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Nous remercions le Dieu tout puissant, le créateur incréé de toute chose sur la terre
et dans les cieux de nous avoir donné le souffle de vie pour bien acheminer notre stage.
Notre stage n’aurai aucun sens, ou profondeur sans contribution de tous les
personnels de la Société Nationale de Chemin de Fer du Congo (SNCC), à titre de :
Ainsi qu’à tous les personnels de l’atelier de la traction électrique (ATTE) nous les
disons énormément merci.
1
INTRODUCTION
Ainsi en mettant l’étudiant en contact avec les réalités professionnel, ce stage lui
rend directement utilisables et ce stage est l’occasion pour tout finaliste du deuxième cycle
d’éveiller sa conscience par rapport aux problèmes professionnels au sein de l’entreprise.
C'est pourquoi pour concilier la théorie à la pratique, tout est étudiant finaliste au
premier et deuxième cycle doit matérialiser la théorie apprise lors de sa formation ou carrière.
Le but de ce stage est d'aider l'étudiant à avoir une initiation et s'assimiler dans sa
profession
et aussi de marier la formation théorique avec certaines réalités professionnelle pour
une bonne expérimentation dans sa carrière d'ingénierie.
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CHAPITRE.I. PRESENTATION ET L’HISTORIQUE DE LA SOCIETE
NATIONALE DES CHEMINS DE FER DU CONGO « SNCC »
La société nationale des chemins de fer du Congo est une entreprise publique de la
république démocratique du Congo, active essentiellement dans l’est et le sud du pays. Elle est
basée à Lubumbashi dans la province du haut Katanga, active dans l’exploitation des chemins
de fer mais aussi dans le transport fluvial, routier et l’exploitation de ports. Autrefois dénommée
SNCZ (société nationale des chemins de fer zaïrois) inauguré en 1898 sous le régime de
Léopold II, roi de belge.
I.2. Historique
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HENRI STANLEY, disait sans le chemin de fer <<le Congo ne vaut pas un penny
>> Le Congo a inauguré son chemin de fer en 1898 sous le régime de Léopold II, Roi de belge
en 1902 a été créée la Compagnie des Chemin de fer du Katanga (C.F.K).
La SNCC poursuit :
Pour mieux atteindre ses objectifs, toutes entreprises doivent réunir les principaux
facteurs de production qui sont :
• Les humains ;
• Le capital ;
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• Les matériels ;
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Organigramme
I.5. Structure de la division traction électrique
Ce service est dirigé par Monsieur MANDE, il s’occupe du contrôle des matériels
ainsi que les conditions de travail des employés.
2. Service d’ordonnancement
Ce service est dirigé par Monsieur LEWA DIAMUTEL, s’occupe de la
programmation des locomotives pour les entretiens, visites et d’autres grands travaux sur les
organes tels que les bogies, etc.
6. Service de production
Ce service est dirigé par Monsieur MUKANJILA, s’occupe de la main d’œuvres de
la division.
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Trains des roues ;
Pièces de la machine de la manutention sur le lieu du travail, etc.
Sous contrôle de Monsieur NKULU, il s’occupe des visites et entretien des HLES
pour des heures ou un jour selon la nature de l’opération et est divisé en deux sections :
• Section entretien et visite ligne ;
• Section visite locomotive ;
Comme leurs noms l’indiquent, il s’agit des sections dont le rôle est de visiter les
engins en service et de déceler les avaries qui empêchent la bonne marche des machines afin
d’y apporter des remèdes appropriés, d’où l’importance de la section entretien.
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Les visites périodiques différentes entre elles par les travaux qu’elles comportent
et par leur espacement.
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CHAPITRE.II. GENERALITES SUR LA TRACTION ELECTRIQUE
II.2. Rôle
Son rôle est de tracter ou déplacer les voitures des voyageurs et wagons des
marchandises ou autre produit ferroviaire d’un point à un autre ou d’une ville à une autre.
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Les locomotives Diesel qui utilisent le combustible liquide (gasoil) pour
produire du travail ;
Le mode de transformation d’énergie électrique en énergie mécanique, ici on
retrouve :
Les locomotives électriques qui utilisent l’énergie électrique (courant
électrique) pour produire du travail ;
II.4. Locomotive électrique
Une locomotive électrique est une voiture ferroviaire qui fonctionne avec l’énergie
électrique, elle reçoit cette énergie de l’extérieure sous forme du courant électrique partant du
caténaire au-dessus de la voie, ou d’un troisième rail au sol et le retour de courant se fait par les
rails de la voie. L’alimentation est en courant alternatif et à une grande tension de 25KV.
Une locomotive électrique peut être alimentée par un seul type de courant dite
mono-courant ou par plusieurs types des courants dites polycourant et le plus souvent, c’est
bicourant ou tricourant.
Courant continu : on utilise le transformateur et convertisseur pour alimenter
le moteur de traction série ;
Courant alternatif : les moteurs «électriques installés sont des moteurs
asynchrones triphasés ou synchrone à aiment permanents ;
Les systèmes ferroviaires le plus moderne n’utilisent que source à courant alternatif
à une fréquence industrielle.
Le circuit haute tension passe par les contacts du disjoncteur principal dont les
bornes à haute tension sont situées au-dessus de la toiture, et pénètre dans la locomotive par les
bornes haute tension du transformateur HT (alimentant les armoires, self de lissage, les circuits
auxiliaires et les moteurs de traction).
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Après avoir parcouru l’enroulement de l’autotransformateur haut tension, le
courant retourne au travers les rails par la masse de la locomotive. Sur la borne d’entrée et sur
la borne de sortie de l’enroulement haute tension deux transformateurs principaux sont
branchés ; transformateurs d’intensité pour l’alimentation de la protection différentielle, qui
alimentent simultanément les relais à maxima de courant haute tension, le relais pour la
protection différentielle.
La figure ci-dessous montre le schéma de fonctionnement d’une locomotive
électrique.
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Pantographe
Transformateur abaisseur
Rail
Armoire redresseur AC/DC
Bobine de lissage pour filtrer la tension
Moteur de traction
Rail
M
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a. La caisse métallique
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b. Le pantographe
1. Fonctionnement du pantographe
Sur l’archet sont fixées des bandes de carbone (carbone à haute intensité) et qui font
office de frotté sur la ligne caténaire et permettent de capter l’énergie électrique. Ces bandes
peuvent être montées de façon rigide sur l’archet.
Afin de maintenir une pression la plus constante possible des bandes de carbone sur
la caténaire, un système d’amortissement est implanté sur le pantographe. Cet amortissement
utilise des ressorts mécaniques avec les vérins pneumatiques.
a. Le disjoncteur
b. Le transformateur
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pour le fonctionnement des moteurs des tractions donc d’une tension de 25KV à une tension de
12KV.
c. Le redresseur
Il a pour but de rendre continue l’énergie provenant du secondaire du
transformateur. f. Moteur de traction
Il y a deux types de moteurs :
moteur série à quatre pôles qui transforment la puissance électrique en
puissance mécanique pour la propulsion des locomotives ;
moteur combinait qui as six pôles, c’est un moteur tellement puissant par
rapport à l’autre, il transforme aussi la puissance électrique en puissance
mécanique pour la propulsion des locomotives ;
d. arbre du moteur
e. Le pignon
C’est une petite roue dentée placée à l’extrémité de l’arbre du moteur de traction.
Et il a comme rôle de recevoir l’énergie mécanique provenant de l’arbre du moteur et de la
transmettre à la couronne dentée.
f. La couronne dentée
g. Le train de roue
Ce l’ensemble de deux roues reliées par un essieu et qui sont munis des boudins
pour la bonne conduite de la locomotive sur les rails, la saillie du boudin par rapport au cercle
de roulement ne doit pas être inférieur à 25 mm, ni supérieur à 36 mm
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Et il a pour rôle de recevoir l’énergie mécanique provenant de la couronne dentée
pour faire déplacer le bogie, et comme les bogies sont solidaires à la caisse métallique, leur
déplacement entraine aussi la caisse et par le déplacement de la caisse on dit que la locomotive
tracte. Donc son rôle est de faire déplacer la locomotive.
h. Le bogie
Outre son rôle de liaison entre les essieux et la caisse, le bogie assure les rôles de
freinage, d’interface entre la signalisation sur la voie et la caisse, de suspension de l’ensemble
du train. Chaque véhicule (locomotive et wagon) possède ses propres bogies :
Locomotive série 31100 possède trois bogie ;
Locomotive HITACHI, possède deux bogies ;
Les wagons possèdent souvent deux bogies en dehors des wagons qui
transportent de charges lourdes où l’on peut compter plusieurs essieux.
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Les moteurs de traction étant en série à courant continu ; d’où possibilité
d’emballement à vide
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CHAPITRE TROISIEME. TRAVAUX EFFECTUE
La manette d’inversion ne peut être retirée que dans la position zéro et dans cette
position, elle déverrouille au zéro la manette principale de mise en marche de la machine ;
La manette d’inversion ne peut être manœuvrée que lorsque la manette principale
est en dehors de la position zéro.
Normalement le freinage est réalisé par l’air déprimé qui commande les sabots sur
les bandages des trains des roues à chaque bogie. Dans le cas où la locomotive se comporte
comme un sous wagon, elle intervient en outre pour fournir de l’air déprimé par les groupes
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compresseurs ou crée un vide nécessaire à la commande à distance du frein mécanique. Celleci
s’effectue pour le réglage de la pression de l’air déprimé ou création du vide dans les conduites
interconnecté à travers tout le bogie.
Le frein mécanique est couteux, mais assure les sabots et les bandages, et ce frein
est dangereux lorsqu’il est mal commandé ; par effet de la diminution de la vitesse, l’effort de
frottement des sabots sur les bandages augmente et risque de dépassé l’effort d’adhérence de la
roue sur le rail.
Si le serrage de sabots est maintenu, la roue peut s’immobiliser. A ce moment, le train n’est
plus suffisamment retenu.
2. Freinage électrique
A toutes les vitesses par l’enfoncement d’un des boutons poussoirs pour éliminer les
actions du dispositif d’homme mort placé aux extrémités des postes de conduite, à
condition que la manette principale du manipulateur reste vide. Le conducteur peut ainsi
pendant la marche en dérive lâcher la pédale du dispositif d’homme mort, pour se
pencher à la fenêtre et observer le train ;
Automatique par un contact du teloc à 60Km h et enregistre la vitesse de la
locomotive, le freinage, l’heure, le déplacement des wagons en ayant une bande à
l’intérieur
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NB : ce Teloc est l’élément le plus important lors du déraillement car c’est celui qui détermine
la cause du déraillement, c’est comme le cas d’un crache de l’Avion on recoure à la boite
noire.
III.4. Le pantographe
Figure 4 : le pantographe
Le pantographe est un équipement qui a pour rôle de capter le courant de la ligne caténaire et
de le transmettre à la locomotive.
• Parties du pantographe :
Piston ;
Cylindre ;
Bras supérieur ;
Bras inférieur ;
Ressort abaisseur et élévateur ;
Frotteurs à la position horizontale ;
Les lames ;
Vis de réglage ;
Bielle de conjugaison ;
Valve d’échappement rapide ;
• Condition de fonctionnement du panto
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Le panto doit se lever lentement afin de ne pas rebondir contre le de contact
(danger de formation d’arc) ;
L’air comprimé devra donc entrer dans le cylindre à une ouverture calibrée ;
L’abaissement devra s’exécuter en deux phases :
1ere phase : la chute du panto doit être amortie en fin d’éviter le rebondissement
sur les supports et atténuer les chocs sur la toiture.
2e phase : un échappement rapide de l’air du cylindre devra provoquer une
rupture brutale avec le fil caténaire.
III.5. Section pneumatique
1. Le compresseur
Un compresseur est définie comme étant une machine qui a pour fonction d’élevé
du fluide compressible qui le traverse. Son nom traduit le fait que le fluide se comprime (son
volume diminue) au fur et à mesure de l’augmentation de pression. L’élévation de pression d’un
gaz pour un compresseur est utilisé pour atteindre un niveau de pression déterminé par des
processus tels que :
Les réactions chimique (pression convenable le catalyseur) ;
Le stockage dans la cavité ;
Les cycles de réfrigérant ;
La liquéfaction ou la séparation ;
L’alimentation des réseaux d’air comprimé…etc.
L’air comprimé nous permet d’effectuer plusieurs opérations sur une locomotive
notamment :
Freine la locomotive
Commander le Disjoncteur HT
Commander les armoires pneumatiques
Faire monter les pantographes
Commander certaine électrovanne
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2. Fonctionnement
Le compresseur à vis sans fin permet d’alimenter en air comprimé toutes les
sections de l’atelier traction électrique, et le groupe compresseur est utilisée sur la HLE 2600
ce pendant sur la 3102 la pompe à vide et le compresseur sont séparé.
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TRAVAIL DEMANDE
1. La pompe à vide
Afin de bien comprendre comment marche une pompe à vide, il est important de
comprendre avant tout à quoi cela sert. Les pompes à vide servent à créer, améliorer ou
maintenir le vide et elle doit être capable :
a. Définition
Une pompe à vide est un dispositif permettant d’améliorer ou de maintenir le vide.
C’est donc une machine capable d’extraire des molécules gazeuses d’un réservoir pour les
évacuer soit dans l’air ambiant, soit dans un autre réservoir selon la norme NF X 10-501.
b. Principe de fonctionnement
1. Le gaz entrant par l’orifice d’aspiration est acheminé dans le carter de la turbine via AB
et emprisonné dans l’espace entre deux pales de la turbine.
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2. Lorsque la roue tourne de manière excentrée par rapport au carter et à l’anneau liquide
— le volume entre les aubes augmente à nouveau et crée ainsi une dépression.
3. Au fur et à mesure que le cycle progresse vers l’orifice de décharge, le volume diminue
car l’anneau liquide crée à ce stade, une compression.
Cette compression se poursuit jusqu’à ce que le gaz soit évacué par l’orifice de
décharge CD.
Une petite quantité de liquide de service est évacuée avec le gaz, il est donc
nécessaire d’en fournir en continu pour garantir l’étanchéité entre les différentes zones entre les
pales de la turbine.
I = phase d’aspiration
II = phase de compression
Toutes les pompes à vide peuvent être caractérisées par des grandeurs mesurables
dont les principales sont :
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a. Avantage :
En cas de panne de la pompe à vide électrique, les effets suivants peuvent survenir :
Dépression trop faible dans le servomoteur ;
Performance de freinage insuffisante ;
Pédale de frein devenant très dure au freinage ;
Allumage du témoin (dépend du système).
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Fonctionnement d’une pompe à vis
Ces vis créent un espace en se chevauchant à l’aide d’une rotation opposée. C’est par ce
mouvement que l’élément visé que ce soit un liquide, ou gaz, est déplacé par aspiration jusqu’à
l’orifice de refoulement ; Ce qui crée du vide. Le corps est constitué d’une double paroi pour
assurer le refroidissement de la pompe.
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Avantages pompes à bec
Les pompes à bec disposent de nombreux avantages dont notamment fonctionnement à sec sans
contact, il n’y a pas d’huile, bonne vitesse de pompage sans lubrification et sans contact sécurité
et fiabilité.
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Fonctionnement pompes à canal latéral
En principe de fonctionnement des turbines, est assez simple : un ventilateur équipé de petites
ailettes tourne à l’intérieur d’un stator. La force centrifuge et la rotation créent de petits
tourbillons d’air qui sont entrainés par les ailettes depuis l’aspiration vers l’échappement.
DIFFICULTES DE LA SNCC
La société nationale des chemins de fer du Congo est aujourd’hui confrontée à des difficultés
de trois ordres :
1) Technique
a) Matériel :
L’absence des locomotives électriques de ligne et manœuvre
(matériel traction), car aujourd’hui nous avons que deux
locomotives ;
Le manque d’entretiens des wagons, des voitures à voyageurs et le
manque des révisions des machines.
Tellement les difficultés de la voie ferrée et de la caténaire sont énormes, elles paralysent tout
le mécanisme de fonctionnement, de gestion, d’exploitation de la SNCC à cause de faiblesse :
Détérioration de rail, des traverses et une absence totale d’équipement d’outillage, des pièces
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de rechange, des matériaux pour le ballastage ainsi que de l’entretien qui rendent plus ardus les
travaux de la voie et des caténaires ;
Une insuffisance totale constatée des moyens techniques (la société ne dispose ni d’un
stock permanent suffisant des matériels de voie, ni de caténaire).
2) Environnemental
L’état de vol (des caténaires et rails, etc.) dans lequel est placée la société constitue un facteur
très négatif pour les affaires de la SNCC.
3) Financier
Les différents problèmes financiers de la SNCC actuelle trouvent leur origine dans :
L’absence de financements extérieurs avec corolaire le manque des pièces de rechange,
les effectifs de personnes travailleurs tellement réduit, difficulté de la soustraitante, de
gravitaires les pièces de rechange, la société ne paye presque pas et n’est plus à mesure
d’engager les employés, baisse de certains trafics, et cette société rencontre également
d’énormes problèmes dans la formation de son personnel par manque de matériel
pédagogique et des équipements.
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SUGGESTION
Durant toute la période de notre stage, nous avons constaté des avancées
significatives dans les installations de l’atelier de la traction électrique, que nous saluons.
Que la société songe au remaniement de ces personnels car la plus par on déjà atteint
l’âge de la pension, et l’importance du remaniement des personnels compte plus afin de garantir
la production et le rendement, tel est notre devise.
Nous suggérons à la société nation de chemin de fer du Congo de revoir un peu les
conditions d’admissions des stagiaires au sein de ces installations, car il suffit de lire le permis
de stage pour se rendre compte que les stagiaires en venant à la société nation de chemin de fer
du Congo ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes en cas d’accidents, pendant qu’en étant en
stage ce dernier rend des services à la société. On dirait que le concepteur de ces conditions n’a
aucune considération humaine pour la personne des stagiaires, ce qui fait qu’après avoir lu les
conditions de passation du stage à la société nation de chemin de fer du Congo, le stagiaire n’a
aucune motivation pour s’épanouir convenablement.
Ces conditions constituent la première et grande barrière qu’il faut franchir pour
être formé aux seins des installations de la société nation de chemin de fer du Congo en toute
quiétude.
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CONCLUSION
En effet notre stage a été très bénéfique à l’égard de vivre les réalités
professionnelles, mais aussi d’avoir une vision objective et réaliste du fonctionnement de la
locomotive électrique en conciliant les connaissances théoriques acquises à la pratique.
Quant aux objectifs, nous dirons le coron est atteint et nous sommes fières d’avoir
pleinement concilié les théories apprises dans le domaine d’ingénieur technicien avec la
pratique industrielle du métier d’ingénieur électromécanicien dans les milieux professionnels.
Nous ne saurions clore ce présent rapport sans exprimer encore une fois nos
profondes gratitudes aux Directeurs et différents chefs de services pour leurs parts actives à
notre formation, que cet acte ne se limite pas seulement à nous mais à toute la génération avenir.
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TABLE DES MATIERES
AVANT PROPOS....................................................................................................................................1
INTRODUCTION ...................................................................................................................................2
Organigramme .....................................................................................................................................6
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CHAPITRE TROISIEME. TRAVAUX EFFECTUE ............................................................................19
a. Définition...........................................................................................................................................24
a. Avantage : ..........................................................................................................................................26
b. Inconvénients......................................................................................................................................26
DIFFICULTES DE LA SNCC...............................................................................................................29
SUGGESTION.......................................................................................................................................31
CONCLUSION ......................................................................................................................................32
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