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PSCHOLOGIE APPLIQUÉE
Chargé de Cours
M. COULIBALY
NB : Tout droit de reproduction de ce document est formellement interdit sous peine de poursuites judiciaires
Novembre 2016
INTRODUCTION GENERALE………………………………………………………………………….7
1/ définition ………………………………………………………………………………………………….10
2/ historique…………………………………………………………………………………………………..10
2/l’egogramme…………………………………………………………………………………………….16
2/ la contamination………………………………………………………………………………………..22
3/ l’exclusion………………………………………………………………………………………………….23
I/ LES TRANSACTIONS……………………………………………………………………………….24
2/ la contre –symbiose……………………………………………………………………………………30
3/ la dévalorisation et la survalorisation…………………………………………………………32
5/ la relation d’autonomie……………………………………………………………………………..33
1/ définition …………………………………………………………………………………………………..34
I/ LA STRUCTURATION DU TEMPS……………………………………………………………38
1/ définition …………………………………………………………………………………………………38
1/ définitions…………………………………………………………………………………………………41
I/ DEFINITION…………………………………………………………………………………………44
2/programme…………………………………………………………………………………………………45
3/injonction……………………………………………………………………………………………………45
4/décision………………………………………………………………………………………………………46
CONCLUSION PARTIELLE……………………………………………………………………………….47
INTRODUCTION………………………………………………………………………………………………48
1/ définition…………………………………………………………………………………………………..49
2/ historique………………………………………………………………………………………………….49
7/ ce que sait faire une personne une autre personne peut le faire ………………51
I/ DEFINITION……………………………………………………………………………………………54
1/ systèmes de perception…………………………………………………………………………….54
2/systèmes de représentation………………………………………………………………………..54
4/ Prédicats…………………………………………………………………………………………………..56
5/Comportements et attitudes…………………………………………………………………….57
6/ Mouvement oculaire………………………………………………………………………………..57
I/ LES COMPARAISONS………………………………………………………………………………….62
1/référence au temps……………………………………………………………………………………63
1/ la direction…………………………………………………………………………………………………64
2/ l’implication……………………………………………………………………………………………….64
1/ définition …………………………………………………………………………………………………68
1/ modelisation ……………………………………………………………………………………………..74
2/ strategie en PNL…………………………………………………………………………………………74
PARTIE 3 : LA CREATIVITE………………………………………………………………………..75
I/ DOMAINE DE LA CREATIVITE…………………………………………………………………77
CONCLUSION
INTRODUCTION
Est appelé science toute activitéde l’esprit qui s’articule autour d’un objet
suivant une méthodologie rigoureuse avec des concepts clés .Les sciences
humaines tout comme la sociologie , l’histoire, la linguistique , l’économie et
surtout la psychologie s’inscrivent fièrement dans ce cadre logique .Elles ont en
commun l’homme pour objet d’étude mais dans ses différents aspects.
Elle s’attache donc sur les moyens d’agir sur la masse, à l’étude des
comportements des individus en entreprise
L’AT a connu un succès important auprès du public avant d’être reconnu par les
professionnels. Aujourd’huicette approche comportementaliste des relations
humaines est très utilisée pour rendre compte des relations dans les
organisations, les entreprises et même dans le domaine de l’éducation. L’AT se
fonde sur une théorie de la personnalité qui doit autant à un
certainBEHAVORISME qu’à la tradition FREUDIENNE.C’est une méthode
d’analyse de la structure de la personnalité, de la communication entre les
sujets sociaux, des règles qui sont instituées dans les relations de groupes.
-Nous avons tous en nous un plan de vie que nous nous sommes définis très
jeunes et dont le déroulement donne naissance à un SCENARIO DE VIE
- enfin l’individu a toujours voulu se situer par rapport aux autres c’est cequ’on
appelle position de vie
Ce sont là, autant de concepts qui seront développé dans cette première partie
du cours
Il faut retenir que dans l’analyse de ERIC BERNE, les termes , Parent , Adulte et
Enfant ne se ramène pas à l’âge et aussi au théorie psychanalyste Freudienne
,du moi et du surmoi mais plutôt il constate que de la naissance à l’âge adulte ,
l’être humain grandit et passe par des différents états .L’individu ne dépasse
pas ses états par lesquels il est passé mais il les intègre, cela dit qu’il est à l’âge
adulte à la fois Parent , Adulte et Enfant
La preuve que nous avons tous trois états du moi, c’est que nous avons été
tous des enfants nous avons tous eu des parents ou des personnes qui nous
ont tenu lieu de parents, nous avons tous une certaine capacité à traiter les
éléments de la réalité. L’étude de l’état du moi de l’individu va se faire sous
deux angles.
-L’analyse structurale
Cette analyse présente simplement ces trois états du moi que sont Parent,
Adulte et Enfant
A : L’adulte est le dernier état du moi qui se développe .C’est lui qui
observe,comprend, agit, décide et analyse
E : L’enfant est le premier état du moi qui s’est constitué après la naissance, il
exprime sans réservel’affectivité, les besoins, les sensations, les émotions da
lapersonne
E
………….motivation, émotion, ambiance, climat
Diagramme structurale
-L’analyse fonctionnelle
Le parent normatif c’est l’individu qui intègre les normes, des valeurs .il dit à
l’autre ce qu’il doit faire.il comprendre l’ensemble des jugements de valeurs,
les normes sociales et les interdits parentaux
*Etat du moi adulte : c’est celui qui appréhende la réalité il est rationnelle .il
appréhende la réalité sans affectivité et sans jugement de valeur.il raison, il est
logique, il est objectif, il collecte des informations les analyses et tire des
conclusions conforme a la réalité. Il est tares souvent neutre ….
*état du moi enfant : en chacun de nous il existe un aspect enfant, et cela peut
se percevoir à plusieurs niveaux
C’est lorsque nous agissons sans craintes ni contraintes laissant librement agir
notre spontanéité, notre imagination.ici l’individu tient compte de ses
sensations laissant émerger ses émotions et sentiments.il est de nature
capricieux, rieur, plaisantin. Il exprime ses joies, peines attirance, peurs
colère…il est direct et dit les choses clairement il ne tient pas compte des
autres.
C’est l’enfant sage obéissant dont rêventles parents .il se plie au règles ne
s’oppose pas. il est soumis. Respectueux tient compte des avis des autres.
C’est l’opposé de l’enfant adapté, il n’aime pas qu’on lui impose des règles,
qu’on réduise ses choix et possibilité d’actions.il refuse ou fait le contraire de
ce qu’on lui demande. Généralement les EAS deviennent rebel.EAR aime bien
prendre le contre pied des manifestations d’autorité. Il finit toujours par ce
retrouvé dans des syndicats lorsque la manifestation d’autorité devient très
forte. Comme posture il hausse les épaules, lève les yeux en prenant un air
excedé.son regard est par fois provocateur.
2/ parent nourricier
4.1/ EAS
5/ EC
6/ ES
C’est le 1erétat, ici l’enfant exprime sans réserve son ressenti, ses désirs,
besoins, émotions, peurs, craintes, plaisirs,colères,souffrances. A ce niveau les
réactions observables sont immédiates et spontanées. Il n’a pas d’interdits, ni
de limite .Ce sont des réactions brutes et libres
Dans l’enfant libre ou naturel se trouve la source de nos émotions les plus
authentiques
Nous sommes dans notre enfant naturel lorsque nous pleurons en sanglots ou
lorsque nous rions aux éclats. Il est assez rare de voir des personnes adultes
dans l’EN ou ELcar la société en perçoit surtout les aspects négatifs(les
émotions ne doivent pas venir gêner le bon fonctionnement de l’adulte, ni les
désirs instinctif contrecarrer les instructions du parent)
2/ Egogramme
Lorsqu’on veut estimer intuitivement l’énergie investie dans nos différent sous
états du moi nous appliquons notre autodiagnostic : comment je me comporte
avec les autres ou mes collègues ?ai-je tendance à les jugés à dire d’eux qu’ils
sont serviables dévoués ou futiles et pas assez professionnels ?
Plus un état du moi est sur- investi moins les autres le sont. L’egogramme est
représenté par un diagramme montrant l’évolution intuitive de l’importance
de chaque subdivision du modèle fonctionnel des états du moi dans la
personnalité d’un individu. Ce diagramme se construit sur la base de scores
obtenu par un individu lors d’un test de personnalité dit test d’egogramme.
SCORES
vraiment » sentiment
efficace
tient
compte
peu des
réalités
humaine.
PARENT Le gentil Il lui est Permissif, il Bienveillant, il stimule Sécurisant à
NOURRICIE patron ni difficile de encourage la ceux qui ont des court terme.
R rigoureux définir des dynamique problèmes .Risque de Frustrantensu
(Pnr) ni limites « essais démotivation de ceux ite, car trop
vigoureux
claires et erreur »et qui n’ont pas besoin « tutélaire »il
mais
donc de accepte les de lui. Il encourage les institue un
compréhe
nsif et toucher. Il problèmes initiatives mais couve climat
pédagogu exprimera inhérents. Il souvent à l’excès. propice au
e tolérant avis et à même travail
et aidant conseils, à tendance à d’équipe.Son
l’entourag traiter les souci est le
e de risques à la bien-être des
décider et place de gens
il leurs acteurs
s’estimera
responsab
le de la
décision
prise
ADULTE(A) Le Rapide s’il Même Rares stimulations Neutres, voire
technocra est en remarque positives, sauf s’il sort plutôt froid.
te sérieux terre que pour la d’un stage de S’il acquiert
et neutre connue. prise de « management motiva une
s’il est
Dans le décision. Il tionnel »et qu’il en approche »te
technique
cas risque de se perçoit chnico-
ment
compéten contraire, trouver l’intérêtimmédiateme économique
t ses il planifie démuni nt pour la tache .Il »il ne
directives ses dans les délègue dans le manquera
sont très résultats. problèmes mêmeesprit. Il stimule alors de
claires, Son souci de relations le développement de chaleur pour
d’intégrer humaines et chacun : complies, les relations
tous les peut alors mente être ramande si humaines.
paramètre savoir nécessaire sans Positif, réactif
s peut recours aux confondre le problème et constructif
cependant normes de et la personne. Il pour le
être son parent. délègue et développeme
excessif et C’est sa responsabilise nt de chacun
gêner fonction de Acceptation
l’action. résoudre les et
Rapide ou problèmes. valorisation
lente Il rassemble des
1/ le contrôle
Ex : Parent au contrôle : P
Ex : adulte au contrôle
e
- Enfant prend le contrôle :
E
E
L’individu est dominé par ses émotions ses sensations il a un comportement
E
instable .il est généralement loin deEla realité.il manque de sérénité.
E
Ex : enfant au contrôle P
E
E
A
E
EE
E
2/ la contamination E
-Le Parent contamine l’adulte : ici l’individu à des pensés et propos qui sonnent
juste mais qui sont en fait des préjugés .Ici l’adulte est sous l’influence des
préjugés et les superstitions
Ex : les bétés n’aime pas travailler, d’ailleurs combien parmi eux ont des
plantations ?
P
A
Ex : double contamination P
3/ l’exclusion
En ce qui concerne l’état du moi exclusif un état domine sur les autres, on a
trois cas de figure ainsi donc :
État du moi exclus : c’est ce qui n’existe pas, ici l’état du moi est soit absent ou
n’existe pas
- Parent exclus : c’est un individu qui ignore les normes les règles les lois
l’autorité
Ex : parent exclus P
Ex : enfant exclus
P
I/ LES TRANSACTIONS
Exple :
P P
er
-1 cas : adulte de A s’adresse à l’adulte de B
A A
Q : Pensez-vous êtreprésent ?
E E
A A
E E
A B
-Transactions obliques
C’est aussi une transaction simple mais la différence est qu’elle est oblique .Ici
l’état du moi qui est sollicité est de niveau différent de l’état du moi solliciteur
P P
A B
L’effet majeur ressorti ici est que on définit par transaction croisée dans une
communication lorsque laréponse est faite par un état du moi non sollicité .Ces
transactions ont une particularité .C’est qu’elles débouchentgénéralement sur
des conflits ou des malentendus qui interrompent la communication
Exple :
A A
E E
A B
R : Et oui, mais c’est parce que des gens comme vous ont trop exagéré
P P
A A
E E
A B
A B
Les transactions cachées sont la base des jeux psychologiques. Elles sont
généralement trompeuses .elles ontun niveau social (apparent) et un niveau
psychologique ou caché.
A A A A
E E E E
A A A A
E E E E
B : je pars à paris
C’est le type de transaction qui est accompagnée d’un rire aux malheurs d’un
individu. La plupart du temps le rire du pendu consiste à rire de ses propres
malheurs.
Conclusion partielle
Une relation est dite symbiotique lorsque chacun des individus lors d’un
arrangement chacun utilise que l’état du moi quant il est en présence de
l’autre. Dans une relation symbiotique ou dans une symbiose la plupart des
transactions utilisés entre elles sont complémentaires et la suivie de l’un
dépend de celle de l’autre.
Dans la relation symbiotique deux type de relation sont possible. On peut aussi
dire qu’un individu est dans une relation symbiotique à partir du moment ou il
s’identifie à : soit à quelqu‘un qu’il n’est pas ou soit à quelque chose qu’il n’est
pas.
1er cas
P P P P
A
A A A
E
E E E
Ou
MARI FEMME
-Une femme qui défend jusqu’aux fautes les plus graves de son
enfant.
La contre symbiose sur le plan de la vie se laisse donner par l’état adulte et
parent de la femme pour qu’il ai un équilibre dans le couple .la contre-
symbiose permet d’équilibré une relation instable. Elle stabilise symbiose. La
contre symbiose joue le rôle de stabilisateur. A ce niveau il y a deux cas. Dans la
relation symbiotique sur le plan professionnel et financier l’homme joue le
rôle de parent et d’adulte et la femme se renferme dans un rôle d’enfant
adapté soumis
EX
A A A
A
E E
E
E
MARI FEMME
2e cas relation
Mari femme
P P
A A
E E
La chaine symbiotique
A B C D E F
P P P P P P
A A A
A A A
E E E
E E E
3/ la dévalorisation et la survalorisation
A A
E E
Je ne sais rien
Par contre chez les adultes la dépendance psychologique est imaginaire et met
en relief donc l’existence de contamination et d’exclusion .la dévalorisation de
soi et la survalorisation de l’autre se remarque ici.
L’une des attitudes majeure dans une relation symbiotique c’est la passivité.la
passivité est le comportement d’un individu qui s’abstient de réagir face à une
situation donné. On dit de celui-ci qu’il est passif. il existe 4 manière pour
unindividu d’être passif.
*Ne rien faire ouremettre à plus tard : tout va s’arranger, mon conseiller s’en
occupe, je ne m’en sortirai jamais. Ici on estime que la situation va s’arranger
toute seule
*se sur adapter : ici c’est de te remettre au dessus des conflits. Accepter la
situation en activant un moi fort
* s’agiter : ici l’individu peut s’énerver autour du problème. Il sait qu’il peut
résoudre la situation en faisant quelque chose. Mais il ne se sent pas capable.
*se rendre incapable, réagir ou être violent : ici l’individu peut êtreviolent
(colère agressivité) vers les autres ou vers soi.
5/ la relation d’autonomie
C’est une relation où les états de moi sont indépendant ou interdépendant .Elle
se caractérise sur le respect et l’acceptation des différences des autres .Tous
les états de moi sont activités et sont ni dévalorisés, ni survalorisés
p p p p
p p
A A
A A A A
E E
E E E E
P
P
A
A
E
E
Relation autonome
1/ définition
Exemple : Vous avez bien fait le travail, félicitation (strocke positif) ou tu es très
nul (stroke conditionnel négatif)
1/ Définition
Les positions de vie peut se définir comme étant la manière que nous
appréhendons les autres et nous même .C’est notre vision de notre propre
personne par rapport aux autres. Elles proviennent en grandes parties de notre
enfance, de nos expériences et de l’image que les autres nous ont renvoyé de
nous-mêmes
Ex : Quelqu’un à qui on dit qu’il est nul et bon à rien se verra négatif.
Chaque état de moi correspond à une position de vie .Il y’a ainsi quatre
positions de vie principales.
Onentend parfois dire d’un enfant ou d’un adulte : c’est dommage il manque
totalement d’estime de soi. Qu’entend on par cette ? Le manque
d’assurance ?de confiance ? Auto dévalorisation ? L’analyse transactionnelle
situe clairement cette notion dans la relation aux autres et aux monde avec la
formule « je suis ok » et « je ne suis pas ok » qui se traduit par je suis
quelqu’un de bien ou je ne suis pas quelqu’un de bien
-OK+/ OK+ : c’est un individu qui est bien dans sa peau et bien avec les autres
également. C’est le plus satisfait pour soi-même et les autres. Cela dit qu’on
accepte les autres comme soit, nous sommes en harmonie avec nous-mêmes
et le monde .On a donc toutes les formes de transaction sont possibles
P P
:
A A
E E
NB : Nous sommes sur le même pied d’égalité avec notre interlocuteur notre
communication est directe sens arrière pensée
-OK-/ OK+: Personne qui se sent mal dans sa peau, s’infériorise et rumine sur
son sort. L’individu se dévalorise, admire les autres. L’individu a un
comportement de soumission ou de contestation. C’est le cas d’un enfant
perpétuel, il est très souvent E.A.S il doute de lui, il ne se sent pas à la hauteur
et donne à chacun le privilège d’être son juge
P P
A A
E E
P P
A A
E E
P P
A A
I
E E
I/ La structuration de temps
1/Définition
Au sein d’une société, l’individu tisse des relations ou entretien des rapports
sociaux avec son environnement
.il rentre dans un système dans lequel il s’aperçoit de l’utilité de son temps.
Parler donc de structuration de temps d’un individu c’est déterminer la
manière dont il utilise le clair de son temps avec les autre pour en tirer profit
ou des signe de reconnaissances.
-le retrait : ici l’individu est couper ou séparer physique ou moralement de son
entourage. Il est replier sur lui-même c'est-à-dire aucun contact avec les autres
.le retrait peut être positif si l’individu se donne en temps de repos, desommeil,
deréflexion de ressourcer son esprit, ou de prière. Par contre il est négatif si
l’individu est solitaire, il fui les autres il rumine des mauvaises pensées.
-les activités : ici les actions de l’individu sont orientées vers un but .ex :
exercer une profession, faire la promenade, du sport ….
1/ DEFINITION
Ce sont :
EX : une femme d’un âge avancée rit aux éclats d’une scène qu’elle assiste,
similaire à celle dont elle se souvient il y a une dizaine d’année .à l’époque des
faits elle n’a pu ni exprimer verbalement ces sentiments (tristesse) ni agir
(laisser couler ses larmes).ces sentiment qui réapparait aujourd’hui à la vue de
cette scène qu’elle assiste sont des sentiments élastiques
Par exemple un mari qui supporte depuis des années les frustrations et
humiliations de sa femme, fini par divorcer suite à une petite discutes qui ne
représente rien du tout car celui-ci ne pouvant plus continuer de supporter ou
collectionner des timbres depuis plusieurs années et décide de s’en
débarrasser
C’est sentiment sont des sentiments qui sont garder en nous, qui sont collecter.
I/ TRIANGLE DRAMATIQUE
1/DEFINITION
-Le rôle du Persécuteur : C’est celui qui se met dans une position de celui qui
sait tout et qui infériorise l’autre, leminimise, il voit en l’autre tout ce qui est
négatif .C’est un culpabilisateur, il impose son jugement aux autres, c’est le
bourreau, il est critique. L’individu dans ce rôle est très méchants et sévères .il
met à nu les défauts des autres. C’est un parent critique négatif (PNF-)
-Le rôle du Sauveteur : C’est celui pour qui aider quelqu’un n’est pas un
problème. Il apporte de l’aide sans forcement qu’on luidemande. Il veut aider
pour se valoriser, c’est une forme de parent nourricier. Il rend les autres
dépendant, il est paternaliste. C‘est un PNR
-Le rôle de Victime : Ici c’est l’individu qui se sent plus faible que les autres,
qui se sous-estime, il n’a pas confiance en lui-même, il se plait et laisse aux
autres d’agir sur lui. En d’autres termes c’est celui qui a des faiblesses et donc
qui subit la pression du parent critique (Persécuteur)
Persécuteur Sauveur
(+-) (+-)
Victime (-+)
1/ DEFINITION
C’est un échange entre deux ou plusieurs individus dont le but réel pour chacun
n’est pas la poursuite de la discussion au niveau de ce qui est dit mais de ce qui
est dit et qui ne s’entend pas (non au niveau sociologique mais au niveau
psychologique ou cachée)
Le triangle dramatique est celui qui exprime mieux le jeu psychologique. Le jeu
psychologique ici se perçoit lorsque le Persécuteur passe du rôle du
Persécuteur au rôle de victime ou de la victime au rôle de persécuteur.L’une
des caractéristiques du jeu est la répétition des mêmeséchanges, des mêmes
changements de rôles.Le jeu peut se jouer quelque temps ou toute une vie.
Victime (-+)
(E A)
Dans les jeux psychologiqueou le triangle dramatique l’un des états moi
(adulte) n’est pas utilisé
Pour sortir du jeu il est indiqué de :on est nerveux. Il ne faut pas laisser les
autres prendre notre responsabilité. Si nous devons aider il faut que cela soit à
la demande de celui qu’on veut aider.
Éviter qu’on s’installe dans ce jeu en entreprise requiert que, les responsables
d’équipe doivent éviter trop rapidement de s’impliquer dans les conflits entre
ses collaborateurs. Ils attendront d’eux qu’ils prennent leur responsabilité.
C’est à eux d’adopter leur comportement. Au cas échéant, les responsables,
doiventfaciliter la démarche de leurs collaborateurs en :
-Amenant le persécuteur à voir les aspects positifs chez les autres et focaliser
son énergie de manière plus conductrice
Pour détecter qu’on est dans un jeu, il suffit d’évaluer l’équilibre dans la
relation du genre se demander : cette interaction est elle à parité ou me sens je
supérieur ou inferieur à mon ou mes interlocuteurs. Cela dit il convient d’être
vigilant pour ne pas tomber dans l’un de ses rôles
REMARQUE :
Le danger pour l’entreprise est que les jeux instaurent une dynamique
négative qui a tendance à amplifier le problème et forcent les protagonistes a
se retrancher d’avantage dans leur position.Il en résulte une mauvaise
performance, des conflits interpersonnels, une mauvaise ambiance de travail,
une augmentation de l’absentéisme voirmême le départ de personnes
compétentes de l’entreprise
I/Définition
A la naissance l’individu est dans une position de vie (++).L’enfant fait ensuite
l’apprentissage de la vie et du monde par le biais de sa famille d’abord .Au fur
de son évolution il intègre en lui ce qui est : conseillé, obligatoire, possible ; et
aussi ce qui n’est pas recommander, impossible de faire ou de sentir, de dire
par son environnement
1-n’existe pas,
7-n’agis pas,
Ces interdits ne sont pas sans influencer la façon d’entrer en contact avec
l’environnement et la façon d’apprendre. Le scenario de vie se transmet à
l’enfant soit verbalement soit non verbalement
-Le Programme
-L’injonction
-La Décision
1/ La prescription
Sois parfait !, soit fort !, dépêche-toi ! , acharne-toi ! , fais des efforts ! , fais
plaisir !
2/Le Programme
Ex: quelqu’un qui aurait une injonction « ne soit pas proche » et une contre
injonction « il faut se marier et faire 3 enfants » pourra combiner le tout en
étant marié et en étant en voyage d’affaire ou infirmière de
3/ L’injonction
Elles marquent l’origine du scenario et sont donner très tôt à l’enfant .Ce sont
donc des messages d’interdiction qui sont négative.Ici généralement les
parents projettent à l’individu leur désirs non satisfait, ce qu’il aurait voulu être
il y’a donc dysfonctionnement quand l’individu les transgresses. Ces injonctions
sont multiples :
4/ La décision
prendre des décisions qui peuvent être lourdes de conséquence pour son
développementfutur, elle peut également en prendre de nouvelle touchant sa
façon de penser, de ressentir et d’agir. Prenant conscience de ce qui ne va pas
dans sa vie (ses blocages) elle peut vouloir changer ce qui ne va pas à
l’encontre de son bon fonctionnement. Les psychologues proposent un modèle
de thérapie appelé redécision qui a pour but principale d’examiner les
décisions prises pas la personne en bas âges afin de les modifier. Cette
approcheintègre les éléments de l’analyse transactionnelle et ceux du courant
gestaltiste. La modification du scenario de vie ou contrat de changement
entraine des ramifications dans la manière d’apprendre .En se donnant des
permissions nouvelles, constructive, le sujet s’ouvre à d’autre façon de vivre la
realité.se percevant et percevant le monde différemment, il révisera ses
attitudes et ses comportements pour finalement en adopter de nouveaux qui
vont s’étendre à la situation d’apprentissage.
1 1 P ……prescription P
1
A A
2 2 P ……programme
E E …..injonction
A
3 3
4…………………………………..décision
REMARQUE
Il est bien important de rappeler en dépit du schéma que ces mécanismes sont
renvoyés à l’enfant d’abord par les parents génitaux et ensuite par toute autre
personne. L’enfant en égard de tout ce cheminement il est donc responsable
de l’écriture de son scenario de vie
LA PROGRAMMATION NEURO-LINGUISTIQUE
1/définition
2/historique
3/ utilité de la PNL
La PNL repose sur un certain nombre de principe qui est toujours rappelé par
les auteurs. Ce sont donc des croyances qui, ensemble, permettent d’éclairer la
conception quecette discipline souhaite retenir de l’être humain et de son
entourage. Les présupposés ou percept de base sont pour la PNL ce que sont
les axiomes ou théorème pour les mathématiques. Il en existe quatre
principaux :
Notre perception ici est loin de la réalité. Elle est donc subjective. C’est donc
une simple représentation (carte ou modèle) de la réalité et non la réalité elle-
même. Il existe autant de représentation de cette réalité qu’il existe d’êtres
humains. Cela dit que la réaction face à une situation ne se fait pas en fonction
de la situation mais de la manière qu’on la perçoit.
« Chaque personne possède en elle, les ressources pour réaliser ses propres
changements.» : cela signifie qu’il ya un rapport entre le niveau d’être de la
personne (corps) et sa capacité de donner le meilleur d’elle-même (esprit ou
capacité ou même conviction). La PNL suppose que toute personne peut
résoudre ses problèmes rien qu’avec ses propres ressources.
6/ les êtres humains ont en eux toutes les ressources dont ils ont besoin
7/Ce que peu faire une personne une autre personne peut le faire
La PNL part du principe que les limitent n’existent pas dans le monde réel sauf
dans la perception du monde de la personne. Cela dit un comportement
excellent peut être copié.la motivation, ledynamisme, la faculté de prendre des
décisions, la créativité et la confiance en soi s‘apprennent. Le succès et
l’excellence reposent sur des bases qui s’apprennent.
Lorsque nous n’obtenons pas le résultat espéré nous devons nous résoudre à
adopter un autre comportement lorsque il y’a un autre essai .pour cela il
n’existe pas d’échec .cela peut entre considéré comme un apprentissage ou
une prise d’information utile dans l’optique d’une amélioration ou d’un
changement l’échec doit être considérer ici comme le feed-back pou comme
une occasion d’apprendre quelque chose.
II/Avantage de la PNL
L’avantage de la PNL, elle nous permet de faire plus de choix dans les domaines
de motivation de performance, de la prise de décision, de l’apprentissage, de la
communication de la créativité ou des émotions. Elle nous permet de nous
épanouir de se réaliser dans tous les domaines mais dans le respect d’autrui.
Ainsi donc :
-mieux se connaitre,
-anticiper le changement,
-mieux communiquer,
I /DEFINITION
Les métas programmes sont les ensembles des programmes traduits par nos
comportements orientant le processus de nos actes et pensées. De manière
spécifique c’est le comportement produit par un individu.
(Système VAKOG)
1/ Système de perception
Pour celui qui est visuel il comprendra mieux la réalité à travers les images que
les sons,…… car le cerveau ne peut pas tout percevoir en même temps. Le
système de codage se fait suivant ce model :
2/Système de Représentation
Ici c’est notre manière d’apprendre l’information qui arrive au cerveau. Par
exemple : La biche : allez :
Pour quelqu’un qui est visuel, il comprend mieux la réalité avec les schémas, les
croquis, les dessins. C’est quelqu’un qui comprend la règle avec des exemples.
Les exemples sont un support de compréhension que les théories. La lenteur
du parler de son interlocuteur le facilitera à se construit des images pour le
comprendre. Comment le repérer ? C’est à travers des expressions c’est claire,
je vois c’est limpide ou c’est flou ce n’est pas net c’est bizarre ….Avec le visuel il
faut utiliser des analogies des métaphores.
Il se sent biens avec les mots .Pour mieux comprendre la réalité il transforme
les messages visuels et kinesthésique en mots. Il apprend la règle d’abord en
suite les exemples, c’est des gens qui aime bosser par chœur .Il est logique
déductif et analytique. Ses faibles sont les schémas ou toute autre
représentation graphique
3-3/ Le Kinesthésique(k)
Conclusion partielle
On est tous différent dans notre manière de penser certains sont auditif
d’autres visuels ou kinesthésiques chacun se caractérise à travers son systèmes
sensoriel qui est dominant en lui. Cela dit personne n’est totalement visuel,
auditif ou kinesthésique mais le mélange des trois avec une prédominance de
l’un
4/Les prédicats
5/comportement et attitudes
interlocuteur
Apprentissage Regarde Apprécie les Expérimente
visionne instructions s’implique
démontre verbales
Lecture Aime les Aime les Aime l’action
descriptions dialogues le mouvement
visualise des fredonne en gigote en lisant
scènes lisant
communication Est calme ne Aime écouter Joint le geste à
parle pas et parler la parole
beaucoup
n’aime pas
écouter
Le langage n’est pas le seul à donner des indications sur la manière dont une
personne traite l’information.
Les mouvements des yeux sont très révélateurs, avant de répondre à une
question il arrive souvent que nos regard erre et s’orientent soudainement
dans une autre direction.Nous réfléchissons ou nous nous souvenons ou bien
nous menons un dialogue intérieur. Le mouvement oculaire indique le canal
sensoriel activé
La PNL part du principe que les clés d’accès oculaires ou les positions des yeux
quand nous sommes soumis à des processus internes, indiquent la manière
dont nous traitons l’information. Selon que nous pensons à des odeurs des
résonnances à des images des gouts des sentiments nos yeux bougent dans les
directions différentes a laide des positions des yeux il est possible de savoir si la
personne qui est en face de nous pense en images, en sons ou en sensations.
Présentons les différents mouvements de regards dans le tableau ci dessous
Visuel remémoré
La personne voit les images d’événement
passés ou se souvient des choses (par ex à
quoi ressemble l’aménagement de mon
bureau)
Auditif crée
La personne crée des bruits des sons des
voix et des mots (par ex : comment se
prononce mon nom écris à l’envers)
Auditif remémoré
La personne se souvient des bruits des
sons des voix et des mots par ex à quoi
ressemble la sonnerie de mon portable
Représentation kinesthésique
Ce sont des mouvements des yeux quand
quelqu’un est sous l’emprise d’un
sentiment mais aussi quand il perçoit un
gout ou une odeur (par ex quel sensation
provoque le sable chaud sur la peau ? OU
quel est le gout de l’ananas)
Dialogue intérieur
La personne se parle intérieurement à elle-
même et se pose des questions (par ex quel
est le pour et le contre ou comment
résoudre ce problème
élèves .chaque fois qu’il rejoint cette place ,les élèves savent qu’il ya danger et
le calme revient. En d’autre terme l’ancrage est aussi un processus
d’assemblage entre un stimulus externe et une représentation interne
accompagné d’un ressenti on en distingue trois type d’ancrage :
*ancrage visuel : choisir par ex une image un geste, un endroit dans l’espace
*ancrage kinesthésique choisir un contacte (main sur les épaules main sur la
tête)
L’incongruent est celui dont les messages verbaux et non verbaux ne s’accorder
pas ou il manque de concordance entre les aspects verbaux et non verbaux de
la communication
* état interne (EI) c'est-à-dire ce que l’on ressent ou le ressenti on parle des
humeurs, des émotions. C’et donc du domaine du kinesthesique.il est positif on
parle d’état ressources et état limitant lorsqu’il est négatif
* le processus interne (PI) :c’est ce que l’on pense, cela provient de notre
capacité d’analyse, deréflexion et d’imagination. C’st la confrontation des
informations reçue avec nos critère nos valeurs nos croyance »s .nous pouvons
dire avec des mots le contraire de ce que nous pensons. C’est ce qu’on appelle
le mensonge. Mais ce que nous ressentons va nous trahir
C.E
E.I
P.I : ce que nous pensons P.I
-la calibration :
- Le Model S.C.O.R.E
NOTA BENE
I / LA COMPARAISON
L’individu par rapport aux autres peut vouloir se situer. Ainsi il va se comparer
à ceux-ci, a ce niveau il tiendra compte de deux éléments essentiels ; le temps
et les metaprogrammes qui visent à comprendre l’intérêt qu’il porte à lui-
même et aux autres
La comparaison peut s’orienter soit sur les similitudes ou les différences entre
soi et soi, même entre l’autre et l’autre et enfin entre soit et l’autre. Que se
soit au présent, passé ou futur
Exemple : soi et soi (soit actuel et soit passé) : dans le passé, je ne pouvais pas
faire ce que je viens de faire.
Exemple : soit futur et autre actuel : J’avancerai que toi dans les jours avenir
2-1/Les personnes orientées soi: Ce sont des individus qui mettent du temps à
réagir à un stimulus
2-2/Les personnes orientées autres : Ce sont des individus qui ont des
réactions et des reflexes automatiques aux comportements des autres ; Ils
sont animés et répondent aux mouvements faciaux des autres
1-La direction
1-1/ personnes loin de, ils sont motivés par l’évitement ils évitent une peur (la
peur d’être jugé, blessé, critiqué) une perte (la perte de l’amour, avantage,
emploi, statut) ou un sentiment désagréable
1-2/Personnes vers, sont des personnes dont leur mode de motivation est
l’approche. Ils sont caractérisé par la réalisation de leur but, de relever un défi,
d’obtenir un avantage
2-L’implication
Ici c’est l’implication d’un individu dans une situation donnée c'est-à-dire
l’initiative prise .On distingue donc :
2-2/Les réactifs : Ils ne prennent pas d’initiative, ils attendent que les autres
commencent .Ils analysent d’abord, comprennent et évaluent la situation avant
de s’engager dans une situation. Ils sont dans l’action cependant, ils ont besoin
d’un élément déclencheur dans l’action et ils ne sont pas si différents des
proactifs.
2-3/Les réceptifs : Ils agissent pour accompagner les réactifs et les proactifs, ils
saisissent les opportunités c'est-à-dire suivent les autres, ils ne prennent pas
d’engagement
2-4/Les passifs : Ils ne font rien, ils attendent que çà se passe, Ils attendent
tous des autres. Dans l’entreprise il est important de se comporter ainsi dans
une équipe pour calmer le jeu
1-Les personnes similitudes qui souhaitent que leur monde reste le même,
n’aiment pas le changement, elles peuvent accepter le changement qu’après
dix ans
2-Les personnes avec exception, elles aiment les situations où elles peuvent
évoluer doucement au fil des temps. Elles ont besoin du changement tout les 5
ou 7 ans
. Elles sont :
Ces tris sont aussi appelés tris primordiaux ce sont des processus mentaux donc
des manières d’organiser nos pensés c'est-à-dire notre comportement envers
des personnes les lieux ou espaces les choses les activités et les informations.
On en distingue plusieurs :
2-les tris chose ou personnes orientées chose : ce sont des personnes qui
traite des gens comme des objets et les idées comme des les choses .ils
utilisent généralement des pronoms impersonnels et s’interroge sur les choses
ou les objets .ex on m’aura dit que tu t’es offert une belle cylindré
4-tri lieu ou personnes orientée lieu : Ce sont les personnes orientées sur les
endroits, les localisations, les lieux les questions généralement posées sont sur
les lieux. Où vas- tu ? Où vis-tu ?
Par ex si vous inviter un tel individu chez vous il va remarquer dans votre salon
ce qui est bien, joli agréable intéressant. Dans le domaine professionnel il
remarque ce que vous faite de bien. Dans le domaine du sport il repérera vos
qualités.
2-tri négatif : Ce sont des individus qui voient ce quine va pas en premier .ce
sont des personnes pessimistes .c’est individu se focalise d’emblée sur ce qui
ne va pas .ce qui fera naitre un déplaisir, les défauts lui sautent aux yeux.il
dénigre facilement les autres par ex si vous invité un tel individu chez vous il
remarquera en premier ce qui ne va pas, ce que vous n’avez pas ou ce qui vous
manque .En entreprise il insiste plus sur vos défauts que vos qualités. C’est
quelqu’un qui est avar en compliment.
1/ définition
C’est des personnes qui préfèrent des généralités, se satisfont d’une indication
générale. Elles ont la capacité de synthèse, n’aiment pas les détails. Le global a
une vision large, une vue d’ensemble, ex : la personne global vous posera la
question suivante qu’avez-vous fait le week ? Il répondra globalement ceci : j’ai
fais le ménage ou j’ai reçu de la visite ou ……
C’est des personnes précisent elles donnent beaucoup de détails, elles aiment
décrire les parties ou les éléments d’une totalité à être concret. Elles aiment
aussi recevoir des détails quand on leurs donne des informations, elles veulent
en savoir d’avoir d’avantage,
point .ex : qu’avez-vous fait ce week end, il répondra par les détails tel que le
vendredi soir..Le samedi matin….le samedi soir…
Ici il s’agit de savoir comment l’individu aborde son travail quotidien ? A quoi se
réfère –t-il ? Est-ce qu’il fait preuve de créativité en cherchant sans cesse à
trouver d’autres façons de faire ce travail ? Ou il cherche à respecter les
procédures déjà établies ?
Généralement ces personnes sont motivées par les occasions et les possibilités
qui s’ouvrent à elles pour faire quelque chose de façon différente sans
contrainte. Elles aiment être libres dans leurs choix, elles peuvent créer des
procédures elles mêmes mais ne peuvent les respecter aussi. Elles sont
inventive car elles cherchent toujours la meilleure façon de faire les choses
Elles aiment variées. En sommes elles disposent d’une variété de choix,
d’occasions ou de possibilité
C’est des personnes qui aiment bien suivent des procédures déjà arrêtée et
cela chaque fois que les situations vont se présenter à elles. C’est des
C’est des personnes qui agissent d’abord, essaient d’abord avant de se référer
au manuel d’instruction si cela est nécessaire.
C’est des personnes qui n’aiment pas la routine, elles aiment le changement.
Dans une organisation les associatifs aiment souvent que les choses continuent
de la même manière .ils n’ont pas besoin de changement, ils se focalisent sur
les ressemblances. Pour motiver un associatif face à une nouvelle situation il
faudra lui montrer d’abord les ressemblances entre celles-ci et d’autres qu’il
connait déjà
Elles veulent partager la responsabilité avec les autres elles ont des problèmes
pour finir les taches et les échéances si elles doivent, incluent les autres,
partagent la responsabilité dans leur travail utilisent des mots comme nous,
notre et ensemble
Ce sont dans la plupart des cas des verbes utilisés motivant notre
comportement et attitude .Ce sont avoir être pouvoir devoir falloir souhaiter
essayer s’efforcer ….ils renseigne sur la motivation de l’individu .Il en existe 4
types d’operateurs modaux : le mode de la Nécessité, de la Possibilité, du Désir
et de l’Obligation. Ce sont des verbes qui déterminent et déclenche l’action.
Ces operateurs modaux révèlent notre autonomie notre obéissance à des
règles notre enthousiasme Nous distinguons des operateurs modaux de
nécessité de désir ….. ex je veux, j’ai envie de, je suis capable de je peux faire
…..
Ce sont des systèmes qui reposent généralement sur des croyances d’un
individu. Une croyance est un puissant état affectif de certitude sur les être les
choses ou les idées. Notre manière de comprendra les choses les idées et les
êtres dépendent en grande partie de notre croyance nos critères. Les croyances
n’ont pas la même importance, dans la formes hiérarchisée les plus importante
sont appelées VALEURS. C’est à dire ce qui rend l’action ou le comportement
1/la modélisation
Les stratégies c’est toutes les ruses pour faire quelque chose ou la manière
dont dispose un individu pour réaliser quelque chose. En PNL la
stratégiedécoule de la modélisation. C’est donc un ensemble d’étapes mentales
et comportementales utilisés pour atteindre un objectif spécifique.
Lesstratégies en PNL sont le secret de comment faisons nous cela. C’est à dire
comment nous faisons pour atteindre un objectif bien précis. En d’autre terme
une stratégie en PNL est donc une séquence d’opérationsexécutées en vue
d’atteindre un objectif, c'est-à-dire une séquence de systèmes de
représentation, (V.A.K.O.G) à travers lesquels passe la personne pour atteindre
son objectif
-J’utilise un réveil. Donc j’entends. Alors, je me dis : zut c’est déjà six heures et
demie
- voyons ce qu’on va faire, je n’ai pas de temps à perdre.il ya même des choses
sympathique ! Voyons l’heure ?.......ok il est plus que le temps. Allons debout !
Ae Ai Vc K+ Ve/Vs K+
K-
STRATEGIE DE MR KOFFI
CONCLUSION
La PNL est une approche qui peut servir au quotidien .cependant elle n’est pas
un outil magique ou dogmatique, c’est un outil qui une méthodologie. Elle
conseille à l’individu un long apprentissage pour être efficace dans ces rapports
au quotidien. C’est en effet un nouveau regard qu’elle propose sans êtres
abusif c’est une nouvelle philosophie de la vie
I/ HISTORIQUE DU MOT
En d’autre terme l’acte créatif est considéré comme le fruit d’une volonté de
puiser quelques informations provenant de la mémoire (logique ou
réactionnel) et de les réorganiser d’une manière nouvelle, poussée par
l’imagination, l’instruction, l’inspiration et les émotions fortes.
Les créativités de ce point de vue fait appel à des circuits neuronaux originaux
donnant naissance à quelque chose de totalement nouveau. L’acte créatif est
aussi appelé l’œuvre de l’esprit protège par les lois sur la propriété
intellectuelle.
Nous sommes créatifs au quotidien mais plus ou moins, selon des circonstances
et les personnes. Cela dit la pratique de la créativité n’est pas exceptionnelle.
Nous innovons tous les jours. Pour atteindre un but, pour mener à bien une
réalisation, plusieurs moyens sont envisageables. Le plus habituel n’est pas
toujours le meilleur. On a donc :
C’est de laisser libre cours à ses idées ; cette technique consiste à produire
spontanément le plus grand nombre possible d’idée sur un sujet donné. Et
sans retenue ; sans se soucier au préalable de leur réalisme et en s’interdisant
toute critique. Le principe est de laisser libre cours à ses idées, de chercher la
quantité plutôt que la qualité. Bienvenue donc aux positions fantaisistes, il
s’agit de rechercher les « associations, les améliorations, les combinaisons etc…
Difficulté
observée
Carence observée
Problème
vécu
Désir
personnel
I/Facteur limitant
Le leadership créatif est donc utile aux leaders, aux équipes et aux
organisations. Cette étude de leadership se base sur les questions suivantes :
Nota Bene
CONCLUSION
estime personnelle)