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4.1.

Méthodologie et planification de l'expertise


Objectif :

Apprendre à planifier et élaborer son expertise naturaliste


Comprendre l'importance de la gestion de projet dans le travail de l'expert
naturaliste

1. Introduction
Afin de réaliser son expertise naturaliste de manière professionnelle et
répondre correctement à la problématique posée, il est nécessaire d'adopter
une méthodologie d'élaboration de l'expertise. Cette méthodologie permet
d'éviter de mal dimensionner son expertise, les erreurs dans le choix du
protocole ou dans la planification qui peuvent avoir de lourdes conséquences
sur la mission (retard, coût financier, nécessité de recommencer avec un autre
protocole, etc.).

Quelques définitions

Technique
Une technique désigne l’ensemble des savoir-faire, procédés et outils
spécifiques, mobilisés de manière logique pour collecter des données
associées à un paramètre à observer ou à un facteur écologique à prendre en
compte. Une technique est définie par rapport à une cible. Dans le cadre d’un
protocole, elle doit être reproductible dans le temps et dans l’espace.

Méthode
Une méthode peut être définie comme un processus logique visant à répondre
à un objectif général (ex : estimation d’une taille de population) par la collecte
organisée de données. Une méthode mobilise donc une ou plusieurs
techniques pour l’acquisition de données sur le terrain, et peut elle-même
s’inscrire dans le cadre d’un protocole standardisé.
Protocole
Il s’agit d’un plan d’étude détaillé expliquant comment les données doivent être
collectées pour répondre à une question scientifique. Il comporte :
- Un plan d’échantillonnage qui définit les règles de sélection des unités
étudiées
- Une ou plusieurs techniques et/ou méthodes à appliquer
- Des règles complémentaires d’application (par exemple une durée, une
fréquence, des conditions météorologiques, etc.). Un protocole est dit
standardisé lorsqu’il est défini précisément dans un document de référence et
applicable par différents opérateurs sur des territoires variés.
Inventaire
Un inventaire naturaliste vise à établir une liste des espèces (ou habitats)
présents dans un territoire donné à une période définie. Dans le cas d’un
inventaire de distribution, il s’agit de définir les lieux de présence d’un taxon ;
pour un inventaire de site, il s’agit de lister les espèces observables dans le
périmètre. Ces données peuvent être complétées par des informations
quantitatives (effectifs, poids, etc.) ou qualitatives (comportement, etc.). Les
modalités de collecte peuvent être encadrées par un protocole (inventaire
protocolé) ou non (recensement, contact).
Suivi
Un suivi repose sur des mesures répétées dans le temps dans le but de
détecter des tendances d’évolution, généralement pour évaluer les effets
d’actions de gestion sur une population, sur la dynamique d’une communauté
ou sur des processus écologiques. Un suivi temporel sans hypothèse
particulière relève de la notion de surveillance, qui permet de détecter des
changements sans nécessairement en démontrer les causes.

2. Etapes préparatoires
2.1. La problématique
Lorsqu'on prévoit de réaliser une expertise naturaliste, la première étape est de
définir sa problématique. Quelle est la question que je me pose et à laquelle je
veux répondre avec mon expertise de terrain ? Bien définir sa problématique
est essentiel afin d'éviter les incompréhensions durant l'élaboration et la
réalisation de l'expertise, notamment si celle-ci nécessite l'intervention de
différentes personnes et acteurs.
Exemple :

Quelle est la répartition du Pic noir dans le département de l'Hérault ?


Quels sont les facteurs influençant la répartition du Pic noir dans le département de
l'Hérault ?
Quelle est la taille de la population de Pic noir dans le département de l'Hérault ?
Quelle est la densité de la population de Pic noir dans le département de l'Hérault ?

Toutes ces problématiques, malgré leurs ressemblances pour certaines, sont toutes
différentes, les objectifs et la méthodologie ne sont donc pas les mêmes.
2.2 Les objectifs identifiés
A partir de la problématique posée, il est possible de définir les objectifs de
l'expertise naturaliste à mener. Ils permettent de préciser la problématique et
de détailler les points à étudier. Définir les objectifs d'une expertise permet de
rappeler la problématique, de la formuler différemment, mais aussi de la
détailler afin d'être sûr de la traiter dans sa globalité. Les objectifs permettent
de répondre à la question générale "Comment répondre à ma
problématique ?".
Exemple :

Problématique simple : Quelle est la taille de la population de Pic noir dans le


département de l'Hérault ?
- Identifier les zones de présence du Pic noir sur le territoire de l'Hérault

Des questions simples découlent de cet objectif : par quels moyens ? à quelle(s)
échelle(s) ? Est-ce que je souhaite seulement une information de présence /
absence ?

2.3. Etablir une/des hypothèse(s)


Toutes les problématiques ne s'y prêtent pas, mais il est souvent pertinent et
essentiel d'émettre une hypothèse afin de répondre à sa problématique. Voir
l'exemple ci-dessous.
Exemple :

Par exemple, dans la problématique : Quels sont les facteurs influençant la


répartition du Pic noir dans le département de l'Hérault ?
Emettre l'hypothèse que c'est l'altitude et les essences forestières qui
définissent la répartition du Pic noir dans l'Hérault permet d'identifier deux
paramètres à étudier.

2.4. Le(s) modèle(s) biologique(s) / paramètres étudié(s)


Bien que la problématique et les objectifs permettent généralement d'identifier
les modèles biologiques et les paramètres à étudier, il est parfois nécessaire
de les identifier précisément avant de continuer l'expertise. Lorsque la
problématique traite un sujet trop vague, l'hypothèse peut aider à définir les
paramètres et modèles biologiques à étudier.
Exemple :

Par exemple, dans la problématique : Quels sont les facteurs influençant la


répartition du Pic noir dans le département de l'Hérault ?
Il est nécessaire de lister les facteurs à étudier en amont. L'hypothèse citée
dans l'exemple précédent permet déjà d'identifier trois paramètres importants :
La présence / absence de Pic noir (le modèle biologique principal étudié),
l'altitude, et la répartition des essences forestières dans l'Hérault.
2.5. Bibliographie et état de l'art
Ce point est particulièrement essentiel dans l'élaboration d'une expertise. Bien
connaître le modèle biologique étudié, savoir si la problématique a déjà été
traité par d'autres organismes, sur d'autres territoires, est-ce qu'il existe déjà
des données disponibles ? sont autant d'éléments essentiels afin de réaliser
une expertise complète et adaptée au regard des ressources scientifiques à
notre disposition.

Un cours spécifique sur la bibliographie est prévu en séance suivante.

2.6. Echelles spatiales étudiées


A partir des éléments précédents (problématique, objectifs, hypothèses,
modèles utilisés, et surtout la bibliographie), il est possible de définir à
quelle(s) échelle(s) spatiale(s) l'étude sera réalisée : définir les limites du
territoire que l'on veut étudier, à quelle(s) partie(s) de ce territoire veut-on se
restreindre, etc.
Exemple :

Concernant les exemples cités plus haut, le territoire étudié est le département
de l'Hérault et c'est à cette échelle que l'étude devra répondre à la
problématique, pour autant, cela ne signifie pas que le protocole nécessitera de
prospecter l'ensemble du département. L'échelle spatiale étudiée dans la
problématique et le territoire qui sera réellement prospecté sont deux choses
différentes. On parlera de notamment de "zone d'étude de terrain" pour la partie

2.7. Echelles temporelles étudiées


De même que pour le point précédent, grâce à la bibliographie et aux éléments
abordés précédemment, il est possible de cibler à quelle(s) échelle(s)
temporelles va être menée le projet : la durée totale de l'étude (sur un
printemps, une année, cinq années, etc.). Cette partie peut être précisée en
parallèle de l'élaboration du protocole et de la prise en compte des moyens
disponibles pour mettre en œuvre le projet.

2.8. Acteurs mobilisés et concernés


Suivant le contexte de réalisation de l'expertise naturaliste, il est essentiel
d'identifier les acteurs qui seront mobilisés pour cette expertise, afin de les
intégrer dans la réflexion le plus en amont possible. L'objectif étant d'élaborer
une expertise réalisable en fonction des contraintes des collaborateurs. La
concertation jouant un rôle important et certaines problématiques pouvant
être sensibles, identifier les acteurs "concernés" (qui ne seront pas forcément
mobilisés par l'étude mais sont concernés par le modèle biologique, le
territoire, ou encore qui ont des intérêts vis-à-vis de la problématique) par
notre étude de près ou de loin est important. Cela permet de réfléchir à une
stratégie de communication en amont de la réalisation de l'expertise. Ces
acteurs pourraient, par exemple, avoir des données pertinentes pour alimenter
l'étude ou encore poser des problèmes dans la réalisation de l'expertise si une
concertation n'était pas mise en place.

3. Elaboration technique
Généralement, l'"élaboration technique" est réalisée avant le bilan sur "les
moyens nécessaires à la mise en œuvre" de l'étude. Néanmoins, dans le cas où
les ressources financières et humaines sont très limitées, il est possible de
commencer par le chapitre 4. "Moyens nécessaires à la mise en œuvre" afin de
partir de ces informations pour dimensionner l'étude et la partie "protocole". On
part alors des moyens limités connus en amont pour élaborer la partie
technique par la suite.
3.1. Données attendues
L'étape préparatoire de l'expertise étant réalisée, il est maintenant possible de
travailler sur la partie "technique" de l'étude. Avant de définir le protocole
adapté, il est nécessaire de se poser les questions suivantes :

 Quelles sont les données nécessaires afin de répondre à ma


problématique ?
 Quel est le degré de précision attendu ?
 Quel est le format des données attendues ?

Les données peuvent être :

 Quantitatives
 Semi-quantitatives
 Qualitatives

Définition :

Variable quantitative : une variable quantitative est une variable mesurable,


représentée au format numérique. Les résultats sont des nombres entiers ou
décimaux, avec lesquels il est possible de faire des opérations. Les variables
quantitatives sont de deux types :

Variable quantitative continue : lorsque la série de mesures peut prendre toutes


les valeurs comprises entre deux bornes, par exemple la longueur des feuilles
exprimée en millimètre

Variable quantitative discrète : lorsque les valeurs observées correspondent à un


nombre fini de données dans un intervalle fixé, le caractère quantitatif est discret.
Par exemple, le nombre réel d'individus dans une population : 0, 1, 2, etc. Il est
impossible d'observer un chiffre après la virgule.

Variable semi-quantitative : la variable semi-quantitative contient des données


numériques qui ne sont pas sommables entre elles. Elles permettent une
graduation des résultats selon une échelle arbitraire. Il s'agit par exemple de la
densité au m² de plusieurs populations d'une espèce étudiée : les données
peuvent être classées de la plus grande à la plus petite, mais les résultats ne
peuvent pas être additionnés.

Variable qualitative : lorsque les valeurs données au caractère correspondent à un


attribut ou à une modalité non mesurable, une variable est dite qualitative. Il s'agit,
3.2. Protocoles de terrain
Après avoir identifié les données attendues par l'étude, il est possible de
définir le protocole qui sera employé pour la récolte des données sur le terrain.
Cette partie sera abordée à travers différentes séances abordant les groupes
taxonomiques principaux étudiés en France. Le protocole élaboré devra bien
évidemment être cohérent avec l'ensemble des éléments définis ci-dessus.
Est-ce que mon protocole répond à ma problématique et aux objectifs fixés ?
Est-ce que je vais pouvoir obtenir les données attendues ? Le format des
données récoltées sera-t-il cohérent avec mes attentes ?

3.3. La zone d'étude de terrain


Après avoir déterminé l'échelle spatiale étudiée et le protocole, il est
nécessaire de délimiter la zone d'étude de la partie "terrain" de l'expertise.
Cette zone d'étude peut être plus petite que l'échelle spatiale de la
problématique. Cette zone d'étude étant établie en fonction du protocole, cette
partie n'est pas plus développée ici.

Exemple :

Dans le cas d'une étude de la répartition du Pic noir dans l'Hérault, après avoir
réalisé la bibliographie, il apparait évident qu'il n'est pas nécessaire d'étudier les
zones non boisées. L'échelle spatiale est bien le département de l'Hérault, mais
l'étude terrain et la zone d'étude se concentreront sur un territoire plus restreint.

Dans des cas particuliers comme celui d'une étude d'impacts pour un projet
d'urbanisation, il est toujours nécessaire d'avoir une zone d'étude plus grande
que les emprises du projet. En effet, les impacts du projet ne seront pas
uniquement sur les emprises d'implantation du projet mais aussi en périphérie
avec les dérangements occasionnés en phase travaux et en phase d'activité. Les
connectivités écologiques peuvent également être affectées par le projet et c'est
seulement par une analyse spatiale plus large que celles-ci peuvent être
3.4. Récolte et gestion des données
L'étape suivante est de définir par quels moyens seront récoltées les données
dans le cadre du protocole établi (fiche de terrain, tablette, GPS, etc.). Ces
données devront ensuite, en fonction de leur nature, être intégrées dans un
tableur, une base de données ou encore un projet SIG. La numérisation des
données, leur regroupement et leur préparation pour la phase de traitement
doivent être définis ici.
3.5. Traitement des données
Le traitement des données dépend de la nature du sujet de l'étude mais, en
amont de l'expertise en elle-même, il est important de définir comment les
données seront traitées (au moins en partie), et par qui. Si vous (ou votre
organisme) n'avez pas les compétences pour traiter les données
statistiquement parce que le sujet est trop complexe, qui va le faire ? Quel
acteur peut être mobilisé pour aider au traitement ? Toutes ces questions
doivent être traitées en amont de l'expertise, durant cette phase d'élaboration.
Exemple :

Dans le cadre d'un partenariat avec un organisme de recherche par exemple, les
délais pour échanger, officialiser une collaboration et traiter les données peuvent
parfois être long et il convient de les anticiper.

4. Les moyens nécessaires à la mise en œuvre


4.1. Temps de travail estimé
A partir du protocole et des différentes étapes nécessaires à l'expertise
(récolte des données sur le terrain, gestion des données, analyses, etc.), un
temps de travail par étape peut être estimé. Cette partie est très importante
afin de déterminer si, à ce stade, le protocole est viable. Si le temps de travail
est trop élevé, le protocole devra être modifié et il faudra revenir aux étapes
méthodologiques précédentes. C'est l'"effort d'échantillonnage" du protocole
et la façon de répondre à la problématique qu'il faudra revoir. On matérialise
généralement cette partie à l'aide d'un tableau définissant pour chaque étape
du projet le temps de travail estimé en heures / jours.

4.2. Ressources humaines nécessaires


Le temps de travail estimé permet par la suite de définir les ressources
humaines nécessaires. Attention, diviser simplement le temps de travail
estimé du projet par 35h ne répond pas de manière pertinente à cette partie de
la méthodologie, cela donne simplement le nombre d'"équivalent temps plein"
nécessaire pour le projet au total. Cependant, si par exemple la partie terrain
est regroupée sur une petite fenêtre temporelle, il ne sera pas forcément
possible de mobiliser une seule personne sur le terrain. De même si le
protocole nécessite la présence de deux personnes simultanément.
L'important ici est de définir, pour chaque étape du projet, combien de
personnes seront mobilisées et combien de temps. Ces informations sont
renseignées dans un tableau.
Exemple :

S'il y a 15 soirées de prospections nocturnes à réaliser, mais que la fenêtre


d'étude définie en amont est de seulement 10 jours, il faudra forcément une
personne supplémentaire pour réaliser pendant cinq soirs deux sessions de
terrain simultanément.

4.3. Besoins matériels


Si le projet nécessite du matériel, réaliser dans cette partie la liste du matériel
nécessaire à sa mise en place. Ce matériel est-il cohérent avec les moyens
matériels disponibles pour cette étude ? Si non, des ressources financières
sont-elles utilisables pour acheter le matériel ? Un prêt de matériel par un
organisme est-il possible ?

4.4. Besoins financiers


Ressources humaines, temps de travail et besoins matériels impliquent
d'analyser le coût du projet. Que vous soyez en entreprise privée, dans une
association ou dans la fonction publique, évaluer les besoins financiers afin de
mener à bien son expertise est essentielle. Est-ce que le coût de mon projet
d'étude / d'expertise est cohérent avec les moyens financiers mis à ma
disposition ? Si non, est-il possible de revoir le protocole en conséquence ? Si
l'étude nécessite une aide financière, où puis-je la trouver ? Mon étude est-elle
compatible avec des subventions / des appels à projets subventionnés
(Europe, région, département, OFB, etc.) ? Un financement privé est-il
envisageable ? Peut-on mobiliser des bénévoles ? Les besoins financiers, les
ressources disponibles et les éventuelles sources financières extérieures sont
à renseigner dans un tableau.
Exemple :

Dans le cadre d'une expertise naturaliste pour une étude d'impacts par exemple,
le temps alloué et les coûts seront définis par négociation avec le client / porteur
de projet.
5. Opérationnalité
5.1. Calendrier prévisionnel / Diagramme de Gantt
Afin de rendre son projet d'expertise pleinement opérationnel, il est nécessaire
de définir un calendrier prévisionnel. Celui-ci doit intégrer l'ensemble des
étapes de l'étude, et tenir compte des éventuels retards (problèmes
météorologiques dans l'application du protocole, etc.). Ce calendrier peut être
matérialisé par un "diagramme de Gantt". Le diagramme de Gantt est un outil
de gestion de projet permettant de visualiser dans le temps les diverses
tâches composant un projet. Il s'agit d'une représentation qui permet de
représenter graphiquement l'avancement du projet.
Exemple :

Exemple de Diagramme de Gantt ci-dessous.

5.2. Cahier des charges


L'ensemble des caractéristiques techniques du projet peut être regroupé dans
un cahier des charges permettant une bonne compréhension et une bonne
opérationnalité du projet. Si le projet d'expertise est de grande ampleur, ce
document est particulièrement important afin de faciliter la prise en main, que
cela soit par les acteurs mobilisés, les potentiels financeurs, ou encore les
techniciens qui réaliseront la partie terrain.

5.3. Identification des facteurs limitants


Enfin, après ces étapes d'élaboration et de planification, et avant de débuter le
projet d'étude / d'expertise, il est important d'identifier les éventuels facteurs
limitants pouvant poser des problèmes dans la réalisation de l'expertise. Est-
ce que la météo peut influencer mon calendrier de terrain ? Les ressources
humaines sont-elles suffisantes dans toutes les conditions de terrain que nous
pourrions rencontrer ? (Forte abondance du modèle biologique étudié
nécessitant beaucoup de temps de comptage, ou encore absence du modèle
nécessitant une recherche approfondie avec un effort de terrain plus grand) Ai-
je les autorisations nécessaires afin de réaliser cette étude ? La zone d'étude
est-elle accessible facilement ? Toutes ces questions permettront d'identifier
des éléments pouvant retarder ou modifier le projet. Prévoir ces situations à
l'avance en identifiant les facteurs influençant la réalisation du projet
permettra de prévoir des plans B, de mieux planifier le projet et d'assurer sa
réalisation dans de bonnes conditions.

Questionnaire :

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