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1 La gestion de stocks 2
1.1 Les principaux éléments d’un système de stocks . . . . . . . . . . . . . . . . 3
1.2 Règles de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.2.1 Gestion à période fixe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.2.2 Gestion à période variable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
1.3 Modèles de gestion des stocks en avenir certain . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.3.1 Modèle déterministe élémentaire : la quantité économique de com-
mande (Formule de Wilson) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
1.3.2 Un modèle déterministe à deux variables de décision : modèle avec
possibilité de défaillance (ou rupture de stock) . . . . . . . . . . . . . 14
1.4 Modèle de gestion en avenir aléatoire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
1.4.1 Modèles de gestion à période fixe et coûts non proprtionnels au temps :
arbitrage entre coût des invendus et coût des ruptures de stock . . . . 17
1.4.2 Stock de sécurité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
Chapitre Premier
La gestion de stocks
Gérer un stock, c’est définir des règles de réapprovisionnement telles qu’on ne manque
pas trop souvent de marchandises en stock et que le coût des gestion soit minimal.
Parmi les décisions de gestion industrielle, l’une des plus importantes consiste à défi-
nir des programmes de production et de stockage, permettant de satisfaire la demande au
moindre coût. Il s’agit dans tous les cas, de rechercher un compromis entre deux exigences
contradictoires :
• éviter les risques de rupture de stock qui se traduisent soit par des ventes manquées
(produits finis), soit par des perturbations dans le cycle de production (matières pre-
mières).
• limiter le montant des stocks, dans la mesure où leur financement peut grever de façon
importante le prix de revient des produits.
•
Si l’on arrive à cerner les coût correspondant à ces deux contraintes, on peut, par des
modèles, essayer de dégager des solutions optimales.
Un stock peut se définir comme une réserve constituée en vue de satisfaire un besoin
ultérieur. Un stock se présente physiquement comme un ensemble d’objets en attente d’utili-
sation, à un moment donné, dans un endroit déterminé. C’est ainsi que, dans une entreprise,
on trouvera des stocks à différents stades du processus de production : des stocks des ma-
tières premières, de composants de produit en cours de fabrication, de produits finis,. . ..
• des raisons de sécurités, chaque fois que l’incertitude caractérise la demande et les
conditions d’approvisionnement.
• la demande d’articles qui peut être constante ou variable, déterminée (comme avec
certitude) ou aléatoire (connue en probabilité) ;
• le prix d’achat ou de revient de fabrication ;
• le délai de livraison, qui peut être déterminé ou aléatoire ou dépendre du volume de la
commande de réapprovisionnement ;
• les différents niveaux du stock : niveau maximal, niveau instantané, niveau minimal,
niveau d’alerte ou niveau de réapprovisionnement ;
• le volume des commandes de réapprovisionnement qui peut être constant ou variable
suivant la règle de gestion adoptée ;
• les dates de réapprovisionnement t et les périodes de gestion T elles aussi constantes
ou variables suivant la règle de gestion adoptée ;
• le coût de possession du stock ou coût de stockage, Cs, compté par article et par
unité de temps. Les coûts de stockage comprennent l’ensemble de coût liés au système
de stockage et affectés par les décisions concernant le stock actif, le stock de sécurité, le
stock de recomplètement et le stock de réapprovisionnement. Il s’agit plus précisément
de :
- du coût d’approvisionnement ;
- du coût de détention ;
- du coût de surplus ;
- du coût de rupture de stock ou coût de pénurie ;
- du coût de dépassement.
Les coût de commande et de lancement sont généralement fixes par rapport au volume
de la commande ou du lot de fabrication. Sur une période de temps donnée, ces coût sont
donc proportionnels au nombre de commandes ou des lancements. Le coût unitaire d’acqui-
sition et le coût unitaire de fabrication sont très souvent dégressifs par rapport au volume
commandé (rabais obtenu des fournisseurs) ou par rapport au volume fabriqué (économie
d’échelle).
Le coût de rupture de stock qui intervient lorsque la demande d’une période ne peut
être satisfaite. Dans le cas d’une demande interne, la rupture du stock risque de provoquer le
chômage technique des ateliers situés en aval. Le coût de rupture peut etre fixe et correspond
au coût de réorganisation ou proportionnel à la date de la rupture.
Dans le cas d’une demande externe émanant de la clientèle, le coût d’une rupture peut
comporter :
Lorsque les coûts sont identifiés et évalués, ils sont intégrés à une relation qui exprime le
coût total de stockage en fonction du volume de produits stockés. Les techniques analytiques
d’optimisation permettent ensuite de préciser pour chaque catégorie de stock un volume op-
timal, c’est-à-dire un volume rendant le coût total de stockage.
Le schema ci-après représente la variation du stock en fonction du temps entre deux ré-
approvisionnements successifs.
F (t) est le niveau du stock à l’instant t. Le coût du stockage entre les instants t et t + dt
peut donc s’écrire (si dt tend vers 0) : Cs f (t)dt.. Entre 0 et T , le coût du stockage est donc
égal à : Z T Z T
Cs f (t)dt = Cs f (t)dt (1.1)
0 0
Z T
Mais f (t)dt n’est autre que la surface hachurée S. Le coût du stockage peut donc
0
s’écrire sous la forme : Cs .S.
Exemple 1.1.
Le stock d’un produit en début de mois est de 50 unités. La demande du mois a été de 30
uniformément répartie sur le mois. Le coût de stockage est de 10 FC par unité et par jour.
Calculer le coût pour le mois.
50 + 20
S= 30 = 1050
20
Cs .S = 10(1050) = 10500
Le raisonnement appliqué au calcul du coût de stockage peut être transposé pour le calcul
0
du coût de pénurie qui est égal à Cp .S . Où Cp désigne le coût de pénurie par unité de produit
et par unité de temps de retard.
Le réapprovisionnement se fait avec ou sans délai l par quantité fixes de façon à rendre
au stock son niveau maximal à la fin de chaque période. Les dates ti où les ordres de
réapprovisionnement doivent être passés (doivent etre) sont déterminées par extrapo-
lation de la droite ou de la courbe de consommation.
Dans ce modèle de gestion que les Anglo-Saxons appellent "Two-bin System", les ordres
de réapprovisionnement sont passés au moment où le stock tombe à un niveau conve-
nablement choisi, appelé "niveau de réapprovisionnement" qui se situe au-dessus du
niveau d’alerte.
Les modèles de gestion que nous venons de développer sont les modèles de base. Ils ont
l’avantage de donner lieu à des règles de gestion automatiques.
Les variables non contrôlables sont ici la demande D et les coûts Cs et Cl . La seule va-
riable contrôlable est Q, la quantité sur laquelle porte un réapprovisionnement.
Q
Le coût par unité de temps est donc, en divisant par :
D
D Q
Kc = Cl + Cs (1.4)
Q 2
quantité que l’on veut minimiser en la dérivant par rapport à Q. Les éléments de cette rela-
tion sont représentés sur la figure ci-après.
2Cl D
Q2 = (1.6)
Cs
De (1.6), on peut tirer la quantité économique à commander Q∗ .
s
2Cl D
Q∗ = (1.7)
Cs
La racine négative n’ayant pas de signification, il faut seulement prendre la racine positive.
Il faut s’assurer que l’on a bien affaire à un minimum : la dérivée d’ordre deux doit être
positive. On a :
d2 K 2Cl D
= (1.8)
d2 Q Q3
qui est toujours positive puisque Cl et D sont positive et que Q l’est toujours. Q∗ est appelée
"série économique" et la valeur optimale de T , appelée période économique, correspon-
dant à cette valeur de Q est : s
∗ Q∗ 2Cl
T = = (1.9)
D Cs
D Q
Kt étant au départ égal à Cl + Cs , on aura, si l’on remplace Q par sa valeur Q∗ :
Q 2
s s
Cl DCs Cl DCs
Kt∗ = + (1.10)
2 2
Ainsi à l’optimum, Cl = Cs .
Exemple 1.2.
Le coût de stockage d’un article de forte consommation (20 000 unités par an), dont la
demande est constante, est égal à 20 F l’an et par article. Quelle est la grandeur de la rafale
la plus économique et la période de gestion sachant que le coût de lancement d’une rafale est
de 320 F ?
Solution
D= 20 000 unités
Cs = 20 F
Cl = 320 F
On a dans ce cas :
s
2(20000)320 √
s
2Cl D
Q∗ = = = 640000 = 800 pièces
Cs 20
Le coût annuel d’approvisionnement est
D Q∗
K ∗ = Cl + C s
Q∗ 2
20000 800
= 320 + 20
800 2
= 8000 + 8000 = 16000
On constate ici une caractéristique de l’optimum pour ce modèle : l’égalité des deux
termes des deux termes de la fonction de coût. A l’optimum, le coût dû au lancement est
égal au coût dû au stockage.
s
∗ Q∗ 2Cl 800
T = = = = 0, 04
D DCs 20 000
Remarque 1.1.
Dans beaucoup de cas, le coût de possession s’exprime comme un taux le plus souvent
0
annuel sur le prix. Si l’on désigne ce taux par Cs et le prix par P , la relation (1.4) devient :
D 0 Q
Kc = Cl + Cs P (1.11)
Q 2
qui donne la quantité optimale ci-après :
s
∗ 2Cl D
Q = (1.12)
Cs0 P
Exemple 1.3.
0 0
Cs = 20% et P = 200 F , Cs P = 40 = Cs .
D 0 Q
Kt = Cl
+ Cs Pi + Pi D, i = 1, 2 (1.13)
Q 2
En considérant les frais de possession comme étant fonction de la valeur.
s
2 × 150 × 1000 × 12 √
s
2Cl D
Q∗2 = Q∗1 = = = 900 000 = 300
Cs 40
Q∗2 < a.
Donc :
D Cs
K1∗ = Cl ∗
+ Q∗1 + Pi D
Q1 2
12 × 1000 40
= 150. + .300 + 10 × 12000 = 132000
300 2
Notes de Cours de Calculabilité (L1 Mathématique) Dr. LUNGIAMBUDILA Oscar
FED
c
/UCC 2017
Modèles de gestion des stocks en avenir certain 14
D Cs
K2 (a) = Cl + a + P2 D
a 2
12 × 1000 40
= 150. + .500 + 9, 8 × 12000 = 131200 < K1∗
500 2
On choisi donc de commander a.
Notations :
D : la demande, connue et constante, par unité de temps ;
Cs : le coût de possession (de stockage) par unité de produit et unité de temps ;
Cp : le coût de pénurie par unité de temps et unité de quantité manquante ;
Cl : le coût de lancement ;
Q : la quantité commandée en une fois ;
S : le stock (négatif) au point de commande.
Sur la figure,
Q=BC
S=BF=t1 .D
Q-S=FC=t2 .D
D’après ces notations, le coût global d’approvisionnement par cycle sera :
S (Q − S)
+ Cs × t 2 ×
Kc = Cl + Cp × t1 × (1.14)
2 2
Le coût par unité de temps s’exprime par :
" #
1 S (Q − S)
Kt = Cl + Cp .t1 . + Cs .t2 . (1.15)
t1 + t2 2 2
Nous choisissons Q et S comme les deux variables de décision : il faut donc exprimer t1
et t2 en fonction de ces variables. Sur la figure, on voit que :
S
t1
=D
t2 = (Q − S)D (1.16)
t +t = Q
1 2 D
Cp .S − Cs (Q − S) = 0 (1.20)
Cs
S= Q = αQ (1.21)
Cp + Cs
en posant α = df racCs Cp + Cs .
Cp 2 Cs 2
−DCl − .Q − Q (1 − α)2 + Cs Q2 (1 − α) = 0 (1.22)
2 2
De là, on tire :
2DCl
Q2 = (1.23)
Cs (1 − α2 ) − Cp α2
Ou encore, en remplaçant α par sa valeur :
2DCl (Cp + Cs )
Q2 = (1.24)
Cp Cs
On obtient finalement :
v s
u 2DCl (Cp + Cs ) 2DCl (Cl 1
u
Q∗ = t = .√ (1.25)
Cp Cs Cs α
et s
∗ 2DCl Cp Cs
S = (1.26)
Cp .(Cp + Cs )
On voit que S, stock négatif qui détermine le moment du réapprovisionnement est nul quand
Cp , le coût de manquant est infini (ce qui revient à admettre que, dans ce cas on ne tolère
pas de pénurie).
On voit que ces résultats sont différents de ceux trouvés au paragraphe 1.3.1 (modèle de
√
Wilson sans possibilité de rupture de stock) par la présence du facteur α (ou de son in-
verse). Or l’inverse de α tend vers 0 si Cp est très grand par rapport à Cs , ce qui est le cas
lorsqu’aucune rupture de stock n’est autorisée.
s
2 × 150 × 1200(1 + 40
) √
Q∗ = 100
= 126000 = 354, 965
40
s
∗ 2 × 12000 × 150 × 40 √
S = = 10285, 71429 = 101, 4185
100(100 + 40)
Kt∗ = 10142 F
Dans le modèle qui suit, nous allons dépasser le point de vue étroit du modèle déterministe
pour tenir compte, autant que possible, es phénomènes aléatoires. Les grandeurs aléatoires
qu’on rencontre dans l’étude des phénomènes de stock sont essentiellement la demande et le
délai de réapprovisionnement ; Il arrive souvent que la demande, si elle est faible, suive une
loi de Poisson et si, elle est forte, une loi normale. Mais elle peut aussi être d’un autre type
(culérienne, binomiale négatice, etc.). La loi du délai de livraison s’apparente quelque fois à
une loi de Poisson, souvent à une loi binomiale.
La demande n’étant jamais connue avec certitude dans la réalité, il faut, dans la gestion
des stocks, prendre en compte l’aléatoire. On le fait d’habitude au moyen d’un "stock de
sécurité", mais auparavant, nous verrons un modèle simple de réapprovisionnement pério-
dique.
Cas I : Cl + Cs (S − X) (1.30)
Cas II : Cl + Cp (X − S) (1.31)
L’objectif est de maximiser l’espérance mathématique du coût d’approvisionnement.
Comme l’intervalle entre réapprovisionnements est fixé, le coût de lancement n’a pas d’im-
portance dans ce modèle. Nous allons donc le négliger.
On an : Z s Z ∞
K= Cs (S − x)f (x)dx + Cp (x − S)f (x)dx (1.32)
0 s
C’est une fonction de la variable continue S. Pour chercher S ∗ , on obtiendra une équation en S
en annulant la dérivée première. Cette dérivée se calcule en se référant à la formule suivante :
Si on a : Z b(Z)
g(z) = f (r, Z)dr (1.33)
r=a(Z)
Alors :
dg(Z) Z b(Z) ∂f (r, Z) ∂b(Z) ∂a(Z)
= + f (b(Z), Z). + f (a(Z), Z) (1.34)
dZ r=a(Z) ∂Z ∂Z ∂Z
Cs F (S ∗ ) − Cp (1 − F (S ∗ )) = 0 (1.36)
D’où :
Cp
F (S ∗ ) = (1.37)
Cs + Cp
Cette relation donne implicitement S ∗ ; par l’intermédiaire de la fonction cumulée de la de-
mande. Si l’on dispose de la courbe cumulée, il suffit de porter en ordonnée la valeur du
Cp
rapport et de se reporter sur la courbe. Le point d’abscisse correspondant est le
Cs + Cp
stock initial optimum.
Cp 100
= = 0, 715
Cs + Cp 100 + 40
Il faut déterminer S de façon que
Z S∗
F (S ∗ ) = f (x)dx = 0, 715
0
Dans la table de la distribution normale, on trouvera que la variable réduite qui correspond
à cette valeur est 0, 57. On a donc :
S ∗ = µ + 0, 57σ = 20 + 0, 57(5) = 23
Cas discret .
La formulation diffère un peu si la demande est une variable discrète. Si p(x) est la
fonction de probabilité de la demande X, la fonction économique devient :
S
X ∞
X
K(S) = Cs (S − x)p(x) + Cp (x − S)p(x) (1.38)
0 S+1
En posant :
M K(S) = K(S + 1) − K(S)
on voit que pour le minimum d’une fonction discontinue, on a les relations ci-après :
M K(S − 1) ≤ 0
M K(S) ≥ 0
A défaut du calcul des différences, nous pouvons utiliser la définition pour calculer les diffé-
rences premières de la fonction. Nous avons donc :
S
X ∞
X
K(S + 1) = Cs (S + 1 − x)p(x) + Cp (S + 1 − x)p(x) − Cp [(S + 1) − (S + 1)] p(S + 1)
0 S+2
S
X S
X ∞
X ∞
X
= Cs (S − x)p(x) + Cs p(x) + Cp (x − S)p(x) − Cp p(x)
0 0 S S+1
S S ∞ S
" #
X X X X
= Cs (S − x)p(x) + Cs p(x) + Cp (x − S)p(x) − Cp 1 − p(x)
0 0 S 0
" S #
X
On pose P (S) = p(x) .
0
x p(x) P(x)
0 0,1 0,1
1 0,3 0,4
2 0,4 0,8 On voit que l’optimum S ∗ est 2 pièces.
3 0,1 0,9
4 0,1 1,0
5 et + 0,0 1,0
D’après ces notations, on voit qu’en fait le stock de sécurité est (S − D̄).
La fonction économique, coût attaché au stock de sécurité par unité de temps (année
par exemple) sera donc :
Z ∞
D
Kt = Cp + (x − S)f (x)dx + Cs (S − D̄) (1.45)
S Q∗
En annulant la dérivée première, on obtient l’équation :
dK D Z∞
= −Cp + ∗ f (x)dx + Cs = 0 (1.46)
dS Q S
D’où
Cs Q∗
F (S ∗ ) = 1 − (1.47)
Cp D
2. Quand on ne peut pas raisonnablement pas estimer le coût de pénurie, on se fixe une
probabilité de pénurie admise. On procède alors simplement comme suit.
On exprime alors simplement la relation qui doit exister pour la probabilité maximum
permise.
∗
P {demande durant le délai dépasse le disponoble} = β QD .
Z ∞
Q∗
f (x)dx = β
S D
Q∗
= 1 − F (S) = β
D
Q∗
F (S) = 1 − β (1.48)
D
En comparant les deux approches pour la détermination de commande, on constate
que les deux expressions qui donnent ce point de commande sont identiques si on a la
relation.
Cs
β= (1.49)
Cp
Si l’on se donne β et que l’on connait Cs , on peut calculer la valeur implicite de Cp .
Par exemple, si β = 2% et Cs = 40 F , on a :
40
Cp = = 2000 F
0, 02