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Le verbe en tamazight
Les verbes tamasheq de schème ACC
Les verbes Chleuh de schème ACC
Les verbes Kabyles de schème ACC
Liste des verbes dans les 3 parlers
Bibliographie
Le verbe en tamazight
Le verbe Amazigh n’a pas d’infinitif . Pour citer un verbe amazigh, on utilise la forme de l'aoriste qui est
la plus simple du verbe. Elle correspond en fait à l'impératif de la deuxième personne du singulier1.
En plus des deux paradigmes de base qu’il partage avec les autres langues de la famille chamito-sémitique
comme l’arabe2 , le berbère possede un autre paradigme qui ne renseigne en rien sur l’état
d’accomplissemt du procès verbal3. Ce thème dit aoriste semble être calqué à l’impératif .
Le verbe berbère est obtenu à partir d'une racine lexicale sur laquelle viennent se greffer une marque
aspectuelle et un indice de personne qui peut être soit continu soit discontinu. Une forme verbale comme
iẓra « il a vu » se compose ainsi de : i-: indice de 3e personne de masc. sing. « il » ; ẒR: racine lexicale
évoquant l'idée de « voir »;-a : marque aspectuelle du prétérit.
En berbère, le sujet lexical en position pré-verbale (indicateur de thème) ou post-verbale (complément
explicatif) n'entretient pas de rapport d'exclusion avec les indices de personne. Ceux-ci apparaissent
obligatoirement dans le thème verbal. ddan inebgiwn « les invités sont partis» inebgiwn ddan « les
invités sont partis»4
Les thèmes ne sont pas identiques au sein des parlers amazighs et lorsqu’ils sont identifiés à l’intérieur
d’un même parler , il le sont differement selon les auteurs.
En plus des 3 thèmes de bases , le berbère a crée de nouvelles formes verbales (nuances particulières)
répondant à des distinctions sémantiques plus fines en l’occurrence le thème intensif et le thème négatif.
Le thème de l’inaccompli intensif semble s’obtenir soit par préfixation de tt- au thème aoriste , par tension
d’une radicale ou alternance vocalique par rapport toujours au thème aoriste.
Selon Prasse , le système verbal amazigh surpasse le système des langue en complexité. Cependant
beaucoup de verbes semblent se conjuguer de la même manière quelqu’en soit le thème. C’est ainsi le cas
des verbes à voyelle préradicale -a de type ACC
Je vais vais étaler cette homogéneité et essayer d’en sortir avec un schème de synthèse pour chaque parler
et pourquoi pas un schème géneral pratique quelqu’en soit le parler
1
Noter qu’on arabe on utilise donc sa forme conjuguée la plus simple qui est la troisième personne masculin singulier. Ex : le verbe « chariba »
(boire).
2
La conjugaison de l’arabe comporte deux paradigmes de base, l’accompli (al-māḍī) et l’inaccompli (al-muḍāra`)dont la valeur est à la fois
aspectuelle indiquant la manière dont est envisagé le déroulement exprimé par le verbe (caractère achevé ou pas), indépendamment du moment où
l’on parle et l’autre temporelle indiquant la relation de ce déroulement au temps, passé, présent ou futur par rapport au moment où l’on parle et les
différents éléments du contexte ou de la situation.Ces deux valeurs sont étroitement liées, car l’une et l’autre expriment le temps considéré de deux
points de vue complémentaires (Grammaire de l’arabe d’aujourd’hui D.E Kouloughli )
3
Une manière plus éclairante de se représenter le rôle des oppositions aspectuelles est de s’interroger sur les fonctions respectives de l’accompli et
de l’inaccompli dans les textes. On constate alors que l’accompli présente l’action d’une façon ponctuelle et instantanée , alors que l’inaccompli la
présente dans son déroulement , avec une certaine durée.
4
Un verbe arabe comporte obligatoirement dans sa forme son propre sujet , même lorsque celui-ci est répété immédiatement après lui.
Valeurs temporelles des thèmes
C'est un fait bien connu que les formes verbales des langues chamito-sémitiques n'expriment
primitivement pas des distinctions temporelle. la situation temporelle des procès-verbaux se détermine
encore très largement à partir du contexte ou par des déterminateurs temporels spéciaux.
L’impératif aoriste
C’est la forme verbale neutre et indeterminée . l’aoriste recoit sa valeur du contexte linguistique .. C’est le
thème du futur lorsqu’il est associé à un préverbe (ad /rad). En absence de la particule pré-verbale ,
l’aoriste peut rendre n’importe quelle valeurs aspectuelle ( injonction, exhortation..etc)
À mon avis , le choix de considerer ce thème comme imperfectif par Prasse n’est pas judicieux
L’accompli
Ce thème indique l'achèvement du procès. L'action est considérée comme accomplie, réalisée et effective.
C'est pourquoi ce thème correspond le plus souvent aux passés . (passé composé ou simple selon la
presence ou non de la particule de rection d)
L’inaccompli (ou aoriste intensif)
L’aoriste intensif est utilisé pour indiquer une action habituelle, répétitive, prolongée ou en cours. Il peut
correspondre au présent ou à l’imparfait du francais .Il s’emploi seul ou avec la particule préverbale «ad»
qui signifie que l’action sera habituelle dans le futur et au passé après le verbe parfait «yella»
correpondant à l’imparfait du francais .
Les verbes tamasheq de schème ACC
Prasse a analysé les verbes touaregs en se basant sur les travaux de Charles de Foucauld . Il a élaboré 19
catégories de conjugaison (de I à XIX) où chaque catégorie est divisé en types (A, B, C) et chaque type en
varietés . Chaque variété contient un thème aoriste (ayant son numéro de conjugaison correspondant dans
la classification de CF) et des thèmes de l’imparfait ( ayant un numéro de conjugaison équivalent
également dans la classification de Charles de Foucauld(CF) mais different de celui du thème aoriste). Il
existe pas moins de 260 types differents de conjugaisons dans la classification proposée par CF.
Pour Prasse, il n’y a point de verbes uni ou bilitères qui sont en fait des verbes ayant des radicales faibles
(verbes faibles) qui subissent des lois phonétiques en fonctions de leurs positions à l’intérieur de la racine
(début, milieu ou fin )
Il definit les verbes faibles comme tous les verbes berbères contenant une radicale w, y ou *h - même
quand elles se conservent
Les verbes touaregs qui possedent le schème ACEC/ACC sont classées par Prasse dans les conjugaison:
Cj.18.A.1 correspond au conjugaisons 10 et 226 de CF
Cj,I.A 3 (√hCD). correspond au conjugaisons 66 et 228 de CF
Cj.I.A 4 √hwD correspond au conjugaisons 63 et 229 de CF
Cj.1.A.6 √whD correspond au conjugaisons 62 et 218 de CF
*yitâhwan/yitihwin *yihaggʷâr/yihiggʷīr
itâwän/ itiwn iggâr / iggir
itâwen / itiwn (CF.229) iggar /iggir (CF.218)
Dans la Cj,I.A3 (√hCD), le verbe -akr est un verbe à voyelle préradicale qui est la voyelle inséparable du
thème verbale qui fait la liaison entre ce thème et les préfixes personnels. En partant du protoberbere
reconstitué , le -h comme premiere radicale suivie de voyelle se maintient normalement mais pas dans le
cas des Conj.l et II, où la 1ère radicale forme toujours groupe avec la 2ème radicale, précédée de la
voyelle pré-radicale ce qui explique l’élision du h. Une écriture basé sur ce concept du protoberbère
donnerait ahkr au lieu de akr et un schème AHCC au lieu de ACC.
Dans la conjugaison XVIII.A.1 composé de verbes trilitères à première radicale h faible et à voyelle
préradicale -a (√hCD) la chute de *h a été compensée par la gémination de la 2ème radicale à
l’imperfectif intensif. Une écriture basé sur ce concept du protoberbère donnerait hağğ au lieu de ağğ et
un schème HACC au lieu de acc pour le type Cj 18A.1 (√hCD) + CF.10 / CF.226
Dans Cj.I.A 4 √hwD , le perfectif. du verbe simple la voy.init. u< * ŭh se dissimile en -i qui devient à son
tour ə par assim. à la voy.carac. a
Dans le type I.A,3 la voyelle préradicale est de timbre u au perfectif (yukər) et a à l’imperfectif (yakər).
De plus, la voyelle préradicale protoberbère ă qui devient ä devrait se maintenir comme ä, mais par
analogie à -ə issue de la voyelle du protoberbère ŭ du perfectif.elle passe normalement à ə et tombe si
possible.
Seuls les verbes à 3ème radicale *h et voyelle caractéristique protoberbère ĭ et ceux à 1 ère radicale w et 2ème
radicale h conservent ä (â): var.7 äls (yäls), et var.6 ăwr (iwr! tăwr), et et les verbes à 1 ère radicale *h
présentent la contraction de * ăh > a long: var.3 akar
J-M Cortade a adopté la schématisation des thèmes proposée par A. BASSET dans son ouvrage "La
langue berbère, morphologie, le verbe" avec l’identification de 7 grands groupes ( Thème sans alternance ,
thème à alternance pré-radicale , thème à alternance intra-radicale, thème à alternance post-radicale, thème
à double alternanoe, verbes de qualité et thème à allongement de la première radicale)
Les verbes tamasheq de schème ACC appartiennent au 2ème groupe – thème à alternance pré-radicale
Ce groupe est assez important
Le thème d’impératif-aoriste et de prétérit sont différents
La voyelle pré-radicale est :
a : au thème impératif-aoriste
u : au thème du prétérit
Les verbes de ce groupe prennent un i à la dernière syllabe du prétérit négatif .
Il y a identifiés dans le Manuel de conjugaison du tachelhit , les verbes de schèmes ACEC/ACC sont dans
le groupe de conjugaison 119 .
Robert Aspinion oppose à la conjugaison de l’aoriste -qui est toujours régulière, le thème verbal reste
toujours invariable – celle du prétérit dont le thème subit des modifications.Ces modifications sont de
deux ordres « vocaliques » et quelques fois « consonantiques ».
Nous classerons dans un même groupe, sous la désignation de « type », les verbes qui présentent les
mêmes variations.
Il en ressort 5 groupes de conjugaison
Les verbes Chleuhs de schème ACEC/ACC sont dans le type amẓ du 2e groupe à variations vocaliques
Type amẓ (prendre saisir)
Ces verbes sont caractérisés par un « a » initial.
Quelques verbes de ce type sont af (être mieux que) , add (appuyer) , all (lever, soulever) , ayl (voler
(oiseau)), akwi (sauter ami contenir) anni (voir) aru (enfanter, produire) als (répéter) ams (frotter) ars
(curer, balayer, nettoyer) anf (écarter) amer (ordonner) azen (envoyer) aḍen (être malade) aḍer (être
mouillé, humecter) azzel (courir, se dépêcher) akwel (piétiner, fouler au sol ) akwez (reconnaitre ) akwer
(voler) agwer( être en plus, dépasser ) agwem (puiser de l’eau) agwel (pendre, suspendre) ass (lier ,
attacher, nouer) agwi (refuser) asi (soulever, porter)
CONJUGAISON
Au prétérit l’ «a » initial se transforme en « u », et on a le thème umẓ (à toutes les personnes) : umẓeγ,
tumẓt, , tumẓt, yumẓ, tumẓ, numẓ, tumẓem, tumẓemt , umẓen, umẓent
Les verbes dont l’« a » initial est suivi d’un « w », changent cet « a » en « i » dans la conjugaison au
prétérit (afin d’éviter la rencontre de deux sont « u ») : awi (porter, amener) ,awn (Monter une côte), awl
(prendre à tour de rôle) , aws (aider) ,awz (veiller), awd (ménager , conserver)
Une autre étude est en arabe , elle est de Mohamed Chafik , elle propose une analyse des verbes amazigh
proche de l’arabe . Ainsi il distingue des verbes simples décrits comme des verbes diminués ( afɛâl
mujarada) et des verbes augmentés (afɛâl muzayada = ce que les grammairiens occidentaux appellent
les formes dérivés du berbères.) qui indiquent La factitivité ( al-tafɛil aw al-ifɛal) La réciprocité (al-
mufâɛala aw al-tafâɛul) La pronominalité (al-tafaɛɛul aw al infiɛâl) et enfin la passivité : (al-fiɛl al-
mabni ɛala al-majhûl)
Il distingue par ailleurs les verbes forts (type 1 = al-afɛâl al ṣalda) qui correspondent est l’équivalent du
1er groupe à thème constant de la classification d’Aspinion , les verbes faibles qui peuvent être typiques
car les verbes se regroupent en 23 types (types 2 à 24= al-afɛâl al-mutakasira al-namaTiya) ou
atypiques (al-afɛâl al-mutakasira al-mutafarida)
Les verbes de type 11 et 13 sont ceux qui sont de schème ACC
Il existe une classification des verbes kabyle dans l’ouvrage Initiation à la langue kabyle de Sr. Louis de
Vincennes , S.B et J.M. Dallet , P.B . Cette classification est fondée sur l’absence ou la présence de
voyelles pleines à l’aoriste et au prétérit (positif) et pour les verbes ayant des voyelles pleines, sur leur
place par rapport aux consonnes radicales et sur leurs alternances entre aoriste et prétérit.
On classe les verbes de type ACC dans le 3e groupe : verbes à alternance vocalique préradicale : Ce sont
des verbes dont la radicale est précédée d’une voyelle de timbre different entre l’aoriste et le prétérit
Le manuel de conjugaison kabyle ne contient pas une classification des verbes kabyles et de ce fait j’ai
proceder à la collecte des verbes kabyles ayants le schème ACC au niveau du dictionnaire de J-M Dallet
VERBES TOUAREGS de type Cj,I.A 3 (√hCD). correspond au conjugaisons 66 et 228 de CF
F par rapport à Charles de Foucault suivi du numéro de page
ABER F.80 Saisir à pleine main et par AFEL F.318 être tanné (être préparé avec du
extension saisir à pleine vouche || Ex : «ubreγ tan), se tanner || Pas d’exemple affal NV || fait
semmus mudâten daγ êred» ; j’ai saisi à pleine d’être tanné, fait de se tanner . Signifie aussi
main 5 litres de blé ; «éydi iuber tet daγ êleγ» : tannage tâfelt || tan (matière quelconque propre à
le chien l’a saisie à pleine bouche à la jambe || tanner les cuirs et les peaux) || par extension
diffère de abeẓ «saisir à main fermée» «tannage» et dans ce sens il est synonyme de
ăbbar tibbirt poignée tăbûrit bâton abubbâr lutte affal
AREF F.1583 Chauffer à l’aide de pierres ATEB 1880 Ramener de côté une chose en la
chauffantes poussant ou tirant
Attab nv fait de ramener de côté
AREĠ F.1588 Venir en aide en donnant Sens aussi passif fait d’être ramené de côté
Pas d’exemples
AREH F.1609/F.1610 || 2 sens remplacé un
don /être déplacé , se déplacer || urheγ i Mussa
AẒER 1986 Être à bout de forces (sens passif et
takuba ta hi ikfa emis : J’ai remplacé l’épée
pronominale aussi) || Pas d’exemples
recu Mussa par un un chameau .
tuẓẓirt nv prim `fait de mettre à bout de forces || a été couvert de nuages dans le T) «tiğerkekîn
a aussi un sens passif et pronominale || Pas uârnet Ahaggar , ur uirnet Tamnγast»
d’exemples Des nuages d’orage sont au dessus de
l’Ahaggar , ils me sont pas au dessus de
AẒEM F.1967 Calomnier (par jalousie) , médire
T.«teğrek tuâr denneğ edrar» un nuage
de || dire du mal de quelqu’un (diffamer) mais
d’orage est au dessus de la montagne
possede plusieurs autres sens : réprimander,
ewîr/iwîren : fait d’être sur
réprimer , réduire, baisser || Ex
(T.45) :«uẓmeq»: je l’ai calomnié ; «iuẓema hi»
il me calomnie || Peut être équivalent de asem
(kabyle)
ağeğ F.405 S’éloigner, être éloigné
AΔER D.153 √δr ACC : i-uδerACC - : ur i- ALEMD.454 √ls ACC : i-ules ; ACC - : ur i-ulis
uδirINC : i-tt-aδerAOR : ad i-aδer || ; INC : i-tt-ales ; AOR : ad i-ales || ourler , broder
Mentionner ; citer, évoquer : «uδren-t-id γer sur un ourlet
taddart» : On lui a fait savoir qu'il faisait
désormais partie du village ; «winna, ur t-id ALES D.464√ls: ACC : i-ules ; ACC - : ur i-
ttaδer-n ara medden» : Celui-là c'est un ulis ; INC : i-tt-ales ;AOR : ad i-ales
homme dont on ne parle pas || Existe aussi sous F. III, 1120 || Recommencer, reprendre,
forme bder D.10 inaugurer une nouvelle série, période
AḌEN : D.178 √ḍn ACC : i-uḍen ACC - : ur i- AMEN D.501 √mn: ACC : i-umen ; ACC - : ur
uḍin INC : i-tt-aḍen AOR : ad i-aḍen être i-umin ; INC : i-tt-amen
malade AOR : ad i-amen || Avoir confiance , se fier à
AḌEN «être malade, avoir mal» Ex (VUT.6)
uḍneγ agayyu s tafukt : j’ai mal èa la tête èa AMEṚ D.511 √mṛ ACC : i-umeṛ : ACC - : ur i-
cause du soleil umiṛ ; INC : i-tt-ameṛ ;AOR : ad i-ameṛ
Ordonner, donner des ordres | informer, donner
AFEG D.194 √fg ACC : i-ufeg ACC - : ur i-ufig des nouvelles.
INC : i-tt-afeg AOR : ad i-afeg Voler
AFES D.231 √fs ACC : i-ufes ACC - : ur i- AMES D.520 √ms ACC : i-umesACC - : ur i-
ufisINC : i-tt-afes AOR : ad i-afesenfoncer umisINC : i-tt-amesAOR : ad i-amesêtre
malpropre , sale
ANEF D.547 √nf ACC : i-unef ACC - : ur i-unif
INC : i-tt-anef AOR : ad i-anef
F.III 1311 s’écarter du chemin | laisser
AKEL «fouler, marcher sur» [119] (vut 17) ha- AΓER rester allongé par terre (péj.) [119]
nn tukelt fell-i: attention tu m’a marché dessus
AREF « torréfier» [119] || Ex (vut 31) : «turf
AKER « voler, dérober» [119] tumẓin» : elle a grillé l’orge
AKEZ «reconnaître» distinguer [119] || Ex (vut AREM essayer, expérimenter [119]|| Ex (vut
18) : «ur t ukezγ» : je ne l’ai pas reconnu 31) : «arem iberdan ad» essaye ces vetements
«akez –tt –inn» prévoir à l’avance une réaction «ad tent d is ur ttaremt» ne te mesure pas a lui
ou une situation
ARES nettoyer [119]
ALEM «ourler» [119] || Ex(vut 19) : «imrqqur
sserwal nna alem-t» ce pontalon est trop long tu AWEL commencer, reprendre au début [123] ||
devrais l’ourler ; «alem as tnt» égorger Ex (vut 40) «awel i tewwuri » reprendre le
quelqu’un (locution) travail depuis le début
Élément de grammaire touareg (Niger) Kamal Nait Zerrad et AlHassane Ag Solimane - Édition L’Harmattan 2021
Manuel de grammaire touarègue (tahaggart), Prasse (Karl-G.) AKADEMISK FORLAG, COPENHAGUE 1972
DICTIONNAIRE TOUAREG-FRANÇAIS – DIALECTE DE L’AHAGGAR – Imprimerie national de France . Le père
Charles de Foucauld -1905
Manuel de conjugaison du tachelhit (Langue berbère du Maroc) Par Abdallah Boumalk Édition L’HARMATTAN
Vocabulaire usuel du tachelhit : tachelhit-français Abdallah Bounfour et Abdallah Boumalk Centre Tariq ibn Ziad Rabat 2001
Apprenons le berbere – Initiation au dialecte chleuh Robert Aspinion - Édition Felix Moncho 1953
Manuel de conjugaison kabyle Kamel Nait Zerrad Édition L’Harmattan
J.-M. Dallet, Dictionnaire kabyle-français (parler des At-Mangellat, Algérie) édition SELAF 1982