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Durée de la formation : 21 h
SOMMAIRE
SOMMAIRE ................................................................................................................................................................1
INTRODUCTION : DEFINITION ET PRINCIPES DU MANAGEMENT .....................................................3
1. LA FONCTION MANAGERIALE..................................................................................................................4
1.1. Définition de la fonction managériale ...................................................................................................4
1.2. Les activités du manager ..........................................................................................................................4
1.3. Les évolutions du rôle de manager........................................................................................................4
1.4. Le cadre de la culture d’entreprise .......................................................................................................5
1.5. Savoir gérer un projet ..............................................................................................................................6
1.6. Savoir définir des objectifs .......................................................................................................................7
2. LES GRANDS COURANTS ET STYLES DE MANAGEMENT ....................................................................8
2.1. Les différentes écoles de management .................................................................................................8
2.2. Les différents styles de management.................................................................................................. 10
2.3. Caractère évolutif et adaptatif des principes managériaux ........................................................... 11
2.4. La conduite de changement : rôle du management, les outils collaboratifs ............................. 11
3. NORMES ET RÈGLES À RESPECTER DANS L’EXERCICE DE LA FONCTION DE MANAGER .. 12
3.1 Les bases du droit du travail ....................................................................................................................... 12
3.2 La responsabilité de l’employeur/manager en santé, sécurité ...................................................... 13
3.3. Normes Qualités – RSE ........................................................................................................................ 14
3.4. Discrimination au travail & à l’embauche .......................................................................................... 15
3.5. RGPD......................................................................................................................................................... 16
4. LE MANAGER DANS SA POSTURE DE RECRUTEUR ....................................................................... 16
4.1 Recrutement : une méthodologie ....................................................................................................... 16
4.2 Recrutement 2.0 ..................................................................................................................................... 18
5. LE MANAGER DANS SA POSTURE D’ANIMATEUR D’ÉQUIPE ..................................................... 18
5.1 Animer l’équipe ....................................................................................................................................... 18
5.2 Donner une vision et du sens .............................................................................................................. 19
5.3 Fixer des objectifs à l’équipe ................................................................................................................ 19
5.4 Évaluer les membres de l’équipe (entretiens annuels & entretiens professionnels)............... 20
5.5 Les entretiens professionnels .............................................................................................................. 21
5.6 Réaliser du feedback auprès des équipes et de la hiérarchie dans un objectif d’amélioration
continue .................................................................................................................................................................. 21
5.7 Former et accompagner l’équipe ........................................................................................................ 22
5.8 LE CPF ....................................................................................................................................................... 22
5.9 Présenter, représenter et valoriser l’entreprise auprès de l’équipe .......................................... 22
5.10 Manager sans harceler ni discriminer ............................................................................................ 23
BIBLIOGRAPHIE / SITOGRAPHIE ....................................................................................................................... 24
Définition proposée
Le management est un art, un ensemble de techniques qui permet d’obtenir des individus la réalisation
d’activités et l’addition de comportements précis. Pour atteindre cet objectif, le manager observe les
individus et les accompagne dans un climat favorable à la motivation de tous. Le manager est souvent
perçu comme celui qui planifie, organise, commande, coordonne et contrôle les activités de ses
subordonnées (Fayol). L’acte managérial est cependant plus complexe. Il est non seulement producteur
de sens mais constitue un levier majeur de la compétitivité de l’entreprise. Les travaux de H. Mintzberg,
qui confèrent au manager 10 rôles répartis sur trois niveaux l’attestent amplement.
Quelques problématisations
Tous ces rôles, toutes ces missions que les managers doivent tenir, impliquent d’avoir développé de
nombreuses compétences : des savoirs, des savoir-faire, des savoir-être, en plus de leurs missions
opérationnelles. Peut-on avoir un style de management individuel ? La culture de l’entreprise contribue-
t-elle à définir sa façon de manager ?
Exemple avec le taylorisme, un courant très connu et ancien (appartenant à l’école classique), se
retrouve dans des entreprises très actuelles : pourquoi existe-t-il toujours dans certaines entreprises,
des aménagements ont-ils permis de « moderniser » le fonctionnement taylorien.
Peut-on manager de la même façon dans une entreprise de production industrielle au rendement que
dans une start-up proposant du service virtuel ?
Prolongements
Delavallée Éric, « Il ne suffit pas d'être manager pour manager. », L'Expansion Management Review 4/2006 (N° 123), p. 12-17
- [En ligne], https://www.cairn.info/revue-l-expansion-management-review-2006-4-page-12.htm [Accédé le 15 février 2022]
Vassal Olivier, « Crise du sens, défis du management. », L'Expansion Management Review 2/2006 (N° 121), p. 67-73 - - [En
ligne], : www.cairn.info/revue-l-expansion-management-review-2006-2-page-67.htm. [Accédé le 15 février 2022]
La fonction managériale est complexe car composée de multitudes d’activités autres que la simple
activité opérationnelle. Par exemple un manager dans un service commercial, aura souvent une activité
dite opérationnelle de la fonction commerciale – la fonction commerciale auprès de clients « grands
comptes », mais également une liste assez conséquente de rôles et de missions d’encadrement de
collaborateurs qu’il devra endosser.
La taille de l’équipe est variable selon les entreprises et les services. Le rôle du manager est souvent
perçu comme l’animation d’une équipe, ce qui sera détaillé plus loin mais il a également un rôle de
représentation de l’équipe, auprès d’une direction ou de services et départements connexes, et parfois
un rôle de représentation extérieure.
Par ailleurs, le manager doit donner une vision, du sens au travail de chacun des membres de l’équipe,
et donner le sens du collectif, les termes fédérer, motiver prennent alors tout leur sens.
Ainsi la fonction managériale est multiple : il faut savoir manager des équipes :
Depuis longtemps il existe une croyance - à tort - que la faculté de manager doit être issue d’un talent
inné, que le bon manager est doté d’intuition et qu’il doit être doté d’excellentes qualités relationnelles
et d’une « autorité naturelle », ou parfois d’avoir simplement une expertise technique de son métier
et donc une crédibilité professionnelle. Tout cela aide les nouveaux managers, mais c’est ignorer que
chaque activité est organisée et peut être réalisée selon une méthodologie. La force d’un manager va
surtout d’être en mesure de réaliser une succession d’activités tout en sachant gérer des priorités. Il
doit ainsi se baser sur des techniques et des outils de pilotage qui permettent d’anticiper afin
d’accompagner au mieux ses équipes.
L’exemple du Taylorisme
Le taylorisme, appartenant à l’école classique nous vient de Taylor qui à l’époque des productions
standardisées et de masse telles que l’automobile à instituer l’OST : l’Organisation Scientifique du
Travail. Cette organisation, basée sur la division horizontale/verticale du travail : c’est à dire la
parcellisation du travail : un homme = une tâche, devait amener à un meilleur rendement et
productivité.
Cette vision, pourtant ancienne pourrait faire penser qu’elle ne subsiste plus à l’heure actuelle.
Pourtant, nous trouvons toujours des sociétés organisées sous schéma Taylorien, certes aménagés,
mais malgré tout toujours existant. Le taylorisme subsiste encore dans des entreprises où la
« productivité » est un élément central de l’organisation, et au sein desquelles la main d’œuvre est
majoritairement non qualifiée : Fast-food, call centers, entrepôts logistiques types Amazon.
Prolongements
Le style de direction autoritaire chez Carglass - [vidéo En ligne – 6 mn 10s],
http://www.dailymotion.com/video/xb2kea [Accédé le 15 février 2022]
Malgré tout, l’étude des différents courants managériaux montrent que ce n’est en rien une fonction
figée. Elle évolue dans le temps en fonction des besoins qu’ont les entreprises de s’adapter à différents
facteurs. C’est ce changement qui pousse le management à s’adapter en continue : les évolutions dans
les attentes des clients, les modifications très rapides des marchés, la menace de nouveaux produits,
etc… Porter a ainsi démontré que l’entreprise s’adapte en continue, selon des facteurs de
contingence. C’est à dire de facteurs externes à l’entreprise qui doivent permettre d’adapter
l’organisation de l’entreprise et la rendre optimale en fonction de ces facteurs.
Joan Woodward - Chercheure en sociologie des organisations a ajouté le facteur Technologique à ces
facteurs de contingence. En effet, l’avance extrêmement rapide de la technologie doit être prise en
compte par les entreprises et ne pas passer à côté d’une évolution majeure.
Le manager doit s’adapter, suivre les évolutions de l’entreprise et ainsi préparer et accompagner ses
équipes au changement. De nombreux changements interviennent au quotidien dans la vie des
entreprises et équipes : c’est aux managers de les anticiper, de les préparer et ainsi de préparer leurs
équipes : nouveaux produits, nouveaux marchés, nouveaux collaborateurs, rotation des équipes, des
projets … C’est ce qu’on appelle : partager une vision, donner du sens, partager des objectifs communs.
Nous venons de voir que les managers doivent s’adapter et ainsi adapter leurs équipes à des
changements constants. Ils ont également une mission de développer un sentiment d’appartenance à
leur structure. Les entreprises ont une vocation, une activité, commercialisent des biens et des services
et s’identifient également selon leur culture, leur propre ADN.
Culture de l’entreprise
Légende plus ou moins fabuleuse racontée à propos de la naissance de l’entreprise, ou
Mythe
de son fondateur.
Valeurs fondamentales véhiculées (être le premier, respect du consommateur, qualité
Valeurs
totale, …)
Dispositif qui se répète et permet de garder la foi (café du matin, ou de départ en
Rituel
retraite, « grande messe annuelle », …)
Choses dont personne ne parle (conflit inavouable, comportement particulier de
Tabous
certains dirigeants, …)
Signe chargé d’une information d’ordre culturel (style vestimentaire), signe distinctif
Symbole
de statut (voiture de fonction, taille du bureau)
Héros Salariés performants, personnage fédérateur, fondateur successeur.
Elle est aussi définie, insufflée par la personnalité des dirigeants, le passé et l'histoire de l’entreprise, la
culture professionnelle des salariés. Elle permet de se différencier, de fédérer les équipes, en améliorant
la communication entre des membres qui peuvent avoir des visions différentes. Autrefois, construite
assez naturellement, la culture d’entreprise était partagée par ses membres de façon induite.
Aujourd’hui, à l’heure où les motivations des salariés à rejoindre et à rester dans une entreprise ne
sont plus seulement financières, la culture d’entreprise est un outil « marketing » travaillé et diffusé,
pour attirer des talents et les fidéliser.
Comment identifier la culture d’une entreprise ? Les premiers éléments clés d’une culture peuvent
être visibles au travers du site internet de l’entreprise, les publications sur les pages professionnels
Facebook et LinkedIn, ou encore des outils type Glassdoor, où des collaborateurs vont eux-mêmes
noter et évaluer leur entreprise.
Les salariés adhérent-ils tous à une culture très forte ? Certaines entreprises sont tombées dans l’excès
avec une communication très forte sur leur culture d’entreprise sans souci de la véracité de ces
éléments de culture en interne, qui parfois ne sont pas partagés par les managers opérationnels,
pouvant engendrer une déception à l’embauche. Quelles sont les dérives d’une culture d’entreprise
très marquée ? Les salariés peuvent adhérer à une culture mais aussi la rejeter, car ne correspondant
pas à leurs valeurs, ou la trouvant trop marquée.
Prolongements
https://www.youtube.com/watch?v=h65taUy6QZQ : Michelin [Accédé le 15 février 2022]
https://www.youtube.com/watch?v=Q6mRH43IchE : « Culture d’entreprise : le piège de l’américanisation » :
https://journals.openedition.org/rea/560 [Accédé le 15 février 2022]
Le manager est souvent tenu de gérer des projets plus ou moins complexes. On ne parle plus
uniquement de tâches à effectuer en entreprise, désormais, les enjeux pour les collaborateurs ainsi que
leurs managers est de savoir gérer des projets.
Seul ou à plusieurs, la gestion d’un projet nécessite de respecter des étapes claires.
Certains outils de gestion de projet, notamment collaboratifs facilitent la gestion de projet à plusieurs,
surtout si les différents membres sont éloignés géographiquement : Asana, Gantt Project, etc….
L’école classique
Auteur Dates Eléments Théoriques Apports majeurs
OST - Organisation Scientifique du Séparation des tâches
Taylor 1856-1915
Travail Courbe d'apprentissage
Séparation des tâches techniques et
Fayol 1841-1925 Unité de commandement
gestion
Mots clefs
Taylor : OST - division horizontale/verticale du travail - autorité fonctionnelle ;
Fayol : Administrer = prévoir, organiser, commander, coordonner et contrôler (POCCC)
Prolongements
TESI Francesca, « Michelin et le taylorisme. », Histoire, économie & société 3/2008, p. 111-126
https://www.cairn.info/revue-histoire-economie-et-societe-2008-3-page-111.htm [Accédé le 15 février
2022]
Taylorisme-fordisme - [vidéo En ligne – 5 mn 50s], :
https://www.youtube.com/watch?v=3w5o4qw8L_w [Accédé le 15 février 2022]
Mots clefs
Mayo : psychosociologie industrielle – productivité - interpersonnelle – leader informel
Maslow : Pyramide des. Besoins
Herzberg : Théorie bi-factorielle - facteurs motivants - facteurs d’hygiène
Suite à la période classique, est apparu l’époque de l’étude de l’homme au travail et donc de la
sociologie. C’est désormais l’époque de la découverte de facteurs de motivations autres que la
rémunération : la reconnaissance et le besoin de considération qu’a démontré Elton Mayo suite à
l’observation de groupes de personnes au travail : il améliore la productivité en observant et en
s’intéressant aux conditions de ces travailleurs : c’est le début de l’identification des besoins de
reconnaissance.
L’époque des Relations Humaines, c’est aussi celle de la pyramide de Maslow et de ses principes de
hiérarchisation des besoins au travail :
Face à cette pyramide de Maslow, la théorie de Frederick Herzberg explique qu’il est inutile d’actionner des
facteurs de motivation telles que la formation, la reconnaissance, une promotion, si auparavant les facteurs
d’hygiène n’ont pas été pourvu par le management. Ces facteurs d’hygiène sont les conditions de travail,
l’environnement, l’ambiance, et un salaire juste. Tous ces facteurs sont sources d’insatisfaction au travail.
Prolongements
Mousli Marc, « Elton Mayo et l’école des relations humaines », Alternatives économiques 256, 03/2007, P. 81- 84 [En
ligne],
https://reussirlem1info.files.wordpress.com/2011/11/eltonmayomarc_1_.pdf [Accédé le 15 février 2022]
Mots clefs
K. Lewin : Après des études de médecine et de biologie, Lewin est volontaire pour se battre en 1914, ce qui le
pousse à rédiger en 1917 son 1er ouvrage de psychologie. C'est en 1931 qu'il pose l'équation suivante : le
comportement (B) est une fonction (ƒ) de la personnalité (P) et de l’environnement (E), soit de manière
formalisée : B=ƒ (P, E) 2.
Prolongements
Cornford Andrew, « Peter F. Drucker: the Ethics of Organisations. », Finance & Bien Commun 1/2008 (No 30),
p. 43-49 [En ligne], https://www.cairn.info/revue-finance-et-bien-commun-2008-1-page-43.htm [Accédé le 15
février 2022]
Le style de direction autoritaire chez Carglass - [vidéo En ligne – 6 mn 10s] :
http://www.dailymotion.com/video/xb2kea [Accédé le 15 février 2022]
Mots clefs
Mintzberg : Les 3 rôles du Manager
Porter : Les 5 forces de Porter agissant sur l’organisation de l’entreprise
Woodward : La technologie comme facteur de contingence
Prolongements
Mintzberg Henry, « Une formation flexible nourrie de l'expérience. », L'Expansion Management Review 2/2005
(N° 117), p. 44-57
www.cairn.info/revue-l-expansion-management-review-2005-2-page-44.htm. [Accédé le 15 février 2022]
Il faut rééquilibrer d'urgence la société ! - par Henry Mintzberg - [vidéo En ligne – 15mn 06s], :
https://www.youtube.com/watch?v=1UuSQaulTI8 [Accédé le 15 février 2022]
Fiches de lecture de la Chaire de développement des systèmes d'organisation du Conservatoire national des
arts et métiers - [En ligne], : http://mip-ms.cnam.fr/notes-de-lecture-des-ouvrages-dont-le-nom-du-1er-auteur-
commence-par-c-253558.kjsp?STNAV=&RUBNAV=&RH=lipsorlivg [Accédé le 15 février 2022]
Les grands courants de management étudiés précédemment sont à l’origine des grands styles de
management rencontrés en entreprise. Le style de management dépend de l’intérêt porté au résultat
Toutes les missions d’un manager doivent se dérouler dans le respect de normes et règles en vigueur
dans une entreprise ou un secteur d’activité. Il doit à minima en prendre connaissance, et les respecter
afin de réaliser ses missions conformément à la législation et des normes auxquelles se référent son
entreprise. Il en existe de nombreuses qui peuvent toucher à la qualité des produits ou des services, à
la tenue de la comptabilité, à l’aspect social, etc.). Nous ne pouvons toutes les aborder ici mais nous
nous attacherons aux principales. Charge au manager de s’informer et de se renseigner sur les normes
en vigueur dans son entreprises, secteur d’activité, etc….
Le salarié est soumis à une durée légale de travail de 35 heures par semaine.
Des durées maximales de travail, quotidienne et hebdomadaire sont également imposées. Le salarié ne
doit pas travailler au-delà des durées maximales prévues, sauf dispositions conventionnelles :
Convention collective, accord collectif, accord de branche, d'entreprise ou d'établissement applicables
en droit du travail.
Exemple :
Si un salarié est amené à travailler 48 heures hebdomadaires pendant 6 semaines d'affilée, puis 40
heures les 6 semaines suivantes, il aura travaillé en moyenne 44 heures hebdomadaires sur la période
de 12 semaines consécutives. Il ne dépasse donc pas les durées maximales hebdomadaires de travail
autorisées.
Par dérogation, la durée maximale sur une semaine peut être augmentée, en cas de circonstances
exceptionnelles, jusqu'à 60 heures maximum (sous réserve d'accord de l'inspection du travail).
Le dépassement de la durée moyenne de 44 heures est possible, dans la limite de 46 heures sur une
période de 12 semaines consécutives, dans l'un des cas suivants :
Une convention ou un accord d'entreprise ou d'établissement (ou une convention ou un accord de
branche) le prévoit
Absence de convention ou d'accord, après autorisation de l'inspection du travail
Le manager doit appliquer et faire appliquer les mesures pour assurer la sécurité et protéger la santé
mentale et physique de l'ensemble des travailleurs sur leurs postes de travail.
• Risques de chutes de hauteur (par exemple, interdire l'utilisation d'une échelle comme poste
de travail en hauteur et mettre en place une plateforme individuelle roulante légère)
• Risques d'entrée en contact avec un élément en fonctionnement sur une machine (par
exemple, interdire l'utilisation d'une perceuse à colonne si le protecteur du mandrin est
défectueux)
• Risques psychosociaux tels la surcharge de travail, agression et violence interne et/ou externe
• Risques chimiques (par exemple, interdire l'utilisation de produit chimique dangereux aux
salariés qui n'ont pas été formés et informés sur la toxicité du produit)
• Dispositions relatives à l'exposition à certains facteurs de risques professionnels (pénibilité au
travail) : par exemple, manutention manuelle de charges, vibrations mécaniques, bruit, certains
rythmes de travail
Par exemple, un local électrique est dangereux mais si personne ne peut y accéder, il n’y a pas de risque
d’électrocution.
Compte tenu de la nature de l'activité de l'entreprise, le manager doit accompagner l'employeur dans
l’évaluation des risques qui ne peuvent pas être évités dans les actions suivantes :
La gestion de la qualité est une culture qui couvre l’amélioration continue d’une entreprise dans sa
capacité à pourvoir des produits ou des services dans des normes attendues par les clients. La famille
ISO 9000 couvre les divers aspects du management de la qualité et comprend certaines des normes
les plus connues de l’ISO : International Organization for Standardisation. Comme le suggère l‘intitulé
même de cette norme, il s’agit d’être en mesure pour une entreprise, de pourvoir des services de
qualité et standardisés à ses clients. Le management de la qualité est une politique de Direction dans
les entreprises et influe fortement sur l’organisation de chaque service. Il existe près de 19000 normes,
mais les principales sont les suivantes :
• ISO 9000 :
Qualité
• ISO 14000 :
Environnement
• ISO 27000 :
sécurité de l’information
L'ISO 26000 présente des lignes directrices pour toute organisation cherchant à assumer la
responsabilité des impacts de ses décisions et activités. La Responsabilité Sociétale des Entreprises
n’est pas toujours « normée », mais il est incontournable pour toute entreprise de la prendre en
considération dans toutes ses décisions, et de communiquer autour de sa politique RSE.
Le code du travail, définit un cadre aux relations de travail entre les employeurs et leurs employés.
Tout manager se doit de le respecter, ce qui peut parfois être difficile puisque le code du travail français
est complexe et long de 3000 pages qui sont difficiles à maîtriser, sans compter que chaque année un
nombre conséquent de lois viennent s’ajouter.
Par contre, le manager doit sans cesse s’interroger s’il n’existe pas une législation sur chaque sujet et
se faire accompagner. Dans l’exercice quotidien de son activité le manager se doit d’être exemplaire
et de respecter également la loi concernant la non-discrimination au travail et lors de l’embauche.
La discrimination peut prendre de nombreuses formes en entreprise, et peut avoir lieu aussi bien lors
d’une embauche, lors de la gestion quotidienne de son équipe, sur les critères d’accès à la formation
professionnelle, d’affectation d’une personne sur un projet etc.
Les managers encourent des sanctions pénales pouvant aller jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 45 000
euros d’amende. L’entreprise peut quant à elle être condamnée pour ne pas avoir protégé les salariés
victimes de discrimination. Voici les 23 critères discriminants punis par la loi :
Sexe Origine
Grossesse Situation de famille
Apparence physique Patronyme
Lieu de résidence Etat de santé
Perte d’autonomie Handicap
Caractéristiques génétiques Mœurs
Orientation sexuelle Identité de genre
Age Capacité à s’exprimer dans une langue autre que français
Refus des individus à subir un bizutage Harcèlement
Activités syndicales Appartenance ou non-appartenance à une ethnie, race
Religion Particulière vulnérabilité économique
Opinions politiques Domiciliation bancaire
La lutte contre toute forme de discrimination doit être un sujet impulsé par une Direction et l’ensemble
des équipes managériales. Des entreprises ont été et sont condamnées pour des faits de ce type.
Pour assurer un haut niveau de protection des données personnelles en permanence, l’entreprise doit
mettre en place des procédures internes qui garantissent la prise en compte de la protection des
données à tout moment, en prenant en compte l’ensemble des événements qui peuvent survenir au
cours de la vie d’un traitement (ex : faille de sécurité, gestion des demandes de rectification ou d’accès,
modification des données collectées, changement de prestataire).
Exemple : un dossier du personnel peut contenir quantité de données confidentielles et sensibles : RIB,
situation familiale, avis à tiers détenteur, pourcentage d’imposition, etc. L’entreprise doit assurer la
confidentialité de ces données en prouvant l’accès restreint, la suppression des données inutiles, etc.
Chaque étape du recrutement est désormais décisive. Durant les 12 premiers mois, le risque de
rupture d’un CDI est de 36 %. Ce risque est encore plus élevé lors des 3 premiers mois. Chez les 15-
34 ans, 80 % des CDI sont rompus en moins d’un an. Parmi les modalités de rupture, les démissions
représentent 16,1 %.
Il est essentiel de contribuer pleinement à un accueil de qualité au sein d’une équipe. Tant sur le plan
métier : formations, accompagnement, parrainage ; que sur un plan humain : aider à décoder la culture
de l’entreprise, les rites et codes qui lui sont propres. Le manager est responsable de l’accueil et
l’intégration du nouvel entrant dans son équipe, que cela concerne aussi bien un individu recruté en
externe que dans le cadre d’une mobilité interne.
Les sources de recrutement sont nombreuses. Il ne s’agit pas tant de les multiplier mais d’identifier les
plus pertinentes selon les profils recherchés. En tous les cas, l’ère des recrutements masqués est
désormais bel et bien révolue. Il s’agit d’annoncer que l’on recrute :
- Sur des jobboards : indeed, monster, experteer, Rhône-Alpes job, Apec, etc….
- Sur les réseaux sociaux : Facebook, FacebookJobs, LinkedIn, etc...
- Sourcer les CV directement sur les jobboards Pole emploi et Apec
- Afficher sur la devanture de son entreprise que l’on recrute ou sur les véhicules, etc…
Dans un contexte économique difficile et concurrentiel, les entreprises ont besoin de mobiliser leurs
équipes. Les cercles de qualité ont permis de créer les premiers groupes de travail et de faire
contribuer les salariés à l’amélioration continue, aux process, etc. C’est le démarrage du management
participatif. Animer, c’est également mobiliser derrière un projet commun ou une vision, et identifier
les leviers de motivation de chacun, avec pour objectif la réussite collective.
Le manager ne peut plus se positionner en tant que seul sachant : rapidité de l’information, rapidité des
changements et évolutions, adaptation constante aux changements d’environnement des entreprises.
Il doit pouvoir compter sur les contributions de son équipe pour faire face à la masse d’information,
et le nombre importants de changements auxquels s’adapter sans cesse.
La légitimité des managers se construit sur leur capacité à animer le collectif et à générer une
performance collective. Tel un chef d’orchestre, il faut considérer un manager qui seul, ne produirait
aucune mélodie, par contre, grâce à la direction qu’il donne, le collectif produit un ensemble
harmonieux et puissant.
Afin d’atteindre tous ces objectifs, le manager peut compter sur une palette d’outils intéressants à
mettre en œuvre selon les objectifs dont voici quelques exemples :
• Animation à intervalle court : réunion quotidienne dont les thématiques sont identiques
chaque jour : point qualité, point sécurité, difficultés rencontrées la veille, deux objectifs pour la
journée par exemple. Souvent basés sur des indicateurs identiques au quotidien, cette formule ne
doit pas demander trop de temps de préparation, ni aucun compte rendu. Cette réunion de 5 ou
10 mn maximum doit permettre de lever toute problématique qui viendrait perturber au quotidien
l’atteinte des objectifs. L’animation peut être tournante et ainsi chaque jour, un membre de l’équipe
prend en charge cette animation.
• Réunion : la réunion est encore un système très utilisé en entreprise, même si ses travers sont
souvent décriés. Une réunion se doit d’être préparée, avec un ordre du jour, un animateur, un
maitre du temps et l’assurance que chacun ait une liberté de s’exprimer.
Enfin, elle suppose la rédaction d’un compte rendu avec souvent une liste d’actions à mener, un
délai et une personne nommée responsable pour chacune des actions.
Le manager doit faire partager la vision et la politique de l’entreprise à ses collaborateurs. Cela
nécessite d’une part de ne pas la critiquer en leur présence et de faire preuve d’exemplarité envers sa
propre Direction. La vision peut concerner la mission de l’entreprise, les buts poursuivis, la façon d’agir
(être respectueux de l’environnement par exemple) etc… La vision peut également porter sur les
règles, normes ou procédures que l’entreprise va suivre, les valeurs à respecter.
Il ne s’agit pourtant pas d’une succession d’objectifs chiffrés, financiers et de résultat sur un bilan.
La vision doit être clairement exprimée et définie afin qu’elle devienne le fil conducteur des actions de
chaque membre de l’entreprise et se doit donc d’être partagée. Le manager doit donner l’exemple
et créer un climat favorable afin de renforcer l’engagement de sa propre équipe et la motivation de
chacun dans le respect de cette vision et des valeurs de l’entreprise.
Le management s’effectue de plus en plus en fixant des objectifs et en contrôlant l’atteinte de ces
derniers. Cela peut mettre une pression excessive à certains collaborateurs si cet exercice n’est pas
maitrisé par le manager. Pour atteindre les résultats et mesurer la contribution de chacun à l’atteinte
de ces résultats, ainsi que répartir convenablement les missions de chacun et d’aller dans le sens de la
performance et de l’amélioration en continue, il est demandé aux managers de fixer des objectifs.
Par ailleurs, fixer des objectifs permet de contribuer à l’évolution des compétences de chacun et de
détecter les besoins de compétences complémentaires en vue de développer les compétences de
chacun. Qu’ils soient individuels ou collectifs, hebdomadaires, mensuels ou annuels, il est essentiel
qu’ils soient formulés selon la méthode SMARTE. Un objectif compris sera plus facilement atteint :
Mesurables : de façon quantitative ou qualitative, il doit être facile de calculer l’atteinte ou non de
l’objectif. Le résultat ne soit pas être sujet à caution selon les calculs.
Atteignables : Un objectif peut être ambitieux mais ne peut en aucun cas être inatteignable. Ce serait
contre-productif et découragerait totalement le collaborateur. Chaque objectif doit donc être exprimé
selon les capacités de chaque collaborateur.
Réaliste : L’objectif doit correspondre à une réalité de terrain, de marché et de moyens mis en œuvre.
Temporellement définis : des objectifs ne peuvent pas s’étirer au fil du temps, l’efficacité en serait
proportionnellement réduite. Les délais doivent être définis.
Écologiques : Cette notion assez récente dans la définition des objectifs SMARTE doit assurer que
l’objectif ne suppose pas de conséquence indésirable en termes de développement durable, d’ambiance
de travail, et respecte les valeurs RSE de l’entreprise.
Les entretiens d’évaluations individuels ainsi que les entretiens professionnels doivent être réalisés par
les managers. Qu’ils soient annuels ou plus fréquents, leur trame et le déroulement doit suivre la même
méthodologie. Les entretiens annuels d’évaluation sont souvent perçus comme une contrainte par les
managers car très chronophages, avec une trame généralement unique et non individualisée. Pour
autant, c’est un acte managérial fort qui positionne le manager et le collaborateur dans un esprit
commun de réussite.
Pour réussir ces missions, il faut s’impliquer dans cette démarche et suivre une méthodologie. Souvent
la trame est existante et différente d’une entreprise à une autre.
Ces entretiens sont complémentaires aux entretiens annuels d’évaluation. Ils sont désormais
obligatoires tous les deux ans, et doivent être un moment privilégié d’échange entre le manager et le
collaborateur sur la carrière de façon plus globale du salarié : souhaits d’évolution, de formation, de
mobilité, etc…. Tous les salariés sont concernés, quel que soit la nature du contrat de travail, le secteur
d’activité, la taille de l’entreprise. Les entreprises mettent en général à disposition de leur manager une
trame unique, afin qu’aucun des sujets ne soit oublié.
Tous les 6 ans, l'entretien professionnel doit faire un état des lieux récapitulatif du parcours
professionnel du salarié. Cet état des lieux permet de vérifier que le salarié a effectivement bénéficié
des entretiens professionnels prévus au cours des 6 dernières années. Il permet également de s'assurer
qu'au cours de ces 6 dernières années, le salarié a suivi au moins une action de formation, acquis un
des éléments de certification professionnelle (diplôme, titre professionnel, etc.) par la formation ou
par une validation des acquis de l'expérience (VAE), bénéficié d'une progression salariale ou
professionnelle. Un compte-rendu de l'état des lieux est rédigé durant cet entretien. Une copie est
remise au salarié.
Enfin, le feedback permet de rappeler le cadre et le faire accepter afin d’être autoriser à sanctionner si
un hors-jeu est constaté. Des études ont montré que la pertinence du feedback est le 1er facteur
d’amélioration de la performance des individus en entreprise.
Le développement des compétences et le fait d’assurer l’employabilité des collaborateurs sont des
obligations légales de tout employeur.
Employabilité : il s’agit d’une notion capitale dans le management : elle englobe tout ce qui est nécessaire
aux individus pour trouver un emploi, se maintenir en situation d’emploi, progresser ou le cas échéant
retrouver un nouvel emploi. Les différentes réformes successives de la formation professionnelle,
tendent à donner plus d’autonomie et de liberté dans le choix des formations ainsi que le financement
aux salariés eux-mêmes. Pour autant, les employeurs doivent contribuer au développement des
compétences de leurs collaborateurs : les obligations légales concernant les entretiens professionnels
et les obligations de former tous les salariés viennent en complément des dispositifs individuels.
De plus, il appartient aux employeurs et donc aux managers de connaître les différents dispositifs
existants en matière de financement de la formation afin de les expliquer aux salariés. L’entreprise doit
réaliser un plan de développement des compétences qui recense les besoins en formations des
différents collaborateurs. Même si un service RH existe au sein de l’entreprise, il appartient aux
managers de recenser les besoins et de les transmettre, afin qu’ils figurent sur le plan de développement
des compétences (auparavant appelé plan de formation).
Les actions obligatoires ou nécessaires : ce sont par exemple des formations nécessaires à l’utilisation
d’un nouveau logiciel mis en place dans l’entreprise. Ce sont des actions de formation conditionnant
l’exercice d’une activité ou d’une fonction, en application d’une convention internationale, de
dispositions légales ou réglementaires. Celles-ci sont obligatoirement organisées sur le temps de travail,
avec maintien de la rémunération.
Les autres actions de formation peuvent être organisées : soit sur le temps de travail, avec maintien de
la rémunération, soit tout ou partie en dehors du temps de travail, sous certaines conditions (maximum
30 heures par an et par salarié, sauf accord d’entreprise ou de branche fixant une autre limite).
S’agissant des modalités pédagogiques, le plan peut intégrer des formations en présentiel, des
formations réalisées en tout ou partie à distance ou en situation de travail (FEST).
5.8 LE CPF
Le Compte Personnel de Formation est un des dispositifs permettant l’accès à la formation pour les
salariés. Chaque salarié acquiert un montant en euros (500 ou 800 euros selon la qualification)
annuellement, qui se cumule jusqu’à atteindre un plafond de 5000 euros. Le crédit disponible est visible
sur une plateforme : moncompteactivité.gouv.fr qui regroupe tous les dispositifs disponibles pour les
actifs.
Le code du travail présente les droits et les devoirs des salariés. Parmi les devoirs il en est un qui
incombe encore plus certainement aux managers : le devoir de loyauté envers sa Direction. Cela ne
signifie pas en perdre un libre arbitre, des positions parfois différentes. Par contre un manager se doit
d’accompagner ses équipes dans le changement et dans le maintien de la motivation de tous.
Enfin, les managers sont également sollicités vers l’externe : clients, fournisseurs, partenaires externes :
il est tout aussi important de savoir représenter l’entreprise et la valoriser.
• Interrogez-la ou les personnes qui en sont victimes, les éventuels témoins si vous ne l'êtes pas
vous-même, en vous attachant à ne prendre en compte que les FAITS avérés et vérifiables ;
• Écoutez en silence la ou les personnes concernées et aidez-les à sortir des opinions et des
sentiments, demandez un maximum de précisions : où, quand, comment, qui, avec ou devant
qui, combien de fois – le harcèlement moral est lié à la répétition des faits comme des propos
humiliants – quoi (actes, mots, lesquels précisément) ;
• Rassurez-la ou les personnes victimes, selon les symptômes qu'elle évoque, conseillez-lui de
consulter un médecin, un psychologue ou psychothérapeute, assurez-la de votre soutien.
Incitez-la à trouver des preuves tangibles ;
• Si les faits sont avérés, alertez la DRH de façon factuelle et confidentielle pour être conseillé
sur la démarche à suivre, et confirmez par écrit.
Vous pourrez ensuite prévoir un entretien de recadrage lors duquel vous informerez la personne
harcelante de la réalité des faits rapportés, des risques qu'elle encourt et vous écouterez sa version.
Ce premier entretien a pour but de faire cesser le harcèlement, de prévenir sa récidive, sauf si la ou
les victimes désirent immédiatement porter plainte. Si ce recadrage n'est pas suivi d'effets, vous aurez
à lancer une procédure à son encontre.
Remarque
Sur le plan psychologique, la plupart des personnes harcelantes n'ont pas conscience d'avoir cette
attitude et ont souvent autant besoin d'accompagnement que leurs victimes. Vous aurez besoin pour
ces deux entretiens et le rapport à votre hiérarchie d'avoir une attitude neutre, factuelle, sans jugement
de valeur sur aucune des parties concernées quoique vous en pensiez à titre personnel, même en
exprimant votre désaccord avec la situation (utilisez le « je » plutôt que le « vous »). Et veillez à la
protection des victimes.
1. Ouvrages
• Lafargue J., Testa, J-P., Tilhet-Coartet V., 2019, La boîte à outils du Leadership - 59 outils et méthodes , 2ème
édition, Dunod
• Stern, P., Schoettl , Jean-Marc, 2019. La boîte à outils du management - 64 outils et méthode, 2éme édition
Dunod
• Plane, J. M., 2015. Théories du leadership : Modèles classiques et contemporains, Dunod
• Dejoux, C. 2014. Management et Leadership, topo, Dunod
• Acquier Aurélien, Aggeri Franck, « Une généalogie de la pensée managériale sur la RSE. », Revue française
de gestion 11/2007 (n° 180), p. 131-157 6 - [En ligne], : : www.cairn.info/revue-francaise-de-gestion-2007-
11-page-131.htm. [Accédé le 20 juin 2022]
• Bourion Christian, « Styles hiérarchiques et jeunes diplômés. », L'Expansion Management Review 3/2005 (N°
118), p. 97-105 6 - [En ligne], : www.cairn.info/revue-l-expansion-management-review-2005-3-page-
97.htm [Accédé le 20 juin 2022]
• Castillo Monique, « Du professionnalisme à l'éthique professionnelle. », Études 7/2011 (Tome 415), p. 55-64
6 [En ligne], : www.cairn.info/revue-etudes-2011-7-page-55.htm [Accédé le 20 juin 2022]
• Delaye Richard, Boudrandi Stéphane, « L'épuisement professionnel chez le manager de proximité : le rôle
régulateur de l'entreprise dans la prévention du Burnout. », Management & Avenir 2/2010 (n° 32), p. 254-
269 - [En ligne], : www.cairn.info/revue-management-et-avenir-2010-2-page-254.htm [Accédé le 20 juin
2022]
• Gaujard Chrystelle, « Vers un nouvel idéaltype organisationnel : une application de la méthode wébérienne
aux start-up actuelles. », Innovations 1/2008 (n° 27), p. 163-182 6 - [En ligne], : www.cairn.info/revue-
innovations-2008-1-page-163.htm [Accédé le 20 juin 2022]
• CAPITAL, Par Léa Boluze, Mis à jour le 08/03/2022 à 8h03 : Harcèlement moral au travail : définition et
recours : https://www.capital.fr/votre-carriere/harcelement-moral-travail-1325525 [Accédé le 20 juin 2022]
3. Vidéo-documentaires
• Il faut rééquilibrer d'urgence la société ! - par Henry Mintzberg - [vidéo En ligne – 15mn 06s], :
https://www.youtube.com/watch?v=1UuSQaulTI8 [Accédé le 20 juin 2022]