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BANQUE DE QCMs
BANQUE DE QCMs

Médecine légale
QCMs de la faculté de médecine d’Oran

2020 -2021
BANQUE DE QCMs 1

Médecine légale

QCMs de la faculté de médecine d’Oran

Questions rassemblées et triées par cours à partir des sujets de


2013 à 2020

2020 -2021

-23/01/2021-
Préface

2
Voici le résultat du travail d’un groupe d’étudiants en 6 ème année
médecine 2020 -2021, lors de notre préparation de module « Médecine
légale ». À fin d’unifier les efforts et le travail collectif entre nous. C’est
grâce au dévouement de chacque membre du groupe, et à la richesse de
leurs personnalité, que ce travail a été possible.
Je ne peux qu’être impressionné par ce que nous pouvons réaliser grâce
à « l’entraide », et la « coopération »

Travaillons ensemble et vivons ensemble…

Merci…

"‫"وتعاونوا على الب ّر والتّقوى وال تعاونوا على اإلثم والعدوان‬


"‫"زكاة ال ِعل ِم نش ُره‬
Index
Les domaines de la médecine légale 04

La levée du corps 05

Le diagnostic de la mort 08

Les règles de la rédaction du certificat de décès 19

La mort subite 21
3
Les blessures en médecine légale 22

Les violences sexuelles 23

Les asphyxies mécaniques 24

Les blessures par arme à feu 29

L’infanticide 31

La maltraitance envers les enfants 33

L’avortement criminel et ITG 34

L’intoxication au monoxyde de carbone 35

Examen de TD 37
Les domaines de la médecine légale.
La médecine légale s’intéresse aux :
A. Problèmes judiciaire sous-tendus de problème scientifique.
B. Problèmes scientifiques sous-tendus de problèmes judiciaires.
C. Problèmes médico-légaux.
D. Problèmes sociologique sous-tendus de problèmes judiciaires.
E. Problèmes d’éthiques.
Réponse :

4
La levée du corps
1. Mort cérébrale : RJ
A. Sujet déclaré décédé.
B. Réponse possible après une stimulation douloureuse importante.
C. Réapparition de la respiration après une ventilation de 4 h.
D. Cerveau maintenu en vie.
Réponse : A
2. Les lividités : RF
A. Apparaissent entre 2-5h
B. Apparaissent au niveau du dos chez un sujet en décubitus dorsal 5
C. De coloration verte au niveau de l’abdomen
D. S’effacent à l’eau
Réponse : C
3. Le signe le plus évocateur dans le diagnostic tardif de la mort : RJ
A. Refroidissement.
B. Tache verte abdominale.
C. Lividités et rigidités cadavériques.
D. Déshydratation.
Réponse : B
4. La rigidité cadavérique : RJ
A. Ne se produit qu’aux membres inférieurs.
B. Ne se produit qu’aux membres supérieurs.
C. Disparait aux environs de 36-48h après la mort.
D. Est indépendante de la masse musculaire.
E. Est fonction de stature de l’individu.
Réponse : C
5. Un corps froid, rigide, avec des lividités qui ne s’effacent pas à la pression est
mort depuis environ : RJ
A. 2h-6h
B. 8h-12h
C. 12h-24h
D. 24h-36h
E. Au-delà de 48h
Réponse : D
6. Pour estimer l’heure de la mort, le médecin légiste utilise : RF
A. La température du corps
B. La rigidité cadavérique
C. L’état des lividités
D. L’opacification de la cornée
E. La tache verte abdominale
Réponse : D
7. Parmi les signes suivants, quel est celui qui est obligatoirement présent pour
qu’un suet puisse être déclaré en coma dépassé : RJ
A. Rigidité cadavérique.
B. Arrêt de la fonction cardiaque.
C. 02 EEG nuls, aréactifs (pendant 30 min espacés de 4h).
D. Lividités cadavériques.
Réponse : D
8. La tache verte abdominale est : RJ
A. Un signe précoce de la mort.
B. Un des éléments permettant d’approcher la date de la mort.
C. Un élément permettant le diagnostic de la cause de la mort.
D. Un élément permettant de dire qu’un cadavre a été manipulé.
Réponse : B
9. Un sujet en coma dépassé : RJ
a. Garde une survie des fonctions cérébrales.
b. Est un sujet décédé.
c. Peut avoir une réponse réflexe aux stimuli très violents.
d. Peut repasser en coma prolongé.
6
Réponse : B
10. Le diagnostic de la mort cérébrale en milieu de réanimation prend en compte :
RF
A. Le caractère entièrement artificiel de la respiration.
B. L’aréflexie et la mydriase.
C. L’hypotonie musculaire.
D. L’absence de signal EEG chez un patient n’ayant pas eu de sédatif ni induit en
hypotension.
Réponse : C
11. Les éléments de la triade classique des signes positifs précoces de la mort vous
permettant d’établir le certificat de décès sont : RF
A. Refroidissement.
B. Myosis bilatéral.
C. Lividité.
D. Rigidité.
Réponse : B
12. Les signes positifs de la mort sont : RF
A. Absolus.
B. Tardifs.
C. Attestés par l’auscultation cardio-respiratoire.
D. Des indicateurs pour la datation de la mort.
Réponse : C
13. Les signes positifs de la mort sont : RF
A. Précoces.
B. Attestés par la prise de la température rectale.
C. Attestés par l’examen des téguments.
D. Influencés par les facteurs climatiques.
Réponse : A
14. Les signes positifs de la mort sont : RF
A. Absolus.
B. Tardifs.
C. Attestés par la palpation des trajets artériels.
D. Des indicateurs pour la datation de la mort.
Réponse : C
15. Les signes positifs de la mort sont : RJ
A. Relatifs.
B. Récents.
C. Attestés par la palpation des pouls carotidiens.
D. Des indicateurs pour la datation de la mort.
Réponse : D
16. Les signes positifs de la mort sont : RF
A. Absolus
B. Tardifs
C. Evolutifs
D. Réversibles
7
Réponse : D
Le diagnostic de la mort
1. Mort cérébrale : RJ
A. sujet déclaré décéder
B. réponse possible après une stimulation douloureuse importante
C. Réapparition de la respiration après une ventilation de 4 h
D. Cerveau maintenu en vie
Réponse : A
2. Les lividités : RF
A. Apparaissent entre 2-5h
B. Apparaissent au niveau du dos chez un sujet en décubitus dorsal 8
C. De coloration verte au niveau de l’abdomen
D. S’effacent à l’eau
Réponse : C
3. Le signe le plus évocateur dans le diagnostic tardif de la mort : RJ
A. Refroidissement
B. b-Tache verte abdominale
C. c-Lividités et rigidités cadavériques
D. d-Déshydratation
Réponse : B
4. La rigidité cadavérique : RJ
A. Ne se produit qu’aux membres inférieurs
B. b-Ne se produit qu’aux membres supérieurs
C. c-Disparait aux environs de 36-48h après la mort
D. d- Est indépendante de la masse musculaire
E. e-Est fonction de stature de l’individu
Réponse : C
5. Un corps froid, rigide, avec des lividités qui ne s’effacent pas à la pression est
mort depuis environ : RJ
A. 2h-6h
B. 8h-12h
C. 12h-24h
D. 24h-36h
E. Au-delà de 48h
Réponse : D
6. Pour estimer l’heure de la mort, le médecin légiste utilise : RF
A. La température du corps
B. b -La rigidité cadavérique
C. L’état des lividités
D. L’opacification de la cornée
E. e -La tache verte abdominale
Réponse : D
7. Parmi les signes suivants, quel est celui qui est obligatoirement présent pour qu’un
suet puisse être déclaré en coma dépasse : RJ
A. Rigidité cadavérique
B. Arrêt de la fonction cardiaque
C. 02 EEG nuls, aréactifs (pendant 30 min espacés de 4h)
D. Lividités cadavériques
Réponse : C
8. La tache verte abdominale est : RJ
A. Un signe précoce de la mort
B. Un des éléments permettant d’approcher la date de la mort
C. Un élément permettant le diagnostic de la cause de la mort
D. Un élément permettant de dire qu’un cadavre à été manipulé
Réponse : B
9. Un sujet en coma dépassé : RJ
A. Garde une survie des fonctions cérébrales
B. Est un sujet décède
C. Peut avoir une réponse réflexe aux stimuli très violents
D. Peut repasser en coma prolongé
9
Réponse : B
10. Un sujet en coma dépassé : RJ
A. Garde une survie des fonctions cérébrales
B. Peut être l’objet de prélèvements d’organes
C. Peut avoir une réponse réflexe aux stimuli très violents
D. Peut repasser en coma prolongé
Réponse : B
11. Le diagnostic de la mort cérébrale en milieu de réanimation prend en compte :
RF
A. Le caractère entièrement artificiel de la respiration
B. L’aréflexie et la mydriase
C. L’hypotonie musculaire
D. L’absence de signal EEG chez un patient n’ayant pas eu de sédatif ni induit
en hypoT°
Réponse : C
12. Les éléments de la triade classique des signes positifs précoces de la mort vous
permettant d’établir le certificat de décès sont : RF
A. Refroidissement
B. Myosis bilatéral
C. Lividités
D. Rigidités
Réponse : B
13. Les signes positifs de la mort sont : RF
A. Absolus
B. Tardifs
C. Attestés par l’auscultation cardio-respiratoire
D. Des indicateurs pour la datation de la mort
Réponse : C
14. Les signes positifs de la mort sont : RF
A. Précoces
B. Attestés par la prise de la température rectale
C. Attestés par l’examen des téguments
D. Influencés par les facteurs climatiques
Réponse : A
15. Les signes positifs de la mort sont : RF
A. Relatifs
B. Attestés par la prise de la température rectale
C. Attestés par à l’examen des téguments
D. Influencés par les facteurs climatiques
Réponse : A
16. Les signes positifs de la mort sont : RF
A. Absolus
B. Tardifs
C. Attestés par la palpation des trajets artériels
D. Des indicateurs pour la datation de la mort
10
Réponse : C
17. Les signes positifs de la mort sont : RJ
A. Relatifs
B. Récents
C. Attestés par la palpation des pouls carotidiens
D. Des indicateurs pour la datation de la mort
Réponse : D
18. Les signes positifs de la mort sont : RF
A. Absolus
B. Tardifs
C. Evolutifs
D. Réversibles
Réponse : D
19. Parmi les signes positifs de la mort, on trouve : RF
A. Refroidissement
B. Rigidité
C. Pâleur
D. Tâche verte abdominale
Réponse : C
20. Parmi les phénomènes cadavériques tardifs on trouve : RF
A. Lividité
B. Plaques parcheminées
C. Tâche verte abdominale
D. L’adipocire
Réponse :
21. Parmi les phénomènes cadavériques tardifs on trouve : RF
A. Lividité
B. Mydriase aréflexique
C. Tâche verte abdominale
D. L’adipocire
Réponse :
22. Parmi les phénomènes cadavériques tardifs on trouve : RF
A. Putréfaction
B. Rigidité
C. Tâche noire scléroticale
D. Perforation gastrique
Réponse :
23. Parmi les phénomènes cadavériques tardifs on trouve : RF
A. Putréfaction
B. Tâche verte abdominale
C. L’adipocire
D. d-Spasme cadavérique
Réponse :
24. Le refroidissement : RF
A. Est un signe positif de la mort
B. Est tardif
C. Est accéléré par l’obésité
D. Peut servir à la datation de la mort
11
Réponse :
25. Les facteurs qui influencent le refroidissement cadavérique sont : RF
A. L’environnement externe
B. La température du corps au cours du décès
C. L’obésité
D. Mobilisation du cadavre
Réponse :
26. La rigidité cadavérique est d’installation : RF
A. Progressive
B. Descendante
C. Rapide en cas d’effort physique important avant la mort
D. Ascendante
Réponse :
27. Les lividités cadavériques sont absentes dans : RF
A. Les zones d’appui
B. Les zones comprimées
C. L’anémie
D. La mobilisation du corps
Réponse :
28. Les lividités cadavériques sont absentes dans : RF
A. Les zones d’appui
B. Les zones comprimées
C. L’anémie
D. Le lavage après incision
Réponse :
29. La lividité cadavérique est un phénomène : RF
A. a-Tardif
B. b - D’intensité progressive
C. c-Effaçable à la vitro pression avant 12h
D. d-Provoque des épanchements post mortem
Réponse :
30. La lividité cadavérique est un phénomène : RF
A. Tardif
B. D’intensité progressive
C. Effaçable à la vitro pression avant 12h
D. d-Fixe après 12h
Réponse :
31. Les lividités cadavériques : RJ
A. Est un phénomène vital
B. D’apparition maximale après 08h
C. Immuables après 15h
D. d-Dont la couleur est fonction de l’état d’hémoglobine
Réponse :
32. Les lividités cadavériques : RF
A. Est d’installation progressive et descendante
B. Est responsable de l’attitude en flexion de toutes les articulations
C. Est responsable de spasme cadavérique en cas d’électrocution
D. Est responsable de l’éjaculation post-mortem
12
E. Ne se reconstitue pas si rompue après 12h
Réponse :
33. Les lividités cadavériques : RJ
A. Est un phénomène vital
B. D’apparition maximale après 08h
C. Immuables après 30h
D. Provoque des épanchements post mortem
Réponse :
34. La rigidité cadavérique : RF
A. Sert pour la datation de la mort
B. Elle disparait avec l’installation de la putréfaction
C. Atteint son maximum entre 06h-12h
D. Se reconstitue si rompue après 12h
Réponse :
35. La rigidité cadavérique : RF
A. Est d’apparition tardive
B. Commence par l’extrémité cervico-céphalique
C. Disparait dans le sens ascendant
D. Réalise une flexion des poignets et des pieds
Réponse :
36. Les lividités cadavériques : RJ
A. Sont des phénomènes cadavériques tardifs
B. Sont de couleur noirâtre
C. Sont immuable après 12h
D. Apparition brutale
Réponse :
37. Les lividités cadavériques : RJ
A. Font partie des signes positifs de la mort
B. Sont immuables après 12h
C. Peuvent servir pour la datation de la mort
D. Sont de couleur bleue
Réponse :
38. Les lividités cadavériques : RJ
A. Sont de couleur rose foncée
B. Apparition brutale
C. Sont immuables après 12h
D. Peuvent servir pour le diagnostic étiologique de la mort
Réponse :
39. Les lividités cadavériques : RJ
A. Sont de couleur rose foncée
B. Apparition brutale
C. Posent un problème de diagnostic différentiel avec les ecchymoses
D. Sont volatiles après 12h
Réponse :
40. Les lividités cadavériques : RF
A. Sont de couleur rosâtre en cas d’intoxication au CO
B. Peuvent avoir un aspect purpurique
C. Disparaissent à la vitro pression après 12h
D. Disparaissent dans les zones d’appui
13
E. Dont le siège est fonction de la position du corps
Réponse :
41. Les lividités cadavériques : RF
a- De couleur rouge violacé
b-Concomitante avec l’arrêt de la fonction hémodynamique
c-Cohérentes avec la position du corps
d- Un élément d’orientation vers une mort suspecte
Réponse :
42. Les lividités cadavériques : RF
A. De couleur rouge violacé
B. D’apparition brutale entre 30min et 03h
C. c-Cohérentes avec la position du corps
D. Un élément d’orientation vers une mort suspecte
Réponse :
43. Les moyens utilisés pour la datation d’un cadavre frais sont : RJ
A. La méthode thermographique
B. L’entomologie
C. L’étude du contenu gastrique
D. Etude des vomissements
Réponse :
44. Dans un décès survenant entre 12h et 24h le cadavre est : RJ
A. Froid
B. Rigide
C. Siège de lividités définitivement fixées
D. Siège d’une verte abdominale
Réponse :
45. Dans la putréfaction la tache verte abdominale : RF
A. Apparait après 05 jours
B. Siège au niveau de la fosse iliaque droite
C. Est en rapport avec la pullulation microbienne
D. Est extensive
Réponse :
46. Dans la putréfaction la pullulation microbienne est à l’origine de : RF
A. L’odeur
B. Déshydratation
C. La tache verte abdominale
D. La circulation posthume
Réponse :
47. Dans la putréfaction la pullulation microbienne est à l’origine de : RF
A. Déshydratation
B. La couleur
C. c-La tache verte abdominale
D. La circulation posthume
Réponse :
48. La mort cérébrale : RJ
A. Exige un arrêt cardio-respiratoire
B. Est un arrêt réversible
C. Dont le diagnostic fait appel à l’épreuve d’effort
D. Dont le diagnostic fait appel à l’EEG
14
Réponse :
49. La mort est : RF
A. a-Apparente
B. b-Absolue
C. c-Cérébrale
D. d-Somatique
E. e-Relative
Réponse :
50. Mort relative : RF
A. Précède la mort absolue
B. Nécessite une réanimation immédiate et adaptée
C. Retour à la vie est possible
D. La disparition de la circulation
Réponse :
51. Mort absolue : RF
A. Fait suite à la mort relative
B. Les lésions tissulaires sont réversibles
C. Est constante
D. La rigidité cadavérique peut déjà commencer
E. Est réelle
Réponse :
52. Mort relative : RF
A. Précède la mort absolue
B. Les lésions tissulaires sont réversibles
C. La reprise de la respiration est spontanée
D. L’arrêt circulatoire est prolongé
Réponse :
53. Les formes médico-légales sont : RF
A. Mort naturelle
B. Mort violente
C. Mort accidentelle
D. Blessures par armes blanche nécessitant une ITT de 03 mois
E. Mort criminelle
Réponse :
54. La mort violente peut être : RF
A. Une complication iatrogène
B. Un suicide
C. U homicide
D. Une mort suspecte
E. Un évènement accidentel
Réponse :
55. La mort relative se caractérise par : RJ
A. Une syncope prolongée
B. Des lésions irréversibles
C. Suspension prolongée et complète de la circulation
15
D. La vie peut réapparaitre spontanément
Réponse :
56. Dans le diagnostic tardif de la mort : RJ
A. La déshydratation est un phénomène actif dominé par des signes oculaires
B. Les lividités sont des taches de position de couleur fixe
C. L’ rigidité apparait entre 2h-6h et disparait spontanément
D. La putréfaction est le signe le plus certain de la mort et apparait 48h après la
mort
Réponse :
57. Les lividités cadavériques sont : RF
A. Le signe le plus certain de la mort
B. Absentes au niveau des zones de pression
C. Présentes aux extrémités si pendaison
D. Evocatrices parfois de la cause de la mort
E. Sont précoces et abondantes dans la subermertion
Réponse :
58. Dans le diagnostic tardif de la mort : RJ
a- Les signes négatifs de la mort
b- Les signes positifs de la vie
c- Le refroidissement cadavérique quasi contant
d-Les phénomènes cadavériques
Réponse :
59. Parmi les signes de déshydratation : RJ
A. L’affaissement des paupières
B. La tache noire sclérale au niveau de l’angle interne de l’œil
C. Le par cheminement de certains blessures
D. d-Voile glaireux de la cornée et du cristallin
Réponse :
60. La rigidité cadavérique : RJ
A. Atteint son maximum en 06h
B. Est immuable à la 30ème heure
C. Disparait en 2 à 3 jours de façon descendante
D. Apparait en 1 à 6 heures
Réponse :
61. La mort clinique de « LAUBRY » est caractérisée pas un suspension : RJ
A. Incomplète de la circulation
B. Complète et rapide de la circulation
C. Complète et prolongée de la circulation
D. Complète et prolongée de la Respiration
Réponse :
62. A la 30ème heure, les lividités : RJ
A. Disparaissent
B. Sont immobiles
C. Sont mobiles
D. Atteignent leur maximum
16
Réponse :
63. La tache verte abdominale : RJ
A. Est un signe précoce de la mort
B. Pose le diagnostic de cause de la mort
C. Est un signe précoce de putréfaction
D. Apparait en même temps que les lividités
Réponse :
64. La rigidité cadavérique : RJ
A. Atteint tous mes muscles de façon ascendante
B. Est maximale au niveau des membres
C. Dépend des réserves en ATP
D. Se rompt de façon ascendante
Réponse :
65. Les lividités cadavériques : RJ
A. Apparaissent aussitôt après l’arrêt cardiaque
B. Sont maximales à la 20ème heure
C. Dépendent de la position cadavre
D. Disparaissent en 2 jours
Réponse :
66. La tache verte abdominale : RJ
A. Apparait précocement en été
B. Débute au niveau de la fosse
C. Peut ne pas exister même tardivement
D. Apparait à la 6ème heure
Réponse :
67. Dans le coma dépassé : RJ
A. Le cœur est mort, le cerveau est maintenu vivant
B. La circulation et la respiration sont maintenues, le cerveau est mort
C. L’activité cérébrale est nulle, l’activité cardiaque est normalement présente
D. La respiration est conservée, la circulation est abolie
Réponse :
68. Un cadavre découvert dans son domicile, présente des lividités antérieures et
postérieures vous pensez à une manipulation de cadavre : RF
A. Avant la 6ème heure ayant suivi son décès
B. Avant la 30ème ayant suivi son décès
C. Après la 12ème heure ayant suivi son décès
D. Entre la 12ème et la 30ème heure de son décès
E. La proposition ; b+c+d
Réponse :
69. Un élément pose le diagnostic d’une mort absolue : RJ
A. ECG plat à la 1ère minute
B. ECG plat après un massage cardiaque de 10 min
C. Un refroidissement du corps
D. Toutes les réponses sont fausses
Réponse :
70. La tache verte abdominale : RJ
A. Dépend de variations climatiques
B. Est due à la dégradation de biliverdine
C. Débute à la fosse iliaque gauche ou droite
D. C’est le dernier signe de la putréfaction
17
Réponse :
71. Le coma dépassé : RJ
A. Est une mort cérébrale avec activité cardiaque conservée
B. Est une destruction irréversible du cerveau
C. Est une mort cérébrale réversible par des manœuvres de réanimation
D. Est une nécrose ischémique d’une partie du cerveau
Réponse :
72. La mort apparente est caractérise par : RF
a- Une résolution musculaire
b-Une activité cardiaque normale
c-Un arrêt respiratoire
d- Une perte de connaissance
Réponse :
73. A la 12ème heure de la mort : RF
A. Les rigidités sont fixées
B. Les lividités sont maximales
C. Les lividités sont immuables
D. d-Les rigidités sont maximales
Réponse :
74. Les lividités cadavériques : RJ
A. S’effacent à la vitro pression
B. Disparaissent au lavage
C. Sont maximales à la 12ème heure
D. Gardent la même position si cadavre manipulé à la 12ème heure
E. Sont toujours absentes aux zones de pression
Réponse :
75. Parmi les propositions suivantes concernant les signes tardifs de la mort, laquelle
ou lesquelles sont fausses :
A. Les lividités cadavériques disparaissent à la vitro pression
B. Les rigidités se fixent et se rompent dans un même ordre
C. Le refroidissement cadavérique dépend du degré hygrométrique
D. La tache verte abdominale est le signe le plus certain de la mort
E. La tache noire sclérale apparait au niveau de l’angle interne de l’œil
Réponse :
76. Quel est ou quels sont parmi les examens complémentaires celui ou ceux qui
posent le diagnostic de la mort encéphalique :
A. Un ECG et un EEG
B. 2 EEG à 03h d’intervalle
C. 3 EEG à 03h d’intervalle
D. Une angiographie cérébrale
E. Un EEG et un ECG à 03h d’intervalle
Réponse :
77. Quel est ou quels sont parmi ces paramètres, celle ou ceux qui permettent de
dater la mort :
A. La cytologie du LCR
18
B. Le dosage du sodium dans l’humeur vitrée
C. Les phénomènes cadavériques
D. L’entomologie
E. Le dosage du potassium dans le LCR
Réponse :
78. La tache verte abdominale apparait : RJ
a-Dans la région de l’hypochondre droit
b-Dans la région appendiculaire
c-Dans la fosse iliaque gauche chez un gaucher
d-Dans la fosse iliaque droite chez un droitier
e-Dans la région périnéale
Réponse :
79. Le parchemin cutané de la peau après la mort : RJ
A. Suppose un contact traumatisant sur la peau
B. S’observe seulement au niveau du cou
C. S’observe seulement au niveau du visage
D. S’observe seulement au niveau des points d’appui
E. Disparait en 24h
Réponse :
80. La présence de lividités antérieures et postérieures indique une manipulation de
cadavre (la ou les RJ) :
A. Après la 30ème heure
B. Entre la 6ème et la 30ème heure
C. Après 48h
D. Après 36h
E. Entre 36 et 48 heures
Réponse :
81. Un seul de ses signes pose le diagnostic de certitude du coma dépassé lequel :
A. Un tracé EEG et un ECG nuls à 3h d’intervalle
B. 2 ECG nuls à 3h d’intervalle
C. 2 EEG nuls à 3h d’intervalle
D. 3 EEG nuls à 3h d’intervalle
E. Un seul tracé EEG nul pendant 15minf
Réponse :
Les règles de la rédaction du certificat de décès
1. Un patient diabétique depuis 5 ans, meurt d’une hémorragie cérébrale des suites
d’une hypertension secondaire causée par la pyélonéphrite chronique résultant
d’une hypertrophie bénigne de la prostate.
La cause initiale du décès est (cocher la réponse juste) : Sujet 2020 section A
A. Diabète.
B. Hémorragie cérébrale.
C. Hypertension.
D. Pyélonéphrite.
E. Hypertrophie bénigne de la prostate. 19
Réponse :
2. Les statistiques des causes de décès sont établies :(cocher les réponses justes).
A. Sur la base de la cause initiale de décès.
B. Sur la base de la cause directe.
C. Par l’institut national de la sante publique.
D. Par l’office national des statistiques
E. Sur la base des deux volets du certificat du décès.
Réponse :
3. Patient XY suivi pour cirrhose du foie, admis pour hémorragie digestive, l’examen
retrouve une rupture des varices œsophagiennes.
La cause initiale du décès est : (cocher la réponse juste) : section 2019
A. hémorragie digestive.
B. B-rupture des varices œsophagiennes.
C. hémorragie digestive et rupture des varices œsophagiennes.
D. rupture des varices œsophagiennes et cirrhose du foie.
E. cirrhose du foie.
Réponse :
4. La partie supérieure du certificat du décès est :( cocher la réponse juste)
A. Anonyme et destinée à l’officier de l’état civil.
B. Nominative et destinée aux autorités sanitaires.
C. Nominative et destinée à l’officier de l’état civil.
D. Anonyme et destinée aux autorités sanitaires.
E. Destiné à l’officier de l’état civil et les autorités sanitaires.
Réponse :
5. La qualité du certificat du décès et la production des statistique de morbidité
repose sur : (cocher la ou les réponses justes): section A 2018 -2019
A. La cause directe
B. la cause initiale
C. l’exhaustivité de la partie médicale
D. l’exhaustivité de la partie administrative
E. le délai de déclaration
Réponse : ABD
6. La définition de la cause initiale du décès : (cocher la ou les réponses justes)
A. les maladies et états morbides ayant entrainés la mort.
B. les traumatismes qui ont abouti au décès.
C. les traumatismes et les circonstances de l’accident qui ont abouti au décès.
D. la cause directe décrite.
E. toutes les réponses sont justes.
Réponse : ABC
7. Qui peut signer le permet d’inhumer en cas de mort naturelle ? (cocher la
réponse juste)
A. L’officier de l’état civil.
B. Le médecin qui constate le décès.
C. Le représentant des pompes funèbres.
D. Aucune des propositions précédente.
Réponse :
8. Le certificat du décès (cocher la réponse fausse)
A. Est obligatoirement établi par un médecin.
B. Comprend une partie précisant l’identité du défunt et destiné à l’APC.
C. Comprend une partie anonyme destinée au service de médecine légale.
20
D. Doit être produit pour que l’officier de l’état civil établisse le permet d’inhumer.
E. Comporte une question quant à l’existence ou non d’un obstacle médico-légal
à l’inhumation.
Réponse :
09-la partie confidentielle de certificat du décès : (cocher la réponse juste)
A. A un but statistique et épidémiologique.
B. Est destiné au service médico-légal de la région.
C. Est destiné au conseil régional de l’ordre des médecins.
D. Direction de l’action sociale.
Réponse :
9. la partie confidentielle du certificat de décès : (cocher la réponse juste)
A. Ministère de la santé de la population et la réforme hospitalière.
B. Est destiné au service médico-légal de la région.
C. Est destiné au conseil régional de l’ordre des médecins.
D. Direction de l’action sociale.
Réponse :
10. le certificat du décès : (réponse juste)
A. Comporte 3 volets.
B. Sa rédaction entraine toujours une action judiciaire.
C. Doit toujours être rédigé sur réquisition.
D. Permet d’inhumation après déclaration à l’état civil ou après déclaration à
l’autorité judiciaire.
Réponse :
La mort subite
1. La mort subite prend un caractère suspect quand RF [RATTRAPAGE 2018]
A. II s'agit d'une personne malade décédée subitement.
B. examen du corps met en évidence des blessures atypiques.
C. Il s'agit d'une mineure sans antécédents particuliers.
D. Il s'agit d'une personne jeune sans aucun antécédent médical.
E. Il s'agit d'un majeur incapable décédé subitement dans un asile d'aliénés.
Réponse :
2. La mort subite est : RF [RATTRAPAGE 2018]
A. Une mort suspecte. 21
B. Une mort naturelle le plus souvent.
C. Une mort à caractère inattendu.
D. une mort violente par excellence.
E. Une mort dont le caractère brusque peut évoquer un empoisonnement.
Réponse :
3. mort subite : RF
A. mort inattendue.
B. Mort naturelle chez un sujet en bon état de santé apparente.
C. Mort violente.
D. Mort naturelle de cause inconnue.
E. Toutes les réponses sont fausses.
Réponse :
4. Par définition la mort subite est : RF.
A. Une mort naturelle, soudaine, et inattendue.
B. Une mort violente.
C. Une mort naturelle survenant chez une personne en bon état de sante apparent.
D. Une mort qui étonne.
E. Une mort naturelle d'une agonie trop brève.
Réponse :
5. un nourrisson est mort brutalement, l’autopsie du corps a permis de constater une
malformation cardiaque expliquant le décès. De quel type de mort allez-vous
conclure ?
A. Mort suspecte.
B. Mort restant de cause indéterminée.
C. Mort subite.
D. Mort non naturelle.
E. Mort violente accidentelle.
Réponse :
Les blessures en médecine légale.
1. L’ecchymose :(Réponse Juste)
A. Est une extravasation du sang dans une cavité.
B. Une extravasation intra capillaire.
C. Est une extravasation de sang dans les tissus.
D. Toutes les réponses sont fausses.
Réponse :
2. L’hématome (Réponse Juste)
A. Est toujours d’origine traumatique.
B. Se produit par rupture le plus souvent de capillaires. 22
C. Est une extravasation de sang hors vaisseaux de gros calibre.
D. Son évolution est plus longue qu’une ecchymose.
E. Peut apparaitre loin d’un traumatisme.
Réponse :
3. L’ecchymose traumatique est :
A. Verdâtre le troisième jour.
B. Violacée le deuxième jour.
C. Rouge livide le cinquième jour.
D. Disparait au 15eme jour.
Réponse :
4. L’ecchymose est de couleur : RJ
A. Violacée 1 er jour.
B. Bleuâtre 5eme jour.
C. Verdâtre 4eme jour.
D. Verte 5eme jour.
Réponse :
5. L’ecchymose spontanée : RF
A. Différente de l’ecchymose traumatique.
B. D’origine pathologique.
C. Due à une maladie carentielle.
D. D’origine thérapeutique.
E. Peut-être provoqué par un traitement.
Réponse :
La violence sexuelle.
1. Le viol : RJ
A. Ne constitue pas une urgence médico-juridique.
B. Le diagnostic repose sur l’examen de l’hymen.
C. Nécessite une pris en charge hospitalière multidisciplinaire.
D. Le dépistage des maladies sexuellement transmissibles n’est pas systématique.
E. N’est pas punissable par la loi.
Réponse :
2. L’outrage public à la pudeur comporte : RJ
A. L’acte contre nature. 23
B. L’attentat à la pudeur.
C. L’exhibitionnisme.
D. La pédophilie.
Réponse :
3. Le viole se définit par : RJ
A. La défloration d’une mineure.
B. La défloration d’une femme vierge consentante.
C. Une effraction anale ou hyménale.
D. Toutes les réponses sont fausses.
Réponse :
4. L’attentat à la pudeur : RF
A. Est un délit d’ordre sexuel commis sur une personne avec ou sans
consentement.
B. Consiste en des attouchements sur les parties génitales.
C. Est un acte impudique contre sa volonté.
D. Est susceptible d’entrainer une contamination vénérienne.
E. S’accompagne de traces de violences au niveau des cuisses et des bras.
Réponse :
5. L’attentat à la pudeur représente :
A. Un acte défloration d’une femme ou d’une jeune fille.
B. Des attouchements à caractères sexuelle sur un mineur ou majeur de sexe
féminin uniquement.
C. Un outrage public à la pudeur.
D. Des attouchements à caractère sexuelle sur une personne mineur ou majeur.
Réponse :
6. Parmi les éléments du diagnostic d’un viol récent d’une femme vierge : RF
A. Des traces de luttes sur l’agresseur présumé.
B. Des traces de violence sur la victime.
C. Une déchirure complètement cicatrise sur l’hymen.
D. Une contamination vénérienne.
Réponse :
Les asphyxies mécaniques
1. La pendaison : cochez les réponses fausses :
A. Se définit une constriction passive du cou par un lien.
B. Se définit une constriction du cou par un lien.
C. Se définit une constriction du cou par la main.
D. Peut-être complète ou incomplète.
E. Se caractérise par un sillon se trouve au-dessous du larynx.
Réponse :
2. La strangulation : cochez les réponses fausses :
A. Est réalisée par une force appliquée au tour du cou. 24
B. Cette force correspond au poids du corps de la victime.
C. Le sillon se trouve au-dessous du larynx.
D. L’agresseur peut utiliser un lien et/ou les mains.
E. Elle résulte uniquement de la constriction du cou par un lien.
Réponse :
3. La mort reflexe par inhibition dans la submersion peut être secondaire : cochez
les réponses fausses :
A. Un choc anaphylactique.
B. Une isolation.
C. Une hydrocution.
D. A la stimulation des chémorécepteurs.
E. A la stimulation des mécanorécepteurs.
Réponse :
4. La suffocation : cochez les réponses justes :
A. Se caractérise par une obstruction des orifices respiratoires.
B. Une inondation des voies respiratoires par un liquide.
C. Inclue le confinement et compression thoracique.
D. Inclue la submersion.
E. Inclue l’enfouissement et l’enlisement.
Réponse :
5. La submersion se définit par : cochez les réponses justes :
A. La pénétration de substance dans les voies aériennes
B. Son mécanisme qui est identique à l’enlisement
C. La pénétration de l’eau uniquement dans les voies aériennes supérieures
D. La pénétration d’un liquide dans les voies aériennes jusqu’aux alvéoles
E. Les échanges gazeux sont entravés
Réponse :
6. Dans la noyade en cas de mer : cochez les réponses justes :
A. Il y a une hémodilution.
B. Il y a une hémoconcentration.
C. Les poumons sont le siège d’OAP.
D. La mort est le plus souvent secondaire à une fibrillation ventriculaire.
Réponse :
7. Les problèmes médicolégaux rencontrés dans la noyade sont : RF
A. L’identification de la victime.
B. Le délai post mortem.
C. Le milieu de la noyade.
D. Les lésions anté mortem ou post mortem.
E. Forme médicolégal.
Réponse :
8. L’examen externe de tout noyé on retrouve : RJ
A. Une cyanose.
B. Les lésions de charriage.
C. Les taches de PALTEAUF.
D. Hématome extradural.
E. Des signes de l’asphyxie et de l’inondation.
Réponse :
9. Quels sont parmi les éléments suivant ceux qui font évoquer une mort par
pendaison asphyxique : RJ
A. Une cyanose du visage et des extrémités.
B. Une spume aérique au niveau de la bouche et des narines.
25
C. Des lividités cadavériques distales en bottes et en gants.
D. Un aspect lavé des organes a l’autopsie.
E. Un sillon ecchymotique autour du cou incomplet, haut situé et oblique de bas
en haut.
Réponse :
10. Noyade : le diagnostic d’un noyé frais repose sur : RF
A. Présence de diatomée dans le sang.
B. Présence de diatomée dans les poumons.
C. Strontium dans le sang.
D. Hyperglycémie.
E. Analyse toxicologique.
Réponse :
11. Quel est parmi ces signes, celui qui évoque une mort par strangulation
asphyxique : (la réponse juste).
A. Un sillon ecchymotique autour du cou incomplet et oblique de bas en haut.
B. Issue de la bouche et du nez d’une spume aérique avec macération de la peau
des mains et des pieds.
C. Des lividités cadavériques en bottes et en gants.
D. Une anémie sévère.
E. Un sillon ecchymotique autour du cou complet et horizontal avec cyanose du
visage et des extrémités ;
Réponse :
12. Parmi ces examens de laboratoire, quels sont ceux nécessaires au diagnostic
d’un mort par noyade asphyxique chez un cadavre frais : (la réponse fausse).
A. La recherche de diatomée dans le sang.
B. Dosage du strontium sanguin.
C. Recherche d’une hémodilution ou hémoconcentration.
D. Recherche d’une hyperglycémie.
E. Recherche de diatomées dans les poumons.
Réponse :
13. Parmi les signes cadavériques suivants lequel est le plus évocateur de la
pendaison : (la réponse juste) ;
A. Sillon horizonta.
B. Sillon incomplet.
C. Peau ansérine.
D. Lividités postérieures.
E. Champignon de mousse buccal.
Réponse :
14. Le noyé est blanc si : cochez les réponses justes :
A. L’asphyxie suit l’inhibition.
B. La peau est ansérine.
C. Si on trouve des algues dans les branches.
D. Si aucune lésion spécifique n’est retrouvée.
Réponse :
15. Dans la suffocation on retrouve : cochez la réponse juste
A. Des stigmates unguéaux.
B. Excoriation et ecchymoses autour du nez et de la bouche.
C. Un sillon au niveau du cou.
D. Un champignon de mousse.
Réponse : 26
16. La suffocation est : réponse fausse
A. Une asphyxie par empêchement respiratoire.
B. Dans laquelle la respiration est entravée.
C. Dans laquelle la ventilation est supprimée.
D. Dans laquelle la circulation n’est pas entravée.
E. Une asphyxie par obstacle au passage de l’aire.
Réponse :
17. Le sillon de pendaison est : réponse fausse
A. Toujours oblique et haut situé.
B. Différent de celui de la strangulation par sa situation.
C. Parfois situé à même distance de deux lobules des oreilles.
D. Imprécis si le lien est mou.
E. Incomplet à cause de l’empreinte de nœud.
Réponse :
18. Le sillon de pendaison est : réponse juste
A. Oblique ou horizontal
B. Incomplet ou parfois complet
C. Unique ou multiple
D. Absent au niveau de l’anse
E. Absent au niveau du nœud
Réponse :
19. Strangulation : (réponse fausse)
A. Est une mort violente criminelle le plus souvent.
B. S’associer le plus souvent à la suffocation.
C. Est une constriction qui s’exerce toujours autour du cou.
D. Est réalisée par la main ou par un lien.
E. Laisser un sillon ou des stigmates unguéaux.
Réponse :
20. Dans la strangulation :
A. Les stigmates unguéaux sont des traces du lien.
B. Le sillon est toujours unique et oblique.
C. Les lividités prédominent aux extrémités.
D. Toutes les réponses sont fausses.
Réponse :
21. Dans la strangulation à main on révèle : (réponse fausse)
A. Des stigmates unguéaux au niveau du cou.
B. Des excoriations péribuccales et péri nasales.
C. Une cyanose du visage.
D. Un sillon complet et horizontal.
E. Des signes de l’asphyxie à l’autopsie.
Réponse :
22. Dans le processus de noyade : (réponse juste)
A. La submersion est un mort qui tombe à l’eau.
B. L’immersion est un vivant qui est mis dans l’eau.
C. Si la mort survient par hydrocution c’est un noyé bleu.
27
D. Si la mort survient par inhalation d’eau c’est un noyé blanc.
E. La mort s’accompagne parfois d’un champignon de mousse buccal.
Réponse :
23. La pendaison et la strangulation se distinguent par :
A. Le siège du sillon.
B. L’épaisseur du sillon.
C. La profondeur du sillon.
D. La présence du lien.
Réponse :
24. Dans la suffocation :
A. La circulation est entravée.
B. La respiration est agressée.
C. La ventilation n’est pas supprimée.
D. La ventilation est supprimée.
Réponse :
25. La noyade asphyxique et la noyade inhibition se distinguent par :
A. Présence ou non d’eau dans l’estomac.
B. Cyanose ou la blancheur du visage
C. Présence de débris de sable sur le corps.
D. Le signe de la peau ansérine.
Réponse :
26. La noyade en eau douce et en eau de mer se distinguent par :
A. L’hypotonicité du plasma.
B. L’hypertonicité de l’eau.
C. La tonicité du couple eau / plasma.
D. L’envahissement des alvéoles.
Réponse :
27. Dans le plan clinique l’asphyxie se déroule en quatre phases : réponse juste :
A. Phase cérébrale, respiratoire, circulatoire puis médullaire.
B. Phase médullaire, cérébrale, respiratoire puis circulatoire.
C. Phase respiratoire, cérébrale, circulatoire puis médullaire.
D. Phase cérébrale, médullaire, respiratoire puis circulatoire.
E. Toutes les réponses sont fausses.
Réponse :
28. Dans la pendaison incomplète : réponse juste :
A. Les lividités apparaissent aux extrémités.
B. Le corps repose sur un support.
C. La moitié du corps repose sur un support.
D. Les pieds ne reposent pas sur le sol.
Réponse :
29. Dans la suffocation :
A. La circulation est supprimée.
B. La respiration est supprimée.
C. La ventilation est supprimée.
D. La ventilation n’est pas supprimée.
Réponse :
30. Les lésions de l’asphyxie sont :
A. Sont communes à toutes les asphyxies.
B. Evoquent une étiologie mécanique ou pathologique.
C. Sont caractéristiques uniquement de l’action mécanique.
D. Toutes les réponses sont justes.
28
Réponse :
Les blessures par arme à feu.
1. concernant les blessures par projectiles d’arme à feu, relevez parmi les éléments
suivants ceux qui dépendent de la distance de tir (Cochez les réponses justes) :
A. L’orifice de pénétration du projectile.
B. La collerette d’essuyage.
C. La zone d’estompage.
D. La zone de tatouage.
Réponse :
2. Parmi les caractères des blessures par projectiles d’arme à feu suivantes, quels
sont ceux qui caractérisent l’orifice de sortie (Cochez les reposes fausses) : 29
A. Toujours d’un diamètre inférieur à celui des projectiles.
B. Inconstant, peut manquer parfois.
C. Constant, toujours présent.
D. A bord irrégulier le plus souvent.
E. Peut-être multiples.
Réponse : A C
3. Quelles sont parmi les caractères suivants celles qui sont particulières à la
collerette d’érosion d’une blessure par projectiles d’arme à feu (Cochez les
réponses justes) :
A. Lésion correspondant à une dermo- abrasion autour de l’orifice de
pénétration.
B. Lésion circulaire superposée l’orifice du projectile.
C. Due à l’essuyage du projectile par la peau.
D. Constante, ne dépend pas de la distance du tir.
E. Correspond à une hémorragie sous-dermique.
Réponse :
4. Dans un tir de loin, l’orifice d’entrée est RJ :
A. Plus grand que le projectile.
B. Plus petit que le projectile.
C. De diamètre égal à celui de l’orifice de sortie.
D. Est en boutonnière.
Réponse : A
5. La collerette érosive dans une blessure par arme à feu RJ :
A. Caractérise l’orifice de sortie.
B. Est une zone de brulure en forme de couronne.
C. Est une zone parcheminée en forme de couronne.
D. Peut ne pas exister.
Réponse :
6. La distance de tir est évalué grâce à :
A. L’aspect de l’orifice de sortie.
B. Le diamètre de la collerette érosive.
C. L’examen des tatouages.
D. L’examen des vêtements.
Réponse :
7. Un orifice d’entrée de projectile par arme à feu (RJ) :
A. Se caractérise par une perte de substances cutanées.
B. est indépendant de la taille du projectile.
C. Présente des bords éversés (tourner vers l’extérieur).
D. Est toujours aligné avec le trajet intracorporel et l’orifice de sortie.
E. Se rétracte après la mort au point de disparaitre au bout de six heures.
Réponse :
8. Blessures par arme à feu : RJ
A. Lésion d’essuyage présente dans la plaie de sortie.
B. Orifice de sortie de taille supérieur à l’orifice d’entrée.
C. Berge de la plaie de sortie éversées vers l’intérieur.
30
D. Toutes les réponses sont fausses.
E. Présence de la zone d’estompage.
Réponse : B
9. Dans la blessure à arme à feu, l’orifice de sortie révèle :
A. L’absence de tatouage.
B. L’existence de la collerette d’essuyage.
C. Un diamètre toujours inferieur à l’orifice d’entre.
D. La présence uniquement de la collerette érosive.
Réponse : A
Infanticide
1. Les poumons d’un nouveau-né ayant respiré : (RJ)
A. Sont tassés au fond de la cavité thoracique.
B. Emplissent la cavité thoracique et empiètent sur le cœur.
C. Ont une docimasie hydrostatique négative.
D. Le tissu pulmonaire est dense, canalaire avec des bronches plissées.
E. La surface pulmonaire est lisse, uniforme, charnue et de couleur lilas foncé.
Réponse : B
2. L’auteur du crime d’infanticide : (RJ) *2
A. Est puni de la réclusion à temps de 05 à 10ans si la mort a été donnée 31
volontairement.
B. Est puni de la réclusion à temps de 05 à 10ans si l’enfant est mort-né.
C. Est puni de la réclusion à temps de 10 à 20ans si l’enfant est né vivant.
D. Est puni de la réclusion à temps de 05 à 10ans si la mort a été donnée
involontairement.
E. Toutes les réponses sont justes.
Réponse : C
3. Pour que le délit d’infanticide soit constitué (RF)
A. Il faut que la victime soit un nouveau-né (âgé de moins de 03 jours).
B. Il faut que nouveau-né ait vécu.
C. Il faut que la mort soit donnée impérativement par la mère.
D. Il faut que la mort soit volontairement donnée.
E. Il faut que ce nouveau-né soit viable.
Réponse : C
4. Les poumons d’un nouveau-né n’ayant pas respiré (RJ)
A. Ont une surface lisse, uniforme, charnue et de couleur lilas foncé.
B. Sont légers, roses et crépita t à la palpation.
C. Ont une surface pulmonaire couverte de petites vésicules brillantes qui sont
les alvéoles pulmonaires remplies d’air.
D. Emplissent la cavité thoracique et empiètent sur le cœur.
E. Flottent lors de l’épreuve de la docimasie hydrostatique.
Réponse : A
5. Dans quels cas peut-on parler d’infanticide, (RJ_s)
A. Docimasie hydrostatique positive, avec des traces de violence.
B. Docimasie hydrostatique négative, avec des traces de violence.
C. Docimasie hydrostatique négatives, sans des traces de violence.
D. Docimasie hydrostatique positive, sans des traces de violence, avec des
signes de négligence.
E. Docimasie hydrostatique négative, sans des traces de violence et des signes
de négligence.
Réponse : A D
5. Pout dire qu’un nouveau-né a vécu après sa naissance, il faut (RJ)
A. Que sa taille dépasse les 50 cm.
B. Qu’il est évacué tout le méconium que contenait son colon.
C. Que la docimasie pulmonaire hydrostatique est positive.
D. Que le cordon ombilical est chuté.
E. Qu’il pèse après sa naissance entre 3000 et 3500gr.
Réponse : C
6. La docimasie pulmonaire hydrostatique d’un nouveau-né putréfié est (RJ)
A. Due positive si les poumons flottent.
B. Suffisante pour savoir que le nouveau-né a vécu ou non.
C. Dite faussement positive si les poumons flottent.
D. Dite négative si les poumons plongent au fond du bocal.
E. Toutes les réponses sont justes.
Réponse : C
7. L’infanticide (RJ)
A. Est un homicide volontaire.
B. Peut-être accidentel.
C. Est l’assassinat d’un nouveau-né.
32
D. N’est pas puni par la loi quand il est commis par la mère.
Réponse : C
8. Dans l’infanticide la durée de vie du nouveau-né est déterminée par :
A. La présence d’air dans l’estomac entre la 5ème et 6ème heure.
B. La présence de méconium dans l’intestin grêle.
C. La résorption de la bosse séro-sanguine entre le 3ème et le 4ème jour.
D. La chute du cordon ombilical entre 10 et 20 jours.
Réponse : B C !
9. L’infanticide : (RF)
A. Est un crime.
B. Est un délit puni par le code pénal.
C. C’est la mort donnée volontairement à un nouveau-né.
D. Il faut établir que le nouveau-né avait respiré avant de mourir.
E. Est la privation de soins et de nourriture d’un nouveau-né.
Réponse : B
10. Parmi les propositions suivantes quelle sont celles qui s’appliquent à l’infanticide
(RJs)
A. C’est le meurtre ou l’assassinat d’un nouveau-né non encore inscrit sur les
registres d’état civil.
B. C’est le meurtre ou l’assassinat d’un nouveau-né inscrit sur les registres d’état
civil.
C. C’est le meurtre ou l’assassinat du nourrisson.
D. Il ne peut y avoir d’infanticide que si l’acte criminel a été accompli sur un
nouveau-né vivant.
E. Il ne peut y avoir d’infanticide que si l’acte criminel a été accompli sur un
nouveau-né viable.
Réponse : A D E
11. A propos de la vitalité et de la viabilité en cas d’infanticide (RF)
A. Le point de Béclard à une valeur pathognomonique de gestation conduite à
terme.
B. Les poumons fœtaux, n’ayant pas respiré, sont denses, lisses, de couleur lilas
foncé.
C. Les poumons n’ayant pas respiré sont légers, emplissent la cavité pulmonaire
avec des lobules aérés, crépitant à la palpation.
D. Dans les épreuves hydrostatiques, les poumons qui ont respiré ont une densité
inférieure à l’eau et donc, flottent à la surface, on les dit « nageurs ».
E. Dans les épreuves hydrostatiques les poumons n’ayant pas respiré ont une
densité supérieure à l’eau, et donc plongent au fond du bocal, on les dit «
plongeurs ».
Réponse : C
La maltraitance envers les enfants
1. Le syndrome de Silverman (cochez la réponse fausse) :
A. Entité radiologique de l'enfant maltraité.
B. Pathognomonique de sévices à enfant
C. Syndrome de bébé secoué.
D. Fractures négligées d'âges différents
E. Signalement est obligatoire,
Réponse :
2. Le syndrome de Tardieu-Silverman cocher la ou les réponses justes) :
A. Désigne le syndrome des enfants battus 33
B. Appelé le syndrome des os de verre
C. Se caractérise par des fractures multiples le plus souvent négligées
D. Comporte des lésions métaphysaires et diaphysaires d’âge diffèrent.
E. Représenté par des déficits neurologiques post traumatiques et hématomes
extra duraux
Réponse :
3. Penser aux maltraitances à enfant devant (Cochez les réponses justes) :
A. Multiplicité des consultations et nomadisme médicale.
B. Discordance entre les lésions et les causes avancées par l'entourage.
C. Association de lésions d'âge différent.
D. Présence de lésions simples et récentes avec absence de lésions anciennes.
E. Une simple correction parentale.
Réponse :
4. A propos des maltraitances envers des enfants (Cochez la réponse fausse) :
A. Elles sont définies et réprimées par l'article 269 du Code pénal Algériens
B. Elles sont de formes diverses regroupant toutes l'existence d'une menace à
l'intégrité physique ou psychique d'un enfant.
C. Elles peuvent associer des lésions de nature et d'âge différents.
D. Elles regroupent seulement les violences physiques.
E. Il faut savoir différencier les sévices réels, des accidents et des états
pathologiques.
Réponse :
5. à propos de la maltraitance envers les enfants (cocher la ou les réponses
fausses) :
A. Elle peut consister uniquement en privation volontaire de volus et de la
nourriture.
B. Elle ne peut en aucun cas délier le médecin du secret.
C. Elle est définie et réprimée par le code pénal algérien
D. Elle est de forme diverse regroupant l’existence d’une menace à l’intégrité
physique et psychique d’un enfant.
E. Elle peut s’associer à des lésions de nature et d’âge différents.
Réponse :
L’avortement criminel et ITG
1. Quel est le délai légal de réalisation d’une interruption volontaire de grossesse
pour motif thérapeutique ?
A. Pas de délai légal (à toute époque).
B. 12 semaines d’aménorrhée.
C. 14 semaines d’aménorrhée.
D. 20 semaines d’aménorrhée.
E. 24 semaines d’aménorrhée.
Réponse : A
2. Citez la ou les condition(s) légale(s) nécessaire(s) pour l’interruption de grossesse 34
pour motif thérapeutique :
A. Péril grave pour la santé de la mère.
B. Affection grave ou incurable de l’enfant à naître reconnue au moment du
diagnostic de grossesse.
C. Grossesse inférieure à 22 semaines.
D. Autorisation du père.
E. Avis de deux médecins dont un expert judiciaire après examen et discussion.
Réponse :
3. L’interruption volontaire de grossesse pour motif thérapeutique peut être
pratiquée sur attestation médicale dans la ou les circonstance(s) suivante(s) :
A. Lorsque la poursuite de la grossesse met en péril grave la santé de la femme.
B. Lorsque la grossesse est consécutive à un viol ou à une relation incestueuse.
C. En cas de forte probabilité pour l’enfant à naître d’une affection d’une
particulière gravité et reconnue comme incurable au moment du diagnostic.
D. Lorsque la mère est âgée de plus de 40 ans.
Réponse :
4. Pour pratiquer un avortement thérapeutique, il faut l’accord :
A. Du préfet ou de son représentant.
B. Du médecin traitant ;
C. D’un médecin exerçant son activité dans un hôpital public ou privé agréé ;
D. D’un médecin inscrit sur la liste des experts près de la Cour d’Appel,
E. De la patiente
Réponse :
5. L’interruption de grossesse pour motif thérapeutique :
A. Ne peut avoir lieu qu’après examen par deux médecins.
B. Peut être effectuée à tout moment de la grossesse.
C. Peut être refusée par la patiente.
D. Peut être demandée par le conjoint.
E. Doit avoir lieu avant la 10ème semaine de grossesse.
Réponse :
6. Citer la (ou les) condition(s) légale(s) nécessaire(s) pour l’interruption de
grossesse pour motif thérapeutique :
A. Péril grave pour la santé de la mère.
B. Affection grave ou incurable de l’enfant à naître reconnue au moment du
diagnostic ;
C. Grossesse inférieure à 22 semaines ;
D. Autorisation du père ;
E. Avis de deux médecins dont un expert judiciaire après examen et discussion.
Réponse :
Intoxication Au Monoxyde de Carbone
1. A L’examen d’un cadavre, quel signe est spécifique d’une intoxication par le
monoxyde de carbone ?
A. La présence de fumées sur le corps.
B. La présence d’un champignon de mousse buccal.
C. La présence de lividités paradoxales.
D. La pâleur des téguments.
E. La présence d’une tache verte en fosse iliaque droite.
Réponse : c
2. Concernant le monoxyde de carbone, quelles propositions sont exactes ? 35
A. Il se lie avec autant d’affinité que l’oxygène à l’hémoglobine.
B. Il se forme lors de la combustion incomplète des matières organiques.
C. C’est un gaz inodore.
D. Il peut engendrer une méthémoglobinémie.
E. C’est un gaz incolore.
Réponse :
3. Intoxication au CO : La RF
A. En rapport dans certain cas à une inhalation pulmonaire.
B. Fréquente en hiver.
C. Fréquente à l’extérieur.
D. Responsable d’une asphyxie mécanique.
E. La spectrométrie destructrice permet le dosage du CO.
Réponse :
4. L’intoxication par le monoxyde de carbone :
A. Est plus fréquente l’été.
B. Est plus fréquente l’hiver.
C. Survient toujours à l’extérieur d’un bâtiment.
D. Se fait par pénétration transcutanée.
E. Se produit dans les locaux confinés.
Réponse : B D E
5. Le monoxyde de carbone est un (cochez la réponse juste) :
A. Toxique minéral.
B. Toxique gazeux.
C. Toxique volatile.
D. Toxique organique.
Réponse : B
6. Le monoxyde de carbone : (cochez la ou les réponses fausses)
A. Est un poison volatil très insidieux
B. Résulte de la combustion complète des composés carbonés
C. Est souvent présent dans une atmosphère confinée
D. Diffuse très peu dans l’environnement
E. Peut être produit par l’homme
Réponse :
7. Intoxication au CO : cochez la réponse juste
A. Est le résultat de combustion complète des composés carbonés
B. Il diffuse lentement dans l’environnement
C. Est exclusivement par voie pulmonaire
D. Sa densité n’est pas voisine à celle de l’eau
E. Le CO est un gaz qui est une odore
Réponse : C
8. Parmi les polluants atmosphériques, lequel est le meilleur indicateur de la
pollution atmosphérique par les véhicules automobiles ?
A. SO₂ = anhydride sulfureux
B. NO₂ =bioxyde d’azote
36
C. CO = monoxyde de carbone
D. 3-4 benzopyrène = hydrocarbure
E. O₃ = ozone
Réponse :
Examen de TD
Cas clinique 01 : choisir une réponse juste parmi les cinq propositions :
Une femme âgée de 75 ans décédée subitement en son domicile aux environs de
08 heures du matin a été ramenée aux urgences du CHU d’Oran. Vous avez fait le
constat de certitude de la mort
L’interrogatoire de sa famille retrouve la notion d'un AVP il y a quelque jrs ainsi des
ATCO d'une HTA avec une notion d'une AVC Ischémique remontant à un an.
1. L’examen du corps ne retrouve aucune trace de lésion de violence suspecte.
Vous Aves rempli le formulaire du certificat de décès :
A. A la demande de sa famille. 37
B. A la demande du directeur de l'hôpital.
C. Sue réquisition de la police ou de la gendarmerie.
D. Sur réquisition du procureur de la république.
E. A la demande des éléments de la protection civile.
Réponse :
2. Dans le formulaire vous cochez la case de :
A. mort naturelle.
B. mort violente.
C. mort indéterminée.
D. mort subite.
E. mort suspecte.
Réponse : C
3. La cause initiale de la mort est :
A. L'arrêt cardiaque subi.
B. L'AVP.
C. Les complications de sa pathologie hypertensive.
D. Indéterminée.
E. Déterminée par l'association de l'AVP et pathologique.
Réponse :
4. La cause directe de la mort :
A. est l'arrêt cardiaque subi.
B. L'AVP.
C. L'AVC.
D. Associe L'AVP et L'AVC.
E. Est indéterminée.
Réponse :
5. Ce certificat de décès va permettre de délivrer le permis d'inhumer qui sera
établi dans notre cas par :
A. directement par l'état civil.
B. par l'état civil après formation de la police judiciaire.
C. par l'état civil après formation du procureur de la république.
D. Directement par le procureur de la république.
E. par l'état civil après autorisation de maire ou de l'officier d'état civil.
Réponse :
Cas clinique 02 : Une famille entière est retrouvée décédée après l'incendie de leur
maison ; d'après les éléments de la levée de corps, il n'y a pas de signes marqués
de brulures sur les cadavres des quatre personnes qui constituent cette famille.
Les éléments de la protection civile ont dosé le Co dans l'air et l'ont trouvé à un taux
avoisinant les 68%.
L'autopsie des cadavres a révélé une rigidité cadavérique cataleptique avec
présence de phlyctènes au niveau de la peau et une coloration rose carminée des
muscles et des muqueuses :
1. Dans ce cas précis est-ce que la mort de ces personnes est de cause : la
réponse juste)
A. Naturelle ;
B. Violente ; 38
C. Indéterminée ;
D. Toutes les réponses sont justes ;
E. Toutes les réponses sont fausses.
Réponse : B
2. Après les constatations de l'autopsie, quels sont les examens demandés pour
confirmer la cause de décès ? (la réponse juste)
a) Dosage du Co dans le sang par spectrophotométrie infra rouge.
b) Détermination du pourcentage de HbCO par spectrophotométrie.
c) Dosage du Co dans le tissu splénique.
d) Dosage du Co dans le tissu hépatique.
e) Toutes les réponses sont justes.
Réponse :
3. Si les résultats toxicologiques sont revenus en faveur d'un taux de HBCO supérieur
70% :(la réponse juste).
A. L'intoxication par le Co est massive.
B. L'intoxication par le Co est aigue.
C. L'intoxication par le Co est chronique.
D. Il n'y a aucune intoxication par le monoxyde de carbone.
E. Toutes les réponses sont fausses.
Réponse : B
Cas Clinique 03 : Un homme de 43 ans, kifomene chronique, chute de sa hauteur à
la suite d'un arrêt cardiaque, subit pendant sa garde à vue et fut réanimé par le
SAMU et transféré aussitôt aux UMC du CHU Oran ou un scanner pratiqué a révélé
une thrombose cérébrale associer à une thrombose de la veine cave intérieure et
décédé deux mois après avoir sombré dans un coma irréversible
1. Le certificat de décès ainsi établi révèle : (réponse juste)
A. Que la mort est naturelle.
B. Que la mort est violente.
C. Que la mort est indéterminée.
D. Que la mort est suspecte.
E. Que la mort est subite et suspecte.
Réponse : A
2. La cause initiale dans ce cas est : (réponse juste)
A. La chute de sa hauteur.
B. L'arrêt cardiaque.
C. La prise habituelle de cannabis.
D. Du la thrombose cérébrale.
E. La thrombose de la veine cave inférieure.
Réponse : B
3. La cause directe de la mort est : (réponse juste)
A. Le coma irréversible.
B. La thrombose cérébrale et celle de veine cave inférieure.
C. L'arrêt cardiaque et la prise habituelle de cannabis.
D. L'arrêt cardiaque suivi de la chute.
E. L'arrêt cardiaque associé à la thrombose vasculaire.
Réponse : B

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BON COURAGE
BANQUE DE QCMs
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23-01-2021

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