Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
doc
2010
Audit comptable
et financier
SEMINAIRE Support de cours
AUDIT
COMPTABLE ET
FINANCIER
Démarche générale
………………………………………………….
Mars 2009
…………………………………………………………………………….
Préparé par J.L. Séka Séka, économiste-financier Préparé par J.L. Séka Séka
Economiste-financier
1
SOMMAIRE
Introduction…………………………………………………….…………………………… 3
Objectifs…………………………………………………………….………………………... 3
Pré-requis…………………….……………………………………………………….……… 3
I. Principes et normes……………………………………………………………………
4
1.1 Principes fondamentaux…….………………………………………………..…..… 4
1.2 Normes…………………………………………………………………………………… 5
Conclusion
2
Annexes………………………………………………………………………………………..39
3
Introduction
Les paramètres financiers qui sont à la disposition de ceux qui ont la charge de
définir les orientations de l’entreprise et de la gérer quotidiennement sont-ils
pertinents et suffisamment fiables ? Les informations données à l’entreprise à tous
les tiers qui entretiennent avec elles des relations financières ou commerciales
(investisseurs, banquiers, fournisseurs,…) sont-elles sincères ? c’est pour répondre
à ces interrogations que s’est développée une pratique progressivement reconnue
et même rendue dans un certain nombre de cas obligatoire : l’audit comptable été
financier.
Objectif général
Objectifs spécifiques
Pré- requis
4
SEQUENCE1
LE RÔLE DE L’AUDIT
DANS L’ORGANISATION D’UNE ENTREPRISE
Pendant la phase de réflexion, tout promoteur, s’assure que son projet, quel
qu’il soit est bien en adéquation avec les exigences liées à l’exploitation.
Ensuite, il procède à une étude de marché ou étude de faisabilité qui lui
confirme que le projet est susceptible d’intéresser une large cible. Enfin, il
élabore un plan d’affaires qui intègre les comptes prévisionnels, le mode de
financement, le choix du statut juridique de l’entreprise, les formalités à
entreprendre, l’installation géographique, le système de sécurité, le recrutement
des salariés, la sélection des indicateurs de gestion, etc.
5
Pour répondre à l’attente des différents acteurs liés à l’entreprise, le dirigeant
doit se fixer un objectif de bonne gouvernance et chercher constamment
à l’atteindre en appliquant les règles en matière de déontologie, de
gestion, de risque et d’audit. En d’autres termes, il doit se conformer
strictement aux règles de bonne gouvernance.
Dans ce module, nous ne ferons pas une énumération exhaustive des principes
sur lesquels repose la bonne gouvernance, nous en retiendrons seulement
quatre, à savoir :
- l’équilibre des pouvoirs entre les différents acteurs pour la promotion
d’une bonne communication et la circulation ascendante et descendante
de l’information ;
- la prévention et l’évaluation des risques ;
- la transparence et la responsabilité ;
- le contrôle.
1.2 Normes
Les normes d’audit définissent les principes de base qui régissent l’activité. Elles
représentent un cadre général permettant de déterminer dans le détail les
procédures et les pratiques à suivre dans la démarche d’audit. La réalisation de
toute mission d’audit, implique l’existence au préalable de règles précises,
formalisées, connues et acceptées de tous les acteurs. C’est ainsi que les
professionnels de l’audit sont soumis à des règles que l’on peut classer en trois
grandes catégories « normes générales », « normes de travail » « normes
de rapport ».Ces normes émanent d’organismes professionnels parmi
lesquelles nous pouvons citer :
- les avis et recommandations de l’Ordre des Experts comptables et
évaluateurs agréés ;
- le Traité relatif à l’harmonisation du droit des affaires en Afrique
(OHADA) ;
- le règlement relatif au droit comptable dans l’espace UEMOA, système
comptable ouest africain (SYSCOA) ;
- etc…
En règle général, les normes comptables et les normes d’audit définissent les
objectifs que doivent atteindre les professionnels de l’audit. En d’autres termes,
elles commandent l’activité d’audit.
6
II – LA COMPREHENSION DU RÔLE DE L’AUDIT
2.1 La notion d’audit
L’audit recouvre dans les faits, un concept assez large. Il consiste d’une
manière générale, en un examen mené par un observateur professionnel, sur la
manière dont est exercée une activité. L’audit permet à l’auditeur d’exprimer de
manière indépendante une opinion critique, objective, constructive sur une
information en se référant toujours à des normes identifiées et prédéfinies.
7
autres fonctions de l’entreprise, avec la naissance de l’audit opérationnel. En
effet, toute information relative à un phénomène peut faire l’objet d’un audit,
toutefois nous limiterons notre étude à l’audit opérationnel et à l’audit financier
internes ou externes.
8
faisant des propositions pour renforcer leur efficacité. » (Cette
définition a été approuvée en mars 2000 par le Conseil
d’Administration de l’Institut de l’Audit Interne en France).
9
2.4 Déontologie
Elle implique une régularité et une objectivité des comportements. Il est
attendu de tout professionnel de l’audit qu’il respecte et applique les principes
fondamentaux de comportement suivants : (source CNCC)
- Intégrité :
C’est la base de la confiance et de la crédibilité accordées au jugement
de l’auditeur. Il doit faire preuve d’honnêteté intellectuelle et de
droiture dans la conduite de ses missions et s’abstenir de tous
agissements contraires à la probité et à l’honneur. Ainsi, il doit
affirmer son opinion en son âme et conscience en étant capable de
résister aux pressions de toute nature de la part des dirigeants. Ne pas
craindre par exemple le non renouvellement du mandat.
- Objectivité
L’auditeur doit veiller tout au long de sa mission à conserver une attitude
impartiale caractérisée par l’absence de tout parti pris, influences
extérieures, ou conflits d’intérêts, et par la conduite d’une démarche
professionnelle permettant d’aboutir à des conclusions objectives.
- Compétence
L’auditeur doit maintenir un degré élevé de compétence qui requiert un niveau
appréciable de connaissances théoriques et pratiques et leur mise en œuvre
appropriée. Le métier d’audit requiert un professionnalisme avéré. L’auditeur
doit cultiver sa capacité à produire les résultats attendus de lui par des procédés
efficaces.
- Indépendance
Elle se manifeste par une attitude d’esprit qui dénote l’intégrité, l’objectivité, la
compétence et se traduit par le fait de faire preuve de discernement.
- Confidentialité
L’auditeur doit respecter le secret professionnel opposable à tous, sauf
lorsqu’une obligation légale le délie.
10
2.5. Objectifs de l’audit
L’audit financier procède en priorité d’une volonté de fiabilisé les informations
de nature financière fournies par les entités, objet de l’audit. Cet objectif de
fiabilisation nécessite l’existence d’un référentiel à la fois connu de l’émetteur
de l’information et de celui qui a vocation à la recevoir et à l’utiliser. Ce langage
commun d’expression de l’information financière constitue le référentiel
comptable prédéfini, dont l’auditeur vérifie le respect.
11
réalité des opérations d’ordre techniques, commerciales, juridiques, fiscales,
sociales qui sont reflétées par les états financiers.
RISQUES
Risque professionnel :
12
Risque de non satisfaction :
Risque inhérent :
13
SEQUENCE 2
Prise de connaissance
Intervention intérimaire
Inventaire
physique
Examen des
comptes annuels
(2)
(1)date de clôture
exercice
Revue des
évènements (2)date de
postérieurs à la disponibilité
clôture des comptes
Emission des
rapports d’audit
14
I - LA PLANIFICATION OU PHASE PREPARATOIRE
Secrétaire
commercial
16
• Pouvoirs des différents responsables
La connaissance des pouvoirs exacts des différents responsables permet à
l’auditeur de savoir si toutes les opérations sont autorisées ou décidées per les
responsables habilitées à le faire.
17
- les faits marquants de l’exercice (ce sont des éléments identifiés par
discussion avec le management et sur la base de nos propres
informations) ;
- les domaines sensibles identifiés au cours des précédentes
interventions (points significatifs d’audit et de contrôle interne relevés au
cours des précédents audits) ;
- l’évaluation des risques (il s’agit de documenter les risques inhérents
et les risques de non contrôle) ;
- les travaux planifiés (les procédures d’audit planifiées pour couvrir les
risques identifiés devraient être présentées dans un tableau de synthèse
ressortant pour chaque risque le ou les cycles de transactions ou classes
de comptes affectés ;
- les livrables et le calendrier d’intervention (énumérer les produits
finis attendus par le client ainsi que les délais de production en précisant
le calendrier d’intervention ;
- l’équipe d’audit (noms et fonction dans l’équipe.
18
et/ou financières de l’entreprise en composantes logiques et
interdépendantes.
L’auditeur doit donc s’appliquer à évaluer non seulement les risques mais plus
particulièrement le risque d’audit, c'est-à-dire le risque pour l’auditeur
d’exprimer une opinion erronée eu égard aux circonstances.
Par exemple : formuler une opinion sans réserve alors que les comptes
présentent une anomalie significative.
Pour chacune des trois phases de la planification que nous venons de définir, la
profession a développé des outils méthodologiques de planification et de
programmation des travaux. Ces outils consistent en des manuels d’audit, des
questionnaires de planification, des plans d’audit et des programmes de travail
standardisés à adapter à chaque mission. Les supports de planification sont
conçus pour faciliter la tâche de l’auditeur et augmenter son efficacité.
20
Au cours de la phase préparatoire, grâce aux informations collectées, l’auditeur
financier est à même de définir le seuil de signification, c'est-à-dire « la
mesure ou l’appréciation que peut faire l’auditeur du montant à partir duquel
une erreur, une inexactitude ou une omission peut affecter la régularité et la
sincérité des comptes annuels ainsi que l’image fidèle du résultat des
opérations, de la situation financière et du patrimoine de l’entreprise. » (Source
CNCC) Par conséquent est significatif tout élément dont l’omission ou
l’inexactitude est susceptible d’influencer les décisions économiques ou le
jugement fondé sur les comptes.
21
constat par la détention d’une preuve écrite. Cette preuve doit être
pertinente, probante, suffisante et utile.
22
.1. L'évaluation du contrôle interne
23
- Objectif : obtenir une description des tâches et de la circulation des
documents.
Test des points forts : les forces qui pourraient être mises en évidence à
partir des manuels de procédures et des entretiens, les contrôles décrits comme
existants, peuvent ne pas se trouver confortés par la réalité. Une procédure,
correcte dans sa description théorique, peut, dans son application pratique,
comporter des faiblesses.
24
A l’issue de ces examens et vérifications, l’auditeur sera en mesure de porter un
jugement sur les procédures examinées. Peut-il se reposer sur celles-ci et limiter
l’étendu de ces travaux ? ou au contraire, doit-il, compte tenu des faiblesses
relevées, étendre les contrôles à réaliser au moment du contrôle de fin
d’exercice ?
L’objectif de cette analyse :
- Mettre en évidence les points forts du cycle afin d’orienter la nature d et
l’étendue des contrôles quantitatifs à mettre en œuvre,
- Déceler les points faibles en précisant la nature du risque engendré et ses
différentes implications.
25
Illustration : Evaluation du cycle ventes/clients
EXEMPLE DE GUIDE STANDARD D’EVALUATION
DU CYCLE VENTES/CLIENTS
1
Opération qui consiste à éliminer périodiquement des comptes clients, les factures ayant fait l’objet de règlement pour
présenter une analyse lisible du solde de chaque client.
26
Objectifs d’audit Risque potentiel Contrôle des procédures
envisageables
27
Objectifs d’audit Risque potentiel Contrôle de procédures
envisageables
• Etablissement de tarifs
approuvés et régulièrement
mis à jour.
• Protection du fichier tarif.
• Lien entre prix commandé,
prix facturé et le prix tarif.
3. Les ventes (ou avoirs Chiffres d’affaires incorrect • Suivi spécifique des
émis sur retours clients) et risque de perte ou de litige commandes et ventes
enregistrées sont avec des clients. réalisées à des prix différents
correctement évaluées. des prix tarifs.
28
Objectifs d’audit Risque potentiel Contrôle de procédures
envisageables
• Dispositifs de clôture et
procédures d’arrêter
permettant un recensement
exhaustif et réel :
Des avoirs à établir
Des factures à établir.
4. Les ventes (ou avoirs) Mauvais rattachement des
sont enregistrées sur la charges et des produits.
bonne période.
29
Objectifs d’audit Risque potentiel Contrôle de procédures
envisageables
30
Objectifs d’audit Risque potentiel Contrôle de procédures
envisageables
• Existence d’une
balance par antériorité
• Relance systématique
des arriérés.
• Imputation rapide des
impayés.
• Existence de factures
arriérées. • Procédure
d’autorisation, par une
personne responsable et
indépendante du suivi
clients, de l’enregistrement
des créances irrécouvrables
et des reports d’échéance.
• Fixation d’une
politique claire pour
l’enregistrement des créances
en créance douteuses.
• Règles précises de
dépréciation des comptes
clients.
31
Objectifs d’audit Risque potentiel Contrôle de procédures
envisageables
32
SCHEMA DE L’EVALUATION DU CONTROLE INTERNE
Prise de connaissance
Evaluation préliminaire
Contrôle de
permanence
Faiblesses
Forces
Evaluation définitive
Analyse des
faiblesses
Rapport sur
le contrôle interne
33
2.1.2 Le contrôle des comptes
QUALITES AUXQUELLES
DOIVENT REPONDRE LES
COMPTES ANNUELS
COMPTABILISEES ENREGISTREES
DANS LA BONNE CORRECTEMENT DANS UN COMPTE
PERIODE EVALUEES APPROPRIE
34
Pour examiner les comptes, il est nécessaire de maitriser leur principe de
fonctionnement. Les techniques les plus adaptées à cette étape sont :
Les tests de cohérence
Les tests de validation
35
• LES TESTS DE VALIDITE
Les contrôles sur pièces
Une attention particulière doit être accordée aux pièces internes (facture
de vente, bon de commande, note de débit,….).
La confirmation des tiers (circularisation)
Elle consiste à faire appel à un tiers pour confirmer ou infirmer les
pour leur demander leur évaluation des éventuels litiges avec des
tiers.
1. La finalisation
Après avoir délimité l’approche d’audit en fonction des risques, effectué les
travaux in situ, revu les dossiers, l’auditeur doit pouvoir faire remonter
l’information.
37
• Pour exploiter de façon optimale tous les résultats de ses travaux, il
procédera au classement des papiers de travail sur lesquelles
apparaissent clairement la description, les causes et les conséquences des
dysfonctionnements ainsi que ses recommandations pertinentes et
constituera des dossiers.
• Les dossiers d’audit revêtent une importance capitale, car contenant tous
les éléments constitutifs des preuves.
• Ils servent également pour justifier les travaux auprès de tiers, par
exemple, dans le cas de poursuite en responsabilité auprès des tribunaux.
Pour faciliter l’exploitation des dossiers, le classement, le
référencement et l’indexation répondent de plus en plus à des normes
précises, notamment dans les grands cabinets d’audit.
38
39
1.2 La restitution et la validation
Il s’agit d’une présentation orale des observations les plus importantes par le
Chef de mission aux dirigeants de l’entreprise auditée. Cette restitution permet
de les informer de façon synthétique et en premier lieu des résultats
préliminaires des travaux d’audit et des conclusions y afférentes.
40
• Le rapport final s’en tient aux éléments qui ont fait préalablement
l’objet de discussions lors des séances de validation. Aucune
surprise ne doit être créée. Les faits relatés doivent revêtir un
caractère indiscutable.
• En la forme, un rapport d’audit de qualité doit contenir le sommaire, les
objectifs et le champ de la mission d’audit, les points forts et les points
faibles relevés, les constats, les recommandations, l’opinion de l’auditeur
et la synthèse, document qui reprend les points les plus significatifs du
rapport lui-même.
41
ANNEXES
42
ANNEXE 1 :
43
CYCLES ASPECT ASPECT COMPTABLE
OPERATIONNEL
• Identification des • Traitement
Stocks besoins (1) comptable des
• Passation des entrées en stocks
(1) compte tenu du commandes de (4)
stock minimum de
sécurité à détenir
réapprovisionneme • Traitement
pour déclencher la nt (sélection de comptable des
commande et du fournisseurs, sorties de stocks
stock maximum à émission des BC, • Vérification des
atteindre pour relance) soldes des
éviter le
surstockage comptes de stocks
44
CYCLES ASPECT ASPECT COMPTABLE
OPERATIONNEL
Ventes/clients • Budgétisation des • Contrôle des factures
ventes de ventes
(1) préparation de la • Agrément de • Comptabilisation des
livraison
(déstockage,
nouveaux clients factures de ventes
emballage, • Réception et • Suivi des comptes
chargement) acceptation des clients (2)
(2) analyse des bons de • Suivi des comptes
comptes,
commande ventes et de TVA sur
justification
périodiques des • Traitement de la ventes
soldes des commande (1) • Evaluation du
comptes • Livraison de la portefeuille client et
individuels,
commande constitution de
contrôle par
recoupement • Facturation provision pour
interne et externe • Octroi d’avoirs aux dépréciation de
clients créances
• Suivi des commades/
recouvrements
45
CYCLES ASPECT OPERATIONNEL ASPECT COMPTABLE
46
ANNEXE 2
OPERATIONS DE TRESORERIE
47
TRESORERIE DEPENSES
(Décaissement)
Objectifs de Contrôle :
suffisantes.
comptabilisés (exhaustivité).
bonne période.
évaluées.
comptabilisées.
48
GRILLE DE SÉPARATIONS DE FONCTIONS
Personnes
Fonctions
Tenue de la caisse
Détention de titres
Détentions de chèques reçus (encaissement)
Autorisation d’avances aux salariés
Détention de chéquiers ou lettres chèques
Préparation des chèques
Approbation des pièces justificatives
Envoi des chèques
Tenue du journal de trésorerie
Liste des chèques reçus au courrier
Dépôts en banque de chèques ou d’espèces
Justification des comptes clients
Tenue de la comptabilité fournisseurs
Emission d’avoirs
Approbation des relevés bancaire
Préparation des rapprochements bancaires
Accès à la comptabilité générale
49
QUESTIONNAIRE DE Entité Auditée Section Folio
CONTROLE INTERNE
Auditeur
Objectifs de contrôle : S’assurer que tous les paiements effectués sont comptabilisés
(exhaustivité)
50
Entité Auditée Section Folio
QUESTIONNAIRE DE
CONTROLE INTERNE
Auditeur
51
Entité Auditée Section Folio
QUESTIONNAIRE DE
CONTROLE INTERNE
Auditeur
Objectifs de contrôle : S’assurer que tous les paiements effectués sont comptabilisés sur la
bonne période
52
Entité Auditée Section Folio
QUESTIONNAIRE DE
CONTROLE INTERNE
Auditeur
Objectifs de contrôle : S’assurer que tous les paiements effectués sont correctement évalués
53
Entité Auditée Section Folio
QUESTIONNAIRE DE
CONTROLE INTERNE
Auditeur
Objectifs de contrôle : S’assurer que tous les paiements effectués sont correctement
comptabilisés.
54
TRESORERIE RECETTES (Encaissement)
Objectifs de contrôle :
55
GRILLE DE SÉPARATIONS DE FONCTIONS
Personnes
Fonctions
Tenue de la caisse
Détention de titres
Détentions de chèques reçus (encaissement)
Autorisation d’avances aux salariés
Détention de chéquiers ou lettres chèques
Préparation des chèques
Approbation des pièces justificatives
Envoi des chèques
Tenue du journal de trésorerie
Liste des chèques reçus au courrier
Dépôts en banque de chèques ou d’espèces
Justification des comptes clients
Tenue de la comptabilité fournisseurs
Emission d’avoirs
Approbation des relevés bancaire
Préparation des rapprochements bancaires
Accès à la comptabilité générale
Entité Auditée Section Folio
QUESTIONNAIRE DE
CONTROLE INTERNE
Auditeur
Objectifs de contrôle : S’assurer que toutes les recettes de l’entreprise sont encaissées et comptabilisés
(exhaustivité)
57
Entité Auditée Section Folio
QUESTIONNAIRE DE
CONTROLE INTERNE
Auditeur
Objectifs de contrôle : S’assurer que les recettes comptabilisées correspondent à des recettes réelles
de l’entreprise
58
Entité Auditée Section Folio
QUESTIONNAIRE DE
CONTROLE INTERNE
Auditeur
Objectifs de contrôle : S’assurer que toute les recettes sont enregistrés sur la bonne période.
59
Entité Auditée Section Folio
QUESTIONNAIRE DE
CONTROLE INTERNE
Auditeur
Objectifs de contrôle : S’assurer que toutes les recettes sont correctement évaluées.
60
Entité Auditée Section Folio
QUESTIONNAIRE DE
CONTROLE INTERNE
Auditeur
Objectifs de contrôle : S’assurer que les recettes réalisées sont correctement comptabilisées.
61