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Victor Vaillancourt 21 avril

Freud
Texte 1

Freud était un psychanalyste. Il pensait qu’une relation conflictuelle entre


l’homme et son milieu était inévitable. Il considère l’homme non pas
comme un sujet rationnel mais comme un homme déterminé par ses
pulsions irrationnelles. Il émet la théorie du subconscient et s’en sert pour
traiter les maux des hommes.

Au début, l’homme est animé par le principe de pulsion, aussi nommé de


plaisir, et celui-ci peu à peu s’écarte pour laisser la place au principe de
réalité alors que l’homme apprend à se modérer. Il appela le premier le ça
et le second le moi. Il définit aussi le surmoi comme étant la somme des
attentes des autres que l’on finit par intégrer à soi-même.

C’est de l’existence du surmoi dont provient le conflit entre la culpabilité et


le désir. La culpabilité pousse sans cesse à refouler les éléments
perturbateurs en dehors du conscient mais ceux-ci continuent à faire
pression depuis le subconscient chez l’individu. Cela se manifeste par des
lapsus par exemple ou d’autres impulsions inconscientes.

Pour permettre au patient de découvrir ses traumas, il développe la


technique d’association libre qui consiste à le faire parler librement de
choses anodines pour que le contrôle sur le subconscient s’estompe. Il
pense aussi que l’interprétation des rêves est cruciale à l’écoute du
subconscient. Pour cela, le thérapeute peut jouer un rôle mais c’est aussi
au patient de faire l’interprétation.
Texte 2

Lorsque quelqu’un cherche à recouvrir un désir refoulé, encore une fois


deux forces s’opposent, l’effort de rappel et la résistance résultante du
surmoi. Pour éviter d’être refoulé, les souvenirs oubliés apparaissent sous
forme d’allusion, évitant ainsi d’être trop explicite et rendant plus difficile la
tâche du thérapeute.

Il dit cet examen des idées spontanées comme n’étant pas essentiel,
quoique fortement recommandé, puisque deux autres procédés tendent au
même résultat : l’analyse des rêve et celle des lapsus. Prendre note que
l’analyse des rêves est plus difficile chez un patient adulte.

Pour les déchiffrer, il suffit de permuter les manifestations oniriques par


leur sens profond. C’est par le rêve que les désirs continuent de se faire
sentir à travers l’homme, sans les contraintes du surmoi. Il explique ensuite
la présence de l’angoisse dans le rêve comme étant le refus du moi face à la
trop complète expression des désirs refoulé.

La troisième technique psychanalytique, comme énoncé plus tôt, est


l’analyse de ce qu’il appelle les actes manqués.

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