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CIRCONSTANCIELLE DE TEMPS
Viviana Omedes
Introduction 3
Le lien 5
L’emploie du mode 11
L’emploie du temps 12
Des remarques 13
Conclusion 15
Références bibliographiques 16
Introduction
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On va aborder le sujet de la proposition subordonnée. Celle-ci fait partie d’une phrase
complexe parce qu’il y a une structure phrastique qui contient comme constituant une
autre structure phrastique. Cela est possible grâce à la propriété de récursivité, c’est-à-
dire, on répète la même règle de construction à l’intérieur de cette règle de construction
que l’on vient de créer.
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La proposition subordonnée circonstancielle de temps (appelée aussi temporelle) répond
à la question introduite par l’adverbe interrogatif quand, de sorte qu’elle est utilisée
pour situer l’action dans le temps.
Dès que venaient les beaux jours, ils ouvraient les fenêtres (Zola, Madeleine Férat,
page 205)
Ils ouvraient les fenêtres dès que venaient les beaux jours
Dans ce cas, on voit que l’on peut supprimer la proposition subordonnée de temps sans
nuire au sens de la principale. Toutefois, la suppression de cette proposition
subordonnée au subjonctif peut modifier la portée de l’énoncé, par exemple, ce n’est pas
la même chose de dire :
Tu ne veux pas m’embrasser avant que je ne m’en aille ? (Zola, Madeleine Férat, page
396) on indique que tu ne veux pas m’embrasser à un moment précis
Elle fut prise d’une soudaine angoisse quand elle songea qu’elle aurait pu devenir
mère (Zola, Madeleine Férat, page 70) conjonction de subordination
Tu ne veux pas m’embrasser avant que je ne m’en aille? (Zola, Madeleine Férat,
page 396) locution conjonctive
Il arriva enfin à un âge où il sut quelle était sa faute (Zola, Madeleine Férat, page
96)
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de temps dans la proposition subordonnée et l’inversion du pronom personnel sujet,
surtout avec l’adverbe à peine. Dans ce corpus, on trouve la deuxième possibilité,
par exemple : À peine un léger assoupissement prenait-il sa chair lasse, qu’elle
croyait déjà tomber entre les bras de Jacques (Zola, Madeleine Férat, page 474)
4. Dans d’autres cas, la proposition subordonnée circonstancielle de temps peut se
rapporter à un substantif ou à un pronom pour marquer que la chose ou que la
personne est considérée à une certaine époque ou dans un certain état, par exemple :
Jamais je n’ai songé à cet homme, lorsque j’étais avec toi (Zola, Madeleine Férat,
page 474) indique l’époque
5. Derrière une indication de temps, la proposition circonstancielle de temps a
plusieurs emplois :
- Elle peut désigner qu’une époque quelconque tombe au-dedans de celle marquée
par la proposition circonstancielle de temps, par exemple :
Il y avait quelques mois alors que Madeleine et Guillaume étaient mariés (Zola,
Madeleine Férat, page 221) il y avait quelques mois est une époque qui
tombe au-dedans de l’époque de la proposition circonstancielle de temps alors
que Madeleine et Guillaume étaient mariés
Le lendemain, quand ils rentrèrent à Paris, les deux amants étaient si étourdis
de leur aventure, qu’ils oubliaient parfois de se tutoyer (Zola, Madeleine Férat,
page 117) la subordonnée introduite par quand marque le moment précis du
temps le lendemain
Le lien
La proposition circonstancielle de temps est reliée à la proposition principale à travers
des marqueurs de subordination qui sont variées de forme et de sens.
En ce qui concerne la forme, on distingue :
- Les conjonctions simples : quand, lorsque, comme. Il n’y a pas de différence de sens
entre les conjonctions quand et lorsque, mais lorsque est plus littéraire. Parfois, on
semble préférer lorsque derrière que afin d’éviter la cacophonie que produit la
combinaison que quand. Par exemple : J’avais juré de ne vous revoir que lorsque
j’aurais obtenu mon pardon (Zola, Les mystères de Marseille, page 810)
- Les locutions conjonctives qui peuvent être :
o une préposition + que : avant que, après que, dès que, depuis que
o un adverbe + que : aujourd’hui que, aussi longtemps que, aussitôt que, dès que,
désormais que, lorsque (on peut le classer parmi les conjonctions parce que le
degré de figement est totale), maintenant que, tandis que, tan que, sitôt que,
précédé d’une préposition (d’ici à ce que, d’ici que)
o un participe + que : durant que, pendant que, ou une participiale (cependant que)
o un gérondif+ que : en attendant que
o préposition (à/de) + N + que : à peine… que, à mesure que, au fur et à mesure
que, à présent que
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o un SN+ que : chaque fois que toutes les fois que, la première fois que.
En ce qui concerne le sens, les conjonctions et les locutions conjonctives sont précises
ou vagues. Celles qui sont précises, suffisent à traduire entre le procès de la principale et
le procès de la subordonnée, et celles qui sont vagues, marquent indistinctement la
simultanéité ou la postériorité. On va d’abord expliquer les conjonctions et les locutions
conjonctives qui sont précises :
Rapport de simultanéité
- tandis que, alors que, cependant que marquent une nuance d’opposition sur la
simultanéité, comme si deux actions chronologiquement parallèles se trouvaient
confrontées. Ce sont des locutions conjonctives synonymes, de sorte que l’on peut
remplacer l’une par l’autre, par exemple :
Elle avait senti le souvenir de cet homme s’éveiller confusément dans son être,
tandis que son amant lui parlait (Zola, Madeleine Férat, page 198)
Elle avait senti le souvenir de cet homme s’éveiller confusément dans son être, alors
que son amant lui parlait
Elle avait senti le souvenir de cet homme s’éveiller confusément dans son être,
cependant que son amant lui parlait
Pendant que les deux femmes causaient de la sorte, Guillaume et Tiburce s’étaient
retirés dans un petit salon voisin (Zola, Madeleine Férat, page 501)
- Tant que et aussi longtemps que sont deux locutions conjonctives synonymes qui
expriment une simultanéité conditionnelle. Le procès de la principale et celui de la
subordonnée ont exactement la même durée. On peut remplacer l’une par l’autre,
par exemple :
Tant que je n’ai eu qu’un amant, j’ai gardé mon orgueil (Zola, Madeleine Férat,
page 35)
Aussi longtemps que je n’ai eu qu’un amant, j’ai gardé mon orgueil
Nota bene : on peut se servir également de si longtemps que, mais moins souvent.
Si la proposition principale est négative, tant que peut remplacer avant que, par
exemple:
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Tu ne veux pas m’embrasser avant que je ne m’en aille? (Zola, Madeleine Férat,
page 396) Tu ne veux pas m’embrasser tant que je ne m’en aille ?
- chaque fois que et toutes les fois que sont deux locutions conjonctives synonymes
qui expriment la répétition, par exemple :
Chaque fois que Madeleine se penchait sur la couche de la petite malade, il croyait
voir une ombre se dresser au chevet de sa fille morte (Zola, Madeleine Férat, page
459)
Toutes les fois que Madeleine se penchait sur la couche de la petite malade, il
croyait voir une ombre se dresser au chevet de sa fille morte
- au fur et à mesure que et à mesure que sont deux locutions conjonctives synonymes
qui expriment l’idée de progression, par exemple :
À mesure que les semaines s’écoulaient, ils se sentaient plus lâches, plus incapables
de franchise et d’énergie (Zola, Madeleine Férat, page 482)
Au fur est à mesure que les semaines s’écoulaient, ils se sentaient plus lâches, plus
incapables de franchise et d’énergie
Il avait jadis été au collège en même temps que Guillaume (Zola, Madeleine Férat,
page 223)
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- Il y a une simultanéité partielle si l’une des propositions est à l’imparfait. Ce temps
marquera la situation telle qu’elle est au moment où s’accomplit l’action de l’autre
proposition, par exemple : Quand il se réveilla, il faisait nuit noire (Zola, Madeleine
Férat, page 330). Toutefois, la proposition temporelle peut aussi marquer un procès
inattendu qui interrompt la situation, par exemple : Il se retirait du pas chancelant
des hommes ivres lorsque le médecin le retint (Zola, Madeleine Férat, page 157).
Nota bene : pour marquer cette interruption, on peut intercaler soudain, tout à coup
derrière quand ou lorsque, par exemple : Il se retirait du pas chancelant des
hommes ivres lorsque, soudain / tout à coup, le médecin le retint
Rapport de postériorité
- dès que, aussitôt que (sitôt que), à peine…que, une fois que, du moment que (du
moment où) sont des locutions conjonctives synonymes qui marquent une
succession quasi-immédiate des procès, de sorte que l’on peut remplacer l’une par
l’autre, par exemple :
Dès que venaient les beaux jours, ils ouvraient les fenêtres (Zola, Madeleine Férat,
page 205) dès que appartient plutôt à la langue littéraire, et il indique le point de
départ
Aussitôt que venaient les beaux jours, ils ouvraient les fenêtres dans la langue
familière, on emploie sitôt que
Une fois que venaient les beaux jours, ils ouvraient les fenêtres
Du moment que venaient les beaux jours, ils ouvraient les fenêtres
La proposition introduite par dès que prend aussi une nuance de causalité ou de
condition, qui est assez marquée dans des cas comme :
Dès qu’il avait vu chanceler Lucie, il s’était mis lui-même à sangloter de honte et de
douleur (Zola, Madeleine Férat, page 328) la subordonnée a une nuance de
causalité
Dès qu’elle aurait arrêté une demeure, elle avertirait Guillaume (Zola, Madeleine
Férat, page 173) la subordonnée a une nuance de condition
Nota bene : à côté de dès que, on a aussi dès lors que, qui est peu fréquent et qui
présente les mêmes nuances que dès que
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- après que marque la succession des procès et se construit normalement avec
l’indicatif mais en recourant à un temps composé (passé composé ou antérieur, mais
le plus-que-parfait est exclu). Par exemple :
Il remonta, après que Philippe lui eut promis d’aller le rejoindre (Zola, Les
mystères de Marseille, page 716)
- depuis que s’emploie en parlant d’un fait accompli, et il indique le point de départ
d’un procès en même temps qu’il indique la durée de ce procès, par exemple :
Depuis que nous sommes là, je trouve que tu as raison (Zola, Madeleine Férat,
page 375)
Rapport d’antériorité
- avant que (ne) : cette locution peut être suivie d’un ne explétif qui n’a pas de valeur
négative. Il marque un registre soutenu et on peut le trouver dans deux contextes
différents : avec des verbes qui expriment la crainte ou avec la locution avant que,
par exemple :
Tu ne veux pas m’embrasser avant que je ne m’en aille ? (Zola, Madeleine Férat,
page 396)
En attendant que la bâtisse reprenne, c’est toujours de quoi ne pas mourir de faim
(Zola, L’inondation et autres nouvelles, page 103)
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Elle tourna autour de Madeleine jusqu’à ce qu’elle eût réussi à fourrer la main au
fond de la poche de sa jupe (Zola, Madeleine Férat, page 318) la locution jusqu’à
ce que est suivie d’un verbe au subjonctif parce qu’elle indique une idée incertitude
ou de but (réussir à la main au fond de la poche de sa jupe)
Dépendant d’une proposition négative, jusqu’à ce que équivaut à avant que, par
exemple : Il ne quitterait pas la porte de Blanche jusqu’à ce que le nouveau-né fût
emporté par la nourrice (Zola, Les mystères de Marseille, page 522) Il ne
quitterait pas la porte de Blanche avant que le nouveau-né fût emporté par la
nourrice
Cela dure jusqu’au moment où la police fait une descente et ferme le cercle (Zola,
Les mystères de Marseille, page 398) la locution jusqu’au moment où est suivie
d’un verbe à l’indicatif parce qu’elle insiste sur l’idée d’un fait réel (faire une
descente et fermer le cercle)
Nota bene : d’autres locutions plus précises, qui sont suivies de l’indicatif, peuvent
aussi servir à exprimer la même idée d’un fait réel : jusqu’à l’instant où, jusqu’à
l’heure où, jusqu’au jour où, jusqu’à l’époque où, etc.
Ensuite, on va expliquer les conjonctions et les locutions conjonctives qui sont vagues,
c’est-à-dire, celles qui marquent indistinctement la simultanéité ou la postériorité :
quand, lorsque, maintenant que, comme
Quand tu seras là, je sens que la Noiraude se trouvera toute peuplée (Zola,
Madeleine Férat, page 258)
Lorsque j’ai des cauchemars, ce sont mes souvenirs qui m’étouffent (Zola,
Madeleine Férat, page 447)
La paix de cette pièce lui semblait terrible, maintenant que l’épouvante battait dans
son cerveau avec un bruit assourdissant (Zola, Madeleine Férat, page 245)
Mais comme elle allait sortir, Guillaume entra (Zola, Madeleine Férat, page 409)
Nota bene : comme c’est à l’origine une expression de comparaison capable de se
doter de valeurs temporelles. Elle peut être remplacé par quand ou alors que, mais il
sert à insister sur la simultanéité, c’est-à-dire si quand équivaut à « dans le moment
où », comme correspond à « juste dans le moment où ».
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- Le procès de la principale est postérieur ou antérieur au procès de la
subordonnée. Dans ce cas, on voit une opposition entre une forme simple et une
forme composée. Par exemple :
Lorsque son père avait réussi à échapper au contact de ses mains, elle allait se jeter
en pleurant dans les bras de Madeleine (Zola, Madeleine Férat, page 455)
rapport de postériorité (plus-que-parfait + imparfait)
Maintenant que le fantôme de son premier amour s’était dressé, elle luttait corps à
corps avec lui (Zola, Madeleine Férat, page 198) rapport de postériorité (plus-
que-parfait + imparfait)
On emploie l’indicatif :
Tant que je n’ai eu qu’un amant, j’ai gardé mon orgueil (Zola, Madeleine Férat,
page 35)
Lorsque j’ai des cauchemars, ce sont mes souvenirs qui m’étouffent (Zola,
Madeleine Férat, page 447)
- après les locutions conjonctives jusqu’au moment où, jusqu’à l’instant où qui
actualisent un procès dans l’avenir :
Cela dure jusqu’au moment où la police fait une descente et ferme le cercle (Zola,
Les mystères de Marseille, page 398)
Tu ne veux pas m’embrasser avant que je ne m’en aille ? (Zola, Madeleine Férat, page
396) on utilise le subjonctif parce que le procès de la proposition subordonnée (s’en
aller) n’est pas encore réalisé et on n’est pas sûr qu’il se réalise
En attendant que la bâtisse reprenne, c’est toujours de quoi ne pas mourir de faim
(Zola, L’inondation et autres nouvelles, page 103) le procès de la proposition
subordonnée (reprendre) n’est pas encore réalisé, on n’est pas sûr que la bâtisse
reprenne
Il comprenait comme elle qu’il aurait sans doute pu la sauver de ses souvenirs, s’il
avait eu la vigueur de la traiter en maître, de la serrer dans ses bras jusqu’à ce qu’elle
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oubliât Jacques (Zola, Madeleine Férat, page 517) idée d’incertitude sur le procès de
la proposition subordonnée (oublier)
Les formes verbales ont le rôle de situer les procès dans une des époques de la durée
(passé, présent et futur) et de traduire le rapport chronologique indiqué par la
conjonction. Par exemple :
Tu m’as éveillée une fois, comme je m’abandonnais aux bras d’un songe (Zola,
Madeleine Férat, page 559) on situe les procès dans le passé et la conjonction
comme indique un rapport de simultanéité
Tu ne veux pas m’embrasser avant que je ne m’en aille ? (Zola, Madeleine Férat, page
396) on situe les procès dans le présent et la locution conjonctive avant que indique
un rapport d’antériorité
Lorsque l’on trouve le mode subjonctif dans les propositions subordonnées, l’emploi du
temps est fixé par les règles de la concordance :
C’était comme un poids fatal qui devait rester dans sa poitrine jusqu’à ce qu’elle en
mourût (Zola, Madeleine Férat, page 315) l’imparfait du subjonctif (mourût)
correspond à un verbe support à l’imparfait (devait)
Et, chaque soir, quand vous lisez, j’entends bien que vous vous adressez à moi
seule (Zola, Madeleine Férat, page 445)
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Lorsque Guillaume pouvait éviter le comte, il était presque heureux d’échapper à sa
caresse (Zola, Madeleine Férat, page 91)
Quand la jeune femme avait touché un objet, elle évitait de s’en servir, voulant montrer
par là qu’elle le considérait comme souillé (Zola, Madeleine Férat, page 440)
Pour insister sur la répétition du procès, on se sert de chaque fois que, mais on peut se
servir aussi de toutes les fois que (en langue parlée) ou de à chaque fois que (plus
littéraire est moins utilisé).
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En gardant leur sens temporel, les propositions circonstancielles de temps, surtout celles
introduites par quand ou lorsque, peuvent se rapprocher des propositions complétives
en tant que leur contenu est sujet, attribut ou régime du verbe support de la proposition
principale. Dans ce corpus, on trouve un exemple du dernier cas : Il demandait au Ciel
quand il pourrait se cacher et se reposer dans une affection suprême (Zola, Madeleine
Férat, page 99) la proposition subordonnée est régime du verbe support demander
Dans plusieurs cas, le sens des propositions circonstancielles de temps se rapproche de
celui d’autres propositions adverbiales. C’est pourquoi une proposition circonstancielle
de temps peut tenir lieu :
- d’une proposition causale, par exemple : Ne te sens-tu pas plus tranquille,
Madeleine, depuis que tu respires l’air glacé de cette chambre ? (Zola,
Madeleine Férat, page 361).
- d’une proposition conditionnelle, par exemple : Il la verrait quand il voudrait
(Zola, Madeleine Férat, page 172).
- d’une proposition concessive, par exemple : Pendant que les deux femmes
causaient de la sorte, Guillaume et Tiburce s’étaient retirés dans un petit salon
voisin (Zola, Madeleine Férat, page 501)
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Conclusion
À l’aide du roman Madeleine Férat d’Émile Zola et aussi de deux autres romans du
même auteur, L’inondation et Marseille et d’autres nouvelles, pour trouver plus
d’exemples, on a pu voir les propriétés de la proposition subordonnée circonstancielle
de temps en ce qui concerne les différentes manières de rattachement de cette type de
proposition subordonnée circonstancielle à son support, la forme et le sens des liens qui
permettent de relier cette proposition subordonnée à la proposition principale, la
remarque sur le mode et sur le temps selon le marqueur dont on va se servir, l’ensemble
de conjonctions ou de locutions conjonctives qui marquent un même rapport de temps
(simultanéité, postériorité ou antériorité) mais qui ont des nuances qui les différencient
et dont on doit tenir compte en dépendant de l’idée de temps que l’on veut transmettre.
On a vue également l’existence d’autres moyens grammaticaux pour exprimer ce
rapport de temps, et finalement on a mentionné quelques remarques de cette proposition
subordonnée pour préciser un peu plus dans l’explication.
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Bibliographie
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