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Les stocks

Encadré par : Mr. MOQTACID Samir

Réalise par : BOUASSOUL Najlae


SADEK Houria
MABROUK Anouar

Année Universitaire : 2020/2021


Introduction

PARTIE 1 Définition
PARTIE 2 Analyse d’un Stock
PARTIE 3
Autres Analyses des Stocks
PARTIE 4 Pilotage des Stocks

Conclusion
Introduction
La notion de stock est importante dans l’entreprise. Cette dernière fabrique
et stocke ses produits avant de les vendre. Gérer son stock est au coeur des
Préoccuaptions des chefs d’entreprise pour plusieurs raisons. Les conditions de
Stockage peuvent influencer la qualité des produits finis et entreposer coût cher .
L’entreprise a donc tout intérêt à optimiser sa gestion de stock. Mais avant toute
Chose, intéressons-nous à la notion de stock et à sa gestion.

La gestion de stock, on ne parle pas uniquement de produits finis. Il s’agit aussi

Du stock de matières prémières ou de produits semi-finis. Ainsi, consiste à planifier


et à mettre en oeuvre une méthode pour maximiser la rentabilité. Une bonne gestion
de stock consiste à avoir la quantité nécessaire au bon moment.
PARTIE 1: Définition
1) Principes :
L’exécution des stocks est générale, elle n’est même pas propre aux humains. Les écureuils qui
amassent des noisettes en hiver il n’est pas non plus le seul à pratiquer cette technique de gestion. Tous
les êtres vivants comme le corps humain utilisent plus ou moins du stock. Ce type de gestion est une
condition de conduit et sa pratique est câblée instinctivement. Les premiers collecteurs ou agriculteurs ont
dû disposer des greniers pour stocker dans le but de rester d’une saison à l’autre. Donc, le modèle du
stock est l’un des modèles fondamentaux de l’être humain.
Ou tout type de réseau du flux, nous avons des flux entrants ou des flux sortants. Au cas ou la somme
des flux entrants sur une période de temps n’est pas équilibré à la somme des flux sortants, il y’a un
groupement à ce nœud d’un stock positif ou négatif.
Le modèle du stock est plus compliqué. Toutes les choses accumulées ne sont
pas des stocks. Il faut en plus une finalité ce qui montre que le stock doit toujours
être pris en compte du fait des règles de gestion résultant par une décision ou
l’organisation entre des fonctions impliquant des niveaux du stock ou des niveaux
opérationnel.
Il y’a un stock, lorsqu’il y a contrôle du stock. IL suppose un objectif et un
mécanisme de régulation. Une fois terminé, il faut préciser les mécanismes de
base de la régulation

2) Mécanismes de régulation :
La régulation des stocks exige une opportunité d’action sur le flux entrant ou
sortant. Pour régler les flux, il faut un mécanisme régulateur : cerveau humain,
ordinateur, dispositif mécanique ou dispositif électromécanique ou électronique.
Il est également nécessaire de suivre l’état des stocks soit à n’importe quel
moment, soit à des périodes scrutation.
C’est une différence importante qui doit être faite entre le suivi des stocks sa tâche assurer la
justesse de la connaissance des stocks au niveau informatique et comptable par rapport au niveau
physique des stocks par contre la gestion des stocks dont la mission est expliquer les règles du jeu cela
conduit à différents types de stock.

Si vous considérez des entrées et sorties discrètes, l’équation de base d’un stock en effet :

Stock (n) = Stock (n – 1) + Σ Entrées – Σ Sorties

Nous pouvons déterminer toujours le niveau du stock à partir du niveau précédent et de la


connaissance des entrées et des sorties. Ces calculs peuvent cependant dériver lentement par rapport au
stock réel. Donc il est nécessaire de participer à des inventaires périodiques.
En comptabilité par exemple, on distingue la technique de l’inventaire annuel
et l’inventaire permanent. L’inventaire annuel est le comptage de toutes les
quantités en stock à la fin de l’exercice comptable. L’inventaire permanent est
le décompte des quantités disponibles après chaque entrée/sortie.

Lorsque le niveau du stock ne correspond plus à la sortie, nous disons en


rupture stock. Lorsque la capacité de stockage ne permet plus de recevoir le flux
entrant, nous sommes dans un état inconnu et l’on peut parler d’embouteillage.

Pour réguler un stock, on peut soit minimisé ou maximisé le flux entrant :


c’est ce que fait parfois un commerçant en passant ses commandes. Nous pouvons
également réduire ou augmenter le flux sortant : promotions commerciales, etc.
Pour réguler les stocks, vous devez prévoir des flux incontrôlés pas entre deux opérations de
régulation. Alors la gestion de stock, c’est prévoir.
À travers de cette analyse très théorique, nous pouvons donc caractériser un stock :

– pour chaque flux :


*s’il s’agit d’un flux d’entrée ou de sortie,
*s’il est discret ou continu,
*si le flux est régulable ou seulement prévisible ,
– pour un flux régulable : Veuillez connaître son débit minimal et maximal, sa valeur de
régulation que nous pouvons fournir et le temps de rédaction entre une décision de modification et son
exécution.
– pour un flux prévisible continu : Veuillez comprendre votre loi d’écoulement ou dispose de
prévision.
– pour un flux prévisible discontinu : Veuillez savoir la loi de répartition des «grappes» et leur loi
d’arrivée.
– méthode de détermination du niveau du stock
–calcul du niveau de stock ( Exemple : Simplement, vous voulez « X jours de vente de sécurité ». Si
vous avez une vente moyenne de 100 quantités par jour pour un produit vous avez un délai moyen de 10 jours, et
vous souhaitez avoir 5 jours de vente moyenne en stock de sécurité. Donc votre stock de sécurité c’est
simplement 100 x 5 et donc 500 quantités. )

3) Finalités et actions d’optimisation des stocks :

Une analyse typologique des stocks permet d’identifier 6 grandes catégories


de stock :

– Le stock de sécurité : Supplément au stock minimum nécessaire en cas retard de livraison ou


d’accroissement de la demande

– Le stock outil : Stock indispensable à l’activité commerciale ou


industrielle , considéré comme immobilisé.

 
Le stock d’anticipation : on parle de stock d’anticipation à chaque fois que l’on veut anticiper une
demande futur. Ce cas est systématique quand le délai de fabrication est plus long que le délai attendu
par le client, on utilise dans ce cas des prévisions.
Le stock mort : C’est le stock qui n’a pas été mouvementé depuis longtemps, c’est-à-dire sont des
stocks qui ne tournent pas et constituent un poids mort dans l’entrepôt, entraînant ainsi des coûts
et surcoûts inutiles pour l’entreprise.
Les stocks imposés par la réglementation : comme dans l’automobile ou l’aéronautique, secteurs
dans lesquels la fin de la commercialisation d’un véhicule ou d’un aéronif n’implique pas de la fourniture
de pièce de rechange pour permettre les réparations et ce souvent pendant une période de 10 ans.
Le stock spéculatif : Vous constituez ce stock lorsque vous achetez des produits dans des quantités
supérieures à celles dont vous avez réellement besoin pour profiter de remises, ou prix inférieurs aux prix
pratiqués habituellement. Vous pouvez également être amené à créer ce type de stock lorsque vos
fournisseurs envisagent d’augmenter les prix de certains produits.
L’approche typologique proposée permet d’identifier les actions possibles pour
réduire ces stocks catégorie par catégorie de stock. Certaines de ces actions sont
spécifiques à une catégorie donnée alors que d’autres sont communes et revêtent
donc un intérêt tout particulier. Parmi les actions communes, il faut noter l’action
capitale de réduire les interopérations .
Les actions spécifiques sont nombreuses et concernent la fiabilisation des
Systèmes de prévision, la mise en œuvre de prévisions collaboratives, la mise en
place des approches TPM ( total Productivity Maintenance ) et TQC ( Total Quality
Control )…

 
PARTIE 2: Analyse de Stock
1) Segmentation par les utilisations et les contraintes logistiques :

Un gestionnaire de stock a souvent à gérer plusieurs milliers de références en même temps. Parmi
celles-ci, certains produits sont plus importants que d’autres et nécessitent donc une attention toute
particulière. Segmenter son stock permet de fournir au gestionnaire un classement des références
normalisé selon les critères souhaités. Cela permet d’adapter et d’optimiser la gestion de chaque produit
en fonction de son importance relative.

2) La loi de Pareto et les Stocks :


En effet, par projection, ce principe se vérifie dans de nombreux domaines . La
majorité des résultats ou des impacts, sont dûs à une minorité des causes. Dans le monde
de l’entreprise, ce phénomène empirique se retrouve dans des activités comme la vente
(20% des produits ou des services référencés engendrent 80% du chiffre d’affaires) ou
dans la logistique (20% des stocks représentent 80% de la valeur).

En gestion de stock le but de cette méthode est d'analyser les stocks selon leurs
quantités / valeur et de faire ensuite une classification qui ressortira d'une part un segment
d'articles à forte valeur et d'autre part un ou plusieurs segments à valeur plus faible.
Articles CA ordre % par % cumulé
décroissant rapport au
total
A 35706 47,608 47,608
B 24294 32,392 80
*Exemple d'une entreprise 10 références
De produits industriels, les données du C 10100 13,46 93,46
Chiffre d’affaires réalisé en 2015 se D 1500 2 95,46
Résument dans le tableau suivant :
E 896 1,19 96,65
F 786 1,04 97,69
G 606 0,808 98,49
H 602 0,802 99,29
I 293 0,390 99,68
J 217 0,289 100
Total 75000 100 -----
– Analyse ABC :
Une technique d’analyse des coûts, et de classification Des produits
utilisés souvent dans les domaines du stock et des achats, c'est une
déclinaison du principe de Pareto et permet un découpage plus détaillé des
produits en trois catégories.
Classe A : les 10 % des articles représentent 60 % de la valeur totale de la
consommation.
Classe B : les 10 % des articles représentent 20 % de la valeur totale de la
consommation.
Classe C : les 80 % des articles représentent 20 % de la valeur totale de la
consommation.
La méthode ABC convient à toutes les situations où il faut placer des
activités en ordre de priorité.
Elle permet de distinguer les articles qui nécessitent une gestion
élaborée de ceux pour lesquels une gestion plus globale est suffisante.
PARTIE 3: Autres Analyses des Stocks :
L’analyse ABC est nécessaire sur la base de la connaissance d’un stock, mais elle est loin d’être
suffisante pour sa gestion.
L’analyse des mouvements se prête, comme nous avons vu, à l’analyse ABC, mais l’analyse des
variations de consommation dans le temps est à la base de la plupart des méthodes de prévision.
Les lignes de sorties de stocks composent un paramètre nécessaire de l’action logistique
particulièrement à l’égard de l’élaboration des commandes. Ainsi les poids et volumes sont des
paramètres très importants dans la réalisation d’un schéma directeur logistique, préparations des
chargements et des tournées des livraisons.
Une analyse importante d’un stock est l’analyse des stocks morts ou surstocks, c’est-à-dire des
stocks pour lesquels il n’y a plus que très peu de mouvement (surstocks) ou pas du tout (stocks morts ).
PARTIE 4 : Pilotage des stocks
Deux problèmes fondamentaux que chaque manager doit résoudre
L'inventaire est:
– quelle quantité dois-je réapprovisionner ?
– selon quelle périodicité ?
Dès lors, on peut rendre la quantité et la périodicité soit fixe avec des
valeurs Calculées (quantité économique de commande) ou figées à l’avance,
soit variable, alors on peut imaginer au minimum quatre méthodes générique
des quantités.
1) Les deux méthodes génériques de gestion des stocks :
Au fil du temps, il existe deux façons de gérer l'inventaire. Nous pouvons dépenser Commandes à
une date précise : par exemple le 1er de chaque mois, alors on dit Réapprovisionnement régulier. Au lieu
de cela, nous pouvons attendre L’inventaire tombe en dessous d'un certain niveau C'est ce qu'on appelle le
réapprovisionnement des points de commande.
En principe, la détermination des points de contrôle est très simple : Corrigez-le en quelque sorte
pour qu'il ait le moins de stock lors de la commande Ce qui va se passer est de régler le point de contrôle
égal à la consommation Dans le délai de réapprovisionnement. Parce que nous n'avons pas souvent Peut
prédire avec précision la consommation pendant cette période de livraison, Dans ce point de contrôle
théorique, appelée le Stock de Sécurité.
Presque tous les stocks sont désormais gérés sur point de commande.

– Il se prêtait bien autrefois à l’organisation des travaux administratifs faits à


La main. À une certaine date. Cet intérêt a disparu depuis que les stocks sont gérés sur
ordinateurs.
 
–Lorsque le réapprovisionnement est très fréquent, L'inventaire, comme les
directeurs de rayon de supermarché, peut passer à Consultez ses articles tous les soirs
ou au moins quelques fois par semaine Les rayons l'ont obligé à faire très attention à
ce qui se passait.
2) Réapprovisionnement en Noria :

La question de « combien réapprovisionner ?»

Il doit au moins compléter le montant qui doit être conservé pendant cette période de Livraison. Si
la consommation mensuelle moyenne est de 100, et Livraison deux mois, il faut d’évidence passer une
commande avant que le stock ne tombe en dessous de 200, sinon on n’aurait pas assez de stock pour
éviter la rupture de stock des marchandises de cette commande.
Dans cette figure, la période qui sépare deux réapprovisionnements est
largement plus grande que le délai de livraison. Donc on peut penser que le délai de
livraison constitue le minimum de la quantité de commande (exprimée en jours de
consommation). Alors dans ce cas, le point de commande sera au niveau moyen du
stock maximal réel.
 
Mais ce raisonnement suppose implicitement qu’on ne peut pas avoir deux
commandes en attente en même temps. Or il n’y a aucune raison qu’il en soit. Ainsi,
on peut faire des norias beaucoup plus longues avec trois ou quatre commandes en
cours en permanence. Il faut tout de même se rendre compte que,
S’il y a un incident comme une très forte consommation à un certain moment, on ne peut espérer recevoir une
commande plus importante qu’à la fin du délai de réapprovisionnement.
3) La formule de Wilson :
La formule de Wilson est un outil couramment utilisé pour optimiser les coûts du département logistique. ...
La formule de Wilson, aussi connue sous le nom de quantité économique de commande (QEC), a été créée en
1934 pour déterminer la période optimale de réapprovisionnement d'une unité de production.
La réponse de la formule de Wilson à la question « Combien faut-il commander ? », est d’une extraordinaire
simplicité :
X = k √consommation annuelle
 
La difficulté évidente est k. Mais là encore, avec beaucoup de simplicité, il est unique pour chaque article tout
au long de l’année, et les ordinateurs le calculent
Aussi facilement que X : k = √2a/t
Avec : la consommation annuelle, exprimée en francs,
a : les frais de passation d’une commande,
t :l e coût annuel de possession du stock.
Le niveau moyen du stock sera à égale distance de ces deux points hauts et bas.
On notera que dans la littérature logistique on considère souvent que le stock moyen
est composé du stock de sécurité plus le « stock-outil », égal à la quantité consommée
en moyenne pendant la période de réapprovisionnement.
Le stock moyen est donc égal à : stock moyen =SS+X/2
Et pour le SS est le stock de sécurité et X la quantité commandée en moyenne à
chaque réapprovisionnement.
La valeur du stock moyen est de : (SS+X/2) p
Où p est le prix unitaire de l’article.
4) Réduction des stocks en tenant compte des valeurs de leurs coûts de possession :
La méthode de W. E. Welche : gestion par les k1 :
Même les partisans de la formule de Wilson se sont vite rendu compte que les gains sur les coûts de passation
de commande étaient, au moins à court terme, illusoires. Certains ont donc pensé qu’il pouvait être intéressant
d’utiliser k comme un paramètre global de gestion auquel on pourrait donner n’importe quelle valeur
appropriée à un objectif de gestion du stock.1

Gestion par les barèmes quantitatifs (BQ) :


Les fournisseurs proposent souvent des rabais pour l’achat de quantités plus importantes.

Gestion par le coût fictif de commande :


  Supposons que nous considérions que les quantités de commande déterminées empiriquement par les
gestionnaires de stock soient satisfaisantes pourra revenir par la suite sur ces procédés empiriques.
 
5) Paramétrage de la quantité de commande :
On peut généraliser la procédure de gestion par le coût fictif de commande.
Connaissant les niveaux moyens de couverture de stock (ou les taux de rotation)
par grandes catégories d’articles, on peut se fixer des objectifs de niveau de
couverture pour une nouvelle période.

6) Plan directeur du stock : management par les coûts


Le gestionnaire d'inventaire vérifie les paramètres généraux des méthodes
suivantes Ensuite, son inventaire peut être le suivant:
1. Collectez les données nécessaires du système informatique Suivi et gestion
des stocks. Si ce système ne permet pas calculs et manipulations ultérieures,
il lui faudra extraire les données nécessaires et les traiter avec un tableur.
2. Se fixer des objectifs de niveau de couverture de stock et de taux de service
par catégories d’articles, de périodicité maximale de commande et de nombre
de commandes totales.
3. Déterminer des prévisions de consommation par article pour la période d’analyse.
4. Pour chaque article, déterminer ses paramètres de gestion avec :
– le stock de sécurité pour la période de prévision,
– le point de commande,
5. Examiner les cas particuliers de slow movers, articles inutilisables, articles en fin de vie 6.
Pour la totalité du stock, calculer à partir des éléments précédents par article, des prévisions
en termes de :
– niveaux de couverture du stock,
– immobilisation financière,
– nombre de commandes à passer,
7) Management des ruptures de stock :
Quelle que soit la qualité d’une politique de gestion des stocks, elle se traduira
nécessairement par des ruptures de stock. Le fil-rate ou autre taux de qualité de
service ne sera jamais égal à 100 %. Il y aura donc des ruptures de stock or ce mal
nécessaire n’est pas sans conséquences. Il représente un moment fort de la relation
client-fournisseur et doit donc être géré. De nombreuses études ont été effectuées
sur l’attitude des consommateurs qui ne trouvent pas un article dont ils ont besoin.
 
Lorsqu’il s’agit de satisfaire des besoins internes à l’entreprise, la rupture de
stock n’est pas neutre non plus. Elle va induire des attitudes de constitution de
stocks de protection chez les utilisateurs. Elle va modifier l’attitude vis-à-vis du
service logistique et à terme l’organisation...Un point cependant émerge de toutes
les analyses.

 
Conclusion
Les stocks restent souvent un mal nécessaire malgré les progrés des transports et de la logistique. On
ne peut pas s’en passer, on cherche donc juste à en limiter le coût maximum possible. L’essentiel de la
mission à laquelle sont confrontés les gestionnaires de stocks est d’optimiser les coûts de celui-ci.

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