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(M.E.S.S.R.S)
LABORATOIRE NATIONNALE
Rapport de stage
Année de Licence II
1
Table des matières
INTRODUCTION GENERALE ..................................................................................................................... 3
REMERCIEMENT ...................................................................................................................................... 3
SIGLES ET ABREVIATIONS ........................................................................................................................ 3
AVANT PROPOS ....................................................................................................................................... 3
CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA STRUCTURE ..................................................................................... 4
I-1 PRESENTATION DU LNBTP.............................................................................................................. 4
I-2 DOMAINES D’ACTIVITES ................................................................................................................. 6
I-3 OBJECTIFS ....................................................................................................................................... 7
CHAPITRE II-ECHANTILLONAGE ............................................................................................................... 8
II-1-INTRODUCTION ............................................................................................................................. 8
II-2-BUT DE L’ESSAI .............................................................................................................................. 8
II-3-APPAREILS ET MATERIAUX UTILISE POUR L’ESSAI ........................................................................ 8
II-4 MODE OPERATOIRE DE L’ECHANTILLONAGE ............................................................................... 9
II-5 PRECAUTION A PRENDRE POUR L’ECHANTILLONAGE DE QUELQUES ESSAIS............................... 9
II-6 CONCLUSION ................................................................................................................................. 9
CHAPITRE III- GRANULOMETRIE ............................................................................................................ 10
III-1 INTRODUCTION .......................................................................................................................... 10
III-2-BUT DES ESSAI ............................................................................................................................ 10
III-3 APPAREILLAGE ............................................................................................................................ 11
III-4 MODE OPERATOIRE DES ESSAIS ................................................................................................. 12
III-5 RELEVE DE CALCUL LIEE AUX ESSAIS .......................................................................................... 12
CHAPITRE IV-LIMITES D’ATTERBERG ..................................................................................................... 17
IV-1-INTRODUCTION ......................................................................................................................... 17
IV-2 BUT DES ESSAIS .......................................................................................................................... 17
IV-3 APPAREILLAGE ET PRODUIT UTILISE .......................................................................................... 17
IV-4-MODE OPERATOIRE ................................................................................................................... 19
IV-5- RELEVEES DE CALCUL LIEE AUX ESSAIS ..................................................................................... 21
CHAPITRE V : ESSAI PROCTOR/CBR ....................................................................................................... 23
V-1 INTRODUCTION ........................................................................................................................... 23
V-2 BUT DE L’ESSAI ............................................................................................................................ 23
V-3 APPAREILLAGE ............................................................................................................................ 23
V-4 MODE OPERATOIRE DES ESSAIS ................................................................................................. 25
V-5- RELEVEES DE CALCUL LIEE AUX ESSAIS ...................................................................................... 27
CONCLUSION GENERALE ....................................................................................................................... 31
2
INTRODUCTION GENERALE
Nous avons été accueillis le 1 er août 2012 au laboratoire National du Bâtiment et des
Travaux Publics pour un stage d’approfondissement de connaissances théoriques et
pratiques dans le domaine du Génie Civil.
Pendant ce stage d’un mois, nous sommes passés dans plusieurs sections où nous avons
réalisé des essais et acquérir de nombreuses connaissances.
Nous ferons ensuite une mise au point des essais réalisés au laboratoire.
REMERCIEMENT
Je remercie d’abord le bon DIEU de m’avoir donné la santé au cours de mon stage, ensuite
Mr BAYILI de m’avoir aidé à obtenir le stage, en plus Mr SANA Ali d’avoir accepté ma
demande et enfin tous les ingénieurs et operateurs de m’avoir appris à réaliser tous ces essai
ci-dessous.
SIGLES ET ABREVIATIONS
LNBTP : LABORATOIRE NATIONAL DE BATIMENT ET DE TRAVAUX PUBLICS
NF : NORME FRANCAISE
AVANT PROPOS
L’Ecole Supérieure Polytechnique de Kaya (ESPK) a été crée en 2006 et reconnue par l’Etat
burkinabé en faveur de la promotion des écoles professionnelles.
ESPK s’est assignée pour mission la formation de cadres moyens. En effet, après le succès au
BAC, ESPK donne la possibilité aux élèves de suivre une formation de trois (03) ans
sanctionnée par un Diplôme de Licence professionnelle.
L’école dispose de quatre (03) filières, à savoir :
- La filière du Génie Civil
- la filière de réseau électrique et énergie renouvelable
- la filière de réseau informatique et télécommunication
Ma formation à porté sur la filière Génie Civil. Elle est complétée par un stage pratique pour
me permettre de mieux appréhender la formation théorique reçue et de se familiariser avec
les réalités de la vie des bureaux d’ingénierie, des laboratoires et des entreprises.
Après l’admissibilité, un stage est effectué et sanctionné par un rapport de stage soutenu
devant un jury.
Cet exercice d’élaboration du rapport a une importance à deux (02) niveaux :
Pour l’étudiant, il s’agit d’une part, de compléter sa formation, d’acquérir ou de développer
des méthodes scientifiques de travail en appliquant des techniques et des connaissances à
l’analyse des problèmes concrets en laboratoire ou en entreprise. Et d’autre part d’évaluer
ses aptitudes d’analyses de synthèses de créativité et d’esprit critique ;
3
CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA STRUCTURE
01 BP 133 OUAGADOUGOU 01
E-mail : nbtp@cenatrin.bf
4
DIRECTION GENERALE
DIRECTION TECHNIQUE
SECRETARIAT DT
DEPARTEMENT GEOTECHNIQUE DEPARTEMENT SOLS ET DEPARTEMENT DELEGATION REGIONALE DE BOBO DEPARTEMENT ADMINISTRATIF ET
ROUTIERE FONDATIONS STRUCTURES DIOULASSO FINANCIER
DIVISION DIVISION ETUDES DIVISION ETUDES ET DIVISION ESSAIS DIVISION DIVISION DIVISION DIVISION DIVISION DIVISION ACHAT ET
CONTROLES ET ESSAIS CONTROLES DES OUVRAGES MECANIQUE CONTROLE MATERIAUX DE FINANCES COMPTABILITE PERSONNEL SUIVI DE
GEOTECHNIQUE GEOTECHNIQUE HYDRAULIQUES DES SOLS TECHNIQUE PATRIMOINE
S CONSTRUCTION
6
Contribuer à la prévention des différents aléas techniques pouvant entraîner
les désordres d’ouvrages par :
I-3 OBJECTIFS
I-3-1 ETUDES ET EXPERTISES
7
CHAPITRE II-ECHANTILLONAGE
II-1-INTRODUCTION
L’échantillonnage est exécuté selon la NF P18-553
II-2-BUT DE L’ESSAI
L’échantillonnage a pour but de prélever une fraction d’un matériau telle que la
partie prélevée soit représentative de l’ensemble de l’échantillon ou si l’on
veut que la partie prélevée soit identique à la partie restante.
8
II-3-2 MATERIAUX
Comme matériaux on a :
II-5-2 GRANULOMETRIE
Idem à la granulométrie
II-6 CONCLUSION
Tous les travaux du laboratoire passent d’abord par l’échantillonnage. Ce qui
veut dire qu’une fois l’échantillonnage mal fait cela se répercutera sur tous les
essais. C’est pourquoi il doit être fait avec délicatesse.
9
CHAPITRE III- GRANULOMETRIE
III-1 INTRODUCTION
La granulométrie est traitée à base de la NF P94-056 mars 1996.
le tamisage des sols comme l’argile, les latérites, les graveleux et le tamisage
des granulats comme le quartz, le sable…. ;
le coefficient d’aplatissement ;
La propreté superficielle des granulats ;
Cet essai consiste à séparer par lavage sur le tamis de 0.5mm les particules
inferieurs à cette dimension. La propreté superficielle est égale au pourcentage
pondéral des éléments inferieurs à 0.5 mm contenu dans l’échantillon pour
l’essai.
10
III-3 APPAREILLAGE
III-3-1 GRANULOMETRIE
Illustration de tamis
11
III-4 MODE OPERATOIRE DES ESSAIS
III-4-1 GRANULOMETRIE
L’essai s’opère en empilant les tamis du plus petit vers le plus grand diamètre
c'est-à-dire de 0.080 mm à 80 mm, l’ensemble est assis sur un récipient qui
servira à recueillir les passants du tamis 0.080 mm. Après avoir mis les tamis en
place, on verse l’échantillon dans le tamis supérieur tout en vibrant l’ensemble
des tamis. Puis on commence par peser la masse des refus du tamis supérieur,
ensuite le tamis suivant, ainsi de suite jusqu’au refus du tamis 0.080 mm tout
en accumulant leurs masses et terminer par les passant du tamis 0.080 mm.
Le premier consiste à empiler les tamis du plus petit diamètre au plus grand
(0.080 mm à 80 mm). Verser le matériau dans le tamis supérieur suivi de
vibration. Ensuite on collecte les différents passants dans de différents plats
en les pesants. Pour passer au deuxième tamisage il faudrait d’abord
effectuer l’opération suivant : diamètre du tamis/ 1.58 pour trouver
l’écartement de la grille à fente correspondant à base de laquelle on
retrouve la classe des refus précédemment collectés.
Le deuxième tamisage se fait par classe et sur la grille à fente
correspondant. On pèse la masse du passant pour chaque classe.
12
Tamis (mm) Module AFNOR Masse des refus Pourcentage
cumulés (g) Refus Passants
80 50 0
63 49 0
50 48 0
40 47 0
31,5 46 0
25 45 00 0 100
20 44 64 1,5 98,5
16 43 103 2,5 97,5
12,5 42 173 4 96
10 41 308 7,5 92,5
8 40 469 11 89
6,30 39 686 16,5 83,5
5 38 932 22,5 77,5
4* 37 1139 27,5 72,5
3,15 36 1490 36 64
2,50 35 1712 41 59
2* 34 1853 44,5 55,5
1,60 33 1957 47 53
1,25 32 2038 49 51
1 31 2087 50 50
0,800 30 2121 51 49
0,630 29 2149 52 48
0,500 28 2176 52,5 47,5
0,400 27 2206 53 47
0,315 26 2238 54 46
0,250 25 2292 55 45
0,200 24 2421 58 42
0,160 23 2612 63 37
0,125 22 2738 66 34
0,100 21 2788 67 33
0.080* 20 2844 68 ,5 31,5
13
Courbe de l’analyse granulométrique
100
80
tamisat
60
40 Série2
20
0
1 10 100
diametre des tamis
Avant tamisage la masse était de 5997 g et après il n’en reste que 5667 g.
Ca=100(Me /M)=100(523/5963)=8,77
14
Tamisage sur grilles à fentes Coefficient d’aplatissement
Tamisage sur tamis à mailles carrées =100 (Me /Mg)
² Masse de la classe Ecartement Masse du
granulaire Mg(g) des grilles E passant Me
(mm) (g)
63/80 40
50/63 31,5
40/50 233 25 70 30,04
31,5/40 2686 20 202 07,52
25/31.5 2149 16 166 07,72
20/25 783 12,5 77 09,83
16/20 85 10 04 04,70
12,5/16 19 8 04 21,05
10/12,5 03 6,3 00 0,00
8/10 03 5 00 0,00
6,3/8 01 4 00 0,00
5/6,3 01 3 ,15 00 0,00
4/5 01 2,5 00 0,00
M=Mg 5963 ΣMe 523
M ne doit pas s'écarter
de M0 de plus de 2%
m(g)=Ms –m’=5178-5135=43 g
Echantillon Operateur
15
Identification : EIEF Nom et Prénom : Sawadogo W Samuel
Provenance : CNLF Date essai : 15/08/2012
Nature : Quartz Visa
Installations et conditions ambiante Equipements
Lieu des essais : LNBTP Siege Ouaga Tamis de 0.5mm : 3ATA 241 TGF/BG01
Lavage : Jet d’eau Tamis de 16 mm
(ballast de 16 à 50
mm)
Exécution de l’essai
Détermination de la masse sèche Ms de l’échantillon pour essai
Préparer 2 échantillons à partir de l’échantillon pour laboratoire
Masse M1S(g) du premier échantillon 628
Masse Mh(g) du deuxième échantillon 5178
er
Séchage du 1 à l’étuve à 105° jusqu’à la masse constante au gamme prés
16
CHAPITRE IV-LIMITES D’ATTERBERG
IV-1-INTRODUCTION
La limite d’atterberg se base sur la NF P94-051 mars 1993. Elle s’intéresse à la
teneur en eau transitoire entre l’état sec, l’état plastique et l’état liquide des
sols.
L’essai d’équivalent de sable a pour but de mesurer la propreté d’un sable qui
doit être un granulat passant au tamis 5 mm. Il rend compte de la quantité et la
qualité des éléments fins en exprimant un rapport conventionnel volumétrique
entre les éléments sableux qui sédimentent et les éléments fins qui floculent.
Limite de liquidité
Limite de plasticité
Une plaque lisse en marbre ou en métal, des capsules ou boites de pétri, des
spatules, une balance et une étuve.
17
Appareil de Casagrande Coupelle, appareil de
Tamis de 5 mm d’ouverture
spatule et cuillère
récipient de pesé pouvant recevoir environ 20 ml
Balance dont la portée limite est compatible avec les masse à peser et
permettant de faire toutes les pesés avec une précision relative de 0.1%
chronomètre donnant la seconde
Réglet de 500 mm gradué en millimètre
Goupillon pour le nettoyage des éprouvettes
Bacs pour tamisage
une solution concentré formé par du chlorure de calcium cristallisé pur, du
glycérine à 99% de glycérol pharmaceutique, du formaldéhyde et de l eau
distillé.
18
IV-4-MODE OPERATOIRE
IV-4-1 LIMITE D’ATTERBERG
LIMITE DE LIQUIDITE
Après tout ce processus, la totalité du tamisat doit être malaxée afin d’obtenir
une pâte homogène. Pour débuter l’essai on doit repartir et remplir avec la
spatule dans la coupelle la pâte. La pâte est étalée en plusieurs couches
successives enfin d’éviter au maximum les bulles d’air. Pour cela il faut avec la
spatule racler et enlever la pâte jusqu'à laisser au moins 15 à 20 mm
d’épaisseur. On doit aussi enlever la pâte qui se situe au nord de la coupelle
d’environ 3 cm et avec l’outil à rainurer partager la pâte en 2. Par la suite fixons
la coupelle sur le support métallique de l’appareil de Casagrande, tourner la
came dans le sens de l’aiguille d’une montre de façon à faire soumettre à la
coupelle une série de chocs à la cadence de 2 coups par seconde. Tourner la
came jusqu’à obtenir une fermeture d’au moins 2 cm tout en comptant le
nombre de chocs subit par la coupelle. Le premier nombre de coup doit être
compris ente 15 ; 16 ; 17. Répéter ce processus jusqu’à cinq fois tout en
sachant que le dernier nombre de coup ne doit pas excéder 35 coups. Pour
chaque nombre de coup on prélèvera environs 5 g de pâte de part et d’autre
de la rainure enfin de déterminer la teneur en eau. Le prélèvement est placé
dans une capsule de masse connue et pesé immédiatement avant d’être
introduit dans l’étuve pour dessiccation.
LIMITE DE PLASTICITE
19
éventuellement à l’aide d’une plaquette de façon à obtenir un rouleau qui est
aminci progressivement jusqu’à ce qu’il atteigne 3 mm de diamètre.
20
relever le tube laveur de façon à ce que le niveau du liquide se maintienne à
hauteur de trait de repère puis arrêter l’écoulement. Laisser reposer pendant
20 mn et ensuite mesurer à l’aide du réglet la hauteur h1 du niveau supérieur
du floculat par rapport au fond de l’éprouvette. Mesurer également la hauteur
h’2 du niveau supérieur de la partie sédimentée par rapport au fond de
l’éprouvette. Descendre doucement le piston taré dans l’éprouvette jusqu'à ce
qu’il se repose sur le sédiment pendant lequel le manchon coulissant prend
appui sur l’éprouvette. Lorsque l’embase du piston repose sur le sédiment,
bloquer le manchon coulissant sur la tige du piston. Introduire le réglet dans
l’encoche du manchon, faire venir buter le zéro contre la face inferieure de la
tête du piston et lire la hauteur du sédiment h2 au niveau de la face supérieur
du manchon.
21
IV-5-2 LIMITE D’ATTERBERG
60
58
56
54 Série1
52 Linéaire (Série1)
50
0 5 10 15 20 25 30 35 40
Nombre de coups
22
CHAPITRE V : ESSAI PROCTOR/CBR
V-1 INTRODUCTION
L’essai Proctor que nous allons réaliser se base sur la NF P94-093 et celui du
CBR sur la NF P94-078. L’essai Proctor s’intéresse à la détermination des
caractéristiques de compactage d’un matériau comme la teneur en eau et les
masse volumique des matériaux après compactage.
Il existe une teneur en eau particulière w optimum notée Wopn pour l’essai
Proctor normal et Wopm pour l’essai Proctor modifié pour laquelle le
compactage conduit à une masse volumique sèche ρd (ou un poids volumique)
maximum.
La masse volumique maximale correspond donc à un état de compacité
maximum et à une capacité de résistance maximum.
L’essai Proctor permet de déterminer ces conditions particulières.
Cet essai donne une mesure de la portance relative des sols par rapport à un
sol type, constitué par des pierrailles concassées et compactées, extraites
d'une carrière de Californie. Cet essai détermine l’indice portant immédiat (IPI),
l’indice CBR immédiat et l’indice CBR après immersion.
V-3 APPAREILLAGE
V-3-1 ESSAI PROCTOR
23
ILLUSTRATION DE MOULES
Moule Proctor avec embase et hausse ou moule CBR avec embase et hausse
Dame Proctor normal ou dame Proctor modifié
Règle à araser
Balance de portée supérieure à 6 kg.
Presse CBR
Moule CBR avec embase, hausse et anneau de surcharge
DAME
Règle à araser
Balance de portée supérieure à 6 kg.
24
MOULE ET DAME CBR
PRESSE CBR
25
contenait chaque échantillon. Ces résultats ainsi obtenus sont exploités dans
un tableau.
26
L’indice CBR immédiat
13,35
20
Le tableau ci-dessous donne les valeurs d’un essai Proctor sur une argile
jaunâtre provenant de l’aéroport de donsin.
Me= Masse totale humide – Masse totale sèche= 549,5 – 515,62= 33,92 etc.
Teneur en eau :
,
(%) = 100= 100=7,3 etc.
,
28
w=f(sd)
2
1,98
1,96
1,94
1,92
densité
1,9
1,88
1,86 Série1
1,84
1,82
1,8
0 5 10 15
Teneur en eau
Le tableau ci-dessous représente les résultats d’un essai CBR sur une argile
jaunâtre de masse 21,037 kg provenant de l’aéroport de donsin.
Calcul de la teneur en eau initiale naturel pris dans l’essai Proctor :
Wn= wmoy/eau de mouillage(%)= 7,3-2=5,3 etc.
Calcul de la teneur en eau naturel moyenne :
( , ' )&( , ' )&(##, ' )&(# , '()&(# , ' )
Wnmoy= =5,3
( (" , & , )
IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= = 1,9
29
( " , & , )
IP2,5 mm=100xF2,5 mm(KN)/13,35= =1,8 25 coups
# ,
( " , & , )
IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= = 1,7
( " , & , )
IP2,5 mm=100xF2,5 mm(KN)/13,35= =1,2 10 coups
# ,
( (" , & , )
IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= =1
E(mm) F(div) E(mm) F(div) E(mm) F(div) E(mm) F(div) E(mm) F(div) E(mm) F(div)
0,1 14 2 40 0,1 10 2 31 0,1 10 2 20
0,2 16 2,5 44 0,2 12 2,5 35 0,2 12 2,5 22
0,3 19 3 49 0,3 13 3 40 0,3 14 3 23
0,4 21 3 ,5 52 0,4 14 3 ,5 43 0,4 15 3 ,5 24
0,5 25 4 54 0,5 15 4 47 0,5 16 4 26
0,6 26 4,5 56 0,6 17 4,5 50 0,6 16 4,5 27
0,7 27 5 58 0,7 18 5 53 0,7 16 5 28
0,8 28 6 62 0,8 19 6 56 0,8 16 6 30
0.9 29 7 63 0.9 20 7 59 0.9 16 7 32
1 30 8 64 1 22 8 61 1 17 8 34
1,25 34 9 65 1,25 24 9 63 1,25 17 9 36
1,5 37 10 66 1,5 26 10 64 1,5 18 10 38
IP2,5 mm= 2,2 IP2,5 mm= 1,8 IP2,5 mm= 1,2
100xF2,5 mm(KN)/13,35= 100xF2,5 mm(KN)/13,35= 100xF2,5 mm(KN)/13,35=
IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= 1,9 IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= 1,7 IP5mm= 100xF5 mm(KN)/20= 1
30
70
60
50
40 Série1
30 Série2
Série3
20
10
0
0 5 10 15 20 25 30
CONCLUSION GENERALE
31