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DÉVELOPPEMENT:
MORT DU SUJET
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LA PLACE DE L’ADULTE
Emmi PICKLER
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LA PLACE DE L’ADULTE
Ne pas intervenir dans ses acquisitions motrices
Respecter son rythme
Lui donner la possibilité de se mouvoir librement
Ne pas le placer dans une posture qu’il n’est pas
capable de prendre et d’abandonner seul
Le laisser avoir l’initiative de ses mouvements
« C’est […] en faisant appel à sa participation
qu’on l’aide à se percevoir lui-même, à se
connaitre et à s’exprimer donc à s’affirmer en
tant que personne ».
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IMPACT DE LA DOULEUR
GAUVAIN-PICQUARD
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IMPACT DE LA DOULEUR
« C’est précisément parce que le schéma corporel
est en train de se construire qu’une atteinte du
corps risque de s’y inscrire durablement. »
BARRACO et LAMOUR
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Le
développement
psychomoteur
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DÉVELOPPEMENT
POSTURO-MOTEUR
In utéro
Mouvements perceptibles dès 5/8 SA, de plus
en plus précis.
Développement de la sensorialité
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DÉVELOPPEMENT
POSTURO-MOTEUR
Naissance
Déplacements
6/7 mois : reptation
8/10 mois : propulsion quadrupédale
9/10 mois : quelques pas soutenu sous les
aisselles. Equilibre statique.
Entre 12/15 mois : progrès de l’équilibre
dynamique.
18 mois : marche aisée et rythmée, trottine.
2 ans : court, saute
Entre 31/49 mois : monte en alternant, avant de
descendre en alternant.
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COORDINATION
PRÉHENSION
Naissance
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COORDINATION
PRÉHENSION
Evolution
4/5 mois : préhension avec prise volontaire,
approche en balayage.
6 mois : préhension d’une seule main, cubito-
palmaire, approche latérale et parabolique. Passe
d’une main à l’autre, relâché volontaire.
7 mois : préhension palmaire.
8 mois : radio-palmaire, pouce est un butoir. Joue à
frapper les objets les uns contre les autres
9 mois : préhension fine. Prise en pince pouce-index
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Rôle des soignants
Adapter le « lieu de vie » de l’enfant à son
âge, ses compétences… même si l’on est à
l’hôpital.
Prendre le temps d’observer l’enfant, la
dynamique familiale.
Prêter attention au dialogue tonique, à la
façon dont l’enfant s’exprime par son
corps.
L’enfant « est » son corps ; le considérer
comme sujet, partenaire actif.
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« Le rôle des soignants dépasse
les objectifs médicaux stricts et
doit prendre en compte la
capacité de l’enfant de donner
sens à sa maladie, d’en
reconnaitre les enjeux, de garder
la maitrise de son corps et de
son destin. »
OPPENHEIM
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EN CLINIQUE
PALLIATIVE
…En avant !