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Gaz de schiste

Présenter par:
Wassim yagoub
introduction
Le gaz naturel est récemment apparu comme une
source d’énergie relativement propre qui offre à un
certain nombre de régions du monde l’occasion de
réduire leur dépendance aux importations d’énergie.
Problématique
C’est quoi le gaz de schiste ?
Quelle sont les méthode d’extraction ?
Quelle sont les impact de cette gaz sur
l’environnement ?
Est-ce que il ya des solution?
Définition
Le gaz de schiste est un gaz naturel retenu à grande
profondeur dans certains schistes des bassins
sédimentaires. Il n'est donc pas retenu sous une
couche imperméable, comme c'est le cas pour les
gisements dits « conventionnels » de gaz ou de pétrole,
mais emprisonné dans la roche elle-même. Pour l'en
extraire, il faut opérer une fracturation de cette roche,
obtenue par injection d'eau sous pression, mélangée à
quelques additifs (on parle d'hydro fracturation, ou
fracturation hydraulique, ou fracking
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i n t c e n tra l (
1 0 à 30 puits
po
1:Fracturation
Avant de procéder à la fracturation hydraulique, une
série de trous de faible diamètre (moins de 12 mm) est
percée le long du tubage horizontal par détonation
d’une petite charge d’explosifs. Ces trous permettent le
contact du fluide de fracturation sous forte pression
avec la roche qui est fracturée et maintenue ouverte
par le sable et les adjuvants chimiques. Les fissures de
la roche mesurent quelques millimètres de large et se
propagent sur des dizaines de mètres dans la couche
forée.
multifracking
L’injection du fluide de fracturation peut durer
quelques heures à quelques jours. Il est possible de
répéter plusieurs fois le processus de fracturation sur
un même puits afin de réactiver un réseau de fissures
lorsque la production de ce puits diminue. On qualifie
cette opération de « multifracking ».
Composition volumétrique des additifs utilisés
dans un fluide de fracturation de nappe
phréatique.
Le sable 
 est utilisé comme « agent de soutènement » : il
s’insère dans les fissures ouvertes et a pour effet
d’empêcher la roche de se refermer. La couche
géologique devient alors poreuse, ce qui facilite
l’écoulement des gaz et huiles jusque-là emprisonnés
dans la roche peu poreuse, y compris lorsque l’injection
d’eau sous pression est interrompue. Le sable peut être
remplacé par d’autres agents de soutènement tels que
des billes de verres, de métal, de céramique ou de
résine.
produits principalement
des biocides ou désinfectants pour éliminer l’activité
bactérienne de la couche rocheuse ou de l’eau injectée en
profondeur 
des réducteurs de friction pour faciliter la circulation de
l’eau et diminuer la consommation de fluide et d’énergie
induite 
des gélifiants ou épaississants pour accroître la viscosité
de l’eau, garder le sable en suspension et le transporter
jusque dans les fissures les plus éloignées 
des additifs employés par Range Resources dans le gisement américain de
Marcellus Shale 
fracking
l'impact de gaz de schiste sur
l'environnement
Analyse l’article de

The effects of shale gas exploration and hydraulic


fracturing on the quality of water resources in the
United States

a Nicholas School of Environment, Duke


University, Box 90227, Durham, North Carolina
27708, United States
2. Contamination des eaux peu
profondes
Notre étude précédente dans le nord-est de la
Pennsylvanie a montré des niveaux élevés de
méthane dans des puits situés près de sites de
forage de gaz de schiste (<1 km), alors que les
puits situés à (> 1 km) de ces zones avaient
beaucoup faibles concentrations de méthane. En
revanche, on a fait valoir que le méthane
relativement élevé dans cette partie de la Le
bassin des Appalaches est dû au flux naturel de
méthane et n’est pas lié au forage de gaz de schiste
é th a n e . D e
e u r s é l e v é e s en m
avec des ten a n t d e 2 3 6 p uits
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r e s p e up r n s l es
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de l a P e n
puits.
2. Connectivité hydraulique entre
formations profondes et peu profondes
migration des fluides. Les preuves des voies naturelles allant
des formations profondes aux aquifères peu profonds du
nord-est de la Pennsylvanie sont illustrées par les
caractéristiques géochimiques distinctives (Br / Cl élevé) et
isotopiques (87Sr / 86Sr).
des compositions d’eaux souterraines salines identifiées dans
des aquifères peu profonds. La composition en Na-Ca-Cl des
eaux souterraines salines peu profondes imite la composition
des saumures de Marcellus et est différente de celle des.
Don il ya un mixte entre les eaux profondes de Marcellus et
les eaux souterraines peu profondes
3. Evacuation des eaux produites et
des eaux de reflux
Les niveaux élevés de salinité (TDS jusqu’à 300 000
mg / L), d’éléments toxiques (par exemple, le baryum)
et de radioactivité
Les eaux de production et de reflux des schistes de
Marcellus et d’autres bassins de gaz de schiste
présentent de nouveaux défis pour la gestion des eaux.
Nos données montrent que l’évacuation des eaux utilise
(hypersalines) dans les cours d’eau de l’ouest de la
Pennsylvanie, même dans une installation de traitement
de la saumure, génère un panache hautement salin (TDS
jusqu’à 100 000 mg / L)
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Usage et recyclage de l’eau
Entre 10 000 et 15 000 m3 d’eau (soit 10 à 15 millions de
litres) sont nécessaires pour le forage de chaque puits
d’exploitation de gaz de schiste (chaque forage de puits
inclut en moyenne 10 fracturations), soit l’équivalent
du volume de quatre piscines olympiques. Près d’un
tiers du volume d’eau total utilisé par puits est utilisé
pour le forage, le reste étant spécifiquement utilisé
pour la fracturation hydraulique.
Après l’opération de fracturation hydraulique, seul un
tiers du fluide remonte en moyenne à la surface
Gisement de gaz de schiste du monde
Gaz de schiste en Algérie
Les gisement en Algérie
Réserves de gaz de schiste en 2013127
Réserves non prouvées
Pays (en billions de mètres
cubes)
 Monde 207
 Chine 32
 Argentine 23
 Algérie 20
 États-Unis 19
 Canada 16
 Mexique 15
 Australie 12
 Afrique du Sud 11
 Russie 8
 Brésil 7
Est-ce que il ya un
solution ??

pour
moi
oui
 techniques alternatives
fracturation au fluor propane . Avantages du propane :
sa viscosité lui permet de pénétrer bien plus facilement
que l'eau dans les interstices de la roche afin de chasser le
gaz et permet de ne pas utiliser les grandes quantités d’eau
et de produits chimiques tant décriés par les opposants à
la fracturation hydraulique ; contrairement au propane, le
fluor propane n'est pas inflammable, mais la manipulation
du gaz de fluor propane liquéfié, forme sous laquelle il
doit être injectée, est plus complexe que celle de l’eau ;
autre avantage : il est réutilisable à 95 %, contre 30 % pour
l’eau22. Mais son principal inconvénient est son coût élevé
 techniques alternatives
la fracturation au CO2 : technique utilisant le gaz carbonique
sous sa forme supercritique entre le gaz et le liquide pour
fracturer la roche, coûteuse et techniquement compliquée
la fracturation électrique : technique consistant à créer des
ondes de chocs par le biais d’arcs électriques, testée en
laboratoire, encore peu efficace et énergivore ;
la fracturation pneumatique : technique consistant à injecter
de l’air comprimé en grande quantité pour fracturer la roche,
efficace mais nécessitant une très importante quantité d’air ;
la fracturation par chocs thermiques : technique consistant à
fracturer la roche par l’injection d’eau froide en profondeur.
Statistique
La fracturation hydraulique a été employée à ce jour
dans près de 1,5 millions de puits dans le monde. Aux
États-Unis, près de 500 fracturations sont réalisées
chaque semaine.
Le forage d’un puits nécessite en moyenne l’usage de
10 à 15 millions de litres d’eau et jusqu’à 2 000 tonnes
de sables. A titre de comparaison, une collectivité de 12
000 habitants(6) consomme en moyenne 5 millions de
litres d’eau par jour.
Solution et conclusion
Les recherches menées par différents industriels
devraient permettre d’améliorer les techniques
existantes et de disposer à moyen terme de
techniques alternatives à la fracturation
hydraulique, dont il faudra mesurer les coûts et
avantages.
Référent
https://
www.connaissancedesenergies.org/fiche-pedagogique
/fracturation-hydraulique
a Nicholas School of Environment, Duke University,
Box 90227, Durham, North Carolina 27708, United
States
https://
fr.wikipedia.org/wiki/Gaz_de_schiste#Techniques_d'e
xtraction_alternatives
Futura-science.com

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