Le concept est l'unification des données de la sensibilité. -> Phénomènes
Expérience + rationalité -> incomplète- Concept empirique : peut alors être en rapport avec un phénomène, un objet concret d'intuition. Concept Pur : forme de la pensée d'un objet en général et sont étudiés par la logique transcendantale. L'idée c'est la lisaison des différents concepts en une unité absolue. Idée subejective : Je trace un cercle au compas sur ma feuille et je définis la notion de cercle sur ce qui est alors là. --> Manque de réalité substantielle Idée objective : Je définie un cercle comme étant "Le cercle de centre M et de rayon r est l'ensemble des points du plan à distance r de M." -> Plus réel que la réalité même, est a priori. L'idéal est "encore plus éloigné de la réalité objective que l'idée" (Ex : Sagesse : idée ; Sage : idéal). Système -> ensemble ordonné de connaissances, rassemblant «l'unité du divers de la connaissance sous une idée» La connaissance = (intuition + concept) ∈ Expérience Sensiblité U entendement ( la synthèse de la sensibilité et de l'entendement) La pensée = (intuition + notion) ∉ Expérience Source d'illusion, pas forcément de rapport direct avec des phénomènes La sensibilité (réceptivité) est la faculté qui donne le divers, sans liaison, dans l'espace et le temps. L'Esthétique : science des règles de la sensibilité --> Donne des intuitions. L'entendement : La faculté des règles et des concepts qui permet d’ordonner les données sensibles en leur appliquant des catégories. En unifiant le divers, l’entendement rend les phénomènes scientifiquement connaissables. --> Donne des concepts. Il fait du tri. La raison : La faculté des principes et des idées qui permet de spéculer sur ce qui n’est pas donné mais sans aboutir à des certitudes de nature scientifique. --> Donne des idées. Les intuitions : Empiriques lorsque la représentation contient une sensation. Pures lorsqu'elles sont liées à aucune sensation (a priori). ex : Espace et temps Transcendental : «toute connaissance qui ne porte pas sur les objets mais sur notre manière de les connaîtres a priori» (Critique de la Raison Pure) : Deux choses chez Kant : Toutes les conditions de possibilités de savoir scientifique (Ex : Les formes de la sensibilité, les catégories de l'entendement, le sujet ...). Toutes études de ces conditions de possibilités. (Cf. AK, III, 78 (p.122) Critique de la Raison Pure) Jugements : mise en relation d'un prédicat et d'un sujet -->"le chien est beau" la beauté comme prédicat, c'est un concept et le chien est une intuition, je le perçois par mes sens. Analytique : Il n'y a que le prédicat (ce qui est affirmé par rapport au sujet) dans le sujet. Sujet = prédicat. Synthétique : Rajoue de connaissance au-delà de son expérience propre. ex: L'eau ça mouille. L'Esthétique transcendentale : {principes a priori de la sensibilité} L'espace : C'est la forme sous laquelle des objets extérieurs m'affectent. Le temps : C'est la forme sous laquelle je m'affecte moi même -> penser l'affection de soi par soi. L'a priori : Est a priori ce qui peut-être prouvée sans référence aucune à l'expérience. "Connaissance a priori" : Porte sur des éléments dont l'un n'est connu que par l'expérience "Connaissance pures a priori" : Contient aucun élément empirique, venu de l'expérience) Ex : Le temps et l'espace Définition et distinction que donne Kant de cette notion : (Critique de la raison pure, Introduction, I) «Nous entendrons donc en ce qui suit par connaissances a priori, non celles qui ont lieu indépendamment de telle ou telle expérience, mais celles qui sont absolument indépendantes de toute expérience. Leur sont opposées les connaissances empiriques, ou celles qui ne sont possibles qu'a posteriori, c’est-à-dire par expérience. Mais parmi les connaissances a priori, on appelle pures celles auxquelles rien d’empirique n’est mélangé. Ainsi, par exemple, la proposition : Tout changement a sa cause, est une proposition a priori, mais non pure, parce que le changement est un concept qui ne peut être tiré que de l’expérience.» Expérience : Rapport conceptuel à des ojets situés dans l'espace et dans le temps. Exposition : "J'entends par exposition, la représentation claire (quoique non détaillée) de ce qui apartient à un concept". Elle est métaphysique lorsqu'elle montre le concept comme étant a priori Et transcendantale lorsqu'elle montre que le concept est une condition de possibilité d'autres connaissances synthétiques. La logique : C'est la science des règles de l'entendement, elle étudie comment un objet est pensé. Un Canon : "J'entends par canon l'ensemble des principes a priori du légitime usage de certaines facultés de connaître en général." Organon : Étude de la constitution des connaissances scientifiques. Déduction : "démontrer le droit ou la légitimité d'une prétention" p.158 Diff Deduction empirique et Transcendantale : "J’appelle donc l’explication de la manière dont ces concepts peuvent se rapporter a priori à ces objets leur déduction transcendantale et je la distingue de la déduction epirique, qui montre de quelle manière un concept a été acquis par l'expérience et la réflexion sur celle-ci, et qui ne concerne donc pas la légitimité, mais le fait, d’où résulte la possession"(p.149) Catégories : Formes de la pensée sevant à transformer en connaissances des intuitions données --> outil de l'entendement pour classer les intuitions. L'Aperception : le fait d'apercevoir immédiatement une représentation dans sa pensée. "La conscience de moi-même (l'aperception) est la simple représentation du moi" (p.114). Empirique : Conscience psychologique des pensées que j'ai. Pure = Transcendantale : Aperception originaire, indépendantale, condition de possibilité d'expérience. Représentation : Sans conscience Soit "la représentation est impossible" ; elle n'existe pas Soit "elle ne serait rien pour moi" --> inconsciente. Le comateu voit sans voire, sent sans sentir. Il a un "intuition", il est affecté, mais il n'en a pas conscience. Avec conscience : Sensation si elle est subjective, si elle m'affecte. Perception si elle est objective. Schème : C'est une opération, une méthode, un principe de construction général de l'image et ¬ image.