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L’appareil respiratoire

Généralité :
L’être humain peut survivre plusieurs semaine sans mangé et plusieurs sans boire mais sil lui
faut absolument respirer en tout temps pour vivre. Tous comme boire et mangé, la respiration
est essentielle à la cellule du corps, sans l’oxygène rendit disponible par la respiration et la
circulation sanguine les cellules ne pourraient plus accomplir leur fonction et permettre la
substance d’organisme en entier.
L’échange du gaz entre le sang et les poumons est appelé respiration externe, celui entre le
sang et les cellules est appelé respiration interne.
Les organes du système respiratoire sont : le nez, le pharynx, le larynx, la trachée, les
branches respiratoires, les poumons, et les muscles intercostaux et le diaphragme.
I. les voies aériennes supérieures
1. la cavité nasale : nez et fosses nasales :
La cavité nasale est la première voie respiratoire, il s’agit d’une grande cavité irrégulière
divise en deux cavités = par le septum nasal. (Les fosses nasales)
Ces cavités s’ouvrent en avant par les narines et en dedans par le pharynx.
La paroi de la cavité nasale est bordée par une muqueuse ciliée très vascularisée, et qui
contient des cellules sécrétrices des mucus.
* Fonctions du nez :
- humidification du l’air. Par le mucus.
- filtration du l’air par les cils.
- réchauffement du l’air par les capillaires.
2. le pharynx :
C’est un conduit faisant communiquer la bouche et l’œsophage d’une part, les fosses nasales
et le larynx d’autre part.
C’est donc le carrefour des voies aériennes et digestives qui se croisent à ce niveau.
Le pharynx contient trois parties :
*rhino-pharynx ou bien naso-pharynx :
Partie supérieure en rapport avec les fosses nasales.
* oropharynx :
Partie moyenne ou buccale en communication avec la bouche.
*laryngo-pharynx
Partie inférieure en rapport avec le larynx.
a. fonctions du pharynx :
- voie de passage de l’air et des aliments.
- Réchauffement et humidification du l’air.
- Protection.
- Phonation.
3. le larynx :
C’est un organe situé au niveau de la gorge.
Il s’étend de la base de la langue et de l’os hyoïde jusqu’à la trachée.
Il s’étend de la troisième à la sixième vertèbre cervicale.
Le larynx présente plusieurs cartilages attachés par des ligaments et des membranes. :
- le cartilage ptiroïdien.
- - le cartilage cricoïde.
- Deux cartilages aryténoïdes.
- L’épiglotte.
*les fonctions du larynx :
- production du son
- organe essentiel pour la phonation.
- protection des voies respiratoires inférieures.
- humidification, filtrage et réchauffement de l’air.

4. la trachée :
C’est un conduit fibro-cartilagineux, longue d’environ 10 à 11 centimètres.
Elle s’étend du larynx jusqu’au niveau de la sixièmes vertèbre dorsale où elle se bifurque en deux
bronches droite et gauche.
Elle siège principalement dans le médiastin (derrière le sternum), devant l’œsophage.
Elle est recouverte d’une muqueuse épithéliale possédant des cils vibratiques et à glandes à mucus.
* les fonctions de la trachée :
- protection.
- Réchauffement, humidification et filtrage de l’air.
5. les bronches :
La trachée se divise en deux bronches au niveau du D6 :
-La bronche souche droite.
-La bronche souche gauche.
Au moment de pénétrer dans le poumon, les bronches sont rejoindrent par l’artère et la veine
pulmonaire correspondantes formant le pédicule pulmonaire.
Ce péducule pénètre dans le poumon à la partie moyenne à sa face interne au niveau de hile.
Chaque bronche souche présente la même structure que la trachée.
A l’intérieur du poumon, les bronches souches se ramèfies en de nombreuses arborisations pour
devenir des bronches lobaires puis segmentaires et puis des bronchioles qui sont des bronches plus
plus petites.
II. LES VOIES AERIENNES INFERIEURES :

1. les poumons :
C’est l’organe majeur de la respiration ils sont au nombre de deux : droit et gauche.
Ils occupent les parties latérales de la cavité thoracique.
Ils s’étendent de l’envol ope diaphragmatique qui forme leurs bases, à l’apex qui est situé au
sommet d’environ 3 centimètre au dessus de la clavicule.
Les poumons sont séparés par le médiastin dans la cage thoracique.
Le poumon droit est plus lourd (700 grammes) que le poumon gauche.
Le poumon droit présente deux lignes et comporte trois lobes : supérieur, moyen et inférieur.
Le poumon gauche est plus léger (600 grammes), et ne comporte que deux lobes et une seule ligne
inter lobaire.
Les poumons sont sous forme de cône on leur décrit :
Un apex, une base, une face costale, et une face médiale.
-les alvéoles :
Ce sont des sacs qui se gonflent et dégonflent ils sont de nombre de 200 millions est représenterait
une surface de 200 mètres carré si elle était étalé.
Ce sont des cavités remplient d’air qui entoure les bronchioles dans les poumons c’est la se
produit les échanges gazeux entre la paroi des alvéoles et celle des capillaires qui les entoure.
III. les éléments annexes aux poumons
 La cage thoracique :
La cage thoracique est constitué par la colonne dorsale en arrière les côtes latéralement et le
sternum en avant. C’est un strict ure solide elle peut aussi être déformable les muscles inter
costaux relient les côtes entre elles rapprochent celle-ci au ce contractant ce qui a pour effet de
soulever la cage thoracique et d’accroître son volume et par la même façon de donner aux
poumons un espace de dilatation plus vaste.
Quand les muscles ce relaxent, la cage thoracique retrouve sa position et son volume normale.
Le rôle essentiel de la cage thoracique et de protéger les organes de thorax
 la plèvre :   est une couche membraneuse qui recouvre les poumons elle est constitué de
deux feuillet viscérale et un feuillet pariétal en contact avec la cavité thoracique.
Entre ces deux feuillet une cavité vertuelle permet le glissement de feuillet des poumons grâce a
elle suit les mouvements.
 les muscles respiratoires
Le diaphragme ce situé en dessous de la cage thoracique et sépare cette dernière de l’abdomen
c’est le muscle plus important pour la respiration
- d’autre muscles sont intervienne :
- les muscles intercostaux entre les côtes
- Les muscles abdominaux 
- Les muscles de cou.
- 4 physiologies respiratoires
Physiologie respiratoire :
 Généralités
Le cycle respiratoire se produit 15 à 16 fois/minute.
Il comprend trois phases :
Inspiration, expiration, pause.
 inspiration : 2 secondes en repos :
Est consécutive à la dilatation du thorax, créant une pression négative intra thoracique permettant
l’entrée de l’air extérieur dans les voies respiratoires.
Le processus de l’inspiration est actif, il requière une dépense d’énergie pour la contraction
musculaire (le diaphragme et les muscles intercostaux).
 expiration : trois secondes en repos :
Consécutive à la contraction du thorax engendrant une pression positive intra thoracique chassant
l’air alvéolaire vers l’extérieur.
Se processus est passif car il ne nécessite aucune dépense d’énergie.
Il est dû au retour passif de la cage thoracique et des poumons à leur volume primitif du faite de
leur élasticité.
Après l’expiration il se produit une pause avant que le cycle suivant des buts.
1) mécanisme nerveux des mouvements respiratoires  :
La respiration est un réflexe, le principal centre nerveux contrôlant la fréquence et l’amplitude de
la respiration se trouve dans le centre respiratoire de la protubérance annulaire et du bulbe
rachidien dans le tronc cérébral. (Voir cerveaux)
Les cellules de ce noyau sont sensibles à l’acidité du sang qui reflète les concentrations plus au
moins élevée de CO2 dans le plasma sanguin.
Lorsque l’acidité du sang est élevée, généralement à cause d’un exé de CO2, le centre respiratoire
stimule les muscles respiratoires pour augmenter leur activité.
Lorsque la concentration de CO2 est basse le rythme respiratoire ralentie.
N.B :
La volonté n’intervient que pour l’inspiration et l’expiration forcées.
La volonté peut intervenir pour accélérer le rythme respiratoire ou l’arrêter lors de la déglutition.
2) la ventilation pulmonaire :
C’est un phénomène respiratoire mécanique.
L’aire pénètre dans les poumons lorsque le diaphragme, augmente par sa contraction le volume de
la cage thoracique.
Cette action entraîne l’expansion du volume du poumon qui se remplisse d’air.
Lorsque le diaphragme se relâche, les poumons se rétractent grâce à leur élasticité et l’air est
expulsé.
Lorsqu’une grande quantité é d’oxygène est nécessaire, les muscles intercostaux interviennent,
élargissant encore la cage thoracique à fin de permettre une inhalation d’air plus importante.
Un adulte en conne santé peut inspirer de 3 ?30 à 4,90 litres d’air en une seule inspiration  mais au
repos seulement 5% du ce volume est utilisé.
La capacité pulmonaire totale peut être exprimée par la somme des quatre volumes suivants :
- le volume courant : V.t
C’est le volume mobilisé à chaque cycle inspiratoire pendant une respiration calme.
- le volume de réserve inspiratoire : V.R.I :
- le volume maximal qui peut être inspiré en plus du volume courant en inspiration profonde
maximale.
- - le volume de réserve expiratoire V.R.E :
Le volume maximal pouvant être expiré en plus du volume courant en expiration profonde
maximale.
- le volume résiduel V.R :
- c’est le volume d’air restant dans les poumons après une expiration profonde maximale.
3) transport des gaz :
Le transport d’O2 et de CO2 dans le sang est essentiel pour que la respiration interne se produise.
- l’oxygène :
Transporté dans le sang:
/ En combinaison avec l’hémoglobine c'est-à-dire l’oxyhémoglobine. Elle représente 98,5%.
D’oxygène du sang.
/ En solution dans l’eau plasmatique 1,5% de l’oxygène du sang.

- CO2 : c’est l’un des produit des déchets du métabolisme, il est rejeté par les poumons ; il est
transporté de trois façons :
. Sous forme d’ion bicarbonate dans le plasma il représente 70% du CO2 du sang.
. En solution dans le plasma 7%.
.dans les érythrocytes (globules rouges) carba-mino-hémoglobine il représente 23% du CO2 dans
le sang.
4) échanges gazeux au niveau des poumons : respiration externe :
il s’agit d’un échange du gaz par diffusion entre les alvéoles pulmonaires et le sang.
Dans l’air alvéolaire, l’oxygène a une pression partielle supérieure à celle du sang.
Ce rapport est inverse en ce qui concerne le gaz carbonique.
Ces conditions sont favorables à la diffusion de ces deux gazes de par et d’autre de la membrane
alvéolo-capilaire.
5) échange gazeux au niveau des cellules : respiration interne :
il s’agit d’un échange des gaz par diffusion entre le sang des capillaires et les cellules corporelles.
Le sang arrivant dans les tissus a une pression d’oxygène plus élevée et une pression de C O 2 plus
basse que dans les tissus.
L’oxygène du courant sanguin diffuse à travers la paroi des capillaires dans les tissus.
Le C O 2 diffuse des cellules vers le sang.

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