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Introduction à la Sémiologie
• Exemples
– Signe Fonctionnel, Signe Généraux, signes physiques
– Traitement symptomatique, palliatif, substitutif, curatif,
prophylactique
– Pathognomonique
– Signe, symptôme, syndrome
– Diagnostic présomptif (ou de présomption) ou diagnostic de
certitude
– Diagnostic différentiel : affections qui partagent des similitudes
– Examen invasif, irradiant, non invasif,
– Signe constant, inconstant….. 6
SEMIOLOGIE
• Discipline médicale qui étudie les signes (symptômes,
symptomatologie…..) des maladies.
• Linguistique
– Science qui étudie les systèmes de signes (langage et autres
systèmes).
– synonymes : sémiotique 7
SEMIOLOGIE
• La sémiologie médicale est la partie de la médecine qui
étudie les signes (qui traduisent la lésion ou le trouble
d'une fonction) que peut relever le médecin à l'examen
clinique (signes physiques, signes fonctionnels et généraux)
ou avec des examens complémentaires (imagerie, biologie).
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A propos des signes Cliniques
• Signes
– Signes Fonctionnels
– Signes Généraux
– Signes physiques
• Signe de Babinski : Sd ∆
• Signe de Lasègue
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Signes Paracliniques
• Signe de la silhouette (en imagerie, Thorax)
– Le signe de la silhouette est, en radiologie, la disparition du bord
séparant deux structures lorsqu'elles sont situées dans le même plan.
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Quelques exemples de syndromes
• Syndrome d’apnée du sommeil
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Quelques syndromes paracliniques
(biologie)
• Syndrome de cholestase
• Syndrome de cytolyse
• Syndrome de malabsorption
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A propos des signes cliniques
• Constant ou inconstant
• Caractéristique
• Pathognomonique
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Valeur prédictive
• Validité prédictive (ou valeur diagnostique)
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VALEUR PRÉDICTIVE NÉGATIVE
• Exemple : grosse jambe douloureuse
• Soit un taux négatif (<10Xage)de D-Diméres exclut une TVP mais sa positivité
peut être retrouvée dans d’autres circonstances d’où intérêts d’associer
clinique (Signe de Homans) + taux de D-Dimeres dont la positivité ≥ 10X âge
Terminologie
• Physiologique ≠ pathologique
• Antécédents physiologiques :
– vaccination
– Obstétricaux : grossesse; parité; avortement,
césarienne
• Pathos
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Diagnostic
• Diagnostic positif de certitude : exp attesté par une biopsie
(cancer), par un examen bactério (tuberculose).
• Paucisymptomatique
• Symptomatique
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A propos des explorations
• Invasives, sanglantes et non invasives; Irradiantes, inocuité; préparations
préalables
• Rapport bénéfices/risques
• Automédication…..
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Iatrogénie : comment la cerner ?
• Effets indésirables d’un médicament
• Exercice ……
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A propos des antécédents obstétricaux
– Nullipare et nulligeste
– Multipare, multigeste
– Aménorrhée primaire/secondaire
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Gestité et parité
• La gestité est le nombre de grossesses confirmées; une femme enceinte est
une femme gravide ou gestante.
• « -pare, -parité » vient du latin parus, de parere qui veut dire « engendrer ».
On retrouve ce suffixe dans « parturition » qui est l'action de mettre bas chez
les mammifères et dont le terme pour l'humain est « accouchement ».
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Comment Appelle-t-on une femme qui n'a
pas encore accouche ?
• Une femme ayant fait une fausse couche lors de sa première
grossesse sera qualifiée de primigeste - car elle a bien été
enceinte - mais pas de primipare - car sa grossesse n'est pas
allée jusqu'à l'accouchement d'un enfant vivant - elle reste
donc nullipare = PRIMIGESTE ET NULLIPARE
- Une nullipare est une femme dont la parité est nulle, qui n'a jamais accouché ;
- Une primipare est une femme qui accouche ou a accouché pour la première fois ;
- Dès qu'une femme a accouche pour la seconde fois ou a accouché au moins deux
fois, on utilise le terme « multipare » ;
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A propos de l’intoxication tabagique
• Notion Unités paquets cigarette/ année
– Exemples: 20 UPA correspond à 1 paquet par jour
pendant 20 ans, ou 2 paquets par jour pendant 10 ans.
• Sevrage tabagique
– Arrêt du tabac
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Comment calculer l'intoxication tabagique ?
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Biomarqueur
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DÉFINITION ET INTÉRÊTS
• L’anamnèse (substantif féminin, du grec ἀνάμνησις. aná-: « de bas en haut » -mnêsis,
« mémoire » c'est-à-dire « faire remonter les souvenirs ») est le récit des antécédents d'un
malade.
• Elle est recueillie lors d'une consultation/hospitalisation à la suite d'un interrogatoire mené
par un médecin auprès du patient ou de l'un de ses proches s'il n'est pas à même de pouvoir
répondre aux questions.
• Elle est le 1er élément de l'examen médical qui doit être consignée dans le dossier médical.
• Motif de la consultation : élément clé de l'anamnèse doit être mis en évidence dans le
dossier. 40
ANAMNESE
• Interrogatoire : préambule de tout examen clinique
• Histoire de la maladie*
• Antécédents familiaux
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Antécédents personnels
• Physiologiques
– Femme : obstétricaux
– Carnet vaccinal
– Enfant : courbe de croissance
• Pathologiques
– Affection médicale
– Affection chirurgicale
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ATCDS personnels physiologiques
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Antécédents personnels pathologiques
• Médicaux
• Chirurgicaux
Antécédents familiaux
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CONDITIONS SOCIO-ECONOMIQUES
• Habitude de vie
– Régime alimentaire : végétarien, alcool, Tabac , café…..
• Profession
– Risque d’exposition à une maladie professionnelle :
plomb, peinture, mine, amiante……
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Histoire de la maladie
• Analyse du symptôme majeur et de sa chronologie
– Nature du symptôme
– Sa localisation
– Date et mode d’apparition
– Facteurs déclenchant
– Facteurs sédatifs
– Evolution dans le temps
– Symptômes et chronologie de leur apparition
– Autres symptômes associés
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Fin de l’épilogue…….
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Les signes fonctionnels
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Les Signes Généraux
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Les Signes physiques
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Différents temps de l’examen physique
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Etude synthétique
• Anamnèse
• SF
Regroupement syndromique
• SG (Syndrome)
• SP
Hypothèses diagnostiques
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De l’observation à la déduction
• Pour analyser une lésion ( image)
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Interrogatoire : ce qu’il ne fait pas faire !
• Echouer son interrogatoire (cette étape est trop souvent considéré par les médecins, notamment
par les plus jeunes, comme désuet et sans intérêt !) et se précipiter sur des examens
complémentaires !
• L’interrogatoire constitue le fondement sur lequel doit s’appuyer toute démarche diagnostique.
• Certains diagnostics sont évoqués par un bon interrogatoire, avant d’être confirmés par une
exploration orientée !
• Un bon interrogatoire évitera des examens complémentaires aussi inutiles que coûteux
• Malgré sa subjectivité, certains signes fonctionnels (exemple une dyspnée pour apprécier la gêne
fonctionnelle) sont aussi utiles que les renseignements recueillis par les examens
complémentaires pour juger de la gravité de la situation, suivre son évolution et, prendre la
décision urgente d’une prise en charge diagnostique et thérapeutique .
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« Le médecin qui ne peut se livrer à un bon
interrogatoire et le patient qui ne peut en fournir les
éléments courent un péril commun : celui de donner,
ou de recevoir, une mauvaise thérapeutique »
(P.D. White, 1955)
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Lecture
• L'anamnèse retrace les antécédents médicaux et l'historique de la plainte, la douleur actuelle du patient (c'est-
à-dire l'histoire de la maladie - terme qui n'est pas synonyme d'anamnèse, mais plutôt de remémoration), ainsi
que les résultats des différentes explorations déjà faites et les traitements entrepris.
• Elle est recueillie en général lors d'une hospitalisation à la suite d'un interrogatoire mené par un médecin
auprès du patient ou de l'un de ses proches si celui-ci est sous un système de tutelle, curatelle, ou de
sauvegarde de justice, ou s'il n'est pas à même de pouvoir répondre aux questions. Elle est le premier élément
de l'examen médical proprement dit. Elle est consignée dans le dossier médical. C'est la première étape pour
aboutir au diagnostic.
• Motif de la consultation : élément clé de l'anamnèse et doit être mis en évidence dans le dossier.
• En plus des questions posées par le médecin au sujet des symptômes, des antécédents, etc., l'anamnèse peut
être orientée en fonction des systèmes d'organes touchés (réflexes - maladies du système nerveux central,
en neurologie ; maladies de la peau - maladie sexuellement transmissible, en dermatologie ; fractures -
brûlures, en chirurgie ; maladies respiratoires - cardiopathies - maladies gastro-intestinales, en médecine
interne, etc.).
• Elle doit être idéalement la moins directive possible (privilégiant les questions ouvertes du type « où avez-vous
mal ? » plutôt que « avez-vous mal à la poitrine ? »). L'interrogatoire doit être également répété, des notions
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importantes pouvant apparaître ou se préciser, voire se révéler contradictoires avec d'autres éléments. …..Elle
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