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Ecosystème financier

AIR FRANCE KLM – LUFTHANSA – EASY JET

Matteo KUREK– Chelsea BREKA– Raphael LEMANN – Assia


GUERZOU – Alex PREVOST – Alexandre MEILLER
Comment les entreprises ont géré leur
excédent ou besoin de financement :
• À fin de pallier un besoin urgent de financement, les différentes compagnies ont dû faire appel à
leurs états respectifs, des états étrangers, ou encore des banques pour ce financer efficacement.
En effet pour Air France par exemple, qui a vu son résultat net passer au négatif en 2020, a dû
contracter auprès de l’État français différents prêts à hauteur de 7 milliards d’euros est été
financé à hauteur de 3,4 milliards d’euros par l’État néerlandais Pour faire face à la crise du Covid-
19.  EasyJet PLC, qui a subi une chute de son chiffre d’affaires estimé à 3 milliards de livres sterling
équivalent à environ 52 % de ce dernier, s’est vu financé par l’État britannique à hauteur de 1,87
milliards de dollars et a en parallèle fait appel à des financements bancaires comme BNP Paribas,
Goldman ou encore le  Crédit Suisse.
Lufthansa group quant à eux ont fait une levée de fonds de 2,14 milliards d’euros via la mise en
vente de nouvelles actions.
Les différentes politiques de financement :
• Air France :
Réduire les coûts opérationnels et gagner en efficacité.

Continuer à encourager les autorités françaises à créer un


environnement plus favorable à la compétitivité d’Air France.
Recentrer le portefeuille de marques autour des trois marques
principales : Air France, Transavia et KLM, pour mieux cibler les segments
de marché les plus pertinents et les plus profitables.
Recentrer la croissance des revenus passagers sur les segments les plus
rentables en s’appuyant sur les hubs et la puissance des marques.
Les différentes politiques de financement :
• Easyjet :
Vol low cost.
Miser sur le volume plutôt que la valeur (flotte de 308 avions).
Segmentation des activités, des vols pour le travail et des vols pours
vacanciers.
Les différentes politiques de financement :
• Lufthansa :
Le groupe vise une marge opérationnelle ajustée d'au moins 8 % en
2024.
Engagé dans une vaste restructuration, le transporteur va se séparer
d'ici 2023 de 150 appareils, et a déjà supprimé près de 25.000 emplois
en un an.
Le nombre de sièges offerts à la réservation, adapté par la compagnie à
la demande attendue, avait atteint 31% en 2020. Il doit atteindre 50%
pour que le groupe puisse couvrir ses frais. La direction mise en 2022
sur 70%, puis sur 80% en 2023 et la quasi-normalité en 2024.

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