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d’entreprise
Le créateur,
l’équipe
Présentation
synthétique et Le projet
"vendeuse" de Les avantages concurrentiels
votre projet
La clientèle La stratégie commerciale
La rentabilité
C'est un des tableaux financiers qui composent le business plan. Il se situe au jour "zéro", c'est-à-dire
avant le démarrage effectif de l'activité, et présente :
Investissement
• Emploi de capitaux pour renforcer le potentiel d'une entreprise.
Les investissements se retrouvent au bilan de l'entreprise sous forme d'immobilisations (actif immobilisé).
Par exemple : acheter un ordinateur ou une camionnette, faire construire un entrepôt, prendre une
participation dans le capital d'un fournisseur constituent des investissements
• Qu'est-ce que le BFR ?
• Le BFR correspond au décalage de trésorerie issu de l'activité courante de l'entreprise.
• La somme des coûts engendrés par l'activité de l'entreprise forme le prix de revient du produit ou service
vendu. C'est l'encaissement du prix de vente qui couvrira à la fois le montant du prix de revient et la marge
prévue.
• Or l'entreprise doit généralement engager des dépenses préliminaires avant de percevoir ses recettes. En
effet, si elle a une activité commerciale, il lui faudra constituer un stock de départ qu'elle devra peut-être
payer à ses fournisseurs avant de commencer à le vendre.
• C'est ce décalage permanent de trésorerie entre les dépenses et les recettes de l'entreprise qui constitue le
Le business Plan Exemple 1 Détaillé :
Outil-previsionnel-financi
er.xlsx
• Pour remplir correctement le compte de résultat, il s'agit de noter l'ensemble des charges et
produits de l'année comptable.
• Dans la partie "charges", on reporte les dépenses sans en oublier (un plan comptable peut
servir de check-list).
• La dotation aux amortissements pour les investissements achetés (et bien sûr amortissables)
est calculée et reportée dans la colonne des charges (même si ce n'est pas une vraie
dépense).
• Ne pas oublier non plus les charges financières (intérêts et autres frais) induites par les
éventuels emprunts bancaires.
• Dans la partie "produits", on inscrit le chiffre d'affaires (prévisionnel ou réalisé si vous avez
commencé votre activité) et éventuellement d'autres produits tels que des produits financiers
(liés à des placements réalisés) ou exceptionnels (produits nés d'un évènement ne faisant pas
partie de l'activité habituelle de l'entreprise).
Exemple de Compte de résultat :
•Met bien en évidence les 3 composants
du résultat net de l’exercice :
- la partie exploitation
- la partie financière
- la partie exceptionnelle
(que nous ne remarquons pas
sur le tableau étant donné
qu’aucun élément exceptionnel n’a
été Intégré dans cet exemple)
Compte de résultat
• Les charges du compte de résultat se divisent en charges
d’exploitation, financières et exceptionnelles :
• Les charges d'exploitation regroupent notamment les achats de
marchandises, fournitures et matières premières, les variations
des stocks, les impôts et taxes liés à l'exploitation ainsi que les
charges de personnel et les dotations aux amortissements et
provisions d'exploitation. Peuvent s’y ajouter des frais divers :
location, publicité, etc.
• Les charges financières concernent le remboursement et les
intérêts d’emprunt, les dotations aux amortissements et
provisions financières, les différences négatives de change, la
valeur d'entrée diminuée des amortissements des éléments
d'actif cédés, détruits ou disparus ainsi que les titres immobilisés
pour les titres de placement.
• Les charges exceptionnelles regroupent les frais à caractère
unique non liés à l'activité d'exploitation : pénalités et amendes,
rappel d’impôt, moins-values sur des cessions d'actifs, etc.
Compte de résultat • Les produits du compte de résultat sont
composés des produits d’exploitation, des
produits financiers et des produits
exceptionnels. Ces produits comprennent,
les sommes ou valeurs reçues ou à recevoir :
• En contrepartie de la fourniture par l'entité de
biens, travaux, services ainsi que des avantages
qu'elle a consentis ; en vertu d'une obligation
légale existant à la charge d'un
tiers ; exceptionnellement, sans contrepartie.
• La production stockée ou non stockée au cours
de l'exercice.
• La production immobilisée.
• Les reprises sur amortissements et provisions.
• Les transferts de charges.
• Les prix de cession des éléments d'actifs cédés,
sous réserve des dispositions particulières
fixées pour les titres immobilisés de l'activité
de portefeuille et pour les titres de placement.
• Le Résultat d'exploitation
Il s'agit du résultat issu de l'activité courante de l'entreprise. Il est obtenu par la différence entre le
chiffre d'affaires (ventes de marchandises, prestations de services) et les charges afférentes
(consommation de matières premières, charges de personnel, les impôts, les taxes et autres charges
externes). Un résultat d'exploitation insuffisant implique une mauvaise maitrise des coûts ou
un chiffre d'affaires insuffisant pour répartir les charges fixes (loyers/assurance/etc…). La solution
consiste à augmenter le chiffre d'affaires, ou à diminuer les charges, ou idéalement combiner ces deux
solutions.
+
• Le Résultat financier
Il traduit la politique financière de l'entreprise. Il est obtenu par la différence entre les produits
financiers (placements) et les charges financières (intérêts d'emprunt). Une entreprise commerciale
n'ayant pas vocation à générer des produits financiers, son solde est de façon générale négatif (pas de
+
produits financiers, alors que les charges financières sont présentes dès qu’il y a un emprunt).
• Le Résultat exceptionnel
Il contient des éléments non récurrents à l'activité de l'entreprise (subventions, procès, prime de sinistre,
plus ou moins-values sur cession d'actifs...). Il ne constitue pas un indicateur pertinent dans le cadre du
pilotage car il ne permettra pas de juger de la rentabilité durable de la société. Autrement dit, le résultat
exceptionnel recense les recettes et les dépenses conjoncturelles.
= L'agrégation de ces trois résultats correspond au résultat final de l'entreprise avant calcul de l'impôt,
élément clef du compte de résultat. Il servira, par conséquent, de base au calcul de l'impôt.
Mettre en place des indicateurs pertinents
Le taux de marge :
= marge brute/CA HT ce
ratio mesure la marge dégagée par chaque activité.
• Exemple compte
exploitation d’un
magasin:
• TB secteur NORD O
UEST 122021.xlsx
• TB Magasin
3 plans prévisionnels
La trésorerie prévisionnelle
A réduire A augmenter
La trésorerie
prévisionnelle
• Pour le calculer :
• Besoin en fonds de roulement = Stocks + Créances (créances clients et autres créances) -
Dettes fournisseurs, fiscales et sociales (toutes les dettes non financières). Ces
Information figure au BILAN de l’entreprise
• Dans l’idéal, pour une gestion optimale du besoin en fonds de roulement, il faut
encaisser le client le plus tôt possible, et payer les factures fournisseurs le plus tard
possible.
• Cela dépendra de votre secteur d’activité et de votre pouvoir de négociation vis-à-vis
de vos clients et de vos fournisseurs. Pour anticiper des problèmes de trésorerie, il
existe des solutions : renforcer ses fonds propres, solliciter un crédit bancaire « court
terme »
• Vidéo 1 :
La trésorerie Comprendre le BFR, Besoin en fonds de roulement.mp4
prévisionnelle • Vidéo 2 :
Le Besoin en fond de roulement (BFR) par entrepreneur.
fr.mp4
La trésorerie
Plus le BFR est élevé, plus il nécessite de
prévisionnelle ressources. Il faut donc essayer de le réduire
autant que possible",
• Le BFR est nul : les emplois sont égaux aux ressources. L’entreprise n’a pas de besoin
d’exploitation à financer puisque le passif circulant suffit à financer l’actif circulant.
• Le BFR est négatif : les emplois sont inférieurs aux ressources. L’activité génère un flux
positif de trésorerie. C’est notamment le cas pour les entreprises qui paient leurs
fournisseurs à échéances (30, 60, 90 jours), qui ont peu de stock et dont les clients paient
au comptant. L’entreprise n’a donc pas besoin d’utiliser son fonds de roulement pour
financer d’éventuels besoins à court terme.
Le Bilan, l’origine du BFR
Le Bilan, qu’est ce c’est ?
• Le bilan est une pièce comptable décrivant la situation financière d’une entreprise à un
moment donné. Il se divise en 2 parties : d’un côté l’actif (ce que possède l’entreprise) et de
l’autre le passif (ses sources de financement).
• Par définition, le bilan comptable correspond à la synthèse du patrimoine de l’entreprise à
un moment donné. C’est donc une photographie à un instant T.
• Ce document financier est un des composants des comptes annuels. Il est établi à la clôture
de l’exercice comptable et/ou à l’occasion d’un bilan intermédiaire.
• Il est constitué de deux parties reflétant la valeur financière de l’entreprise :
• l’actif, ce que possède l’entreprise,
• le passif, ce que l’entreprise doit.
= Il est toujours équilibré, c’est-à-dire que le total de l’actif est égal au total du passif.
Le Bilan
Si Crédit Fournisseur > Crédit Client alors le BFR<0 donc santé trésorerie positive
• Le ratio stocks : indique la durée moyenne de rotation des stocks. Doit
être le plus faible possible
• = Stocks/Achats TTC x360
• Le prix de revient est également appelé coût de
revient.
• Il correspond à l’ensemble des coûts supportés par
une entreprise afin de produire un bien ou un service.
• La marge brute , indicateur fondamental permettant
de savoir si une activité est rentable, sera égale à la
différence entre le prix de vente HT et le prix de
Le prix de revient.
• Le prix de revient permet de décomposer les
revient différentes dépenses qui ont été supportées durant le
cycle de production et facilite ainsi la réduction de
ces dépenses ; Il permet également de
fixer son prix de vente .
• Prix de revient = somme des charges
directes et indirectes
Le cout de production :
• Le coûts d'achat des matières premières : correspond à la dépense supportée afin d’acquérir un produit fini ou des
matières premières : prix d’achat, courtage, commissions, douane etc.
• Les salaires du personnel affecté à la production
• La quote-part des amortissements affectables à la production
• L’ensemble des charges fixes et variables de production (loyers des ateliers, consommation électrique des
équipements, etc.)
Le coût de distribution :
• Le cout de distribution est égal à l’ensemble des charges supportées afin de diffuser et de vendre un produit ou un
service : publicité, commissions des vendeurs, marketing, affichage, presse etc.
Le coût administratif :
• Le cout administratif correspond aux frais des fonctions de support et d’administration. le service après-vente, les
impôts ou les services généraux (services comptables, juridiques ou financiers etc.)
• les loyers du siège et des bureaux administratifs
• les salaires des équipes de direction générale, des RH, du service comptable, du service informatique, etc.
• la quote-part des amortissements du matériel utilisé par les fonctions support et administrative
• l’ensemble des charges fixes et variables liées aux activités administratives (consommation électrique, assurances,
etc.)
• Une fois le prix de vente minimum
déterminé (coût de revient), il faut
déterminer le niveau de marge qui
Le prix de vente permettra à l’entreprise de réaliser des
bénéfices.
• Lorsque vous établissez votre prix de
vente, n’oubliez pas d’inclure la TVA.
Il faut savoir que pour la majorité des
biens et des services, la TVA s’élève à
20%.
• Votre entreprise collecte la TVA pour
l’État, c’est ce qu’on appelle la TVA
collectée. Lorsque vous faites des
dépenses et que vous payez la TVA, il
s’agit de la TVA déductible. Ce que
vous devrez à l’État sera donc la TVA
collectée – la TVA déductible.
• Le prix de vente s’obtient donc :
Prix de vente = coût de revient + marge
+ TVA
Le prix de vente
Le calcul du seuil de rentabilité est un travail important dans le cadre d’une création
d’entreprise. Il permet à l’entrepreneur de déterminer un objectif de
chiffre d’affaires prévisionnel, puis d’analyser le risque du projet. Quel est le degré de
probabilité que la future entreprise parvienne à atteindre cet objectif de chiffre d’affaires
? Le chiffre calculé est-il réalisable ?
Seuil de rentabilité
Comment calculer son seuil de rentabilité ?
• Voici quelques remarques préalables avant d’expliquer le calcul du seuil de
rentabilité :
• Le calcul d’un seuil de rentabilité se fait à partir des données issues de la comptabilité
(notamment le compte de résultat) ou d’un prévisionnel financier.
• Le calcul du seuil de rentabilité dans une entreprise qui a plusieurs secteurs d’activité
est particulièrement compliqué. Pour y parvenir, il faut être en mesure de pouvoir
affecter l’ensemble du chiffre d’affaires et toutes les dépenses à chaque secteur
d’activité. Cela implique d’avoir mis en place une comptabilité analytique.
Seuil de rentabilité
• La formule de calcul du seuil de
rentabilité est la suivante :
• Seuil de rentabilité = (charges fixes / taux
de marge sur coût variable)
• Exemple : une entreprise à un taux de
marge sur coût variable de 0,55 et
engage 85 000 euros de charges fixes
par an.
• Son seuil de rentabilité est égal à : (85
000 / 0,55) = 154 545 euros. Si
l’entreprise réalise 154 545 euros de
chiffre d’affaires, elle atteint l’équilibre.
• Pour calculer le seuil de rentabilité, il
convient tout d’abord de calculer le taux Vidéo :
de marge sur coût variable et le
montant des charges fixes annuelles. Le seuil de rentabilité
Seuil de rentabilité
• Les charges variables sont les charges qui varient proportionnellement au niveau
d’activité : plus l’entreprise réalise de chiffre d’affaires, plus les charges variables
augmentent, et inversement en cas de baisse.
• Il s’agit notamment des achats de matières premières et de marchandises, des
dépenses de transport sur achat et sur ventes, des achats de fournitures
consommables…
• Les charges fixes sont les charges que l’entreprise supporte peu import son niveau
d’activité car elles sont liées à sa structure.
• Il s’agit notamment du loyer immobilier, des locations et crédits-baux mobiliers, des
honoraires comptables, des charges de personnel, des intérêts d’emprunt, des
dotations aux amortissements…
Seuil de rentabilité
• Les charges variables, Exemple :
• Exemple :
• Prix de vente unitaire : 100 euros
Coût de revient unitaire : 25 euros
Charges fixes : 60 000 euros
Marge sur coût variable = (100-25) / 100 = 0,75
Seuil de rentabilité = 60 000 / 0,75 = 80 000 euros
Le chiffre d'affaires minimum à réaliser pour être rentable est de
80 000 euros.
Seuil de rentabilité
• Point Mort :
• Le point mort est la date à laquelle le seuil de rentabilité est atteint au
cours de I 'exercice comptable.
• Exemple :
• Seuil de rentabilité : 375 000 €
• CA annuel:500 000 €
• Point mort = Seuil de rentabilité/CA * 12 (mois ou 360 jours) =375
000/500 000 = 9 mois (30 septembre)
Seuil de
rentabilité
• Exemple du Compte
exploitation avec
simulateur :
• Simulateur - 112021.xlsx
Seuil de rentabilité : La marge Brute
• Marge brute = prix de vente HT – coût de revient
• La marge c’est ce qui vous permet de vivre : payer
les factures, se verser un salaire etc…
• Le taux de marge est un indicateur qui vous
permet de vous situer par rapport à vos
concurrents. En effet, il existe un taux de marge
moyen par secteur.
• Si vous êtes au dessus du taux de marge moyen,
cela signifie que vous avez une marge de
manœuvre pour baisser vos prix et gagner des
parts de marché tout en restant rentable.
• Ainsi, là où le chiffre d’affaires vous donne
uniquement un indicateur sur vos ventes, la
marge brute vous permet de savoir si vous êtes
rentable.
Stratégie commerciale
• La stratégie, c'est en fait le fil conducteur qui va
permettre à votre entreprise d'atteindre le chiffre
d'affaires que vous avez fixé au préalable.
Il s'agit d'opter pour le meilleur angle d'attaque en
tenant compte des concurrents, des clients et du projet.
En fixant votre stratégie, gardez à l'esprit la manière
avec laquelle vous allez atteindre vos objectifs en vous
insérant durablement sur votre marché, tout en tenant
compte des spécificités de votre entreprise !
Stratégie commerciale
• La stratégie consiste à étudier les différentes
options possibles pour atteindre l’objectif fixé
et choisir la plus adaptée. On identifie 3 niveaux
stratégiques à prendre en considération :
• La stratégie de croissance du groupe
(corporate strategy) ;
• Les stratégies concurrentielles des
différents domaines d’activité (business
strategy) ;
• Les stratégies opérationnelles ou
tactiques (operating strategy).
Bien évidemment, la structure stratégique dépend de la taille de l’entreprise. Plus celle-ci est
petite, moins il y a d’écart entre stratégie générale et stratégie opérationnelle .
Stratégie
commerciale
Stratégie commerciale
Le SWOT est un outil souvent utilisé pour identifier les stratégies possibles pour lancer une activité ou un
produit ou pour développer une activité existante.
L’analyse se base sur le croisement deux éléments :
• Un diagnostic interne permettant d’identifier les forces et les faiblesses de l’entreprise
• Un diagnostic externe qui permet de trouver quelles sont les opportunités et les menaces présentes dans
l’environnement de l’entreprise.
• Le digital a pris une place considérable dans la manière de communiquer ces dernières
années, il est par exemple aujourd'hui difficile de faire l'impasse sur les réseaux sociaux.
L'évolution des usages et styles publicitaires a pris le pas sur la communication
traditionnelle : fini la com de papy !
• Avant l'apparition de l'internet 2.0, l'expérience d'achat était linéaire et l'information
descendante. Les marques annonçaient un nouveau produit sur les médias traditionnels puis
les consommateurs se déplaçaient en magasin pour concrétiser (ou pas) l'acte d'achat.
• Aujourd'hui, vous le constatez : impossible de toucher les consommateurs de la même
façon. Ils sont devenus exigeants, mobiles, connectés et surinformés ! Grâce au web, ils se
renseignent, comparent, s'expriment et consomment en ligne. Finalement, nous n'arrivons
plus aussi facilement à placer nos offres sur leur parcours d'achat.
• Pour toucher efficacement vos prospects vous devez donc vous préparer et communiquer
de manière astucieuse, avec un marketing intelligent.
La communication "online"
• Définition
• La communication online désigne l'ensemble des
actions sur internet.
• Elle offre la possibilité de comprendre le comportement
du consommateur à un instant précis. Bien qu'il existe
une multitude de sites pour diffuser vos offres, vos
clients vous attendrons principalement sur Google et sur
les réseaux sociaux (Facebook et Instagram étant les 2
réseaux les plus utilisés en France actuellement).
Pourquoi communiquer sur les "réseaux
sociaux" ?
• Facebook : 33 millions d'utilisateurs actifs
• YouTube : 19 millions d'utilisateurs actifs
• WhatsApp : 14,5 millions d'utilisateurs actifs
• Snapchat : 13 millions d'utilisateurs actifs
• Instagram : 12,1 millions d'utilisateurs actifs
• Twitter : 10,3 millions d'utilisateurs actifs
• Linkedin : 9,7 millions d'utilisateurs actifs
• Pinterest : 7,9 millions d'utilisateurs actifs
La communication "offline"
• Définition
• La communication offline désigne l'ensemble
des actions marketing utilisées en dehors
d'Internet, et peut être parfois considérée
comme du marketing traditionnel. On y
retrouve les médias traditionnel : presse, radio,
les supports publicitaires (flyers, plaquettes..),
ainsi que tous les outils marketing qui
permettent de véhiculer un message à vos
prospects pour les transformer en clients.
La communication
"offline"
• 1 - Le marketing direct
Le marketing direct est une technique de communication par laquelle le
message s'adresse directement au consommateur et appelle une réponse
(mailing, télé marketing, etc.). Les actions de communication directe
permettent de ne toucher que la personne ciblée et intéressée, ce qui
optimise les retombées commerciales.
• 2 - Le street marketing
Le street marketing peut être très puissant pour votre image et pour que
le client se souvienne de vous. Il est particulièrement bien adapté à des
lancements de produits ou de marque sur une cible urbaine (flyers,
affichage, plaquettes, PLV, catalogues, ou "homme sandwich", etc.).
• 3 - Les relations presse / relations publiques
Les relations presse permettent de toucher un grand nombre de lecteurs.
Et les relations publiques sont quasi gratuites.
• 4 - L'événementiel
Ce type de communication permet de se constituer une base de données
importante et d'avoir une image dynamique. Et également de vous
adresser directement aux consommateurs, acheteurs et prescripteurs.
• 5 – Le packaging
Le packaging est souvent le premier moyen de communication d'un
produit, et le premier contact avec vos clients.
Connaître les acteurs, les grandes tendances du marché et vérifier
l'opportunité de se lancer