprise et ses
partenaires
1. LA SITUATION PRÉCONTRACTUELLE :
La période précontractuelle, appelée aussi pourparlers, correspond à une période
particulière des relations entre deux interlocuteurs, souvent professionnels. Les deux parties
ouvrent des négociations afin de déterminer si la signature d’un contrat est envisageable et,
le cas échéant, de déterminer le contenu de ce futur contrat. De telles négociations ne
concernent que des situations à forts enjeux ; dans ce cas, la phase préalable à la conclusion
peut s’avérer longue et délicate.
2. LE PROCESSUS DE FORMATION D’UN CONTRAT :
Le contrat est un accord général de volonté produisant des effets de droit. L’article 1101
du Code civil en donne la définition suivante : « le contrat est un accord de volontés
entre deux ou plusieurs personnes destinées à créer, modifier, transmettre ou éteindre
des obligations. » Ainsi, le contrat, une fois formé, est source d’obligations entre les
personnes juridiques (parties).
3.LES CONDITIONS DE VALIDITÉ D’UN CONTRAT :
La conclusion du contrat ne peut produire d’effets juridiques qu’à la condition d’être
légalement formée. L’article 1128 (anciennement 1108) du Code civil édicte les trois
conditions essentielles pour la validité d’un contrat.
4.LES CLAUSES D’UN CONTRAT :
Une clause est une phrase ou un ensemble de phrases contenues dans le texte d’un acte
juridique (tel un contrat) qui définit les droits et les obligations des parties.
● La clause de réserve de propriété : clause qui permet au créancier de conserver la
propriété du bien objet de l’échange jusqu’à complet paiement.
● La clause d’indexation : clause qui prévoit que le prix mentionné au contrat évoluera de
manière automatique en fonction de l'évolution d'une autre donnée.
• La clause de renégociation : clause qui prévoit l'obligation pour les parties de renégocier
le contrat si des données essentielles à son équilibre viennent à changer.
• La clause limitative ou exclusive de responsabilité : clause par laquelle le débiteur d’une
obligation décide de limiter ou d'exclure par avance sa responsabilité en cas de mauvaise
exécution ou d’inexécution du contrat. Cette clause est valable si elle est librement négociée
et qu’elle ne vide pas de toute sa substance l'obligation essentielle du cocontractant.
• La clause résolutoire : clause qui prévoit qu'en cas de manquement à une obligation
contractuelle de l'une des parties, le contrat sera résilié de plein droit. Cela permet d'éviter
d’avoir recours à la justice.
• La clause pénale : clause qui détermine à l’avance la sanction pécuniaire (mali financière)
applicable au cas où l’une des parties n’exécuterait pas ses obligations.
5.LES EFFETS JURIDIQUES DU CONTRAT
Le rôle du juge dans l’exécution du contrat : Du principe de la liberté contractuelle et de
la force obligatoire du contrat, il résulte que le juge doit respecter la volonté des parties.
Le contrat est obligatoire dans ce qui a été voulu et seulement cela. Tout comme les
parties sont contraintes par le contrat, le juge doit rechercher la commune intention des
parties. Il ne peut pas interpréter des clauses claires d’un contrat ni dénaturer (tchwih)
l’une d’entre elles. Ainsi, un juge ne peut pas, en principe, réviser un contrat en cours. Le
juge peut néanmoins faire une entorse au principe de la force obligatoire du contrat
pour maintenir ou rétablir l’équilibre contractuel.
L’inexécution du contrat : Si l’une des parties ne remplit pas tout ou partie ses
obligations :
• L’exécution forcée : la partie lésée (( ) الطرف المصابle créancier) peut alors envisager
une action en « exécution forcée » qui consiste à contraindre l’autre contractant
(débiteur) à réaliser son obligation.
• L’exception d’inexécution : lorsque le contrat est synallagmatique (chaque partie a des
obligations), la partie qui n’a pas encore exécuté son obligation peut s’abstenir de le
faire si son cocontractant n’a pas exécuté la sienne ou a refusé d’y procéder. Dans ce
cas, le contrat continue d’exister, il est suspendu.
La résolution ou la résiliation : pour les contrats à exécution instantanée, on parle de
résolution. La résolution consiste à anéantir rétroactivement le contrat.
Thème 2 : La régulation de l’activité économique. Fini
ECONOMIE - Quel est le rôle de l'État dans la régulation économique ?
L’État intervient de deux façons pour garantir les conditions de fonctionnement
de marchés. D'une part, il met en place un cadre institutionnel qui régule la concurrence.
D'autre part, il intervient pour corriger les inefficacités du marché.
L’impact de la politique économiques : c’est élément essential à l’activité de l’entreprise
elle permet des allocations des ressources nécessaires ne peuvent pas les obtenir seule
l’état doit intervenir pour proposer ses ressources (internet).
Elle permet aussi de la stabilisation de l’activité économique pour créer un climat
économique favorable son objectif de croissance du PIB 2%, pour éviter l’inflation et
déflation et réduire le chômage. Elle permet redistribution des richesses pour encourager
l’activité des entreprises (smic, RSA).
Les politiques conjecturelles et la stabilisation de l’activité de l’entreprise :
Ex : par quels moyens faire évoluer l’économie d’un pays , à court terme .
1. Politique budgétaires :(l’état)
● Ce qui fait l’état de sa dépense publique peut avoir de bénéfice sur la croissance de
l’entreprise, lorsque l’état augmente la dépense publiques l’augmentation de vente
c’est aussi le carnet de commande de l’entreprise qui va croitre augmentation de
vente va augmenter la dépense de l’entreprise et cava créer de nouveaux débouchée
pour d’autres entreprises (effet multiplicateur sur la croissance).
● Pour financer la dépense publique doit percevoir un prélèvement obligatoire (les
impôts, taxes) ce prélèvent représente un cout supplémentaire pour les entreprise
et cava limiter la compétitivité et ralentir ses investissements
2. Politiques monétaires : ce n’est pas l’état qui commande c’est la banque centrale
européenne
● Elle doit fixer un taux d’intérêt directeur , en cas une faible des croissances la banque
centrale peut réduire le taux et cava insister l’agent économiques à consommer les
avantages et créer les débouchés nécessaires de l’entreprise.
● En cas inflation la banque va augmenter son taux d’intérêt et qui cava limiter les
consommations et les investissements.
Style consultatif : Style de direction fondé sur la consultation des salariés par le manager
pour fonder sa décision. Il se caractérise par des rapports d’échanges assez importants. Il s’appuie
aussi sur l’implication des salariés.
Style participatif : Les décisions sont prises par tous les membres de l’entreprise. Des
groupes de travail sont constitués pour prendre des décisions, régler des conflits, améliorer des
processus, Il se caractérise par des rapports d’égalité et un management démocratique.
Style paternaliste : Style de direction fondé sur un management par les sanctions et les
récompenses. Il se caractérise par des rapports de bienveillance, de proximité et de protection du
patron sur ses employés. Les décisions sont prises au sommet, puis sont imposées aux subordonnés.
Économie : comment les factures économiques déterminent-ils les choix de production ?fini
Afin de comprendre comment les facteurs économiques déterminent les choix de
production des entreprises, il convient tout d’abord de s’intéresser aux facteurs de production
mobilisés dont les caractéristiques – le prix, notamment – influent sur la structure de leurs coûts de
production et sur la productivité des facteurs, elle-même à l’origine des performances de l’économie
nationale (1.). Il s’agit ensuite de montrer en quoi l’environnement économique agit directement sur
le niveau des coûts de production, oblige et/ou incite les entreprises à opérer des choix conformes à
l’impératif de développement durable (2.). Enfin, des facteurs économiques influent sur la chaîne de
valeur des entreprises et peuvent les conduire à opérer un arbitrage entre « faire » et « faire faire »
(3.)
Facteurs de production : Ensemble des éléments (travail, capital, ressources naturelles,
connaissances) qui sont combinés durant l’activité économique pour produire des biens et des
services.
Capital : Facteur de production correspondant à l’ensemble des biens de production (outils,
machines, bâtiments) destinés à produire d’autres biens et services.
Travail : Facteur de production fourni par les ménages qui vendent leur force de travail en
échange d’un salaire.
Chaîne de valeur : Outil proposé par M. Porter qui vise à examiner les sources de
l’avantage concurrentiel. Elle se compose d’une série d’activités génératrices de valeur.
Coût salarial : Somme des dépenses qui incombent à l’employeur en contrepartie de
l’emploi d’un salarié. Il inclut la rémunération brute et les cotisations sociales patronales.
Productivité du travail : Mesure de l’efficacité productive des travailleurs. Productivité du
travail = richesse Créée / quantité de travail utilisée.
Taux d’intérêt : Prix qu’il faut payer pour emprunter de l’argent, ou rémunération que l’on
reçoit lorsque l’on prête de l’argent. Il s’exprime sous la forme d’un taux.
Impartition : Stratégie d’entreprise qui consiste à faire réaliser, produire par des
entités externes des biens et services au lieu de les produire, de les développer en interne.
Sous-traitance : Pratique consistant, pour une entreprise, à confier la réalisation à une
entreprise, dite « sous-traitant », d’une ou de plusieurs opérations de conception, d’élaboration,
de fabrication, de mise en Suivre ou de maintenance du produit.
- Stocker les données de façon pertinente ( elles peuvent être très nombreuses )
Les décisions, quel qu’en soit le type, s’inscrivent à l’intérieur d’un processus.
● Herbert Simon décompose le processus de décision en 3 étapes : le modèle IMC :