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: Karroumi Younass

Poème : 《 L’Homme et la mer 》

« La rédaction d’un commentaire composé «

L’Homme et la mer est un poème de la première section « Spleen et idéal « se compose de quatre
strophes à vers alexandrins écrite par Baudelaire (1821-1867) ce dernier est un poète symboliste français
appartient au XIXème siècle . Baudelaire a vécu une enfance difficile cela est bien refléter dans ces travaux
poétiques et littéraire. Parmi ces œuvres on cite petites poèmes en prose (1869) , Les Paradis Artificiels
(1860), les fleurs du mal (1857 ) qui est un recueil poétique publié au milieu du 19 ème siècle . il compose six
sections .alors le poème à étudier « L’Homme et la mer « évoque la relation paradoxale entre l’Homme et la
mer . Alors, comment Baudelaire représent-il la fonction de la nature (la mer) dans ce poème ? Dans un
premier lieu nous essayerons de voir cette relation entre l’Homme et la mer , dans un seconde lieu nous
verrons comment Baudelaire emploi-t-il son état d’âme dans ce poème .

Pour entamer la rédaction il faut signaler que le titre présente deux termes essentiels (Homme – mer)
coordonnés par « et » pour annoncer l’union de ses deux éléments. Puis, on trouve qu’il y a un point commun
entre les deux : c’est la liberté «  Homme libre , toujours tu chériras la mer ! » À l’aide d’un verbe employé au
future simple, probablement pour indiquer l’amour perpétuel entre l’Homme et la mer ,stylistiquement ce
poème est construit sur deux types de rime :la première est féminine elle se termine avec un « e » muet  : ( 
Image, sauvage, innombrable, implacable … ) est la seconde type de rime est masculin :( : (cœur, rumeur,
mer…) . Le rapprochement entre L’Homme et la mer représenté dans le poème sous forme de plusieurs images
remantiques et dans un champ lexical de l’amour par excellence (embrasses , cœur , plais , chériras …) . Ainsi, le
deuxième vers expose clairement cette relation (la mer est ton miroir) l’adjectif possessif ton remplace
l’Homme en général pour indiquer le reflet de la mer sur la vie des Hommes ! En outre, nous pouvons
mentionner qu’il y a une sorte du conflit entre ces deux éléments qui se réside dans le champ lexical de la lutte
( lutteurs, carnage , mort , implacable..) pour justifier qu’il a un débat continuel entre l’homme et la mer  :
(vous vous combattez..) Alors, on peut dire qu’il y a une sorte de paradoxe . Le secret derrière cette illusion
c’est que la nature est un lieu de contemplation et de refuge pour les hommes qui sont marginalisé tel que
(Baudelaire) .

Dans ce paragraphe nous constatons d’extérioriser les signales qui reflètent la présence de l’état d’âme de
Baudelaire dans ce poème , tout d’abord le poète s’adresse à l’Homme en utilisant le pronom personnel « tu »
et les déterminants possessifs « tes , ton … » ce qui montre une sorte d’intimité. Peut être qu’il est lui-même
l’homme dont il parle . Aussi, cela nous laisse penser qu’il parle aussi de son esprit propre « propre
rumeur .. »en plus le poète fait insinuation à ses pensées surtout quand il évoque « Gouffre » en le comparant
avec l’esprit ( Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer ) sous forme d’une métaphore . probablement, pour
Dire que son esprit est un gouffre amer .Aussi on a la présence de certains termes symbolisent le poète : ( âme,
esprit.. ). alors , ce poème expose le tiraillement de Baudelaire entre le spleen et l’idéal . sans doute , le poème
se compose de deux vision différentes du poète l’un est optimiste se réside dans l’emploi du future (chériras..)
et l’autre pessimiste sous forme de plusieurs adjectifs qualificatifs « infini , innombrables , indomptable.. »
montrant l’état d’âme tourmenté de Baudelaire .

En guise de Conclusion , les fleurs du mal nées de la souffrance du Baudelaire ,Alors on peut la considérer
comme un miroir qui reflètent son malaise et les soucis de son époque .nous avons étudié que Charles
Baudelaire compare l’Homme et la mer , mais la comparaison la plus importante qui me retient l’attention c’est
la profondeur : pour la mer est claire mais pour l’Homme : ( l’esprit, les sentiments, peut être les secrets..) En
fin , nous pouvons dire que le spleen et l’idéal est bien traiter par Charles Baudelaire dans ce poème par ce que
comme l’habitude son spleen ne trouve pas de consolation dans la nature et son désir à l’idéal ne finira point !