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Préface
Une part importante a été faite sur le civisme des conducteurs, la connaissance
du véhicule, le secourisme en cas d’accident, la réglementation camerounaise
et plus particulièrement les infractions au code de la route et les amendes
subséquentes dans notre pays.
Nous avons dont là un outil qui se veux le plus complet possible et qui permet à
toutes personnes désirant passer son examen de permis de le préparer
correctement.
Et après toutes choses sachons que conduire est art mais bien conduire est
une « très grande œuvre d’art »
Art 2 : la conduite automobile n’étant pas un jeu, et son apprentissage étant une activité
couteuse, qualifiante, et diplômant, tout apprenant est tenu de se conformer au présent
règlement intérieur
Art 3 : le type, la durée, les horaires et le cout de la formation sont fixés d’accord parties
entre l’AUTO-ECOLE GLOBAL SERVICE et l’apprenant dès le départ.
Art 4 : toute fois et pour des raisons de réajustement les négociations peuvent être opérées
sur clause de l’Article 3
Pour tous les recalés à l’examen théorique et pratique, les frais de reconduction des
dossiers sont à leurs charges
Si l’apprenant n’est pas apte au terme des leçons requises durant la formation il sera
tenu de payer un montant additionnel pour l’achèvement de son apprentissage.
Art 5 : le paiement des frais de scolarité donne obligatoirement droit aux leçons.
Face à la conjoncture le taux de scolarité est fixé d’accord parties. Dans cette
approche citoyenne ledit taux s’illustre en véritable frais de franchise.
L’AUTO ECOLE GLOBALE service ne s’engagera qu’à présenter la candidature d’un
élève que lorsque ce dernier aura payé la totalité de sa scolarité.
Aucun remboursement ne sera effectué après 24 heures.
Art 6 : le permis provisoire est délivré par le ministère chargé des transports à tout lauréat
qui a fait la demande via l’AUTO-ECOLE GLOBALE SERVICE ou directement et ceci
conformément à la réglementation en vigueur.
Art 7 : L’AUTO-ECOLE GLOBALE SERVICE est en droit de suspendre les cours à un élève qui
foule aux pieds les notions élémentaires de la morale dans l’établissement.
Art 8 : chaque apprenant doit s’accorder avec l’enseignant en fonction des honoraires de
cours pour le programme de formation théorique et pratique.
SOMMAIRE
1E PARTIE : généralité
e
1 partie :
généralité
Introduction.
La notion de permis de conduire et celle de la réglementation relative en vigueur est un
devoir que tout usager de la route doit connaitre et intégré. Ceci dans l’optique de faire de
ses derniers des protagonistes de l’environnement routier affranchis et respectueux vis-à-
vis des normes législatives relativement prescrites.
A. Le permis de conduire.
Définition : le permis de conduire est un diplôme délivré par le ministère chargé des
transports à toute personne étant passé par une auto école agréer et juger apte après être
soumis à un examen théorique et pratique, Il donne le droit à son titulaire d’exercer l’activité
de conduite en fonction de la catégorie choisi. Il existe 7 catégories de permis à la base :
D
Véhicules de transport en Certificat médical plus
communs. Caractéristiques : casier judiciaire datant
Nbres de places > 9 d’au moins 3 mois et
Véhicules de catégories B, C et
D attelés a une remorque > 21 ans Voir conditions C ou D Voir C
750 kg
F
Véhicules de catégories A et B
spécialement aménagé pour
tenir compte de l’handicap de 18 ans Certificat médical Voir C
conducteur
G
Engins agricoles, industriels et
de travaux publics 18 ans Certificat médical plus 10 ans
permis B
Le dossier est déposé au service départemental des transports qui dispose de 30 jours pour
délivrer la licence.
Il a été institué dans les grandes villes du Cameroun une autorisation spéciale de conduire
les mototaxis appelé capacité ou spéciale A. Cette licence se fait indépendamment du
permis A et ne la remplace pas.
Les rétroviseurs, les feux tels que les feux de croisement, les feux de route, les clignotants et
les cataphotes sont obligatoires devant et derrière. Il en est de même pour les différents
compteurs du tableau de bord.
En fin il est interdit d’ajusté les dispositifs appartenant aux véhicules d’urgence et
prioritaires. Il est interdit de modifier le système d’échappement pour rendre la moto plus
bruyante.
Quelques définitions
Quadricycle : cyclomoteur à 4 roues.
Annulation de permis : saisie et retrait définitif du permis de conduire à son titulaire. Celle-ci
peut être dus à des cas tels que : une incapacité physique ou mental observer chez son
détenteur ; des récidives ; des fautes lourdes ayant pour conséquences des dégâts matériels
ou humains très important ou encore lorsqu’ une erreur a été commise dans la procédure
de montage du permis.
Introduction.
Un véhicule est tout moyen permettant le déplacement des biens et des personnes entre
deux points. Il existe plusieurs types de véhicule :
Les véhicules terrestres (l’homme, le cheval, la voiture, etc.…)
Les véhicules aériens et spatiaux (l’avion, le satellite, la fusée, etc...)
Les véhicules marins et maritimes (le bateau, le sous-marin, etc.…)
Notre étude va se concentrer sur un type de véhicule terrestre appelé véhicule automobile
1) La carrosserie.
Définition : c’est la coque ou caisse métallique fixé sur le châssis dont la fonction est de
protéger les biens et personnes et de ressortir l’aspect esthétique du véhicule. Elle est
constitué de plusieurs composantes telles que : les portières, le pare choc avant et arrière, le
capot, les vitres, etc.….
NB : l’intérieur de la carrosserie est appelé habitacle. Les carrosseries peuvent aussi être
faites en bois
2) Le châssis
Définition : il représente le squelette du véhicule c’est la plate forme métallique sur laquelle
sont fixés tous les organes fonctionnels du véhicule. Ses composantes sont :
Le bloc moteur
Le système de transmission
Le système pneumatique
Le système de freinage
Le système directionnel
Le système des suspensions
a. Le bloc moteur.
Il représente le cœur du véhicule, c’est l’organe qui produit l’énergie (énergie mécanique)
indispensable au déplacement du véhicule. Il existe de nos jours 4 types de moteurs : deux
classiques (moteurs à essence et moteur diesel), et deux issus de l’évolution des sciences
technologiques (les moteurs électriques et les hybrides). Notre étude va se limiter sur la
connaissance des moteurs classiques.
Le bloc moteur est assisté par plusieurs autres sous organes et fluides qui assurent son bon
fonctionnement. Ils sont repartis en trois circuits : circuit d’alimentation ; circuit de
refroidissement et de graissage ; le circuit d’allumage (confer : expertise pratique).
L’étude comparative entre ses deux types de moteurs montre que :
Les moteurs à explosions sont plus légers et occupent la plupart des véhicules de
luxe, le carburant employé (l’essence) plus couteux, moins polluant mais plus toxique
et les couts de réparations sont moins cher.
Les moteurs diesels sont plus lourds et occupent la majorité des véhicules lourds, le
carburant employé (le gasoil) moins couteux, plus polluant mais moins toxique et les
couts de réparations sont onéreux.
b. Le système de transmission.
Définition : c’est le système qui distribue aux roues motrices l’énergie mécanique produit
par le moteur. Ce système est constitué de deux grandes parties qui sont : l’embrayage et la
boite de vitesse
L’embrayage : c’est l’organe qui établi une liaison progressive entre le moteur et la
boite de vitesse, c’est lui qui permet au véhicule de se déplacer, qui permet de passer
les vitesses et enfin s’est lui qui évite le calage du moteur.
L’embrayage a 3 positions qui sont :
Débrayage : c'est-à-dire appuyer a fond sur la pédale d’embrayage.
Patinage : c'est-à-dire libérer la pédale d’embrayage à moitié encore appelé
demi -embrayage.
Embrayage : c'est-à-dire libérer totalement la pédale d’embrayage.
La boite de vitesse : c’est l’organe par lequel on règle les vitesses. Ses vitesses sont la
marche avant et la marche arrière. On distingue 2 types de boite de vitesse : les
boites de vitesse manuelles et les boites de vitesse automatiques.
Boite de vitesse manuelle : équipé de trois pédales (embrayage, frein et
accélérateur). Elle soumet le conducteur à la responsabilité de contrôler les
plages de vitesses ce qui le rend maitre des vitesses. Elle possède 6 ou 7
vitesses et Les plages de vitesses sont les suivantes :
Première : 00 ― 20 km/h. Quatrième : 60 ― 80 km/h
Deuxième : 20 ― 40 km/h. Cinquième : 80 ― +∞ km/h
Troisième : 40 ― 60 km/h. Marche arrière (R) : 00 ― +∞km/h
c. Le système de freinage.
C’est l’ensemble d’éléments dont la fonction est de réduire ou d’interrompre l’énergie
cinétique soumise au véhicule, en d’autres termes c’est l’ensemble d’éléments qui
ralentissent ou immobilisent le véhicule. On distingue plusieurs types de système de
freinage : le système de freinage a disque, le système de freinage a tambour, système de
freinage à pression etc. ... Par ailleurs il existe trois modes ou types de frein dans les
systèmes automobile à savoir :
Le frein moteur : qui est celui qui agit automatiquement en deuxième vitesse.
Le frein principal : ou frein a pieds ou encore frein hydraulique qui agit sur les quatre roues
par le biais des plaquettes de frein.
Le frein a main : ou frein de parcage ou frein de secours qui agit sur les deux roues arrière
par le biais des garnitures de frein.
Les composantes du système de freinage sont : (plaquettes et garnitures de frein, servofrein,
maitre cylindre, huile de frein, pédale de frein a pieds et levier de frein a main).
d. Le système pneumatique.
C’est l’organe qui transforme l’énergie mécanique produit par le moteur en énergie
cinétique de rotation et de translation. Un véhicule de tourisme a 5 roues. Les composantes
de ce système sont : la jante, les pneus, les boulons, la chambre à air, l’air, la valve,
l’enjoliver.
Par ailleurs on entend par motricité dans un véhicule automobile la relation qui lie
étroitement le moteur et la pneumatique Ainsi :
― Lorsque ce sont uniquement les roues avant du véhicule qui reçoivent l’énergie
mécanique du moteur on parle ici de motricité à traction avant.
― Lorsque ce sont uniquement les roues arrière du véhicule qui reçoivent l’énergie
mécanique du moteur on parle de motricité à propulsion.
― Lorsque toutes les roues du véhicule reçoivent l’énergie mécanique du moteur on parle
de motricité à réduction.
e. Le système de direction
La direction dans une automobile à deux cotés : gauche et droite. Mais il existe deux types
de direction à savoir :
―la direction assisté qui prend de l’huile
―la direction non assisté ou a crémaillère qui ne prend pas de l’huile.
Les composantes du système directionnel sont : le volant et sa tige, les mannettes.
― Deux feux de croisement ou codes : matérialisés par un témoin de couleur verte, qui
éclairent à environs 30 m, utilisés la nuit lorsqu’on croise ou lorsqu’on suit de prêt un
véhicule a moins de 100 m
― Deux feux de route ou pleins phares : Matérialisés par un voyant de couleur bleu, qui
éclairent à environs 100 m, utilisés la nuit lorsqu’on circule sur une route non éclairée et
vide.
b. Eclairage arrière.
À l’arrière d’un véhicule nous avons :
― Deux feux rouges ou feux de position arrière : qui s’allument au même titre que les feux
de position avant, donc par conséquent ont les mêmes caractéristiques.
― Deux feux de polices (facultatifs) qui éclairent la plaque d’immatriculation.
― Un ou deux feux de brouillard (facultatifs) : matérialisés par un témoin de couleur orange
qui éclairent à environ 150 m.
― Deux dispositifs réfléchissant la lumière afin de rendre visible la position d’un véhicule
stationné appelés cataphotes ou catadioptres (facultatifs).
2. Signalisations.
La signalisation dans un véhicule automobile est l’ensemble d’éléments qui permettent au
conducteur de communiquer avec les autres usagers de la route. On distingue les
avertisseurs lumineux et les avertisseurs sonores.
― Comme avertisseurs lumineux nous avons : les feux directionnels ou clignotants, les feux
de détresses ou double clignotant, les feux de recul ou de marche arrière, les feux stop ou
feux de stationnement.
― Comme avertisseurs sonores nous avons : le klaxon, les alarmes, les sirènes, et les
sifflets.
NB : il est existe aussi un avertisseurs qui joue les deux rôles appelé gyrophares.
3. Contrôles et vérifications.
Tout bon conducteur doit savoir contrôler la mise à jour et le bon fonctionnement de son
véhicule. Il doit être capable de détecter toutes sortes de disfonctionnement relatifs aux
organes vitaux du véhicule, soit physiquement ou soit par le signal des témoins de
disfonctionnements. Ainsi les contrôles et vérifications à faire sont les suivantes :
L’ABS : système anti blocage des roues qui agit sur les freins en évitant le blocage des
roues ce qui permet de conserver le contrôle de la direction
L’AIR BAG : ballon gonflable qui permet d’amortir la violence du choc lors d’une
collision frontal
L’AFU : l’aide au freinage d’urgence : système qui vient assister et compléter l’ABS
ceci en détectant un passage anormalement rapide de la pédale d’accélération à la
pédale de frein. Elle met la pression maximale de freinage sans blocage des roues
KIT TELEPHONE MAINS LIBRE : Bluetooth ou filaire, intégré dans le véhicule ou dans
le GPS
La roue de secours, le cric, la manivelle, la clé à roue, l’extincteur, les calles, le triangle de pré
signalisation, la boite à pharmacie, le gilet de haute visibilité, la torche, une boite à outils,
pompes à air, un câble de remorquage.
Introduction.
Comme la plupart de certains environnements, la route est un domaine complexe face à
laquelle tout apprenti conducteur devrait être capables de la connaitre et de la comprendre
afin de mieux l’appréhender.
A. La notion de route.
Définition : espace aménagé au sol réservé à la circulation du public. On distingue plusieurs
types d’usagers de la route tels que : les piétons, les automobilistes, les cyclomotoristes les
animaux etc...
Il existe plusieurs formes de route qui sont distinctives les une aux autres par leurs natures,
leurs classes et leurs fonctions.
La route secondaire : ici la circulation n’est pas aussi dense comme dans le cas des
routes principales, elle est constituée en général d’une chaussée unique
bidirectionnelle ou unidirectionnelle. On la reconnait à la vue de la balise J₂.
Selon les normes conventionnelles et administratives les routes sont classées au nombre de
cinq catégories sur le territoire national et sept catégories à l’échelle internationale. Nous
avons :
Les routes nationales : matérialisées par une cartouche de fond de couleur rouge
portant la lettre N et placée sur un panneau de localisation. Elles sont contrôlées par
le ministère chargé des travaux publics.
Les routes forestières : matérialisées par une cartouche de fond de couleur verte
portant la lettre F. Elles sont contrôlées par le sous-préfet.
Hors le territoire national et hors agglomération nous avons : les autoroutes matérialisées
par une cartouche de fond de couleur rouge portant la lettre A et les routes européennes
matérialisées par une cartouche de fond de couleur verte portant la lettre E. Elles sont
contrôlées soit par des organismes Etatiques soit par des organismes communautaires
d’Etats.
― La fonc on de cohésion ou de liaison : par cette fonction la route unie les peuples, les
Etats et les Nations. Ce qui va favoriser et engendrer des échanges ou brassages entres
individu, traditions, culture, biens et valeurs.
― La fonc on économique : la route étant un chemin reliant deux points, elle permet et
facilite les échanges de biens et services, participe au développement économique d’une
région.
En dehors de ses trois fonctions la route joue un rôle particulier qui est celui de desservir
d’autres lieu ou endroits d’où la naissance de ce qu’on appelle : bifurcations.
B. L’autoroute.
Définition : généralement construite hors agglomération pour un trafic routier dense et très
rapide. Constituée au moins d’une double chaussée séparer par un terre plein avec une
circulation qui s’effectue en sens unique sur chaque chaussée.
On s’y introduit par des bretelles d’entrées suivies d’une voie d’accélération et on y ressort
par des bretelles de sorties précédées d’une voie de décélération.
NB : la rencontre entre voie d’accélération et une voie de décélération est appelé : voies
d’entrecroisement.
L’accès est interdit aux piétons, aux cyclistes, aux animaux, aux véhicules à traction animale,
et à tous autres véhicules dont la vitesse ne dépasse pas 40 Km/h.
Les manœuvres interdites sur autoroute sont : la marche arrière, le demi-tour sur route
l’arrêt et le stationnement. La seul manœuvre autorisée est le dépassement.
Les limitations de vitesse sont les suivantes :
― Par temps favorable : 130 Km/h.
― Par mauvais temps : 110 Km/h.
e
2 partie :
Les règles de
la circulation
Introduction.
Aucune conduite au monde ne se fait sans arrêt ni stationnement, hors ces deux notions
sont très mal connue pour la plupart du public de l’environnement routier. Alors il est
question pour tous apprenants de savoir la différence entre les deux, et savoir comment,
quand et ou les effectuer.
A. La notion d’arrêt.
Définition : l’arrêt est l’immobilisation momentanée d’un véhicule sur la chaussée ou sur
son bord droit pour faire monter ou descendre un colis ou une personne. Et cependant le
conducteur reste à proximité de son véhicule pour le dégager en cas de besoin.
Dans la circulation routière l’arrêt peu être volontaire ou involontaire, mais quelque soit les
circonstances le conducteur doit être capable de l’effectuer en toute sécurité.
Ainsi savoir comment effectuer un arrêt passe par la connaissance de ces éléments. Les
éléments et techniques à appliquer de manière chronologique sont :
― Le rétroviseur interne et externe droit pour contrôler à l’arrière (angles morts) l’arrivé des
autres usagers.
― Le clignotant droit et les feux stop pour alerter les autres usagers de notre intention.
― Le volant pour orienter progressivement et de manière oblique le véhicule vers le bord
droit de la chaussée.
― La pédale d’embrayage et celle du frein à pieds pour ralentir graduellement le véhicule
jusqu'à son immobilisation totale.
― Et enfin le levier de vitesse pour revenir au point mort et le frein à main pour stabiliser le
véhicule et se débarrasser du contrôle des pédales.
NB : lorsqu’un arrêt est permanent c'est-à-dire dure plus d’une minute il est permis d’arrêter
le contact.
Cas d’interdictions d’arrêt
L’arrêt est interdit :
A proximité d’une intersection ou d’un bac à ordure
Dans les tunnels sur les ponts rétrécis, les trottoirs et sur autoroute.
A partir du panneau le prescrivant jusqu'à la prochaine intersection
Sur le passage à niveau, passage clouté, les zébras Dans les virages les
chaussées rétrécies etc.…
B. La notion de stationnement.
Définition : le stationnement est l’immobilisation prolongée d’un véhicule sur l’accotement
ou dans un parc de stationnement ici les vitres sont montées, portières verrouillées, les feux
éteints, frein a main serré (dans le cas d’un système de freinage à tambour), contact couper,
levier de vitesse réglé en mode parking (dans le cas des transmissions automatiques) ou
levier de vitesse réglé en fonction de la position au sol (dans le cas des transmissions
manuelles).
Par ailleurs il existe aussi plusieurs modes de stationnement dans l’environnement routier
tels que :
― Le stationnement unilatéral : c’est celui qui s’effectue sur un seul coté de la chaussée.
― Le stationnement bilatéral : qui s’effectue sur les deux cotés de la chaussée.
― Le stationnement unilatéral à alternance semi mensuel : qui s’effectue sur un coté de la
chaussée en fonction des périodes (du premier au 15 du mois et ou du 16 à la fin du mois).
― Le stationnement gratuit mais avec contrôle par disque (s’est un document facultatif
relatif à l’automobile, il permet au conducteur qui le possède de stationner gratuitement
dans les zones bleues.
― Le stationnement gratuit.
― Le stationnement payant etc.…
NB : lorsque le stationnement est interdit, l’arrêt ne l’est pas. Par contre lorsque l’arrêt est
interdit le stationnement est aussi interdit
Introduction.
L’environnement routier est un milieu particulièrement délicat, parsemé de nombreux
pièges appelés zones de danger. Parmi ses zones de danger nous avons les intersections.
L’objet d’étude de ce cour est de faire connaitre a l’apprenant ce que s’est qu’une
intersection, savoir la détecter afin d’être capables d’appliquer règles et techniques
préconisées pour l’appréhender en toutes sécurité.
.
― Les intersec ons en formes de T et Y.
― Devant le feu rouge alternatif accompagné d’une flèche directionnel orienté vers
la droite.
NB : lorsque toutes les droites sont occupées on fait valoir ici la règle de la patience
qui est de passer après avoir fait passer les autres : s’est le principe de la courtoisie.
Remarque : Par ailleurs il existe aussi deux cas exceptionnel de priorité à gauche.
L’une s’appliquant au sens giratoire c'est-à-dire tous les véhicules qui ont engagés le
cercle du sens giratoire on la priorité de passage et l’autre s’applique dans une
intersection de deux routes, l’une principale à double sens traversée par une autre
secondaire à sens unique allant de la droite vers la gauche.
La règle de priorité de passage : c’est le droit non absolu que j’ai de passer avant les
autres à l’intersection. Ses cas d’application sont :
― Devant le feu vert alternatif.
― Devant un agent de l’ordre vu de profil.
― Lorsque je circule sur une route à grande circulation.
La règle de priorité de céder le passage : c’est le devoir absolu que j’ai de laisser les
autres passer avant moi a l’intersection. Ses cas d’applications sont :
― Devant le feu rouge alternatif
― Devant un agent de l’ordre vu de face ou de dos
― Devant un véhicule prioritaire en service.
― Lorsque j’aperçois la balise J₂ ou un panneau stop.
Introduction
Le trafic routier étant généralement dense et rapide les manœuvres tels les croisements et
dépassements se produise constamment. Ceci favorise la présence permanente des
situations dangereuses et augmente les risques de réalisation d’accidents. L’optique dans
cette leçon est de connaitre et d’appliquer les règles sécuritaires d’un bon croisement et
dépassement.
A. Le croisement.
Définition : c’est la rencontre en un point l’un à coté de l’autre de deux véhicules roulant
sur une même route et allant en sens inverse. Les règles fondamentales à appliquer en toute
sécurité sont :
― Toujours ralentir son véhicule et serrer le plus à droit pour éviter un accrochage ou une
collision frontale surtout sur chaussée rétrécie.
― sur chaussée rétrécie s’arrêter derrière un obstacle qui nous pousse à aller sur la voie de
gauche, question d’observer si cette voie est libre avant de s’engager.
― Si la chaussée est rétrécie des deux cotés, on applique la règle de la courtoisie et celui qui
est le plus engager a la priorité de passage.
― La nuit toujours croisé avec les feux de croisements et non les pleins phares.
Le croisement de trafic : c’est lorsque deux véhicules roulant sur une même route et
allant en sens inverse se rencontrent à l’intersection l’un désirant continuer tout
droit et l’autre désirant virer à sa gauche.
Le croisement a l’indonésienne : c’est lorsque deux véhicules roulant sur une même
route et allant en sens inverse se rencontrent à l’intersection les deux désirant virer à
leur gauche.
B. Le dépassement.
Définition : c’est l’art de devancer un véhicule lent à sa gauche ou à sa droite, s’est aussi la
manœuvre la plus embarrassante et la plus meurtrière de la circulation routière. Lorsqu’il
s’effectue à gauche on parle de dépassement normal et lorsqu’il s’effectue à droite on parle
de dépassement toléré.
Le dépassement est une manœuvre très délicate qui s’effectue en trois étapes :
Avant le dépassement c'est-à-dire « je veux dépasser ». les conditions à remplir sont
les suivantes :
―Vérifié que nous ne sommes pas dans une zone ou le dépassement est interdit.
― Vérifié qu’on n’est pas dans une zone de limitation de vitesse.
― Vérifié qu’on a une bonne visibilité à l’avant.
― Vérifié qu’après le dépassement on retrouve sa place.
― Vérifié qu’on n’est pas sur le point d’être dépassé.
― Vérifié qu’on a une bonne réserve d’accélération.
Lorsque tout ceci est fait on alerte les autres usagers à l’aide du clignotant gauche, du
klaxon et des jeux de phares.
Pendant le dépassement c'est-à-dire « je dépasse ». les conditions à remplir sont les
suivantes :
― Bien se déporter à gauche pour éviter un accrochage avec le véhicule à dépasse.
― Accélérer franchement pour raccourcir le temps jusqu’à voir le véhicule dépasser
dans son rétroviseur interne.
― Et enfin actionner le clignotant droit.
Apres le dépassement c'est-à-dire « j’ai dépassé ». les conditions à remplir sont les
suivantes :
― Apres le clignotant droit se rabattre progressivement à sa droite en ligne oblique
pour reprendre rapidement sa place.
― Et enfin annuler le clignotant droit.
Remarque :
Le point de non recul est atteint lorsque l’aplomb arrière du véhicule qui
dépasse se trouve au même niveau avec l’aplomb avant du véhicule qui est
dépassé.
La vitesse du véhicule qui dépasse doit être supérieur de 20km/h de plus que
celle du véhicule dépassé.
Toujours vérifier et se rassurer que la manœuvre de dépassement ne dépasse
pas 10 secondes sinon il faudra annuler son intension.
E
3 PARTIE :
Signaux
Routiers.
Introduction
La signalisation verticale est l’ensemble des dispositifs et dispositions conventionnels placés
ou implantés verticalement par rapport à la chaussée qui règlent et ordonnent le trafic
routier dans le but de préserver la fluidité et la sécurité des usagers de la route. Cette
signalisation est décomposée en quatre groupes qui sont : les panneaux de signalisations, la
signalisation lumineuse, la signalisation manuelle, les balises et les bornes.
A. Les panneaux de signalisations.
Définition : un panneau est un signe qui convient pour avertir, prescrire une information ou
encore indiqué une direction ou un lieu. Il existe quatre grands groupes de panneaux qui
sont :
Les panneaux de dangers : de forme triangulaire, bordure rouge, fond blanc ou jaune
et symbole généralement noir. Ils sont placés avant le danger c'est-à-dire 50 m en
agglomération, 150 m hors agglomération et environ 200 m sur autoroute.
NB : le fond blanc marque la permanence du danger et le fond jaune marque la
temporalité
Les panneaux d’indication : de forme carré ou rectangulaire, ils sont implantés pour
données des informations relatives à la conduite ou encore relatives à des installations
Signalisations temporaire.
Par ailleurs il existe aussi des petits panneaux appelés panonceaux qui apportent des
précisions sur les panneaux qu’ils accompagnent. Ainsi nous avons parmi eux :
― Les panonceaux de catégorie
Étendu
Définition : c’est l’ensemble des feux lumineux généralement implanté aux intersections qui
règlent la circulation par voie. Ill existe plusieurs sortes de feux.
― Le feu vert alternatif : sa durée normale est 15 secondes et il signifie passage libre.
― Le feu orange ou jaune alterna f : sa durée normale est 3 où 5 secondes. Il signifie arrêt
ou dégagement rapide.
― Le feu rouge alternatif : sa durée normale est de 20 secondes et il signifie arrêt
obligatoire.
― Le feu jaune clignotant permanent : il prend effet de 22h a 5h du matin. Ici il faux soit
appliquer la règle de la priorité à droite ou encore
. appliquer celle imposée par les panneaux présents.
― Le feu jaune clignotant temporaire : généralement placé a l’entré de certains ponts
mobiles, passage à niveau, il s’allume et s’éteint avant le danger et peux être remplacé par
le feu rouge clignotant temporaire.
― Le feu rouge fixe : s’est l’équivalent du panneau sens interdit, il interdit l’accès dans
certaines rues et tunnels, il a une durée indéterminé.
― Le feu en forme de croix : placé dans le dos des feux tricolores situés à la circulation
opposée, il indique à quelle phase (verte, orange, ou rouge) se trouve le feu de la circulation
venant en sens inverse.
― Les flèches directionnelles : de couleur verte, orange ou jaune, elles indiquent à
l’intersection la ou les directions imposées.
― Les feux d’affectation de voies :
― Les feux bicolores :
Définition : c’est l’ensemble des signes exécutés par l’agent verbalisateur. La présence de ce
dernier sur la route annule momentanément toutes autres formes de signalisations. Ses
gestes représentent des ordres que doivent respecter tous usagers de la route.
La balise J₃ ou balise d’intersection : placé aux angles d’une intersection elle les rend
visible quelque soit le régime de la priorité
La balise G₁ ou de voie ferrée : qui est un signal de position d’un passage a niveau
La balise J₁₄ ou tète de musoir : elle indique le point de divergence entre deux voies
Introduction
Définition : c’est l’ensemble des marques peintes sur la chaussée. Ses marques ont pour
rôles de séparer les différentes voies de circulation, d’indiquer les espaces ou endroits
réservés à l’arrêt et la circulation d’une certaines catégories d’usagers. Ses marques sont
reparties en deux groupes : les marques longitudinales et les marques transversales.
A. Les marques longitudinales
S’est l’ensemble des lignes tracées parallèlement par rapport a la chaussée nous avons :
La ligne continue : tracée au milieu de la chaussée il est interdit de la chevauché ou
de la franchir.
La ligne mixte ou accolée : tracée ou milieu de la chaussée c’est une ligne continue
doublé d’une ligne discontinue ou d’une autre ligne continue. Ici le conducteur doit
toujours tenir compte de la ligne la plus proche de lui à sa gauche
La ligne stop : elle indique l’endroit ou l’on doit s’arrêter lorsqu’on rencontre un
panneau stop a l’intersection.
La ligne céder le passage : elle indique ou l’on doit s’arrêter pour céder le passage
lorsqu’on rencontre une balise J₂ a l’intersection.
Le passage clouté ou plateau pavé : s’est l’espace aménagé sur la chaussée réservé a
la traversé des piétons. Il est strictement interdit aux véhicules automobiles de s’y
arrêter.
Le zébra : c’est une zone hachurée en bandes blanches intercalées et délimités par
une ligne continue qui représente un terre plein. L’arrêt, le chevauchement et le
stationnement des véhicules automobiles y est interdit.
Les zigzags : espace aménagé sur la chaussée réservé à l’arrêt des autobus
e
4 partie :
sécurité
routière
Introduction
Conduire c’est être capable de percevoir des informations en avance, analyser la situation,
prévoir et anticiper sur ceux qu’on doit faire et enfin agir rapidement et efficacement sur les
commandes du véhicule. Le conducteur est donc celui la qui doit adopter un comportement
préventif ou défensif vis-à-vis de son véhicule, de l’environnement et des autres usagers de
la route tout ceci en étant efficace dans la réalisation de sa tache. L’objectif de cette leçon
est de faire connaitre à l’apprenant les qualités et attitudes nécessaire à la réalisation d’une
conduite défensive.
A. Les qualités d’un bon conducteur.
Lorsqu’ un conducteur ou encore apprenti conducteur est soumis à une évaluation ou à un
test de conduite l’objet du test est porté sur trois grands aspects ou qualités qui sont :
Avoir toujours ses pièces officielles (carte national d’identité et permis de conduire)
et les pièces officielles du véhicule (carte grise, assurance, vignette et visite
technique) tous ceci en cour de validité.
C. Infractions et contraventions
Infractions : toutes formes de violations relatives aux règles et normes prescrites par la loi
ou par une institution.
Délits : toutes formes d’infractions susceptibles de causer préjudice à la sécurité des usagers
ou à celle de l’environnement routier et dont le jugement relève de la compétence juridique.
Ils sont généralement punis par un emprisonnement supérieur à 10 jours et inferieur ou
égale à 10 ans et/ou d’une amende supérieur à 25000 FCFA.
Chevauchement d’une
ligne continue ou d’un quatrième 25000 non
zébra
Dépassement interdit quatrième 25000 non
Défaut de boite a troisième 3600 non
pharmacie
Défaut de triangle de quatrième 25000 non
pré signalisation
Défaut de trousse de Troisième 3600 non
dépannage
Refus d’obtempéré quatrième 25000 Saisie immédiat du permis de
conduire
Refus de respecter la quatrième 25000 non
priorité
Défaut de licences de délit ― Mise en fourrière du véhicule
transport routier
Transport clandestin délit 500000 Compétence tribunal
(Emprisonnement de 3 à 6mois)
Non respect des troisième 3600 non
distances de sécurité
entre véhicules
Non respect de la quatrième 25000 non
signalisation routière
Défaut de dispositif de troisième 3600 non
freinage
Défaut d’indicateur de troisième 3600 Immobilisation du véhicule
vitesse
Défaut de casque pour troisième 3600 non
motocyclistes et
passagers
Usage du téléphone au quatrième 25000 Possibilité de retrait de permis pour
volant une durée de 1 an
Défaut de carte national délit ― Compétence tribunal
d’identité
Ouverture dangereuse deuxième 2400 non
de la portière
Quelques définitions
Alcootest : s’est l’examen qui permet de dépister le taux d’alcool contenu dans le sang d’une
personne
Alcoolémie : s’est le taux d’alcool contenu dans le sang d’une personne
LA VITESSE
Définition : s’est la distance parcourue en un temps donné. Exemple 100km/h. la vitesse
excessive ou non adapté est responsable de 40% des accidents mortels ses conséquences
sont :
Energie cinétique : c’est une force engendré par la puissance du moteur et acquise
par le véhicule pendant son déplacement. Elle tend à le pousser vers l’avant pendant
le freinage. Lorsque la vitesse double l’énergie cinétique est multipliée par quatre.
Force centrifuge : c’est la force qui tend à déporter le véhicule hors de la trajectoire
de la route dans un virage.
Temps de réaction : s’est le temps qui s’écoule entre la perception d’une information
et l’action qui va en suivre devant une situation. Pour un conducteur normal il doit
être de 1 seconde.
Distance de réaction : c’est la distance parcourue pendant le temps de réaction. Par
convention pour la calculer on multiplie le chiffre des dizaines et ou des centaines de
la vitesse du véhicule par 3. Exemple : à la vitesse de 90km/h, la DR = 9 *3 = 27m ; à
la vitesse de 110 km/h, la DR = 11*3 = 33m.
Distance de sécurité : s’est la distance qui doit exister entre deux véhicules qui se
suivent. En conduite automobile cette distance est égale à deux fois le temps de
réaction c.-à-d 2 seconde. Ainsi à la vitesse de 90km/h la DS = 9*3*2 = 54m ; à la
vitesse de 110km/h la DS = 11*3*2 = 66m.
Distance d’arrêt : c’est la distance parcourue pendant le temps de réaction et la
distance de freinage. Par convention on admet que cette distance sur sol sec est
égale au chiffres des dizaines et ou des centaines de la vitesse du véhicule multiplié
par lui-même. Exemple : à la vitesse de 90km/h la DA = 9*9 = 81m ; à la vitesse de
110km/h la DA = 11*11 = 121m.
LIMITATION DE VITESSE
Introduction
Le phénomène d’accidentologie représente aujourd’hui un véritable fléau qui mine en
permanence l’environnement routier. Le pic statistique depuis l’année 2005 jusqu’en 2019
nous montre que le nombre d’accidents à la fois mortels, corporels et matériels recensés
varient entre 3200 et 4500 cas. Certes ce phénomène est en général le triste résultat
inéluctable d’une fatalité mais l’on ne doit jamais ignorer le fait qu’il provient toujours de la
somme d’un nombre important d’événement malheureux.
A. Accidentologie
Les causes dues à l’état du véhicule : d’après les experts en sécurité routière elles sont
évaluées à environ 10% des cas d’accidents a l’échelle mondiale et 15% des cas sur le
territoire camerounais elles sont dues à :
Défaillance mécanique du moteur
Système de freinage défectueux
Pots de phares et éclairages défectueux
pneus Usés ou mal gonflés
Suspensions en mauvaise état
Les cause dues a l’environnement routier : d’après les experts elles sont évaluées a
environ 5% des cas d’accidents a l’échelle mondiale et 10% des cas sur le territoire
national elles sont généralement dues à :
Mauvais état de la route : c'est-à-dire chaussée glissante, présence des cassis
ou nids de poules,
Absence de signalisations routières
Route non conforme
Phénomène climatique et catastrophes naturels
B. Le secourisme
Définition : le terme secourisme désigne premiers secours c’est l’ensemble des actions
menés pour venir en aide aux personnes ayant subies un accident de la circulation.
Lorsqu’un conducteur arrive premièrement dans un lieu d’accident il a le devoir de venir en
aide aux accidentés. Pour ce faire il doit appliquer la règle préconisée par le sigle PAS qui
signifie : Protéger, Alerter et Secourir
Comment faire pour protéger ? ici les conditions à remplir sont les suivantes :
Bien garer son véhicule afin d’éviter qu’un autre accident se reproduise.
Baliser le site de l’accident à l’aide d’un triangle de pré signalisation, qu’on place à
environ 30 m du site afin qu’il soit visible à au moins 100 m et si possible compléter
le balisage avec des touffes d’herbes ou tous autres objets.
Ne pas fumer et éviter à ce que personne ne fume à proximité
en cas d’incendies utiliser l’extincteur, du sable ou un drap pour éteindre les
flammes mais jamais de l’eau.
A la limite de ses compétences et en cas de force majeurs sortir les accidentés s’ils se
trouvent dans une mauvaise position ou en dangers de mort.
Si le moteur des véhicules accidentés tourne encore couper le contact ou
débrancher les cosses de la batterie.
La nuit se revêtir de son gilet de haute visibilité, activer ses feux de détresses et si
possible éclairer le site de l’accident à l’aide des pleins phares de son véhicule.
Comment faire pour alerter ? ici il s’agit de crier au secours pour alerter rapidement le
voisinage mais la méthode la plus efficace est d’appeler les numéros secours à savoirs :
La police au 117
La gendarmerie au 113
Les sapeurs pompiers au 118
Le SAMU au 119
La croix rouge international au 122
Comment faire pour secourir ? secourir s’est sauver une vie, éviter l’aggravation du mal
et favoriser la guérison. Pour ce faire le secouriste doit savoir ce qu’il doit faire et ce qu’il
ne doit pas faire. Ainsi il faut :
déplacer les accidentés avec délicatesse en appliquant la prise de rauteck et les
mettre en PLS (position latéral de sécurité).
Contrôler sa ventilation : c’est savoir si la victime ne respire pas ou respire mal. ceci en
mettant notre joue ou un miroir au niveau de ses narines pour sentir et observer s’il
respire encore. Ou encore on pose la pomme de main entre le thorax et l’abdomen de la
victime. Si la main se soulève et s’abaisse s’est que la victime respire encore, dans le cas
contraire il ne respire plus.
Contrôler sa circulation : il s’agit ici de voir si le cœur de la victime bat encore et si le
rythme de battement est filant. on applique alors le control du pouls radiale ou
carotidienne. Si ce pouls est filant s’est que la victime soufre déjà d’une hémorragie
interne.
2. Etude des différents traumatismes
Parmi ses traumatismes nous avons :
L’hémorragie : s’est lorsque le sang coule hors des vaisseaux sanguins. Il existe trois
sortes d’hémorragie :
Hémorragie interne : s’est la plus dangereuse de tous. ici le sang s’écoule hors des
vaisseaux sanguins mais à l’intérieur de l’organisme. Ses symptômes sont : visage pale
de l’accidenté ; transpiration exagérée ou sueur froide ; chair de poule ; pouls filant ;
soif intense ; anxiété ; fatigue extrême ; La conduite à tenir dans ce cas est de mettre
la victime en position de choqué alerter les secours ou évacuer rapidement la victime
à l’hôpital.
Hémorragie externe : s’est lorsque le sang s’écoule hors des vaisseaux sanguins par
une ouverture accidentelle de la peau. La conduite à tenir ici est de faire un bandage
ou un pansement compressif sans trop serré.
Hémorragie extériorisé : s’est lorsque le sang s’échappe hors des vaisseaux sanguins
en passant par les orifices naturels du corps c'est-à-dire la bouche, le nez, les oreilles,
les yeux, le vagin, l’anus etc. la conduite à tenir ici est d’appliquer le couché de
l’orifice car il faut que la victime puisse faire évacuer le sang qui coule dans la position
ou elle se trouve. Au niveau des narines par contre il faux comprimé le saignement
tête en avant. Ensuite alerter les secours ou évacuer la victime a l’hôpital.
L’asphyxie : aussi dangereuse, car sans prise en charge la victime aboutis
progressivement à la perte de conscience puis au décès. s’est une urgence vitale qui
désigne un arrêt ou un manque de la circulation d’oxygène dans l’organisme. La conduite
à tenir ici est de faire un RCV (réanimation cardio-vasculaire) c'est-à-dire du bouche à
bouche ou bouche à nez.
Les fractures : s’est une rupture partielle ou complète d’un os. Il y’a celle qui sont
ouverte et d’autres fermés. Ainsi nous avons :
Fracture des membres : pour les fractures fermées la première des choses est de
déplacer la victime en appliquant la prise de rautek. Dans le cas des membres
supérieurs l’entourer en écharpe avec des petits morceaux de bois et a l’aide d’un
tissu noué derrière le cou. Dans le cas des fractures des membres inferieurs placer des
morceaux de bois de chaque coté de la jambe fracturée et maintenir l’ensemble avec
du tissu noué sans trop serrer.
Dans le cas des fractures ouvertes contacter rapidement les secours et ne pas bouger
la victime. Si l’os est visible le protéger a l’aide des compresses stériles ou un linge
propre pour réduire les infections. Ne jamais appuyer directement sur la fracture et
ne jamais essayer de remettre l’os dans l’axe.
Introduction
L’assurance est une activité qui consiste à fournir une prestation lors de la survenance d’un
événement incertain et aléatoire souvent appelé « risque ». La prestation, généralement
financière, peut être destinée à un individu, une association ou une entreprise, en échange
de la perception d’une cotisation ou prime. L’activité de conduite automobile étant très
hostile et soumise à de nombreux risques il est donc impératif pour tous usagers de se
conformer aux normes et exigences prescrites en assurance auto.
Contrat d’assurance : c’est une convention qui lie deux partis l’assureur et l’assuré ayant
pour objet le risque devant lequel l’assurer s’engage à payer un montant et en contre
partie de cela l’assureur s’engage à résoudre l’éventuel risque.
Assuré : personne soumise au risque faisant l’objet du dit contrat qui bénéficiera d’une
indemnisation.
Assureur : société ou compagnie d’assurance qui garantie la prestation d’un service
moyennant le paiement d’une somme déterminer par le dit contrat.
Risque : encore appelé sinistre c’est tout événement malheureux, inattendu et
involontaire qui cause préjudice soit à l’assuré soit à autrui.
Prestation : réparation des dommages subis par le bénéficiaire.
Avenant : toutes modifications apportées au contrat initial
Franchise : clause d’assurance qui fixe une somme forfaitaire restante à la charge de
l’assuré en cas de dommage
Prime ou cotisation : montant de base que doit verser l’assuré pour souscrire à une
police d’assurance.
Souscripteur : personne physique ou morale soumise à des conditions particulières qui
est tenue envers l’assureur que quant au paiement des primes d’indamnisation.
Bénéficiaire : personne ayant subie un dommage qui recevra une indemnisation
Echéance principal : date limite à laquelle l’assuré est couvert et où toute action est
déclaré irréversible
Déchéance : perte par l’assuré du droit à la garantie d’assurance.
Résiliation : cessation des garanties ou engagement du contrat à l’initiative de l’une des
parties.
Bonus : réduction du montant de cotisation
Malus : majoration du montant de cotisation
ASAC : association des sociétés d’assurances du Cameroun
2. Compagnies d’assurance
On distingue trois types de compagnies en assurance :
Les compagnies en IARDT (Incendies, Accidents, Risques Diverses et Transport) : ses
compagnies couvrent les risques que peuvent subir les biens de l’assuré.
Les compagnies de vie : ses compagnies couvrent et protègent les personnes contre
toutes sortes de risque et événements futurs qu’ils peuvent subir.
Les compagnies de réassurance : ce sont celles qui assurent les entreprises d’assurances
Lorsque nous sommes victime d’un accident de la circulation la première des choses à faire
est de chercher un arrangement à l’amiable verbale ou écrite avec le conducteur adverse. Si
cela ne marche pas :
Faire appel au service compétent c'est-à-dire la gendarmerie, la police ou encore un
‘huissier de justice pour le constat.
Etablir un rapport d’accident à déposer chez l’assureur dans un délai de 48h lorsqu’il
y’a eu dégâts corporels et un délai de 5 jours pour les dégâts matériels
NB : ce rapport doit être fait en deux exemplaires au moins : un pour l’assureur et un sur
lequel il décharge et qu’on conserve.
Ne pas accepter un échange des originaux des dossiers du véhicule avec l’adversaire
Ne pas céder au chantage de la foule, mais plutôt interpeler rapidement le service de
constat.
Eviter les bagarres avec l’adversaire.
33) En cas d’infraction au code de la route, en plus des amendes quel sont les autres
sanctions possibles ?
34) Citer trois cas de retrait immédiat du permis de conduire.
35) Quel est la couleur du témoin des feux de routes ?
36) Quel est le montant de l’amende si je téléphone au volant ?
37) Quant on est seul sur une chaussée non éclairée la nuit quels feux faut t’il réglé ?
38) Quel est la limitation de vitesse quant il pleut sur une chaussée à double sens hors
agglomération ?
39) L’adhérence d’une voiture dépend de trois paramètres cité les.
40) Citer trois infractions qui constituent des délits.
41) C’est quoi une hémorragie extériorisée ?
42) Citer 5 zones ou le dépassement est interdit.
43) Quel est le système qui transforme l’énergie mécanique en énergie cinétique dans un
véhicule ?
44) Donner la distance d’arrêt lorsqu’on roule à 110 km/h.
45) Quels feux peut-on régler la nuit lorsqu’on circule dans un endroit éclairé ?
46) Donner la distance de sécurité lorsqu’on roule à 90 km/h.
47) Sur le tableau de bord les témoins qui alertent d’un disfonctionnement sont de quel
couleur ?
48) A quoi sert l’ABS sur une voiture
49) Que signifie AFU
50) Définir voies d’entrecroisement ?
51) Comment fonctionne l’AFU
52) Usage abusif d’avertisseurs sonores est une infraction de quelle classe ?
53) Quels feux peut-on utiliser dans un tunnel ?
54) Quels feux peut-on utiliser quant il pleut légèrement ?
55) Donner la distance de réaction lorsqu’on roule à 110 km/h.
56) Quel est la limitation de vitesse quant il pleut sur une chaussée à sens unique hors
agglomération?
57) Donner la distance de freinage lorsqu’on roule à 110 km/h.
58) Quels feux peut-on utiliser quant il pleut fortement ?
59) Quel est la profondeur minimale des rainures principales des pneus ?
60) Quels est la règle à appliquer lorsqu’on aborde une intersection ?
61) C’est quoi la sécurité active ?
62) De quel couleur est la plaque d’immatriculation des véhicules diplomatiques ?
63) Le non port de la ceinture de sécurité est une infraction de quelle classe ?
64) En assurance s’est quoi une déchéance ?
65) En zone CEMAC le taux d’alcool dans le sang d’un conducteur ne doit pas dépasser
combien ?
66) S’est quoi la sécurité passive ?
Annexe