SEMESTRIELLE BIOLOGIE

Yael et Eden

→ c.f feuilles annexes pour 1 et 2ème point

3. microscope optique :
- 2D
- grossissement jusqu’à 1500x
- permet d’observer principaux constituants de la cellule
- permet pas de distinguer détails internes dans noyau + cytoplasme
microscope électronique à transmission MET: (pas organisme vivant)
- 2D
- grossissement jusqu’à 1’500’000x
- permet d’observer détails de la structure interne de la cellule
microscope électronique à balayage MEB:
- 3D
- permet d’observer détails de la surface des cellules = forme
4. transport de substances dans la cellule, protéines :

Les ribosomes fixés sur le RER fabriquent des protéines. A partir de ces protéines et de la
membrane du RER se forment des vésicules de transport (amener protéines à l’appareil de
Golgi).

Ces vésicules se détachent de la membrane du RER pour fusionner avec la membrane de

l’appareil de Golgi. → ’appareil de Golgi produit des vésicules de transport, des vésicules
spécialisées (ex : sécrétions) et d’autres qui donnent naissance aux lysosomes (chez les
cellules animales) et aux vacuoles (chez les cellules végétales)

les lysosomes (ou vacuoles) fusionnent avec des vésicules pour effectuer leur rôle : digérer
(intérieur cellule). Les vésicules de sécrétion transportent des protéines vers la membrane
plasmique où elles sont sécrétées, à l'extérieur de la cellule. Enfin, la membrane plasmique
s'est agrandie par sa fusion avec les vésicules.

4. caractéristiques de la membrane plasmique :

- composée de phospholipides = molécules présentant une double polarité :

une partie hydrophile (tête) et une partie hydrophobe (queue)
- la tête : groupe phosphore peut interagir avec l'eau
- la queue 2 chaîne d'acides gras ne peut pas interagir avec l'eau.
- membrane semi-perméable : certaines molécules peuvent la traverser
 exemple : petites molécules lipophiles ou hydrophobes comme vitamines,
acides gras, O₂, N₂, CO₂ et les molécules polaires non chargées : urée,
glycérol ...

- membrane plasmique constituées de deux couches de molécules phospholipides

- frontière hydrophobe entre deux milieux aqueux : cytoplasme (milieu intracellulaire)
et milieu extracellulaire
5. processus diffusion et osmose :

- diffusion : passage de substances (=solutés) à travers la membrane

- passage s’effectue dans le sens du gradient de concentration = milieu hypertonique
(= 1 concentré en soluté) au milieu hypotonique (= - concentré en soluté)
- pour rétablir l'isotonie (= concentration équilibrée)
- permet échanges rapides entre milieu intracellulaire et extracellulaire

- osmose : passage de l’eau à travers la membrane plasmique

- diffusion de l’eau entre deux solutions de concentrations en solutés différentes
- passage s’effectue du milieu hypotonique au milieu hypertonique
- pour rétablir l’isotonie

TURGESCENCE : (cellule végétale plongée solution hypotonique)

- le cytoplasme est hypertonique et le milieu extracellulaire hypotonique

- pour rétablir l’isotonie de l’eau pénètre dans la cellule, cellules absorbent l’eau par
osmose
- la vacuole se gonfle et exerce une pression sur la paroi cellulosique qui se tend
- la cellule augmente de taille mais n’explose pas grâce à la paroi cellulosique qui la
maintient
LYSE : (cellule animale plongée solution hypotonique)

- le cytoplasme est hypertonique et le milieu extracellulaire hypotonique

- pour rétablir l’isotonie de l’eau pénètre dans la cellule, cellules absorbent l’eau par
osmose
- cytoplasme augmente de volume et appuie sur la membrane plasmique
- rupture de la membrane plasmique car elle n'est pas assez grande pour accueillir
l'excès de liquide

PLASMOLYSE : (cellule végétale plongée solution hypertonique)

- le milieu extracellulaire est hypertonique et le cytoplasme est hypotonique

- de l’eau sort de la vacuole par osmose, elle diminue de volume
- la membrane plasmique se décolle de la paroi cellulosique et se rétracte autour de
la vacuole
- le volume de la cellule diminue

PLASMOLYSE : (cellule animale plongée solution hypertonique)

- le milieu extracellulaire est hypertonique et le cytoplasme est hypotonique

- de l’eau sort des cellules
- la cellule se rétracte
- le volume de la cellule diminue
ISOTONIE :

- concentration du cytoplasme = concentration milieu extracellulaire

- échange de même volume d’eau de part et d’autre de la membrane
- le volume reste le même

cellule animale (globule rouge) cellule végétale

Les bactéries

- savoir différencier les archéobactéries des eubactéries :

a) Eubactéries : unicellulaires diversifiés sans noyau
exemple :
• Entérobactéries: anaérobies facultatifs vivent dans le tube digestif des animaux (E. Coli,
Salmonelle)
• Bactéries fixatrices d’azote, Cyanobactéries

b) Archéobactéries : unicellulaires vivants dans des milieux extrêmes

—> anaérobies, halophiles, thermoacidophiles
exemple :
• Bactéries méthanogènes: bactéries anaérobies strictes (l’oxygène est toxique pour elles) qui
utilisent
l’hydrogène H2 pour réduire le gaz carbonique en méthane (CH4). Elles vivent dans les
marécages où les
organismes aérobies ont consommé tout l’oxygène. Le méthane qui forme des bulles à la
surface des marais
est appelé gaz des marais. Ce sont des décomposeurs utilisés dans le traitement des eaux
usées. D’autres
vivent dans les intestins de certains herbivores et leur permettent de digérer la cellulose.
• Bactéries halophiles extrêmes (grec «halos», salé et «philos», ami): bactéries vivant dans des
milieux
très salés comme la mer Morte et le Grand lac salé aux États-Unis.
• Bactéries thermoacidophiles: bactéries qui prospèrent en milieu chaud et acide, conditions
optimales
60-80°C et pH entre 2 et 4! Sulfolobus habite les sources d’eau chaudes de Parc National de
Yellowstone aux Etats-Unis et tire son énergie de l’oxydation du soufre

- pouvoir donner quelques exemples des bactéries pathogènes et définir le terme

pathogène
bactérie pathogène : bactérie qui cause une maladie infectieuse chez les humains, les animaux
ou les plantes / pénètrent passivement ou activement dans un organisme végétal ou animal,
dans lequel elles se reproduisent et provoquent une réponse immunitaire —> provoquent une
inflammation en envahissant les tissus

- connaître les différences structurelles entre une cellule procaryote et une cellule
eucaryote
 - connaître l’ordre de grandeur (micromètre), la taille de certaines bactéries et pouvoir
calculer la taille d’après une image et l’échelle donnée
taille réelle cellule = taille mesurée / grossissement
diamètre champ : 4,5 mm < 1,8 mm < 0,45 mm < 0,18 mm
(1mm —> 1000um)

- connaître le monde de reproduction des bactéries : la scissiparité ainsi que le temps de

reproduction
scissiparité : division d’une bactérie en deux bactéries génétiquement identiques à la bactérie
mère /!\ n’introduit pas de variabilité génétique chez les bactéries descendantes
temps : une bactérie peut se diviser toute les 20min in vitro et 3h in vivo

- savoir ce qu’est la conjugaison bactérienne et son utilisez pour les bactéries

Les bactéries peuvent se transférer un fragment d’ADN chromosomique ou plasmidique par un
pilus = échange matériel génétique (reproduction sexué) → est à l'origine de la diversité
génétique des bactéries
/!\ peut avoir lieu avec des espèces différentes de bactéries

certains plasmides permettent une résistance aux antibiotiques

- comprendre et expliquer ce qu’est un antibiotique, le phénomène de résistance aux

antibiotiques et ses raisons
antibiotique : substance chimiques, naturelles de synthèse qui peut tuer des bactéries
(bactéricides) ou empêcher la multiplication de ces dernières (bactériostatiques)
Alexandre Fleming a découvert par hasard en 1928 les antibiotiques → Pénicillium notatum
= le staphylocoque ne se développe par autour de la moisissure (champignon pénicillium) car
substance qui peut tuer la bactérie } premier médicament = pénicilline
/!\ les bactéries sont capables de s’adapter + d’évoluer en formant des spores, modifiant leur
matériel génétique et en se transférant des plasmides de résistances par conjugaison
les antibiotiques agissent en :
a) s’accroche à des éléments de la paroi de la bactérie
b) se glisse à l’intérieur de la bactérie et stoppe la synthèse des protéines
(ribosome = machinerie)
c) s’attaque à l’ADN
antibiotique à large spectre ≠ ciblé (1 seul type de bactérie)
⇨ plus on utilise des antibiotiques, plus le nombre de bactéries résistantes augmente
- modification ADN
- faire des spores
- échange plasmide
(virus est 1000x plus petit, ne peut pas vivre seul et est dépendant d’autres organismes pour se
multiplier)
vocabulaire :
- souche : variante génétique ou sous-type d’une bactérie
- septicémie : maladie (infection générale grave) provoquée par le développement de
germes pathogènes dans le sang
- plasmide : molécule d’ADN non chromosomique que l’on trouve essentiellement chez les
bactéries → capable de réplication autonome = essentiel à la survie de la cellule

- comprendre, analyser et expliquer ce qu’est un antibiogramme

antibiogramme : examen de laboratoire visant à déterminer la sensibilité d’une bactérie à

différents antibiotiques. En effet, de nombreuses bactéries sont devenues, avec le temps,
résistantes aux antibiotiques. Il n’est donc pas toujours évident de trouver l’antibiotique qui
sera efficace pour traiter une souche bactérienne donnée.

En mettant en contact des bactéries (prélevées chez un malade) avec plusieurs

antibiotiques, l’antibiogramme permet de voir quels sont les produits qui inhibent
(empêcher) la croissance bactérienne et qui seront efficaces pour traiter l’infection.
 - comprendre et expliquer l’importance écologique des bactéries (chaînes alimentaires et
autres)
3 rôles :
a) décomposeur : elles permettent le cycle de la matière en dégradant les matières
organiques en matières inorganiques réutilisables par les végétaux. Ce sont des
bactéries saprophytes → se nourrissent de petites molécules organiques des déchets
organiques
b) fixatrice d’azote : enrichissent l’eau et les sols en composés azotés, que les organismes
utilisent pour fabriquer des protéines : cycle de l’azote
c) décomposer substance polluantes : exemple bactérie Pseudomonas qui décompose des
pesticides / d’autres peuvent décomposer du plastique
(rôle biologique : bactérie symbiotique = flore interne
rôle économique : industrie agroalimentaire + industrie pharmaceutique + traitement
eaux usées + production méthane)

bactérie hétérotrophe :
- saprophyte = décomposeur
- symbiotique / parasite = bactérie pathogène
fonction écosystème : décomposeur, producteur, consommateur
Le métabolisme cellulaire : la photosynthèse et la respiration cellulaire

- connaître la différence entre entre les voies catabolisme et les voies anaboliques
(anabolisme)
métabolisme : Le métabolisme correspond à l'ensemble de toutes les transformations
chimiques, qui se produisent dans une cellule ou un organisme.
Il se divise en deux phases :
1) Le catabolisme : ensemble de réactions enzymatiques de dégradation de
macromolécules en molécules de faible taille. Ces réactions s'effectuent avec une
libération d'énergie libre dont une partie est stockée sous forme d'ATP et de transporteurs
d'électrons réduits (NAD(P)H et FADH2).
Les voies cataboliques aboutissent, après oxydation complète, à des produits terminaux
communs (CO2et H2O) et conduisent à la synthèse d'ATP.
= dégrade molécule complexe
- réactions qui décomposent des molécules complexes pour produire de l’énergie et
des molécules simples ex : respiration cellulaire : brûle glucose pour ATP
2) L'anabolisme : ensemble de réactions enzymatiques de biosynthèse de macromolécules ou
de leurs précurseurs. Ces réactions nécessitent un apport d'énergie libre fournie généralement
par l'hydrolyse de l'ATP et/ou par le pouvoir réducteur du NAD(P)H et du FADH2.
 - réactions conduisant à la formation de molécules complexes à partir d’autres plus
petites à l’aide d’énergie ex: synthèse des protéines, photosynthèse : créé glucose à
partir du CO2 et H2O

synthèse simple : Le métabolisme est l'ensemble des réactions biochimiques et des

transferts d'énergie qui se déroulent de manière continue dans les cellules et chez les
organismes vivants. On distingue deux grandes catégories :
le catabolisme (dégradation de molécules organiques complexes en molécules plus
simples) et l'anabolisme (synthèse de molécules organiques complexes à partir de
molécules plus simples et d'énergie). Toutes les cellules et systèmes d'un organisme
contribuent à l'homéostasie, c'est-à-dire au maintien de la stabilité du milieu interne
malgré les changements externes.

- expliquer où se trouve le lieu de synthèse de la matière organique, les lieux de transferts

et les organes de stockage chez une plante vasculaire
- connaître et identifier les éléments impliqués dans la photosynthèse et l’anatomie
végétale en lien avec ces éléments

→ La photosynthèse est une réaction anabolique. Les organismes qui utilisent le mécanisme de
photosynthèse sont autotrophes car ils synthétisent des molécules organiques (glucose) à partir
de molécules inorganiques (eau et gaz carbonique) en utilisant l’énergie lumineuse.

anatomie végétale :

RACINES : permettent
- fixer la plante dans le sol
- d’accumuler des réserves de sucre = amidon
- d’absorber de l’eau et de sels minéraux grâce aux poils absorbants

FEUILLE : permet
- fabriquer des sucres grâce aux chloroplastes de ses cellules (photosynthèse) ajoutés à
l’eau dans le sol = sève élaborée
- échanges gazeux avec l'atmosphère et la transpiration grâce aux stomates
TIGE : permet
- relier + soutenir toutes les structures (feuilles, fleurs, fruits…)
- faire circuler la sève brute (eaux + sel min) des racines vers les feuilles, grâce au xylème
- faire circuler la sève élaborée (eau, sel min, glucose) des feuilles vers les racines, grâce
au phloème
CHLOROPLASTES :
- situés principalement dans les feuilles
- lieu photosynthèse grâce à la chlorophylle, située dans la membrane des thylakoïdes

● stroma : cytoplasme des

chloroplastes

● thylakoïdes : lieu chlorophylle

- connaître l’équation de la photosynthèse, son but et l’organite qui la réalise

Il faut six molécules de dioxyde de carbone et six molécules d'eau pour synthétiser une
molécule de glucose, relâchant six molécules de dioxygène, grâce à l'énergie lumineuse.
6 CO2 + 6 H2O + énergie lumineuse → C6H12O6 (glucose) + 6 O2
Mais ce bilan est en fait décomposé en deux étapes successives :
 ● les réactions photochimiques (phase claire) : 12 H2O + lumière → 6 O2 + énergie
chimique (24 H) ;
● le cycle de Calvin (phase sombre) : 6 CO2 + énergie chimique (24 H) → C6H12O6 + 6
H2O

- connaître les deux principales étapes de la photosynthèse (but, lieu, produits)

→ produits = glucose + oxygène
→ lieu = chloroplastes
→ but = synthétiser molécules organiques à partir de molécules inorganiques
1ère étape : PHASE PHOTOCHIMIQUE
- nécessite lumière
- membrane des thylaköides, grâce à la chlorophylle
- photolyse l’eau : l’énergie lumineuse sert à scinder la molécule d’eau : elle sépare
l’hydrogène de l’oxygène
→ libère de l’énergie ATP + O2

2ème étape : PHASE DE FIXATION DU CARBONE/ CYCLE DE CALVIN

- utilisation de l’ATP pour lier l’hydrogène au gaz carbonique = glucose
- stroma
- réactions biochimiques complexes

La photosynthèse est une réaction anabolique, réalisée par des organismes autotrophes. A
partir de composés minéraux tels que le gaz carbonique et l’eau, elle permet de synthétiser des
molécules organiques comme le glucose en utilisant de l’énergie lumineuse. Ce mécanisme se
déroule en deux étapes. La première, nommée phase photochimique, nécessite de la lumière et
se déroule dans les membranes des thylakoïdes pour réaliser la photolyse de l’eau. Cela
consiste à utiliser l’énergie lumineuse pour scinder les molécules d’eau (séparation de l’oxygène
et de l’hydrogène). Cette étape libère l’ATP dite adénosine triphosphate. La deuxième phase de
fixation du carbone se déroule dans le stroma. Ainsi l’énergie produite par la phase
photochimique (ATP) est utilisée pour lier l’hydrogène au gaz carbonique, créant ainsi du
glucose. Le surplus de glucose est stocké sous forme d’amidon, chez les végétaux au niveau de
leurs feuilles et de leurs racines.La photosynthèse est influencée par des facteurs de
l'environnement, notamment l’intensité de la lumière, la quantité de CO₂ et la composition
spectrale de la lumière. En effet, selon l’expérience Engelmann, les radiations rouges et bleues
sont efficaces pour la photosynthèse contrairement à la lumière verte. Cette dernière ne permet
pas la photosynthèse car elle est réfléchie par la chlorophylle ; elle n’est donc pas absorbée. Ces
trois facteurs sont indispensables à la photosynthèse. La photosynthèse peut donc être résumée
par l'équation suivante : CO₂ + H₂O à O₂ + CH₂O.
→ En présence de quantité de lumière adéquate, la teneur en CO2 est proportionnelle à
l’efficacité de la photosynthèse. En effet, plus la concentration en CO2 va augmenter, plus le
taux de photosynthèse augmente, et inversement

- comprendre et expliquer toutes les expériences réalisées en classe et celles

étudiées en théorie:
→ voir dossier métabolisme

- savoir ce qu’est l’amidon et le glycogène:

amidon : excès de glucose stocké au niveau des feuilles et des racines → organisme
autotrophe (végétaux)
glycogène : excès de glucose stocké dans le foi → organisme hétérotrophe
(animaux + champignons)

- La respiration cellulaire :
réaction chimique dans mitochondrie = respiration cellulaire → lieu production énergie
cellule } production chaleur
respiration cellulaire a lieu en permanence / but : produire de l’énergie chimique utilisée par
la cellule + produire énergie thermique (hétérotrophes consomment autres organismes =
relations trophiques)
structure mitochondrie : membrane avec replis : membrane mitochondriale externe +
interne (replis) } entre deux = espace intermembranaire
intérieur : matrice mitochondriale + espace intermembranaire = réaction chimique
énergie lumineuse soleil permet au cellule autotrophe de produire propre matière
organique → photosynthèse / produit de l’énergie stockée dans des biomolécules (amidon)
O2 + Glucose permettent autres organisme de faire la respiration cellulaire en continue →
libère énergie = ATP (adénosine triphosphate) : molécule hautement énergétique car si on
scinde ces liaisons chimique entre phosphate = libération électrons (ADP = moins électron)
→ liaison du dernier groupement phosphate peut être facilement rompu grâce à une
protéine (enzyme) et devient de l’ADP
ATP est continuellement produit et consommé → pas stocké
respiration cellulaire = transfert énergie chimique + thermique (chaleur dissipée en utilisant
énergie)
cellule : doit métaboliser (faire des réactions biochimiques) = moyen de communication
(transformation molécule)
enzyme : famille des protéines, rôle : accélérer réactions chimiques d’une cellule
réactions chimiques : catabolisme (dégradation) / anabolisme (simple → complexe)
homéostasie : organisme doit maintenir son milieu interne stable (ex : temp. corporelle)
= réactions chimiques pour atteindre cet équilibre
respiration cellulaire
étape 1 ) glycolyse (catabolisme : glucose 6C → pyruvate 3C + production peu d’ATP) →
une molécule de glucose donne 2 pyruvates et produit 2 ATP
lieu : cytoplasme cellule (pas mithocondrie) / glucose vient de la photosynthèse ou de
l'alimentation (hétéro)
→ ATP utilisé (énergie) et produit + formation NADH (transporteur électron)
dégradation : libère ATP (+ consomme) & NADH+H+

organisme ont besoins d’oxygène = condition aérobie (1)/ si O2 manque (2) = anaérobie
1) molécule pyruvate migre dans mitochondrie et subit respiration cellulaire
2) pyruvate dégradé par la fermentation (lactique ou alcoolique)
→ rendement énergie plus efficace avec O2 que sans
bilan : 1 glucose = 2 pyruvate + 2 NADH + 2 ATP
fermentation bilan = 1 glucose + pyruvate = 2 molécules lactate + 2 ATP (pas rentable)

étape 2) oxydation du pyruvate + cycle de Krebs (acide citrique = 8 étapes)

pyruvate oxidation en acétyl CoA (dans mitochondrie par transport actif, passe par un
canal) → qui rentre dans le cycle de Krebs car produit des NADH + origine production CO2
(déchet) ( + FADH2 )+ peu de ATP (2)
→ libération électron
= NADH et CO2 (+ 2 ATP)
bilan : 1 molécule glucose = 38 molécule ATP

étape 3) phosphorylation oxydative (chaîne de transport d’électron) et la chimio osmose

lieu : membrane interne → espace intermembranaire
nécessite NADH + production en masse d’ATP : synthèse ATP + oxygène réduit en H2O
NADH+H+ : Nicotinamide adénine diphosphate → capable de transporte 2 électrons
(libérés par scission) et les transférer pour produire de l’ATP

réaction d’oxydo-réduction : perd = oxydation, gagne = réduction

organisme produit ATP en dégradant des biomolécules (glucides : amidon → glucose,

protéines → acide aminé, lipides → acide gras) en sous-unités (catabolisme)
respiration cellulaire formule chimique :

→ glucose oxydé en CO2, O2 réduit en H2O // 36 molécules d’ATP

RAPPEL glycolyse : 1 Glucose = 6C → 2pyruvate (3C)

transformation catabolisme génère NADH + ATP } + consomme ATP

(aérobie) pyruvate passe dans les deux membranes et va dans la matrice

→ subit une oxydation = acétyl CoA = molécule 2 C (3e carbone donne CO2)
→ libère CO2 + transporteur d’électron
Acétyl va dans le cycle de Krebs et CoA refait un tour pour prendre un Acétyl = transporter
au bon endroit → nécessaire pour que Acétyl rentre dans le cycle de l’acide citrique
tout est recyclé
Acétyle 2C s'associe avec de l’occalo acétate pour former une molécule à 6C et va subir des
transformations qui libèrent du dioxyde de carbone et des NADH, FADH et ATP
—> produit en grand nombre des transporteurs d’électrons

complexe protéiques = pompes à protons de la matrice vers l’espace intermembranaire

→ gradient de concentration de proton
protons veulent revenir mais ne peuvent pas diffuser, quand ils retournent = 1 ATP produit
= chimie osmose // protéines transmembranaires = ressemble membrane plasmique
NADH+H+ cède 2 électrons à la chaîne de transport et 4 protons sont pompés vers l’espace
intermembranaire → contribue formation molécule ATP et H2O
bilan : 36 ATP
replis : bcp + de surface

c.f feuilles expériences

- expliquer le phénomène d'absorption des longueurs d’onde de la lumière visible (spectre
électromagnétique) en lien avec les pigments utiles à la photosynthèse (chlorophylle a, b
et caroténoïdes)
→ Les plastes qui font la photosynthèse sont verts car ils absorbent toutes les longueurs
d’ondes, sauf de 500 nm à ~ 560 nm, ils rejettent les longueurs d’ondes vertes
Les longueurs d’ondes violettes et rouge favorise la photosynthèse car cela active la
chlorophylle A