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Tgen3
1/
Cette maladie est dominante car il y a des malades à chaque génération et aucun couple
sain n'a d'enfant malade. C'est une hypothèse probable mais pas certaine. Si la maladie
était récessive, il faudrait que tous les parents phénotyquement sains d'enfants malades
soient hétérozygotes (I1, II1 et III4). L'allèle mutant est porté par un autosome, car sinon
II1, père malade ne pourrait avoir de fils III2 sain.
2/
Possédant un parents malade et un parent sain donc n//n le parents sain va alors légué
un allèle n/ et l’individu malade l’allèle dominant M/ ce qui va donner le génotype de
l’individu II-3 qui sera : (M//n)
Possédant également un parents malade et un parent sain donc n//n le parents sain va
alors légué un allèle n/ et l’individu malade l’allèle dominant M/ ce qui va donner le
génotype de l’individu IV-1 qui sera : (M//n)
Tandis que pour l’individu IV-2 , l’individu malade va cette fois ci donner l’allèle récessif
n/ ce qui va donner le génotype suivant : (n//n).
3/
La probabilité que l’individu III-3 possède les 2 allèles responsables de la chorée de
Huntington sachant qu’il a deux parents atteints avec comme génotype (M//n) est de
25 % au total et de 33,3 % si on part du principe qu’il ai atteint. L’individu aurait pu
obtenir comme génotype (n//M), (M//N) ou le cas recherché (M//M). Comme montré ci
– dessous :
4/ La probabilité pour que IV1 et IV2 aient un enfant malade est de 1/2 car comme IV1
est malade, il a un risque sur deux de transmettre l'allèle déficient M, et son enfant sera
alors malade puisque M est dominant.
On peut donc faire un échiquier de croisement :
La probabilité que le fœtus issue de IV-1 et IV-2 soit malade est de 1/2
M = allèle muté
n= allèle non muté