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Définition :
La Stratégie ou politique générale de l’entreprise consiste à assurer une
adéquation efficace entre la mission1 que s’assigne l’entreprise, les ressources
que celle-ci peut mobiliser et les contraintes et opportunités que présente
l’environnement, en fonction des systèmes de valeurs des dirigeants. (mise en
relief de l’adéquation efficace)
Analyse stratégique
Elle est une suite logique et progressive d’étapes aboutissant à la définition
d’une stratégie éclairée tout en utilisant le maximum d’outils pertinents du
management stratégique.
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La mission d’une organisation est sa raison d’être. Ses membres s’identifient à elle et le monde reconnaît la
dite organisation à travers celle-ci.
La vision : peut définir la vision comme l’expression concrète et consensuelle de ce que l’entreprise ou
l’organisation veut être et veut devenir. Elle est souvent traduite en termes de finalités, d’objectifs voire de
démarche et d’éthique. Elle fait partie, de nos jours, du bon management et des caractéristiques du leader,
singulièrement du leader transformateur.
Un objectif est un résultat que l'on veut atteindre, un but que l'on se fixe. L’objectif répond à plusieurs critères
dont en voici six qui se regroupent sous l’acronyme SMART É (Spécifique, Mesurable, Applicable, Réaliste,
Temporel, Écologique.
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enjeux, par deux modèles stratégiques ou outils d’analyse stratégique et d’aide à
la décision :
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- l’analyse de l’environnement proche ou microenvironnement
1. Les fournisseurs
L’entreprise a besoin de ressources (matières premières, énergie, machine, …) pour
pouvoir produire. Ses fournisseurs sont les entreprises auprès desquelles elle s’approvisionne.
La fonction achat est importante dans l’entreprise et elle justifie souvent l’embauche de
personnel spécialisé et même la création d’un service autonome. L’acheteur occupe un poste
clé, car il doit faire en sorte que l’entreprise dispose de produits de la qualité demandée, à un
moindre coût (efficient) et en quantité suffisante pour fonctionner (il faut éviter le sur
stockage et la rupture de stock). Il doit, pour cela, trouver des fournisseurs et négocier avec
eux les conditions du contrat les plus avantageuses pour l’entreprise.
2. Le monde financier
L’entreprise est en contact avec les banques et les marchés financiers car elle recouvre
des créances et parce qu’elle est obligée d’avoir accès à des ressources financières pour
répondre à ses besoins en trésorerie et en investissement. Toute entreprise a besoin de moyens
financiers pour exercer son activité. Cela peut être un besoin à court terme (gestion de
trésorerie) ou à moyen et long termes (réalisation d’investissements). Pour le court terme, les
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banques apparaissent comme les intermédiaires les mieux adaptés alors que pour le long et
moyen termes, les entreprises s’adressent le plus souvent au marché financier pour trouver de
nouveaux actionnaires ou bénéficier d’emprunts.
3. Les média
Ce sont tous les organismes tels que télévision, presse, radio qui transmettent les
informations et qui vont ainsi influencer l’opinion publique. La présence d’une entreprise sur
un médium résulte soit d’une démarche volontaire, dans le cadre d’une campagne publicitaire
par exemple, ou encore d’un besoin du médium d’informer sa clientèle. Dans le premier cas,
l’entreprise maîtrise l’image qui est transmise, dans le second, c’est le médium qui en est le
responsable. C’est au service chargé des relations publiques de faire en sorte que les média
véhiculent une image positive de l’entreprise. Celle-ci peut être amenée à faire parler d’elle en
créant l’événement, (parrainage d’un sportif, organisation d’un événement culturel, etc.)
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et leur fiabilité, les problèmes liés au prix et aux pratiques commerciales, le service après-
vente et les garanties accordées, la santé et la sécurité, la qualité de vie, la lutte contre la
concentration du marché et la représentation des consommateurs dans les institutions de
concertation. Le service consommateur informe et éduque le consommateur en répondant à
ses demandes. Il est le porte-parole du consommateur auprès de l’entreprise, il rappelle en
permanence à celle-ci que c’est l’intérêt du consommateur qui prime.
6. La clientèle
Partie intégrante du marché avec les producteurs, la clientèle fait également partie de
l’environnement du marché si on la considère dans son ensemble. Les tendances d’achat,
l’évolution des besoins et des motivations d’achat, sont autant de facteurs qui donnent à l a
clientèle toute son importance dans l’environnement de l’entreprise.
7. L’Etat
Il intervient dans l’environnement d’un marché ou d’une entreprise sous la forme de
prélèvements fiscaux, de réglementations diverses (normalisation), de mesures de protection
de l’environnement, mais aussi de mesures favorisant telle ou telle activité subissant des
difficultés allègement d’impôts , subventions, allègement de cotisations patronales….)
Les structures de la société dans laquelle l’entreprise évolue ont un impact profond sur
elle, mais celle-ci n'a guère d'emprise sur elles. Ce sont des facteurs " incontrôlables "
auxquels l'entreprise doit s'adapter. L’environnement global, ou macro environnement,
regroupe de nombreux facteurs sur lesquels l’entreprise n’a que peu d’influence, mais dont les
effets sur son activité peuvent être considérables. Il s’agit du cadre démographique,
économique, naturel, technologique, institutionnel et socioculturel à l’intérieur duquel
l’entreprise exerce ses activités.
I. L’environnement démographique
Quel que soit le type de marché, la population a une influence directe sur son activité.
En Europe par exemple on constate à l’heure actuelle que la population augmente peu, que la
proportion de jeunes régresse, que celle des personnes plus âgées augmente et que la taille des
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ménages diminue. La diminution de la taille des ménages est une opportunité pour les
entreprises qui fabriquent maintenant de petits conditionnement .Les entreprises fabriquant
des jouets évoluent pour tenir compte de la diminution du nombre des naissances qui
constituent une menace pour elles.
2. L’environnement économique
Il détermine le revenu dont disposent les consommateurs et son affectation : dépense
ou épargne. L’évolution des revenus a peu d’influence sur les produits de première
nécessité .Par contre , elle a un effet important sur les produits superflus ou les produits dont
le prix est élevé. La crise que connaissent actuellement les économies industrialisées a comme
conséquence une augmentation du chômage et une stagnation des revenus. Cette situation a
des répercussions directes sur l’activité des entreprises : crise de la consommation, crise dans
le bâtiment et les travaux publics. Elle constitue une opportunité pour les producteurs et les
distributeurs qui vendent des produits à prix cassés (hard discounters).
Un marché ne se définit pas seulement par sa population, mais également par son
pouvoir d'achat. Celui-ci est fonction du revenu, des prix, de l'épargne et du crédit.
3. L’environnement naturel
Les hommes se sont rendus compte que les ressources naturelles ne sont pas illimitées
et qu’il faut protéger l’environnement. Cette prise de conscience a entraîné un
renchérissement des matières premières et une augmentation de la sécurité pour éviter tout
risque de pollution. Cette évolution s’est traduite par une augmentation des prix pour le
consommateur. Le mouvement écologiste s’est constitué en groupe de pression pour faire
évoluer la réglementation et les pratiques des individus. Le retour à la consommation des
produits naturels, à la pratique de la marche, de la bicyclette pourrait constituer une aubaine
pour les entreprises intervenant sur ces marchés.
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A partir des années 60, on a commencé à s'inquiéter de l'impact de l'activité
industrielle sur le cadre naturel. Au-delà du mouvement écologique, un responsable marketing
doit se soucier de l'impact (positif ou négatif) de trois tendances d'évolution de
l'environnement naturel : la pénurie des matières premières et le coût de l'énergie,
l'accroissement de la pollution, et l'intervention croissante de l'Etat dans ce domaine.
4. L’environnement technologique
Depuis la révolution industrielle, la consommation est régulièrement bouleversée par
des inventions qui modifient profondément la façon de vivre. De nouveaux produits
apparaissent sans cesse, ils sont le résultat d’innovations réelles ou superficielles qui rendent
les anciens produits obsolètes. La durée de vie des produits est de plus en plus courte. Le
responsable marketing doit tenir compte de cette donnée pour gérer sa gamme de produits.
5. L’environnement politico-légal
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La tendance actuelle des pays occidentaux semble aller vers une diminution de
l’intervention de l’Etat tout en protégeant le consommateur. Elle favorise les échanges
extérieurs. C’est une source d’opportunités et de menaces, puisque les entreprises vont
pouvoir exporter facilement mais elles vont se retrouver, sur le territoire national, face à des
concurrents étrangers.
Tout être humain naît et grandit dans une culture et son acquis culturel lui permet de
remplir les tâches qu'attend de lui la société à laquelle il appartient. Ce sont les institutions
sociales et le système de valeur auxquels se rattachent les consommateurs. Les institutions
sociales (système politique, éducatif) sont souvent les mêmes pour tous les citoyens d’un
même pays. Cependant, le système de valeurs (tradition religion, culture) est différent selon le
groupe auquel on appartient. Le responsable marketing ne doit pas ignorer la différence des
systèmes de valeurs qui peut jouer un rôle important dans le comportement d’achat du
consommateur.
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Le deuxième objectif de l’analyse stratégique est de permettre à toute entreprise
de :
- rechercher au sein du secteur d’activité une stratégie afin de se placer dans
les meilleures conditions face aux forces concurrentielles qui influent le
secteur.
- se différencier par rapport à ces forces et pour cela, elle va devoir
valoriser la valeur de son entreprise, pour conquérir un segment de
marché.
La Chaîne de Valeur
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permet de décomposer l’activité de l’entreprise en séquence d’opérations
élémentaires et d’identifier les sources d’avantages concurrentiels potentiels.
La Valeur est :
- la somme que les clients sont prêts à payer pour obtenir un produit ou
service
- le résultat des différentes activités réalisées par les fournisseurs,
l’entreprise et la distribution.
M. Porter distingue les activités génératrices de valeur en activités principales
et en activités de soutien.
Activités
Modèle de Porter
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Les activités de soutien viennent à l'appui des activités principales, en assurant :
Les employés qui sont ceux qui consacrent leurs journées à créer de la Valeur
pour l’entreprise en sont souvent les premiers bénéficiaires sous la forme de
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salaires. Les salaires représentent souvent la plus grande partie de la Valeur
Ajoutée.
Les Organismes sociaux (Caisses de Retraite) captent une partie de la Valeur
créée (une partie sera restituée au salarié sous forme de retraite).
Les Collectivités (État, Région, Département, Commune) en perçoivent une
partie sous forme d’impôt (Impôt sur les Sociétés, Taxe Professionnelle …).
Les Banques éventuellement perçoivent des intérêts.
Les Fournisseurs sont payés.
L’Entreprise en pratiquant les Amortissements légaux relatifs aux
Immobilisations garde une partie de la Valeur sous forme de Marge Brute
d’Autofinancement.
Les Actionnaires reçoivent une partie de la Valeur créée sous forme de
dividendes et en laissent une partie dans l’entreprise (Réserves), ceci à
condition que l’entreprise ait fait du bénéfice dans l’année. Si l’entreprise n’a
pas d’actionnaires (Association), la Valeur correspondante reste totalement à
l’intérieur de l’entreprise.
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Les Cinq Forces de PORTER
Les cinq forces de Porter reposent sur la recherche d’un avantage concurrentiel
tout en synthétisant les facteurs influant sur la performance d’une entreprise. Ce
modèle permet à l’entreprise d’analyser son environnement économique, qui
influence son activité, sous cinq forces qui agissent en permanence sur le
marché :
- fournisseurs : leur pouvoir de négociation est très fort selon qu’ils sont
les seuls à fournir le produit à l’entreprise ou qu’ils peuvent faire varier
certaines conditions du contrat à leur convenance (prix, délais,
quantités…).
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- clients : le pouvoir de chaque client est très variable selon les quantités
qu’il commande, le chiffre d’affaires annuel qu’il représente pour
l’entreprise…
Cependant, il peut être complété par une Sixième (6) force, qui est l’influence
des pouvoirs publics. On parle alors de modèle des5 (+1) forces :
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- différenciation : l’entreprise se distingue des concurrents (services à
la clientèle, innovation, progrès technique…),
- concentration : exploitation d’un segment stratégique particulier.
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Schématisation de la matrice du BCG :
Taux de
+
croissance
Produit
(%) Produit
Dilemm
Vedette
e
Produit
Produit
Poids
Vache à lait
mort
0 + Part de
- - 1 Marché
relative
La matrice BCG est très visuelle. Mais ce gain de lisibilité n’est-il pas
une simplification des hypothèses ?
Deux critiques majeures :
- La part relative de marché n’est un facteur déterminant de la
rentabilité que dans les entreprises où l’effet d’expérience peut
jouer un rôle. Or, il existe beaucoup d’autres avantages
stratégiques
- Le choix du taux qui partage l’axe vertical peut se faire sur la base
du passé ou sur la base de prévision. Pourtant les recommandations
stratégiques qui en découlent en dépendent
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*
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La matrice ADL présente l’avantage d’être plus précise que la matrice
du BCG en terme de position concurrentielle : elle prend en compte
tous les facteurs de l’entreprise (de l’approvisionnement à la
commercialisation).
La matrice MC KINSEY :
Cette méthode permet d’évaluer la compétitivité de l’entreprise à
partir de l’analyse de l’attractivité du secteur et de la position de
l’entreprise. Cette dernière va alors analyser la position de son
domaine d’activité stratégique (DAS)...
Matrice McKinsey
Attrait du marché
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Un domaine d'activité stratégique, ou DAS, dans la terminologie de la stratégie d'entreprise, se définit
comme un sous-ensemble d'une organisation auquel il est possible d'allouer ou de retirer des ressources de
manière autonome.
Un domaine d'activité stratégique est défini comme l'ensemble des produits ou activités, souvent homogènes,
pour lesquels l'entreprise peut constituer un avantage concurrentiel.
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Elevé Moyen Faible
Maintenir la
Maintenir
position Rentabiliser
Elevée la position
concurrentielle B
A
A
Rentabiliser, Retrait
Renforcer
réduire les progressif,
Moyenn la position
investissement segmentatio
e actuelle
Position s, segmenter n
A
concurrentiel B C
le Investir
pour
renforcer Retrait
la position progressif, Abandonner
Faible
ou segmentation C
abandonn C
er
B
Légende :
A Activités gagnantes
. B Activités dilemmes
. C Activités perdantes
Source : Morsain
Le Carré Financier
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Comment noter chaque axe critère ‘? La réponse est immédiate en
comparant l’entreprise dans le temps et clans l’espace. Dans le temps,
il s’agira d’étudier ‘évolution des ratios utilisés pour dire "si
l'entreprise s’améliore ou se détériore". Dans l'espace, il s'agira de
comparer l'entreprise aux concurrents les plus directs (si I on dispose
de leurs données financières) ou des moyennes sectorielles.
1. Croissance
Il s'agit de noter le rythme d'évolution de l’entreprise dans son activité.
Le chiffre d'affaires est bien évidemment l'indicateur majeur. On
pourra également étudier la croissance des effectifs, des
investissements, des parts de marché, des volumes de clients gagnés
ou perdus, des volumes de commandes, des niveaux moyens de
commande.
2. Rentabilité
C’est parfois l'unique ratio d’évaluation de l’entreprise. Il s’exprime le
plus
souvent comme le rapport du résultat net comptable aux capitaux
propres disponibles. Il représente le rendement du placement pour
l’actionnaire et augure donc de sa fidélité future.
On pourra également appréhender cette rentabilité par les marges
unitaires sur chaque produit ou prestation, ou encore par la
contribution des différents départements. On tentera d’évaluer le poids
des charges fixes.
3. Liquidité
Il existe de nombreuses entreprises qui, malgré une activité en
croissance et une bonne rentabilité, connaissent les pires difficultés à
financer leur cycle d’exploitation. On étudiera donc ici le poids des
stocks et des créances clients ainsi que la ressource fournisseur. On
observera également l’évolution du fonds de roulement (pour vérifier
notamment sa corrélation avec l’évolution du chiffre d’affaires).
4. Endettement
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Il est d’usage de dire qu’une entreprise doit avoir à tout moment
autant de capitaux propres que de dettes à long terme auprès
d’établissements de crédit. Bien des cas particuliers remettent en cause
ce principe (secteur d’activité, intensité capitalistique, notoriété de
l’entreprise...). Le monde de la PME-PMI n’est malheureusement pas
celui qui attire le plus la confiance des banquiers, qui font souvent
payer cher leurs prestations aux petites structures. On analysera donc
notamment le rapport capitaux propres sur capitaux étrangers à long
terme ainsi que le poids des charges financières dans le compte de
résultat.
INTERNATIONALISATION
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Différentes Stratégies d’Internationalisation
1 – Logiques d’internationalisation
« Satisfaire le nouveau Client et s’adapter au Marché »
a – Motivation et Objectifs :
- exportation / conditionnement
- Implantation (Philip Morris)
- Licence (Représentation de marques)
- Franchise
- Joint Venture / Partenaire Local/ Transfert de technologie
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La Dynamique d’internationalisation : les voies d’expansion
Concentration
Consiste à pour une entreprise à s’en tenir à une seule activité et à y
renforcer son avantage concurrentiel
Diversification
Consiste pour une entreprise à entrer dans de nouvelles activités ou
non à son activité d’origine.
Intégration
Forme de diversification qui consiste à entrer dans une nouvelle
activité :
- en amont : l’entreprise devient son propre fournisseur
- en aval : l’entreprise devient son propre client ou distributeur
Externalisation
Consiste à sous traiter, à sortir du périmètre de la firme (effet chaîne
de valeur)
Globalisation
Elle s’explique par la présence de l’entreprise et de ses produits ou
services dans la plupart des grandes régions du monde. Cela
s’explique par l’homogénéisation de la demande, les standards
mondiaux, les effets d’échelle (Mc Do) et les centrales d’achat d’où
l’apparition de marques internationales (Nestlé).
Adaptation
Elle fait référence aux industries multi domestiques qui adaptent leurs
produits ou services aux exigences (goûts, marques, religion, besoins
spécifiques etc.) des localités.
Penser Global, Agir Local
Les Etapes de la Gestion Stratégique
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- Le diagnostic
- La formulation,
- L’exécution
- et l’évaluation de la stratégie
1- La formulation
- on élabore la mission;
- on identifie les opportunités et les menaces externes pour
l’organisation;
- on détermine les points forts et les points faibles internes;
- on met au point les objectifs à long terme, les diverses
stratégies et on choisit celle que l’on utilisera
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Les décisions de formulation de la stratégie engagent une
organisation face à des services, des clients, des ressources et des
technologies spécifiques à long terme.
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objectifs puis choisir les stratégies. Dans cet exercice il dit qu’il faut
intégrer l’intuition et l’analyse.
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Si de nos jours certaines organisations peuvent survivre et prospérer,
c’est parce qu’elles ont à leur tête des génies intuitifs. Le management
stratégique se fonde sur un ensemble d’intuition et d’analyse.
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