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LES SUBORDONNÉES CONJONCTIVES UTILISÉES EN FONCTION DE COMPLÉMENTS CIRCONSTANCIELS

= LA PROPOSITION SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE

DEFINITION

Si l’on voulait simplifier la grammaire, on pourrait dire que le verbe est le centre d’une proposition et qu’il a autour de
lui des noms et des adverbes. Autour des noms, il y a les adjectifs. Les autres catégories de mots sont du liant
(déterminants, prépositions, conjonctions, interjections).
Ex  : le chien jaune mange sa pâtée.
Dans le monde des compléments prépositionnels, certains remplacent un adjectif, d’autres un adverbe.
Ex : De jour en jour, le chien de mon voisin grogne contre son maître.
Dans le monde des subordonnées, pour faire simple, la subordonnée conjonctive complétive est l’équivalent d’un nom
(elle a une fonction de COD). La subordonnée relative est l’équivalent d’un adjectif (elle est une expansion du nom). La
subordonnée circonstancielle est l’équivalent d’un adverbe.
Ex  : A chaque fois qu’il mange, le chien qui est à mon voisin se demande s’il aura faim demain.
Subordonnée conjonctive circonstancielle, complément circonstanciel de « se demande » / « le chien », sujet de « se
demande »/ Subordonnée relative, complément de son antécédent « le chien »/ « s’il aura faim demain », subordonnée
conjonctive complétive interrogative indirecte.

La circonstance c’est étymologiquement « ce qui se trouve autour », dans une phrase, c’est ce qui se trouve autour du
fait marqué par le verbe (qu’on appelle en grammaire le procès, le prédicat). La circonstance peut être marquée par un
complément prépositionnel (introduit par une préposition) ou par une proposition subordonnée circonstancielle
(introduit par une conjonction de subordination) et dotée d’un verbe qui lui est propre.

On peut repérer la subordonnée circonstancielle par élimination : c’est une proposition subordonnée (donc ni
principale, ni indépendante) qui n’est ni relative ni complétive.
Dans la plupart des cas, elle est mobile, on peut la changer de place.
On pourrait distinguer les propositions subordonnées circonstancielles qu’on peut supprimer sans altérer grandement le
sens de la phrase, et celle qu’on ne peut pas supprimer. Certains parlent de complément essentiel/complément non-
essentiel de la phrase.
Sont mobiles les temporelles (quand), les causales (parce que), les finales (pour que), les concessives (bien que).
Pourtant la causale en puisque et la conditionnelle en si sont généralement antéposées. La consécutive et la
comparative ne sont pas mobiles.

La subordonnée peut soit faire partie du thème (information présupposée), soit du propos (nouvelle information
donnée) de la phrase.

Il y a 8 catégories de propositions subordonnées circonstancielles : temporelles, causales, finales, consécutives,


conditionnelles, concessives, comparatives. (On peut ajouter aussi l’addition outre que et l’exception sauf que)

Parfois, suivant la conjonction, on peut hésiter entre deux types de propositions circonstancielles.
La proposition peut faire l’économie de son verbe si le sujet de son verbe est le même que celui de la proposition
principale et aussi lorsque c’est le verbe être suivi d’un attribut, d’un participe ou d’un nom sans déterminant.
Ex  : Montaigne, bien qu’ami du roi, tente de rester diplomatiquement neutre. [bien qu’il soit l’ami du roi]
On peut distinguer trois catégories de subordonnées circonstancielles en fonction du mode verbal utilisé dans la
subordonnée (l’indicatif/le subjonctif) et aussi en fonction de sa construction (mobile/fixe).

LES CIRCONSTANCIELLES DECRIVANT UNE SITUATION

Le verbe de la subordonnée est à l’indicatif.

1
La subordonnée décrit littéralement les circonstances du fait principal, c’est-à-dire ce qui précède ou accompagne ce
fait.

Quand (pendant que, après que) : le temps du verbe précise le rapport chronologique entre la principale et la
subordonnée.
NB : après que se construit avec l’indicatif et non le subjonctif. Ex  : Après que j’ai lu Montaigne, mon regard sur le
monde a changé (et non après que j’aie lu°)
Ce peut être un rapport de simultanéité (pendant que, tandis que, comme, tant que, longtemps que, chaque fois, toutes
les fois que)
Ce peut être un rapport de succession (après que, dès que, aussitôt que, depuis que)

Parce que (du fait que), puisque  (vu que, attendu que, étant donné que, dès lors que, du moment que, comme) : elle
exprime les causes du fait principal, puisque est une cause admise pour justifier le fait présenté par le verbe principal.
Ex  : Puisque Montaigne est un écrivain humaniste, il doit lire le latin et le grec (puisque nous oblige à d’abord accepter
pour vraie l’information de la subordonnée)

Si  (hypothèse avec des valeurs de sens différentes)


elle a une syntaxe particulière. Cette conjonction peut avoir un emploi d’hypothèse, temporel de répétition (si = toutes
les fois que), concessif (il est vrai que… mais)
On ne trouve jamais le conditionnel après si.

 Si + présent/présent : phrase à valeur de vérité générale = toutes les fois que


Ex  : Si je lis une phrase de Montaigne, je suis perdu (toutes les fois que).
 Si + imparfait/imparfait : répétition dans le passé
Ex  : Si je lisais une phrase de Montaigne, j’étais perdu (toutes les fois que)
 Si + présent/futur : valeur de potentiel, hypothèse envisagée comme probable)
Ex  : Si je lis une phrase de Montaigne, je serai perdu.
 Si + imparfait/conditionnel présent (valeur d’irréel du présent, hypothèse envisagée comme contraire à l’état de
choses actuel)
Ex  : Si je lisais une phrase de Montaigne, je serais perdu.
 Si + passé composé/passé composé ou présent (hypothèse portant sur un fait passé hors de toute vérification
possible)
Ex  : Si j’ai lu une phrase de Montaigne, j’ai été perdu.
 Si + plus que parfait/conditionnel passé ou présent (valeur d’irréel du passé, hypothèse qui ne peut advenir, car
portant sur un fait passé qui ne s’est pas avéré).
Ex  : Si j’avais lu une phrase de Montaigne, j’aurais été perdu.
 Si + temps quelconque de l’indicatif/temps quelconque de l’indicatif (valeur d’opposition, on peut rajouter un
pourtant).
Ex  : Si une phrase de Montaigne me perd, elle me fascine pourtant.

La construction infinitive
Elle concerne après que et parce que qui devient pour.
Ex : Après avoir lu Montaigne, je suis devenu relativiste et sceptique.
Pour avoir lu Montaigne, je suis devenu relativiste et sceptique. (= Parce que j’ai lu Montaigne)

Le gérondif
Il est un mode verbal. Il est construit de la préposition en et de la forme en -ant du verbe.
Il faut que le sujet de la principale soit le même que celui de la subordonnée.
Ex  : En lisant l’essai «  Des Cannibales  », j’ai découvert la culture des Tupinambas.
Le gérondif peut avoir une valeur de circonstancielle de simultanéité temporelle, de cause ou de condition.

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La proposition participiale
Elle est formée d’un verbe au participe présent ou passé qui a un sujet exprimé.
Ex  : Les trois Indiens étant arrivés à Rouen, plus rien ne serait comme avant.
Elle peut parfois subir l’ellipse du verbe être, lorsque la forme verbale est composée.
Ex  : Les trois Indiens arrivés à Rouen, plus rien ne serait comme avant.
Elle peut avoir une valeur temporelle, causale ou conditionnelle.

LES CIRCONSTANCIELLES DECRIVANT UNE PERSPECTIVE

Le verbe de la subordonnée est au subjonctif. Le subjonctif est un mode verbal qui virtualise l’action marquée par le
verbe (par opposition à l’indicatif qui le rend actuel, qui le considère comme un fait). Le subjonctif marque une vue
subjective sur l’action.

1/ Par anticipation

Avant que (valeur d’antériorité)


Il peut être parfois accompagné d’un ne explétif
Ex  : Avant que je n’aie fini de lire les portraits de toute la cour d’Henri II dans La Princesse de Clèves, je dormais déjà.

Pour que, afin que (valeur de but positif)/ de peur que, de crainte que (valeur de but négatif)
Ex  : Mme de Clèves avoue à son mari sa passion pour qu’il la protège.
Ex  : Mme de Clèves avoue à son mari sa passion de crainte qu’il ne s’en aperçoive/ de crainte de succomber à sa passion)
Si le sujet de la subordonnée est le même que celui de la principale, il faut mettre l’infinitif.

Pourvu que, à moins que (valeur de conditionnelle)


Ex  : Mme de Clèves se sent sûre d’elle-même pourvu qu’elle ne montre rien à Nemours. (= seulement si elle ne montre
rien à Nemours)

2/ Par élimination

Sans que, non que, au lieu que (valeur de cause niée)


Elles opposent la réalité des faits à une perspective attendue.
Ex  : M. de Nemours vole le portrait de la princesse sans que le reste de la cause s’en aperçoive.
Ex  : M. de Nemours vole le portrait de la princesse, non qu’elle ne s’en soit pas aperçue.
Ex  : M. de Nemours vole le portrait, au lieu de le rendre (qu’il ne le rende)

Bien que, quoi que, encore que, malgré (que) (critiquée par les puristes) (concession)
Ce sont des subordonnées qui indiquent une polyphonie. Quelqu’un, quelque part, suppose un lien causal que le
locuteur de la phrase refuse.
Ex  : Bien que Mme de Clèves n’épouse pas Nemours, je ne la pense pas vertueuse
Attention ne pas confondre quoique = bien que et quoi que = quel que soit
Ex  : Quoique Mme de Clèves aime Nemours, elle ne l’épousera pas.
Ex  : Mme de Clèves n’épousera pas Nemours, quoi qu’il lui en coûte. (quel que soit le prix que ça lui coûte)
Le verbe peut disparaître lorsque la subordonnée construit un attribut.
Ex  : Quoiqu’amoureuse, elle ne l’épousera pas.
On peut aussi noter la construction quelque….. que et si…..que
Ex  : Quelque amoureuse qu’elle soit, elle ne l’épousera pas.
Ex  : Si amoureuse qu’elle soit, elle ne l’épousera pas.

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LES SYSTEMES CORRELATIFS

Dans le cas des systèmes corrélatifs, la subordonnée n’est pas mobile.

1/ Système comparatif

 Comparaison qualitative
Comme, ainsi que, de même que
Elle est souvent post-postée.
Elle met en relation deux éléments. Comme est l’outil de la figure rhétorique qu’est la comparaison.
Le point de comparaison peut être omis.
Ex  : Comme le feu brûle une forêt, la passion dévore le cœur de la princesse.
Ex  : La passion brûle comme le feu (brûle) le cœur de la princesse.
Il faudra donc opposer les constructions complètes des constructions elliptiques. Dans le cas d’une proposition
elliptique, comme fonctionne comme une préposition. Sinon, on parle de lui comme d’une conjonction.

 Comparaison quantitative
Plus que, davantage que, moins que, aussi (+adjectif) que, autant (+verbe) que.
Plus de, moins de, autant de (ici c’est un déterminant complexe et non une locution conjonctive)
Le verbe est souvent omis. On ne parle donc pas de subordonnée ici.
Ex  : La Princesse de Clèves aime plus Nemours que son mari/ La Princesse de Clèves aime plus Nemours qu’elle n’aime
son mari. On appelle ce qui vient après que, l’étalon de la comparaison (l’étalon, c’est le repère qui permet de mesurer)

 Constructions parallèles
Autant…autant  ; plus…plus  ; moins…moins  ; plus…moins, moins…plus
Cette construction exprime l’équivalence quantitative ou la variation proportionnelle.
Les deux éléments de la phrase ont leur propre mot introducteur, ici des adverbes.
Ex  : Plus Mme de Thémines le repousse, plus le Vidame l’aime.

2/ Système consécutif
Il exprime la conséquence dans un contexte d’évaluation marquant le haut degré, l’intensité.
Certains systèmes ont un corrélatif dans la proposition principale, d’autres non :

 Trop, assez, si, tant, tellement, assez de, trop de, tant de, tellement de, trop, assez, pour que.
Ex  : elle était trop amoureuse pour dominer parfaitement ses émotions.
Il y a un mot corrélé dans la principale. La subordonnée est postposée.
Voir si le verbe est au subjonctif ou à l’indicatif.

 Au point de, de manière à ce que, de telle sorte que


Ex  : elle était amoureuse au point de ne pas dominer parfaitement ses émotions.
Il n’y a pas de mot corrélé dans la principale. La subordonnée est postposée.
Voir si le verbe est au subjonctif ou à l’indicatif.

3/ Variante de circonstancielle de situation ou de perspective


Il y a bien une nuance de circonstance mais l’ordre des propositions est figé. Et l’on ressent un lien d’interdépendance
entre les deux membres de la phrase. La présence du que n’est pas le signe de la subordination « réelle » dans ce cas.
 Temporelle
La subordination inverse

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Ex  : elle n’avait pas dit trois mots qu’elle passa à l’aveu.
Même si «  elle passa à l’aveu  » est introduit par la conjonction que, la vraie circonstance est «  elle n’avait pas dit trois
mots  », l’information principale est «  elle passa à l’aveu  ». C’est un tour complexe qui inverse le rapport
subordonnée/principale. = Après ne pas avoir dit trois mots, elle passa à l’aveu.

 Causale
D’autant…que  ; d’autant plus… que.
Elles peuvent être séparées par une ponctuation forte, fonctionnent un peu comme des propositions coordonnées. La
subordonnée ajoute un argument supplémentaire.
Ex  : elle respectait M. de Clèves d’autant plus qu’il était mort.
Ex  : elle respectait M. de Clèves. D’autant plus qu’il était mort.

 Conditionnelle
On l’appelle construction en fausse parataxe, c’est-à-dire que les propositions donnent l’impression d’être juxtaposées
mais en fait elles sont dans un rapport de dépendance, de subordination invisible. La première proposition présente une
cause conditionnelle.
La première proposition peut avoir la forme d’une phrase interrogative totale avec inversion.
Ex  : Mme de Clèves était-elle triste (qu’) aussitôt son mari cherchait à la consoler.
Ou bien la première proposition a un verbe à l’impératif ou subjonctif.
Ex  : «  contez, dis-je, aux conquérants cette disparité, vous leur ôtez toute l’occasion de tant de victoires  » (EL 3)
Ou bien les deux propositions sont reliées par que. Les deux propositions ont des verbes au conditionnel.
Ex  : Mme de Clèves aurait voulu épouser Nemours qu’elle ne l’aurait pas pu.

 Finale
La première proposition est à l’impératif, la deuxième introduite par que est au subjonctif.
Ex  : Nemours dit à la princesse  : Relevez la tête, que je puisse voir vos beaux yeux.

METHODE
1. Repérez le nombre de verbes conjugués. Un verbe conjugué = une proposition.
2. Voyez s’il s’agit d’une proposition indépendante, juxtaposée, coordonnée, subordonnée.
3. S’il s’agit d’une proposition subordonnée, déterminez si elle est introduite par un pronom relatif ou une
conjonction de subordination (ou une locution conjonctive). Attention, ne vous trompez pas sur le « que ».
4. Si elle est introduite par une conjonction de subordination ou une locution conjonctive, voyez si cette
proposition subordonnée est complétive (COD du verbe principal) ou pas.
5. Si elle n’est pas complétive alors elle est circonstancielle. Analysez la nuance sémantique apportée par la
conjonction de subordination ou la locution conjonctive.
6. Voyez le mode et le temps du verbe de la subordonnée. Est-ce de l’indicatif ou du subjonctif ? Soit il s’agit d’une
subordonnée circonstancielle décrivant une situation (donc verbe à l’indicatif), soit il s’agit d’une subordonnée
circonstancielle décrivant une perspective (donc verbe au subjonctif). Précisez la nuance sémantique de la
circonstance exprimée. Dites la fonction de la subordonnée dans la principale (elle est CC de … du verbe de la
principale).
7. Voyez si vous pouvez supprimer la proposition subordonnée circonstancielle. Est-elle essentielle ou non-
essentielle au sens de la phrase ?
8. Voyez si vous pouvez déplacer la subordonnée ou pas. Si vous ne pouvez pas la déplacer, fait-elle partie d’un
système corrélatif ? Analysez ce système.
9. S’il y a un verbe conjugué, une expression de circonstance mais pas de conjonction de subordination, voyez s’il
ne s’agit pas d’une fausse parataxe.
10. Voyez s’il n’y a pas aussi de complément circonstanciel qui aurait dû être une subordonnée mais dont le sujet du
verbe aurait été le même que celui de la principale et qui donc a été simplifiée.

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LES PRINCIPALES CONJONCTIONS DE SUBORDINATION
(Quand elle est en deux éléments on parle de locution conjonctive)

À [un] tel point que (conséquence) ; Du fait que (cause) ;


À ce que (conséquence, but) ; Du moment que (temps, condition) ;
À condition que (condition) ; Durant que (temps) ;
À mesure que (manière) ; Étant donné que (cause) ;
À moins que (condition) ; En attendant que (temps) ;
À seule fin que (but) ; En cas que (condition) ;
Afin que (but) ; En sorte que (manière, conséquence) ;
Ainsi que (manière) ; Encore que (concession) ;
Alors que (opposition) ; Jusqu'à ce que (temps) ;
Après que (temps) ; Loin que (concession) ;
Attendu que (cause) ; Lorsque
Au cas où (condition) ; Lors même que (temps) ;
Au fur et à mesure que (manière) ; Même si (concession) ;
Au point que (conséquence) ; Mis à part le fait que (restriction) ;
Aussi bien que (manière) ; Où que (concession) ;
Aussitôt que (temps) ; Parce que (cause) ;
Autant que (condition) ; Pendant que (temps) ;
Avant que (temps) ; Pour peu que (condition) ;
Bien que (concession) ; Pour que (but) ;
Cependant que (temps, opposition) ; Pourvu que (condition) ;
C'est pourquoi (conséquence) ; Puisque (cause);
Comme (cause, conformité ou ressemblance, Quand
temps) ; Quand bien même que (concession) ;
Comme quoi (conséquence) ; Quelque...que (concession) ;
Comme si (manière) ; Quoique (concession) ;
Dans la mesure où (condition) ; Qui que (concession) ;
D'autant plus que (cause) ; Sans que (manière) ;
D'autant que (cause) ; Selon que (manière, condition) ;
De [telle] manière que (manière, conséquence, Sauf que (exception);
but) ; Si
De [telle] sorte que (manière, conséquence, Si bien que (conséquence) ;
but) ; Si ce n'est que (concession) ;
De crainte que (but) ; Si...que (concession) ;
De façon [à ce] que (manière, conséquence, Sitôt que (temps) ;
but) ; Suivant que (condition) ;
De même que (manière) ; Tandis que (temps) ;
De peur que (but) ; Tant que (temps) ;
Depuis que (temps) ; Tellement que (conséquence) ;
Dès [lors] que (temps) ; Tout...que (concession) ;
D'ici que (temps) ; Une fois que (temps) ;
Vu que (cause) ;

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