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CORRECTION DE L’EXAMEN DE

MARKETING SESSION 1 2015/2016


14/20pts
EXERCICE 1
Bénéfice économie sécurité plaisir standing
Consommateur
A 3 5 2 2
B 1 3 5 5
C 5 1 1 3
D 3 2 4 5
E 2 1 5 3
Proposons une segmentation des cinq consommateurs en fonction des notes
attribuées à chaque bénéfice

Importance 2.6 3 3.4 3.6


moyen

Segmentations

1) Nous avons les consommateurs qui recherchent le plus la sécurité et l’économie : ce


sont les consommateurs (a) et (c).
2) Nous avons les consommateurs qui recherchent le plaisir et le standing : ce sont les
consommateurs (b), (d) et (e).

EXERCICE 2
Décrivons les segments à l’aide des variables
sociodémographiques
- A partir de l’âge et du sexe

(SEGMENT 1)

 Les individus qui sont âgés de 25 ans et 42 ans (les hommes), recherchent les
bénéfices qui sont : l’économie et la sécurité.
(SEGMENT 2)

 Les individus qui sont âgés de 29 ans et 50 ans (les femmes), recherchent les
bénéfices qui sont : le plaisir et le standing.

- En résumé

Les femmes qui ont la trentaine et plus recherchent le plaisir et le standing au lieu de
l’économie et la sécurité, ceux-ci sont recherchés par les hommes ayant 30 ans et 40 ans. Les
hommes qui ont moins de 30 ans et plus de 40 ans expriment le besoin de sécurité et de
l’économie plutôt que le standing et le plaisir.

EXERCICE 3
Nommons chaque segment de consommateurs

 Segment 1 : Le segment de sécurité


 Segment 2 : Le segment du confort

CORRECTION DE L’EXAMEN DE TECHNIQUES


D’ANIMATION ET DE CONDUITE DE REUNION
SESSION 1 2015/2016 13,50/20pts
1. Rappelons, avant tout que la communication est : au regard de ce qui précède,
l’animation d’une réunion peut-être considéré comme un acte majeur de la
communication dans la mesure où les six facteurs de la communication que sont :
l’émetteur, le récepteur, le référent, le message, le canal et le code sont réunis.
La gestion du temps est importante dans la réussite d’une réunion en ce sens que :
La réunion est un cadre, une occasion d’échange, de concertation, de discussion dans
un environnement qui met en présence deux acteurs sur un même sujet relatif à une
question donnée. Une réunion qui ne respecte pas son temps produit un effet de
désintéressement des participants, des perturbations et un sentiment d’ennui.
De ce fait, la gestion du temps est importante dans la réussite d’une réunion car elle
permet d’éviter les boycottages et assure un bon déroulement de la réunion.
2. Les qualités d’un manager auquel il revient régulièrement d’organiser et d’animer
des réunions sont entre autres (la liste n’est pas exhaustive) :
- La légitimité : Qui suis-je vis-à-vis de mon auditoire ? Sur quel(le) statut/
fonction/ rôle puis-je m’appuyer ? Il convient ici de faire preuve de rigueur, de
clarté du code et de déontologie.
- La crédibilité : L’animateur ne peut animer une réunion dans l’abstrait. Un
objectif est défini et il est donné aux participants le loisir d’intervenir sur les
questions présentées en se basant sur leurs expériences, leurs connaissances
ou des documentations. Généralement, l’animateur a une double expertise :
sur le fond et la forme.
- Le charisme : L’animateur doit avoir des qualités relationnelles et
personnelles. Il doit avoir la maitrise de soi (retenir ses émotions, son trac…),
le sens de l’affirmation (se faire suffisamment confiance pour oser trancher et
prendre des décisions), un état d’esprit positif, gagnant et constructif. C’est la
résultante de tous ces facteurs qui va servir de caisse de résonnance à toutes
les autres qualités et susciter une confiance mutuelle entre l’animateur et les
participants.
- Le recul : L’animateur doit utiliser les deux hémisphères de son cerveau. Il doit
conjuguer l’approche analytique (le déroulé méticuleux de la réunion) et
l’approche synthétique (s’adapter aux interventions des participants). Il doit
jauger sur quelle pédale appuyer : recentrer/ recadrer le sujet ou laisser vivre
le groupe, diverger/ converger. Il doit se remettre toujours en question rien
ne peut être considéré comme acquis.
NB : Les qualités afférentes à l’organisation sont la légitimité et la crédibilité.
Celles liées à l’animation sont le charisme et le recul.
3. Les conditions qu’il importe de satisfaire lors de la préparation d’une réunion pour
garantir le succès de son animation sont :
- Réunir un comité d’expert afin de mieux réussir la réunion,
- Définir le thème et l’ordre du jour de la réunion,
- Définir la date, l’heure et le lieu de la réunion,
- Prévoir une invitation pour les personnes étrangères et/ou une convocation
adressée aux personnes de l’entreprise,
- Ne réunir que les personnes concernées par la réunion,
- Entretenir une bonne hygiène de vie afin d’avoir une bonne constitution
physique,
- Organiser les propos de la réunion pour éviter toutes mauvaises surprises,
- Etre attentif et regardant face à la préparation d’une réunion.
4. Admettons que toutes les dispositions relatives à la bonne préparation d’une réunion
universellement connues. Un animateur traditionnel ne saurait s’en dérober. Mais en
notre qualité de manager, les détails même ont une importance capitale. Rien ne doit
nous échapper. De la forme au fond de la réunion, tout doit être méticuleusement
préparé. Le manager au sens pluriel du terme rime à se faire valoriser. Par lui, toutes
les occasions sont bonnes pour faire montre de son expertise, de ses potentialités.
Quand survint alors l’aubaine d’animer une réunion, il convient pour lui d’être
particulièrement regardant et attentif quant à la préparation.
5. S’il y a boycott par le personnel de l’entreprise, il peut se poser :
- Un problème au niveau des récepteurs pour les convocations (elles ont été
adressées aux mauvaises personnes),
- Un problème au niveau relationnel (les convoqués sont bien les concernés mais
l’animateur est très antipathique),
- Un problème de retard (l’animateur est très souvent le dernier à se rendre à la
rencontre avec souvent des heures de retard : le personnel a donc décidé pour
exprimer son mécontentement de riposter après plusieurs remarques),
- Un problème dû au fait de téléguider les décisions. Au lieu de se porter comme le
garant du processus de réunion, l’animateur ne veut se baser que sur ses propres
convictions pour délibérer,
- Un problème de prise en compte des résolutions antérieures : les réunions
passées ont donné libre cours à des décisions consensuelles qui ne sont pas vus
appliquer,
- Un problème d’auto-évaluation après les réunions : l’animateur ne cherche pas à
bonifier ses prestations et continue d’étaler ses lacunes,
- Un problème de gestion de temps. L’animateur excède toujours le délai qui lui est
imparti.

CORRECTION DE L’EXAMEN DE
DISTRIBUTION SESSION 1 2015/2016
50/60 pts
PARTIE 1 : QUESTION DE DEFINITION
1. Définir la marge et dire à quoi elle sert pour le distributeur

La marge correspond à la différence entre le prix de vente et le prix d’achat des biens ou de
service. Elle permet de calculer un taux de marge. Elle sert à rémunérer le distributeur. Elle
sert à couvrir :

- Les coûts de la distribution physique (transport, manutention, stockage…),


- Les coûts administratifs (facturation, comptabilité…),
- Les frais commerciaux (personnel de vente, promotion, publicité, après-vente,
services divers…),
- Les frais financiers (immobilisations correspondant aux produits stockés, aux capitaux
investis…),
- Le bénéfice du distributeur.
2. Définir la marge avant et le coefficient multiplicateur
 La marge avant est la marge obtenue par la différence entre le prix de vente
hors taxe au consommateur et le prix de vente hors taxe facturé par le
fournisseur.
 Le coefficient multiplicateur est un coefficient de gestion commerciale utilisé
par un distributeur pour obtenir le prix de vente TTC d’un produit à partir de
son prix d’achat HT.
3. Quels sont les acteurs de la distribution ?
Les principaux acteurs de la distribution sont :
- Les détaillants multimarques,
- Les grands magasins,

D’autres acteurs du canal de distributions sont :

- Les courtiers,
- Les représentants,
- Les attachés commerciaux.
4. Citez trois conditions commerciales particulières (à vérifier)
Ce sont :
- Le ratio de rotation des stocks,
- Le délai de paiement obtenu par les producteurs,
- Les ventes financières qu’ils tirent du placement de leur trésorerie.

PARTIE 2 : QUESTION A DEVELOPPEMENT


1) Qu’est ce qu’un circuit de distribution et quel rôle remplit-il au sein de
l’entreprise ?

Un circuit de distribution est l’ensemble des canaux de distribution impliqués dans le


processus de commercialisation (du producteur au consommateur) d’un produit.

Elles correspondent à six fonctions que l’on peut regrouper en deux principaux types : la
distribution physique et les physiques.

- La distribution physique : Elle est composée de :


 La fonction de transport et d’éclatement de la production : C’est
l’acheminement du produit et les opérations de manutention et de façon
globale, elle correspond à tout ce qui touche à la logistique qui permet
d’éclater la production vers les lieux de stockage et de distribution.
 La fonction d’assortissement : Elle consiste à transformer les lots de
production en lots de vente. C’est l’ensemble des produits disponibles sur le
point de vente.
 La fonction de stockage : Elle est effectuée à différents niveaux dans le circuit
de distribution et joue un rôle important car elle permet d’ajuster dans le
temps et dans l’espace la production et la demande.
- Les services :
 La fonction de financement : C’est le fait pour les intermédiaires d’acheter des
produits auprès des producteurs tant en prenant en charge les risques de
commercialisation. Cette fonction est aussi exercée par le producteur lorsqu’il
finance les stocks et permet aux distributeurs de recouvrer leur dû après avoir
vendu les produits en leur accordant un délai de crédit plus long que le délai
de vente.
 Les services matériels : Ce sont les livraisons, les installations et tous les
services qui peuvent être effectué après la vente.
 La fonction de communication : La fonction de communication de la
distribution ne se limite pas aux seuls consommateurs, les intermédiaires sont
une source d’information commerciale pour les fabriquants.

2) Comment se conçoit et se gère un circuit de distribution ?


En ce qui concerne la conception, on étudie les besoins qui doivent tenir
compte du volume unitaire d’achat, du délai, définir les objectifs poursuivis.
Identification des solutions qui consiste à trouver les intermédiaires qui
pourront vendre le produit.
L’évaluation de la solution envisagée qui est le choix des acteurs qui
répondent au mieux aux objectifs.
Après avoir conçu, la gestion se fait en plusieurs étapes que sont :
- La sélection des intermédiaires : ils sont choisit en fonction de leurs apports dans
l’entreprise,
- La motivation des intermédiaires : les intermédiaires doivent être considéré comme
des clients de l’entreprise, donc celle-ci doit connaître leurs besoins,
- Enfin, l’évaluation des intermédiaires.

(QUESTIONS A VERIFIER)
1) Quelles sont les spécificités du marketing du distributeur ?
- Une clientèle paradoxalement mal connue
- Un marketing expérimental
- Un marketing à très court terme
- Un marketing à deux niveaux local et national
- Un marketing vente et un marketing achat
2) La logistique commerciale est un processus par lequel les marchandises
transitent jusqu’au client final. Il faut choisir des entrepôts où stocker les
marchandises. Les modes de transport optimisant les coûts et les délais. Elles
rassemblent toutes les activités mise en œuvre pour gérer de façon rentable
les flux de produits et marchandises.

CORRECTION DE L’EXAMEN
D’EVALUATION D’ENTREPRISE
SESSION 1 2015/2016 11/20pts

PARTIE 1 : QCM

1) Réponses à vérifier
2) Réponses à vérifier
3) Réponses à vérifier : a) V
b) F
c) F
d) V
4) a) F
b) V
c)F

CALCULS
Va=va × Na, avec Va= Valeur totale des actions
Na= Le nombre total d’action
va= Valeur d’une action
Va= m × Bénéfice, avec m= Multiplicateur
 va= m × bénéfice/Na,
Or Bénéfice/Na= BPA= Bénéfice par action
Donc, va= m × BPA
Or, m= 1/k, avec k= le taux de rentabilité exigée par les actionnaires
 va= 1/k × BPA
k= BPA/ va <=> k= 4000/50000
k= 0,08 soit k= 8%

PARTIE 2 : Problème

1) Les entreprises comparables doivent être dans le même secteur.


2) La méthode des comparables pour l’évaluation de cette entreprise est pertinente.
Notons : m1= actif économique/résultat d’exploitation
m2= actif économique/chiffre d’affaire
Déterminons le rapport m1/m2 pour les entreprises comparables

ENTREPRISES COMPARABLES

Rapport des Sasembonhô Sasembiendêh Sasenhô Sasendêh


multiples

m1/m2 50 42.67 55 53

Le rapport des multiples donne l’intervalle [42.67 ; 55], aussi, m1/m2= chiffres
d’affaires/résultat d’exploitation.

 Ainsi déterminons le rapport m1/m2 pour l’entreprise Jolisoir :


 m1=1284400000/24700000=52, on a effectivement 52 Ԑ [42.67 ; 55] (réponses à
vérifier)

Conclusion

La méthode des comparables est pertinente pour l’évaluation de l’entreprise Jolisoir.

3) Calcul des valeurs moyennes (VM) des multiples à travers l’échantillon


 VMm1= 12.5+12.8+15.6+14.4/4
VMm1=13.825
 VMm2=0.25+0.30+0.28+0.27/4
VMm2=0.275
4) Calcul de la valeur de l’actif économique de Jolisoir
 Selon le résultat d’exploitation (à vérifier)
Actif économique= VMm1×résultat d’exploitation de Jolisoir
=13.825×24700000
Actif économique=341477750
 Selon le chiffre d’affaire
Actif économique=VMm2×1284400000
Actif économique=353210000

Conclusion
La valeur de l’actif économique d’après la méthode des comparables se situe entre
341477750 et 353210000. Ainsi, les négociations quant à la valeur de l’entreprise Jolisoir
peuvent s’étendre entre ces deux valeurs.

5) Déterminons le coût du capital (k) implicite pour le résultat d’exploitation


supposé constant selon Gordon-Shapiro
On a :
Valeur actif économique= résultat d’exploitation/k
 k= résultat d’exploitation/valeur actif économique
=24700000/341477750
k=7.23%
6) On a : ANCC de Jolisoir=120000000
Or, Valeur de l’entreprise=341477750 (selon le résultat d’exploitation)
D’où, Goodwill= -ANCC + Valeur de l’entreprise
=Valeur de l’entreprise-ANCC
=341477750-120000000
Goodwill=221477750
Par suite, 221477750/341477750=0.648 soit 64.8%
 Le Goodwill représente 64.8% de la valeur de l’entreprise de Jolisoir.
Conclusion
L’entreprise tire effectivement l’essentiel de sa valeur dans celle de ces actifs
immatériels, c’est-à-dire, du Goodwill à hauteur de 64.8% de son actif économique.

CORRECTION DE L’EXAMEN DE
FISCALITE SESSION 1 2015/2016
15,75/20pts
PARTIE 1 : TVA

QUESTIONS
1) a) Réponse à vérifier
b) Vente de bien meuble
c) Importation
d) Livraison à soi-même
2) Indication des dates d’exigibilité de la TVA
a) Le 10 mai N
b) Réponse à vérifier
c) Payable à chaque traite mensuelle à partir de juillet
d) Le 15 octobre N
EXERCICE
Détermination du montant de la TVA due du mois

Opérations TVA exigible TVA déductible


Numéros
1) a)-fact n°34 (55500000/1.18)×18% 8466102 -
-fact n°35 (82000000/1.18)×18% 12508475 -
b)-fact n°36 (28000000/1.18)×18% 4271186 -
-Ventes au détail à (32000000/1.18)×18% 4881356 -
des particuliers
-Prestation de services (500000/1.18)×18% 76271 -
2) fact ABI n°05 60000000×18% - 10800000

3) Avis BICICI (C’est une PME il n’y a (Montant à calculer) (Montant à calculer)
n°00254 pas de TVA sur les
agios mais plutôt une
TOB)
4) Fact BUROTIC 4000000×18% - 720000
n°415
5) Fact SARI 15500000×18% - 2790000
n°0011
6) Déclaration 62500000×18% 11250000 -
n°04
7) Fact n°37 (Pas de TVA sur les - -
exportations)
TOTAL 41453390 14310000

TVA due= TVA exigible-TVA déductible (montant à calculer)


 William TOUBON
Calculons SBI
Rémunération totale=2500000
Eléments à exonérer
Prime de transport=25000
 SBI= 2500000-25000
 SBI=2475000
Calculons SBS
Rémunération totale=2500000
Eléments à exonérer
 Prime de transport= 25000
 SBS= 2500000-25000
 SBS=2475000
 Koné Vafi
Calculons SBI
Rémunération totale= 145000
Eléments à exonérer
Prime de transport= 25000
 SBI= 145000-25000
 SBI=120000
Calculons SBS
Rémunération totale= 145000
Eléments à exonérer
Prime de transport =25000
Prime de panier= (3×60000/173.33) × 5=5192
Total exonération =30192
 SBS= 145000-30192
 SBS=114808
 Dion René
Calculons SBI
Rémunération totale=300000
Exonération
Prime de transport=25000
Allocation familiale=10000/35000
Calculons SBI
 SBI= (300000-35000)
 SBI= 265000

SBS A CALCULER
 Tapé Jeanne
Calculons SBI
Rémunération totale= 1800000
Eléments à exonérer
Prime de transport=25000
Indemnité de déplacement = 300000
Limite= 10% (1800000-25000)= 177500
300000>177500
Donc total exonération=25000+177500=202500
 SBI= 1800000-202500
 SBI = 1597500
Calculons SBS
Rémunération totale= 1800000
Eléments à exonérer
Prime de transport = 25000
 SBS= 1800000-25000
 SBS = 1775000

CORRECTION DE L’EXAMEN DE DROIT


DU CREDIT SESSION 1 2015/2016
14/20pts

I. a) Les crédits que nous lui conseillons sont :


- Le crédit documentaire qui lui permet d’effectuer des opérations
d’achat à l’étranger,
- L’escompte d’effet de commerce.

b) La destination de chacun des crédits :

- Le crédit documentaire : il va consister pour le banquier de la PME


de joindre son correspondant en France. Lui faire parvenir les
documents nécessaires et lui, va avancer les fonds pour acquérir les
transformateurs chez Leroy Merlin, la banque exportatrice va
ensuite envoyer les documents à la banque importatrice qui après
vérification va transférer les fonds engagés pour l’acquisition, les
frais de douanes, frais du transitaire à la banque exportatrice pour
remboursement.
- L’escompte d’effets de commerce : après livraison des
transformateurs la CIG va donner l’ordre à sa banque de payer à la
banque de la PBIG, les 350000000 à 60 jours. La banque va aller
retrancher les fonds avancés plus les intérêts et remettre le solde à
la PME.
II. a) L’entreprise Dagnogo&Fils à le droit de posséder plusieurs comptes dans la
même banque en fonction de l’utilité de chaque compte : l’un des comptes
peut par exemple servir à effectuer les transactions financières avec ses
partenaires internationaux tandis que l’autre lui sert à effectuer ses
transactions locales et/ou virer les salaires de ses employés.
De plus, la banque a tout à y gagner car elle prélève sur chacun des comptes
les frais de tenu de comptes y affèrent.

b) En notre qualité de gestionnaire, nous ne réglerions pas ce chèque parce


que le compte sur lequel est tiré le chèque n’est créditeur que de 1000000
FCFA. Il y a donc insuffisance de provision et étant donné qu’aucune ligne de
découvert n’est accordée sur ce compte nous sommes dans l’incapacité de
régler ce chèque.
III. a) Par la phrase <<Valeur en recouvrement>>, le client adresse à sa banque le
message selon lequel elle peut utiliser tous les moyens légaux pour entrer en
possession de ses fonds.

b) En tant que gestionnaire, nous lui conseillerions, par rapport au type de


bassement sur le chèque, de le déposer dans une agence SGBCI pour
virement sur son compte.

IV. Les informations recherchées par la banque en demandant les trois derniers
bulletins de salaire sont les suivantes :
- Savoir si le demandeur de crédit a une source de revenus,
- Si la source de revenus du demandeur soit fiable (entreprise existant
vraiment, entreprise sérieuse,…),
- Si la source de revenus est plus ou moins permanente (il travail depuis
au moins trois mois) pour mieux juger de la moralité du demandeur et
sa solvabilité.
-
V. L’obligation cautionnée est classée dans la grande catégorie des crédits par
signature. Elle permet de différer le décaissement.

VI. Trois raisons expliquant la fébrilité des banques :


- Un mauvais projet : la banque étant une entreprise commerciale
cherche à faire du profit donc un mauvais projet c’est-à-dire un projet
non rentable ne va pas l’intéresser car plutôt que de lui permettre
d’avoir plus d’argent va lui faire en perdre.
- Instabilité des PME : les statistiques ont montré que 90% des PME
meurent dans les 5 ans qui suivent leur création. Ce serait donc trop
risqué pour l’entreprise d’investir dans une entreprise qui ne fera pas
long-feu.
- La moralité douteuse des demandeurs de crédit : le demandeur peut
s’enfuir une fois en possession des fonds demandés. La banque étudie
donc avec minutie le dossier et préfère se retenir au moindre doute à
propos de la moralité du demandeur surtout que les ivoiriens sont
passés maîtres dans ‘’l’art d’arnaquer’’.

VII. La BCEAO peut contrôler la distribution du crédit par le taux d’intérêt en ce


sens que lorsqu’elle augmente son taux directeur les banques à leur tour
augmentent leurs taux d’intérêt ce qui incite moins à emprunter de l’argent
auprès des banques.
VIII. La garantie dans l’analyse d’un dossier de crédit représente le recours dont la
banque dispose pour entrer en possession de son argent dans l’éventualité
d’une défaillance de l’emprunteur à rembourser son emprunt.
- L’hypothèque : c’est une garantie personnelle qui donne le droit à la
banque de saisir le bien pour lequel l’emprunt a été contracté,
- L’aval : c’est le fait que quelqu’un se porte garant de l’emprunt
contracté. Cette personne sera donc obligée de rembourser l’emprunt
en cas de défaut de paiement du débiteur principal (il peut s’agir du
conjoint ou toute autre personne volontaire),
- L’assurance-vie : elle est souscrite par le client et sert à rembourser
son emprunt au cas où il devient défaillant,
- Le gage : (définition à chercher).

CORRECTION DE L’EXAMEN D’ANGLAIS


SESSION 1 2015/2016

CURRICULUM VITAE (Example)

Contact Information

Name : N’CHO Jean-Michel Adon

Address : 20 BP 1071 Abidjan 20

Cell Phone : 77-63-30-66

Email : nchojeanmichel94@gmail.com
Optional Personal Information

Date of birth : 19-11-1994

Place of birth : Treichville

Citizen ship : Ivoirian

Gender : Male

Marital Status : Single

Employment History

June 2016-December 2016 : Assistant controller at pricewaterhouse Coopers

January 2017-September 2017 : Assistant manager in the human ressources department at


Bolloré

October 2017-May 2018 : Trainee accountant at Deloitte

Education

High School : Lycée Classique d’Abidjan

2011-2012

Scientific Baccalaureate

University : - Université Félix Houphouët Boigny

2014-2015

License’s Degree in the management of organizations

-Université Félix Houphouët Boigny

2018-2019

Master’s Degree in the management of organizations

Professional Qualifications
Human ressources, Accountancy, Management control, Audit, Management of
organizations.

JOB APPLICATION LETTER

01 BP 563 ABIDJAN

mariapark@gmail.com

Tuesday, 19 April 2016

USAID

Dr Ettien Assoa

etasber@hotmail.com

Dear Dr Ettien,

I would like to apply for the new vacant position in the capacity of assistant manager in the
human ressources department.
I have de Master’s degree in the management of organization from the ‘’Université Félix
Houphouët Boigny de Cocody’’ in Abidjan.
During my school formation, I have got some knowledge about management in different
discipline such as human ressources. I have the qualifications required for this job then.
I would appreciate if you could grant me an interview in your compagny at any date suiting
you.
Find enclosed my curriculum vitae.
I am looking forward to reading from you soon.

Sincerely

Signature

Maria Park
CORRECTION DE L’EXAMEN DE
MANAGEMENT DES ORGANISATIONS
PUBLIQUES SESSION 1 2015/2016
19/20pts
I. Définition des mots et expressions
Management : Le management peut être définit comme une science et un art.
Il est une science dans la mesure où tout comme la science est une discipline dans
laquelle il y a un objectif précis et dont la réalisation nécessite que l’on émette des
hypothèses et possède une méthodologie ; le management renferme un ensemble
de techniques qui sont les grandes fonctions du management à savoir :
- La fonction de planification,
- La fonction d’organisation,
- La fonction de direction,
- La fonction contrôle, évaluation et suivi,
Et une fonction spéciale qui est la fonction gestion de projet.

Le management est un art en ce sens qu’en dépit de toutes les techniques apprises et que
doit connaître tout bon manager, il sera difficile pour celui-ci de gérer l’organisation, les
conflits qui découleront de son activité tels les conflits de leadership,
d’insubordination ,d’autorité ; sans les aptitudes les habiletés que sont :

- Savoir écouter, communiquer, persuader, négocier, coacher, piloter, mobiliser,


motiver, détecteur des leaders, associer les leaders à la prise de décisions, tenir des
réunions ; connaître son entreprise, ses objectifs ; en somme savoir avoir une
stratégie.

Organisation : L’organisation est un ensemble de personnes physiques ou morales qui


par la combinaison des facteurs de productions (économistes) ; les inputs
(gestionnaires), les intrants (les managers), qu’ils transforment, gèrent, managent,
produisent des biens et services, produits finis (pour les économistes) ; outputs (pour les
gestionnaires) et les entrants (managers) dans le but de satisfaire les besoins des
consommateurs. L’organisation est aussi une structure, un système composé de sous-
système que sont :

- le sous-système raison d’être


- le sous-système structurel
- le sous-système technique et technologique
- le sous-système psycho-social
- le sous-système management
Paradigme : Le paradigme est un ensemble de dogmes, de mœurs, de traditions, de
coutumes qui établissent dans nos esprits non seulement des filtres, mais aussi des
frontières qui nous empêchent de penser que les choses peuvent être autrement ; et les
filtres qui nous emmènent à penser, à croire au lendemain meilleur, au changement de
situation.

Microenvironnement : C’est l’environnement immédiat de l’entreprise, l’environnement


avec lequel elle a un contact direct et établit des relations en amont et en aval de son
fonctionnement, de ses activités. C’est l’environnement dans lequel elle tire les
ressources nécessaires à son fonctionnement et écoule ses produits.

L’approche systémique : C’est une approche dans laquelle, la logique des moyens est
substituée par la logique des résultats ; c’est une gestion axée sur les résultats. Le
manager dans une telle approche, a une vision partagée qui se décline en objectif
globale, en objectif spécifique en termes de résultats et établit une batterie d’indicateur
de performance qui permettront de mesurer les résultats selon les normes, et mesurable
par quiconque.

La planification : C’est un processus continu qui part de la conception à la réalisation d’un


objectif, d’un projet, tout en passant par le document-plan.

Le leader : C’est le porteur de la vision, c’est celui qui est capable de se faire suivre par
un maximum de personnes tout en le convaincant et non par la contrainte. C’est celui qui
est capable d’influencer les autres autour de lui et à se faire suivre par ses idées. C’est
celui qui sait motiver, mobiliser, piloter, un groupe de personnes. C’est celui qui a des
aptitudes à gérer, à diriger, à communiquer, à convaincre.

Projet : C’est un ensemble d’activités, de tâches, de missions interdépendantes, qui


lorsqu’ils sont exécutés permettent de réaliser des biens, services, produits, des entrants
dans le but de satisfaire des besoins ; en somme, permettent de produire des résultats
escomptés.

II. A) L’organisation publique ou privée se situe dans un environnement, qui elle reçoit
en amont les ressources nécessaires à son fonctionnement et écoule ses biens et
services produits en aval. Par conséquent, l’organisation est influencée par son
environnement et influence de même cet environnement. L’environnement de
l’organisation qui est composé du microenvironnement et du macroenvironnement
impacte donc le management de l’organisation et inversement. Le
microenvironnement, qui est l’environnement et se compose des personnes avec
lesquelles l’organisation établit une relation.
- Les fournisseurs, se trouvant en amont du fonctionnement de l’entreprise lui
fournit les ressources nécessaires. Si ceux-ci ne fournissent pas à l’entreprise
les ressources nécessaires, l’entreprise sera incapable de produire, de même,
si l’entreprise n’existe pas ou ne fournit pas, les fournisseurs se verront avec
un excès de ressources (matérielles, humaines) qu’ils ne pourront pas
écouler.
- Les demandeurs, qui sont les clients de l’entreprise ou de l’organisation. Sans
clients, l’organisation ne pourra satisfaire de besoins, ses produits vont donc
stagner dans ses entrepôts, ce qui conduirait à sa perte ; de même, si les
entreprises ne produisent pas, les clients seront dans l’incapacité de satisfaire
leurs besoins.
- Les revendicateurs, qui sont les syndicats avant tous les employés de
l’organisation. Si ceux-ci décident de faire un arrêt de travail, par les grèves et
autres ; l’organisation sera incapable de produire ; de même si l’organisation
n’existe pas, cela conduirait au chômage de ceux-ci, si les syndicats n’existe
pas cela pourrait occasionner une démotivation des employés qui ne verront
pas leurs besoins, conditions améliorés.
- Les compétiteurs, les contrats que l’organisation conclus avec eux, leur
permet de survivre eux aussi dans leurs activités ; de même sans sous-
traitant, l’organisation se verrait dans l’incapacité de satisfaire les besoins de
ses clients, parce-que les produits seraient non-achevés.
- Les régulateurs, permettent une libre concurrence du marché ; ils permettent
également des infrastructures qui aident l’entreprise dans son
fonctionnement, sans cela il serait difficile pour l’entreprise de survivre, de
même, l’entreprise contribue aux activités de l’état à travers le paiement des
impôts.

Le macroenvironnement, qui est l’environnement général, sur lequel


l’organisation ne peut avoir d’influence, parce qu’il est beaucoup plus global.
- Le contexte politique, le climat de paix favorise les activités des
organisations et leur permettent de fonctionner ; de même, un climat
plus adéquat, empêcherait son activité.
- Le contexte économique, le taux de croissance économique est élevé,
cela montre que la richesse partagée à la population à l’intérieur d’un
pays est élevé, la conséquence est que la population sera poussé à la
consommation, à acheter des biens et services produits par les
entreprises d’où l’entreprise pourra accroître son chiffre d’affaire, son
résultat.
- Le contexte socioculturel, les traditions, coutumes, mœurs
influenceront les habitudes, les consommations des populations, par
conséquent, un produit non conforme ne pourra être apprécié,
acheter par ces personnes. Ainsi, l’organisation doit tenir compte du
contexte socioculturel, de son lieu d’implantation car celui-ci
influence son activité.
- Le contexte religieux, les produits et services non adaptés, non
adéquats aux croyances des populations seront rejetés par celle-ci.
L’organisation se voit donc influencer par les croyances des
populations.
- Le contexte démographique, l’organisation doit en tenir compte pour
les biens soient produits en nombre suffisants pour le nombre de la
population.

B) L’intérêt de la consultation à domicile pour un manager : Cette


consultation permet de montrer l’intérêt que le manager accorde à
celui qu’il consulte.
Cela emmène l’employé à se sentir important pour le manager.
Cela pousse l’employé à s’approprier des objectifs du manager afin de
contribuer efficacement à leur réalisation.
Cela emmène l’employé à épouser la vision du manager et à être plus
performant.
Cela permet au manager d’atteindre ses résultats de manière
efficiente car cette consultation à domicile est une source de
mobilisation, de motivation des employés.

CORRECTION DE L’EXAMEN DE DROIT


DU TRAVAIL SESSION 1 2015/2016
16,50/20pts
1) Cette démarche n’est pas cohérente dans la mesure où une fois le règlement
intérieur rédigé, il doit être soumis pour avis au délégué du personnel et
communiqué pour information aux délégués syndicaux s’il en existe.
Dans les 15 jours suivant la réception du règlement intérieur, les délégués du
personnel doivent adresser par écrit leur observation au chef d’entreprise.
L’absence de réponse dans le délai vaut acceptation par eux du règlement intérieur.
A l’expiration du délai précité, c’est-à-dire 15 jours, le chef d’entreprise adresse à
l’inspecteur du travail et des lois sociales de son ressort le règlement intérieur
complété s’il y a lieu des observations faites par les délégués du personnel pour
vérification qui lui incombent.
Lorsque l’inspecteur du travail et des lois sociales ne fait pas d’observation dans le
mois qui suit la réception du règlement intérieur, l’employeur doit le déposer au
greffe du tribunal du travail et l’afficher dans les locaux de l’entreprise.
2) Au niveau de l’effectif de l’entreprise, les travailleurs à temps partiel sont pris en
compte en divisant la somme totale des horaires inscrits dans leur contrat de travail
(à l’exclusion des heures complémentaires) par la durée légale de travail.

3) Le préavis de licenciement est prévu par l’article 16.4 du code du travail et l’article 34
de la convention collective.
Ces différents subordonnent la rupture du contrat de travail à durée indéterminée au
respect d’un préavis.
C’est la période à l’expiration de laquelle la rupture du contrat de travail devient
effective. Concrètement, l’employeur qui prend l’initiative de la rupture du contrat
doit prévenir le salarié à l’avance.

4) Vrai, l’employeur peut toujours modifier les conditions d’exécution du contrat de


travail parce-que substantielle ou non, la modification peut être toujours supportée
par l’employeur, le salarié ayant seulement la faculté d’accepter ou de refuser cette
modification.

CORRECTION DE L’EXAMEN D’AUDIT


SESSION 1 2015/2016 10,25/20pts
Pour chaque question, choisir la réponse qui convient en reproduisant de manière claire
ladite réponse :

1) L’audit comptable et financier est :


a) Une mission d’opinion

2) Le commissaire aux comptes est :


(Réponse à vérifier)

3) L’auditeur comptable et financier atteste :


b) La fiabilité des comptes

4) L’auditeur interne est :


b) indépendant des autres directeurs de la société

5) La qualité des comptes de la société est assurée par :


(Réponse à vérifier)

Répondre de manière concise aux questions ci-après :


6) Quelles sont les normes (ou critères) applicables à la mission d’audit ?
(Réponse à vérifier)

7) Caractéristiques de la procédure de l’examen analytique. A quelles étapes de l’audit


l’utilise t-on ?
(Réponse à vérifier)

8) En quoi consiste la procédure de circularisation des comptes de tiers ; donnez des


exemples de comptes généralement circularisés au cours des missions d’audit.
Elle consiste pour une entreprise (ses dirigeants : Directeur Général ou Directeur
administratif et financier) à donner mandat au cabinet qui a en charge son audit
(l’auditeur) d’aller chez ses tiers (clients, fournisseurs ou banques), afin de confirmer
l’exactitude et la réciprocité des informations contenues dans les comptes de
l’entreprise. Pour ce faire, les dirigeants de l’entreprise (DG ou DAF), appelle le
partenaire (clients, fournisseurs ou banquiers), en vue de le mettre en relation avec
l’auditeur, ce pour avoir les informations dont il a besoin pou vérifier l’exactitude des
informations contenues dans les comptes de l’entreprise. Les comptes généralement
circularisés au cours des missions d’audit sont :
- Les comptes banques ;
- Les comptes clients ;
- Les comptes fournisseurs.

9) L’assertion d’audit relative à ‘’l’exhaustivité’’ des informations ou transactions


enregistrées en comptabilité est difficile à mettre en œuvre au cours d’une mission.
Expliquez comment l’auditeur s’y prend pour résoudre la difficulté ou tout au moins
limiter les responsabilités.
(Réponse à vérifier)

10) Pourquoi l’auditeur s’intéresse t-il au contrôle interne de la société qu’il est amené à
contrôler ?
L’auditeur s’intéresse au contrôle interne car le contrôle interne est l’ensemble des
sécurités (procédures) mises en place par les dirigeants de l’entreprise, pour
s’assurer de la maîtrise de l’entreprise. De ce fait, un bon contrôle interne (des
procédures respectées sur toutes les opérations ou du moins la majorité), présume
de la fiabilité des comptes de l’entreprise par exemple. Un mauvais contrôle interne,
doit alarmer l’auditeur quant à la faible fiabilité des comptes de l’entreprise. Le
contrôle interne permet donc à l’auditeur de juger à première vue la fiabilité des
comptes de l’entreprise.

11) La société anonyme Soukla à un commissaire aux comptes et elle vient de désigner
un auditeur comptable et financier qui contrôlera les comptes clos au 31 décembre
2015. Le commissaire aux comptes et l’auditeur vont donc tous les deux effectuer les
mêmes travaux sur le même exercice. Justifiez cette situation.
Le commissariat aux comptes est une mission d’audit légal, donc imposé par la loi
(audit comptable et financière) est une mission d’audit contractuelle. Le commissaire
aux comptes aura la tâche de certifier les comptes de la société anonyme Soukla,
tandis que l’auditeur comptable et financier, lui donnera une opinion motivée sur la
fiabilité des états financiers de la société anonyme Soukla.

12) En quoi consiste la méthode de l’inventaire physique ? Domaines privilégiés


d’application et limites.
Elle consiste à pointer physiquement (identifier physiquement des immobilisations),
dans le but de rapprocher le stock réel (constaté sur le terrain), du stock théorique,
et d’en ressortir l’écart qui sera interprété (rebut, perte, vol…).

13) Qu’entend-on par stratégie d’audit ?


La stratégie d’audit est la manière et la technique que l’auditeur va utiliser ou utilise
pour mener à bien sa mission d’audit.

14) Expliquez de manière simple le concept de ‘’contrôle qualité’’ au sein des cabinets
d’audit.
(Réponse à vérifier)

CORRECTION DE L’EXAMEN DE
CONTRÔLE DE GESTION SESSION 1
2015/2016 12/20pts
1) Le budget des ventes

a) Programme des ventes

Ventes Janvier Février Mars Avril Mai Juin Total


HT
(unités)
Quantités 30550 29900 30550 25500 22500 25500 164500
vendues
Calculs
1er trimestre : qté de janvier = 23500×1.3 = 30500 ; qté de février = 23000×1.3 =
29900
2ème trimestre : qté d’avril = 17000×1.5 = 25500 ; qté de mai = 15000×1.5 = 22500

b) Budget de vente

Janvier Février Mars Avril Mai Juin Total

Ventes 916500 897000 916500 765000 675000 765000 4935000


HT
TVA 18% 164970 161460 164970 137700 121500 137700 888300

Ventes 1081470 1058460 1081470 902700 796500 902700 5823300


TTC

c) Budget des encaissements des ventes

Janvier Février Mars Avril Mai Juin Bilan Total

Vente 648882 270367.5 162220.5 1081470


Janvier
Vente 635076 26461.5 158769 1053460
Février
Vente 648882 270367.5 162220.5 1081470
Mars
Vente 541620 225675 135405 902700
Avril
Vente 477900 199125 119475 796500
Mai
Vente 541620 361080 902700
Juin
Total 648882 905443.5 837564 907756.5 865795.5 876150 480555 5823300

2) Budget de production

Janvier Février Mars Avril Mai Juin Total

Budget de 30550 29900 30550 25500 22500 25500 164500


vente
SF désiré 8970 9165 7650 6750 7650 5400 5400

Besoin de 39520 39065 38200 32250 30150 30100 190085


production
SI 12000 8970 9165 7650 6750 7650 7650

Production 27520 30095 29035 24600 23400 23250 157900


requise

3) Budget d’approvisionnement

a) Programme des achats

Janvier Février Mars Avril Mai Juin Total

Production 27520 30095 29035 24600 23400 23250 159250


requise
Kg/poupée 5 5 5 5 5 5 5

Besoin en 132600 150475 145175 123000 117000 116250 735500


production
SI désiré 15047 14517 12300 11700 12300 36000 36000

Consommation 152647 164992 157475 134700 129300 192250 891364

SI 23000 15047 14517 12300 11700 12300 12300

Quantité à 129647 149945 142958 122400 117600 139950 802500


acheter

b) Budget des approvisionnements

Janvier Février Mars Avril Mai Juin Total


Prix d’achat 349.40 449.84 428.87 367.2 350.78 421.48
Frais
accessoires
Transport 103.72 119.96 114.37 97.6 93.54 112.5

Manutention 64.82 74.97 71.48 61.2 58.46 70.31


Total HT 557.94 644.77 614.72 526 502.78 604.29 Total à
calculer
TVA 18% 100.43 116.06 110.65 94.68 90.50 108.77 Total à
calculer
Total TTC Total à Total à Total à Total à Total à Total à Total à
calculer calculer calculer calculer calculer calculer calculer
Calculs

Prix d’achat :

1 tonne = 1000000 grammes -> 3000 KF

Janvier = 129467.5×3000/1000000 = 388.4025 ̴̰ 389

Février = 149945×3000/1000000 = 449.835 ̴̰ 449

Mars = 428.8725 ̴̰ 429

Avril = 367.2 ̴̰ 368

Mai = 350.775

Juin = 421.475

Frais accessoires :

Janvier = 129467.5×800/1000000 = 103.72 (transport)

Janvier = 129467.5×500/1000000 = 64.82 (manutention)

c) Budget des décaissements des approvisionnements

Budget à faire

2) Budget de TVA

Budget à faire

CORRECTION DE L’EXAMEN DE GESTION


DE TRESORERIE SESSION 1 2015/2016
17/20pts
1) Budget des encaissements

Eléments Montants Janvier Février Mars Avril Mai Juin Comptes Montants
Bilan
-clients 4505 2252.5 2252.5
Budget
-janvier 2360 1180 1180
-février 2360 1180 1180
2360 1180 1180
-mars
2360 1180 1180
-avril
1180 1180
-mai 2360
1180 411 1180
-juin 2360

Total 18665 3432 4613 2360 2360 2360 2360 1180

2) Budget des décaissements

Eléments Montant Janvie Févrie Mar Avril Mai Juin Compte Montant
s r r s s s

Bilan
capital 19000 475 10 14950
prime 300 300 0
emprunt 3600 720 16 2880
intérêts 540 540
CNPS 200 200
TVA due 300 300
Budget 472
Janvier 472
472
Février 472
472
Mars 472
Avril 472 472 472
Mai 472 401 472
Juin 472 400 400 400 400 400
Amortissemen 2400 300 300 300 400 300 66 300
t 1800 300
Main d’œuvre 118 118 118 6… 236
Frais 708 270 270 270 118 270 4441 270
commerciaux 1620 270
TVA due

Total 33300 1200 1442 1560 282 631 156 18408


0 0 0
Intérêts : 405 = (3600×t×9)/12 => t= (405×12) / (3600×9) => t= 15%

<=> Intérêt à payer en mai : 3600 × 15% = 540

3) Budget de TVA

Eléments Montants Décembr Janvier Février Mars Avril Ma Juin Comptes Montants
e i
2160 360 360 360 360 360 360 360
2160 360 360 360 360 360 360 360
-Résultat 432 72 72 72 72 72 72 72
-Frais
commerciaux 108 18 18 18 18 18 18 18
TVA
déductible 540 90 90 90 90 90 90
TVA due 1920 300 270 270 270 270 270 270
Règlement 300 270 270 270 270 270 270 4441 270

4) Budget de trésorerie

Eléments Janvier Février Mars Avril Mai Juin

Trésorerie
mihale 700 3132 6303 7103 6643 2693
Encaissements 3432 4613 2360 2360 2360 2360
Disponibles 4132 7745 8663 9463 9003 5053

Décaissements 1000 1442 1560 2820 6310 1560

Trésorerie 3132 6303 7103 6643 2693 3493


finale

5) Compte de résultat prévisionnel au 30/06/01

Charges Montants Produits Montants

602 achats de MP 2400 702 ventes de PF 12000


6032 variations de 736 variations de
stocks de MP 600 stocks de produits
66 charges du finis 700
personnel 1800
67 frais financiers 648 (à vérifier)
68 amortissements 2400
625 primes
d’assurance 300
6… frais commerciaux 600
8748
Sous-total 3952
Résultat : bénéfice
Total charges 12700 Total produits 12700

Frais financiers = 540 + [(2880×15% ×3) / 12] = 540+108 = 648

Eléments Matières premières Produits finis


Stock initial 1000 8000
Entrées 2400 7200
Disponible 3400 15200
Sorties 3000 6500

Stock final 400 8700


Variations stocks 600 700

6) Bilan prévisionnel au 30/06/n+1

Amortissements au 30/06/n+1 = 5500+ (400×6) = 7900

Résultat = total actif – total passif sans le résultat

Résultat = 28373 – 25180 = 3193

Actif Montants Passif Montants

Immobilisations 22500 Capital 14250


Amortissements 7900 Réserves 7000
Stocks de MP 400 Emprunts 2880
Stocks de PF 8700 Intérêts courus sur
Créances sur les emprunt 108
clients 1180 Fournisseurs 472
Trésorerie 3493 TVA due 270
Dettes CNPS 200 (à vérifier)

Résultat : bénéfice 3193


Total actif 28373 Total passif 28373
CORRECTION DU DEVOIR DE BANQUE ET
BOURSE 2015/2016 20/20pts
I) QCM

1) c

2) c

3) c

4) a ; b ; c

5) c

II) Définition des notions

1) Banque

Une banque est un intermédiaire financier. Elle a pour rôle de collecter des fonds chez des
agents à capacité de financement et d’octroyer des crédits à des personnes à besoin de
financement.

2) Banque universelle

Contrairement aux banques qualifiées de banques spécialisées, une banque universelle


exerce toutes les activités bancaires possibles et même d’autres activités non bancaires
comme par exemple l’assurance.

3) Finance indirecte

La finance indirecte est un compartiment du marché financier. C’est la seconde manière de


relier prêteurs et emprunteurs. Dans ce cas, les emprunteurs obtiennent des fonds en
s’adressant à des intermédiaires financiers qui leur consentent des prêts ; ces fonds qui
proviennent des prêteurs qui ont effectué au préalable des dépôts chez ces intermédiaires
financiers.

4) Marché de gré à gré

Le marché de gré à gré est un marché dérivé sur lequel sont négociés des contrats dont les
termes sont généralement fixés par l’acheteur et le vendeur. Ce marché a pour avantage de
répondre aux besoins des agents économiques, mais pour inconvénient la possibilité du non
respect des engagements d’une des parties.

5) Marché de capitaux
Le marché de capitaux est le lieu de rencontre entre les offres et les demandes de capitaux.
C’est sur ce marché que l’on peut prêter ou emprunter de l’argent. Ce marché est composé
de deux marchés que sont :

- Le marché monétaire : quand l’échange se fait à court ou moyen terme.


- Le marché financier : quand l’échange se fait à long terme.

CORRECTION DE L’EXAMEN DE
BANQUE ET BOURSE SESSION 1
2015/201617/20pts
I) Répondre par vrai ou faux et justification

1) Faux, la cotation d’une obligation ne se fait pas en unité monétaire mais plutôt en
pourcentage de sa valeur nominale.

2) Réponse à chercher.

3) Faux, (justification à chercher).

4) Faux, le marché primaire à un effet direct sur le financement de l’économie car il permet
de concilier les besoins des prêteurs et des emprunteurs. Pour les entreprises, le marché
financier permet aux entreprises d’obtenir les capitaux qui leur manquent pour financer leur
investissement.

5) Vrai, (justification à chercher).

II) Définition des notions

1) Banque d’affaires

Les banques d’affaires sont des banques spécialisées dans les prises de participation dans les
industries. Elles se caractérisent par l’importance de leur portefeuille de titres et le montant
élevé de ses propres fonds.

2) La finance directe

C’est une manière de relier les emprunteurs et les prêteurs. Dans cette finance, les
emprunteurs obtiennent directement des fonds auprès des prêteurs en leur vendant des
titres sur le marché financiers.

3) Le risque juridique
Le risque juridique est le fait que les définitions juridiques d’un achat ne soient pas clarifiés
au moment de la transaction et que la banque soit abusée sur la signature de ce qu’elle
entendait acquérir.

4) Le risque de signature

C’est le risque qu’un débiteur n’honore pas ses engagements. Il est inhérent à toute
transaction commerciale.

5) Bulle spéculative

Une bulle spéculative correspond à une forte progression des cours d’un actif ou d’un
marché principalement financier qui n’est pas corrélée à la croissance réelle de l’économie.
Cette bulle peut se former sur une période allant de plusieurs mois à plusieurs années. Elle a
souvent pour origine la spéculation. (Réponse à vérifier)

III) Réponses aux questions

1) Différence entre une action et une obligation : une action est un titre de propriété qui
confère à son détenteur la propriété d’une entreprise tandis qu’une obligation est un titre
de créances représentatifs de dettes.

2) Différence entre le marché interbancaire et le marché des titres de créances négociables :


le marché interbancaire est un marché qui fonctionne entre toute les institutions financières
disposant d’un compte dans les écritures de la banque centrale alors que le marché des
titres de créances négociables est ouvert à tous les agents y compris les banques et autres
institutions financières.

CORRECTION DE L’EXAMEN DE
MATHEMATIQUES APPLIQUES SESSION 1
2015/2016 19/20pts
Exercice 1

Assiette Verre Serviette


Type 1 50 50 50
Type 2 30 25 60
Total 450 300 600
Soit x le nombre de type 1 et y le nombre de type 2, x>0, y>0 sont des quantités.

Contraintes linéaires
x>0, y>0

50x+30y≥450

50x+25y≥300

50x+60y≥600

Contraintes économiques

50x+40y

Forme économique

x>0, y>0

50x+30y≥450

Ƶ (min) = 50x+25y≥300

50x+60y≥600

50x+40y

Résolution graphique

50x+30y = 450

x y
A 0 15
B 9 0

50x+25y = 300

x Y
A 0 12
B 6 0

50x+60y = 600

x Y
A 0 10
B 12 0
(Représentation à faire)

Les sommets du domaine

0(0 ; 0), A (0 ; 15), B (5 ; 6), C (12 ; 0)


Recherchons les solutions optimales

Points Abscisse Ordonnée 50x+40y


0 0 0 0
A 0 15 600
B 6 5 500
C 12 0 600
La valeur minimale de la fonction économique est atteinte en B de coordonnée x=6 et y=5 et
Ƶ = 500, on dit que le programme est linéaire pour solution optimale.

Conclusion

Il doit acheter 5 lots de type 1 et 6 lots de type 2 pour un chiffre d’affaire de 490.

Méthode de Simplex

Forme standard

x>0, y>0

50x+30y≥450

50x+25y≥300

50x+60y≥60

Ƶ (min) = 50x+40y

 u>0, v>0, w>0


50u+50v+50w≤50
30u+25v+60w≤40
Ƶ (max) = 450u+300v+400w
Soit e1 et e2, on a : 50u+50v+50w+e1 et 30u+25v+60w+e2, u=0, v=0, w=0 ; on a :
e1=50 et e2=40 d’où le problème est soluble.

Vb u v w e1 e2 R
e1 50 50 50 1 0 50
e2 30 25 60 0 1 40
Ƶ 450 300 600 0 0 0

Vb u v w e1 e2 R
e1 25 175 0 1 -5 50/3
w ½ 5/12 1 0 1/60 2/3
Ƶ 150 50 0 0 -10 -400

Vb u v w e1 e2 R
u 1 4375/6 0 1/25 125/6 1250/3
w 0 -1/6 1 -4/50 1/30 1/3
Ƶ 0 -125 0 -6 -5 -500

Exercice 2

1)

Tâches Antérieurs

A -
B A
C A
D A
E B
F C
G C-E
H D-F
I G-H
J G-H
K I-J
L G-H
M K-L

N0 = {1}

N1 = {B, C, D}

N2 = {E, F}

N3 = {G, H}

N4 = {I, J, L}

N5 = {K}

N6 = {M}
7 11 60 73 81 87

B I FIN
8 12 22 22
E G
0 0 7 7
60 60 75 75 77 77
A C
J K M

22 55 27 57
F H
7 37
60 70
D
L

Le chemin critique est {A, C, G, I, K, M}.

La date de fin de projet est :

04 janvier 2016 au 31 janvier 2016 = 28 jours

01 février 2016 au 29 février 2016 = 29 jours

01 mars 2016 au 24 mars 2016 = 24 jours

Total = 81 jours

Donc la date de fin est le 24 mars 2016.

2)

Antérieures Niveau Tx Tx* MTx MLx


- 0 0 0 0 0
A 1 7 11 4 0
A 1 7 7 0 0
A 1 7 3.7 30 0
B 2 8 12 4 4
C 2 22 55 33 3
C-E 3 22 22 0 0
D-F 3 7 57 30 30
G-H 4 60 73 13 13
G-H 4 60 60 0 0
I-J 5 75 7.5 0 0
G-H 4 60 70 10 10
K-L 6 77 77 0 0

CORRECTION DE L’EXAMEN DE SYSTEME


D’INFORMATION 14,50/20
Première partie
CONDUIRE VEHICULE
CLIENT
#CLIENT #VEHICULE
NON-CLIENT N° VEHICULE
TYPE-CLIENT #CLIENT, #VEHICULE N° MARQUE
ADRESSE TYPE-VEHICULE

DEPENDRE

#CLIENT, #VEHICULE

PASSER #CONTRAT RATTACHER


#CLIENT, #CONTRAT TARIFICATION #CONTRAT, CONTRAT

CONTRAT

#CONTRAT
N°CONTRAT
N°PERSONNE

DEUXIEME PARTIE

Présentation du client
OP1 DEMANDE DE REPARATION
Panne Panne non-
identifiée
identifiée

OP2 DEVIS ESTIMATIF

Accepté Refusé

PMA
Début de réparation Rejet de réparation

OP RAPPORT DE
3 REPARATION
Garanti Non-
e garantie

Aucun paiement OP4 : FACTURATION

FACTURE REMISE DE
L’APPAREIL

FMR

Règlement

Reçu d’encaissement
CORRECTION DE L’EXAMEN DE GESTION
DE PROJET SESSION 1 2015/2016
17/20pts
Thème : Technologie de l’information et de la communication

TAF :

- Schéma de définition du projet

La nécessité pour la population de la banlieue de


bouaké d’avoir accès à internet.

Situation
extrapolation

Il se peut que la
population ne La force pour le
fréquente pas le lieu, changement. Il n’existe
c’est-à-dire le pas assez de cybercafé
cybercafé. dans la banlieue de
bouaké.

Situation actuelle O F Situation désirée

-La population n’a pas B O -Créer d’autres


accès à l’internet. cybercafés dans
S R
d’autres banlieues de
-Etat, fournisseurs, les
bailleurs de fonds, les T C la CI.
clients, la population. -Maximiser son chiffre
A E
d’affaire.
C S
-Moderniser le
L cybercafé.

S
Création d’un cybercafé dans une banlieue
de bouaké.
- Cadran des 7 questions du projet

1) Pourquoi changer la situation qui prévaut ?

Pourquoi réaliser ce projet ?

La population de la banlieue de bouaké ne dispose pas d’autant de cybercafé que la


population de la capital économique (Abidjan). Ainsi, face à cette situation d’insuffisance
d’accès à la technologie de l’information et de la communication, M. N’GUESSAN décide
de créer un cybercafé dans cette banlieue de bouaké.

2) En quoi l’intervention souhaitée ? En quoi consiste le projet ?

La création du cybercafé dans la banlieue de bouaké permettra :

- Aux étudiants et élèves de faire des recherches et d’apprendre à travers internet,


- A la population d’avoir accès à l’information au niveau national et international,

3) A qui est destiné l’intervention ? A qui profite le projet ?

Le projet profite aux personnes suivantes :

- Aux bénéficiaires (la population)


- Aux investisseurs (bailleurs de fonds)
- A l’Etat
- Aux clients
- Aux fournisseurs

4) Comment va se réaliser le projet ? Comment sera-t-il organisé ?

Il s’agit ici de la planification. Cela se fera en se fixant des objectifs, identifiant la


stratégie, définir les moyens.

5) Qui va intervenir ? Qui va réaliser le projet ? Qui fait quoi ?

C’est la phase de la mise en œuvre, il s’agit ici de mobiliser les différents moyens, des
ressources formalisées avec les différents acteurs c’est-à-dire signer les différents
contrats avec les acteurs (le personnel) de travail.

6) Quand doit-on réaliser le projet ? Quand doit-on réaliser ? Quand doit-on réaliser
telle activité ou telle tâche ?

Il s’agit ici de donner la date de début et de la fin du projet.

7) Combien va coûter le projet ? Combien coûte les ressources nécessaires ?

Il faut recenser les différentes ressources afin de connaître le coût total du projet.
- La logique d’intervention
La logique d’intervention : c’est le lien entre les différents objectifs globaux,
les objectifs spécifiques, les produits (entrants) et les activités.

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