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INTRODUCTION :
L’économie sociale et solidaire es-tu une justice sociale et solidaire. On est dans l'idée que
c'est un type d'économie qui s'oppose radicalement
Le libéralisme génère de façon inhérente (qui virent de soi) va favoriser les talents. C’est de
nature inégalitaire car ce qui ne sont pas talentueux ils ne servent à rien.
John Rawls est un des plus grands intellectuels qui a pensé la théorie de la justice sociale.
Comme J.R l’a dit ceux qui ont les talents. Favorise ce qui ont du talent n’y sont pour rien.
Le libéralisme va favoriser les talents, favoriser ce qui vont créer des emplois. il faut mettre
en place une économie alternative au libéralisme, en favorisant des politiques
redistributive.
Pour Rawls Une société juste, c’est une société qui accorde à chaque personne le plus de
liberté possible
Économie sociale et solidaire : c'est une alternative au libéralisme
L’économie sociale et solidaire c’est une économie au service de l’homme cad a pour but le
partage équitable
Problème : le politique estime que quitter les institutions est plus compliqué.
On ne peut faire du social que si on a le moyen donc afin de faire le social il faut créer des
richesses
Justice sociale égale diminution où augmentation des inégalités
Est-ce qu’Il y a plusieurs façons de traiter les inégalités ?
1ére façon : liberté, Egalité, fraternité, on a un droit à la baisse d'inégalités.
Par exemple :
La CAF (c'est la caisse des allocations familiales) c’est une des solution ou on a des
prestations.
Égalité des conditions : hé si on est malade ou vieux on n'est pris en charge.
En Europe on a fait un compromis entre croissance et bien-être, 3/4 des gens ne sont
pas ultra riches mais des classements moyennes
Donc il faut avoir une égalité des conditions quelle que soit la personne que nous sommes
Dernière façon : principe de différence
Ceux qui sont les plus fragiles, on doit les prendre en considération cela n'est pas seulement
à prendre en compte. On peut aussi prendre en considération les gens qui sont en bas de la
marge de la société (les plus démunis) on redistribue de l'argent afin d'équilibrer les
différences entre les plus riches et les plus pauvres.
John Rawls qui a inventé le voile de l'ignorance (le concept de la position d’origine) et la
théorie de la justice sociale ? et la conception de la position originaire (quand on arrive au
monde par exemple on ne sait pas qui on est)
John Royce postulé que les individus sont égoïstes mais puisqu’ils sont égoïstes, on a
tous peur que cela nous impacte et comme individu égal égoïste et rationnel il va
choisir ses qui lui est favorable. Dans le doute rationnellement il va opter pour que
les sociétés valorisent les constitutions des plus pauvres.
C’est le concept de la voile d'ignorance : c'est une expérience fictive, ?? de principe de
justice sans connaître sa place dans la société ?? donc individu sans connaître la possibilité
d'être un homme ou une femme, c'est le coup de on ne sait pas si on est de type européen
donc rationnellement on va aider tous ceux qui en ont besoin directement sans le vouloir et
comme personne n'a rationnellement mais je veux pas faire partie d'une personne
discriminée donc le sort de plus défavorisé va être pris en compte par tous.
Pour Royce, une société juste c'est une société qui accorde à chaque personne le plus de
liberté possible.
Liberté = concept philosophique, c'est de faire ce que l'on veut être libre de vivre la vie que
l'on veut.
Royce dit également
IL a fait 2 concepts :
1er : voile d'ignorance = c'est une expérience fictive => principe de justice sans connaître sa
place dans société => donc chaque individu sans connaitre la possibilité d'être un homme
ou une femme, on ne sait pas si on est de type européen donc rationnellement on va aider
tous ceux qui en ont besoin indirectement sans le vouloir et comme personne
rationnellement ne veut pas faire partie d’une personne discriminée donc le sort des +
défavorisés va être pris en compte par tous.
• 2éme : principe d'ignorance => les inégalités peuvent être tolérées mais il faut qu'elles
soient méritées.
: le médecin gagne beaucoup mais en contrepartie il soigne les gens donc c'est une
richesse méritée.
3éme : le Maximin = l'idée Maximin c'est qu'il faut maximiser les gains de ceux qui en ont le
moins, le minimum. On maximise les gains des + défavorisé, Comment faire pour valoriser
le Maximin ?
On maximise les biens sociaux premiers (tout ce qu'un individu rationnel désire.
C’est comme avoir des droits, être libres, avoir un minimum de richesse)
La justice sociale c'est de donner de la même force à tous, possibilité de mener une vie
pour soi. Donc la société injuste c'est une société ou les biens premiers ne bénéficient pas à
tous
2. ESS : alternative au capitalisme
Les machines aident les capitalistes d'évoluer et de gagner de l'argent, c'est plus pratique.
Ceux qui travaille c'est ceux qui n'ont pas de machines, ceux qui ne travaillent pas c'est ceux
qui ont les machines c'est-à-dire les moyens de production.
Dans le monde économique : II y a un capitaliste qui possède les moyens de production et
ceux qui ne possèdent que leur force de travail.
Une machine c'est ce qui permet de produire, c'est donc un moyen de production. On a des
travailleurs et des propriétaires. Un capitaliste c'est celui qui possède du capital (machines).
Il y a du capital fixe. Par ex : une machine lourde qui ne bouge pas ; capital immobilier donc
les maisons etc.
c'est comme avoir des droits, être libres, avoir un minimum de richesse)
La justice sociale c'est de donner de la même force à tous, possibilité de mener une vie
pour soi. Donc la société injuste c'est une société ou les biens premiers ne bénéficient pas à
tous
2. ESS : alternative au capitalisme
Les machines aident les capitalistes d'évoluer et de gagner de l'argent, c'est plus pratique
Ceux qui travaille c'est ceux qui n'ont pas de machines, ceux qui ne travaillent pas c'est ceux
qui ont les machines c'est-à-dire les moyens de production.
Dans le monde économique : II y a un capitaliste qui possède les moyens de production et
ceux qui ne possèdent que leur force de travail.
Une machine c'est ce qui permet de produire, c'est donc un moyen de production. On a des
travailleurs et des propriétaires. Un capitaliste c'est celui qui possède du capital (machines).
Il y a du capital fixe. Par ex : une machine lourde qui ne bouge pas ; capital immobilier donc
les maisons etc.
Au début de l'ère industrielle, les gens qui vont travailler dans les industries, ce sont les
gens qui partent de la campagne, et donc ils sont perdus => ils ont donc tendances a faire la
fête, boire, et ils vont être ruinés. Donc le chef d'entreprise va se dire qu'il doit moraliser
ses ouvriers. Le chef d'entreprise va fonctionner comme un père d'enfant : il va donner des
primes et accorder des vacances si ses travailleurs travaillent bien. MAIS ce sont en fait des
incitations à travailler plus, c'est l'effet pervers, car les ouvriers vont se mettre à travailler
plus dur pour gagner des primes... Si l'ouvrier se comporte mal, il va falloir le punir, en
disant qu'il fait ça pour un bien. Donc il v a y avoir cette ambiguïté dans le paternalisme qui
fait qu'il va avoir 2 type de paternalisme :
L’idée maximi : il faut maximisé les gains de ceux qui en n’ont le moins
Pour maximise le
En parallèle de l’acculturation de capital va des banque afin des financé des produit,
industrielle
Il y’a deux types de paternalismes : le paternalismes bien veillent et mal veillent
Le capitalisme technocratique
Un statut privé,
La primauté de l’humain sur le capital,
Un secteur économique à part entière qui œuvre sur le marché mais avec ses
principes propres,
L’indivisibilité des réserves : patrimoine collectif et impartageable,
Une finalité explicite au service de la collectivité : intérêt général et utilité sociale
(inscrite dans les statuts de l'entreprise),
Un ancrage territorial des entreprises,
L’indépendance politique.
Les formes de l'économie sociale
L'économie sociale est constituée par les organisations qui la composent, qui ont
traditionnellement des statuts associatifs, coopératifs ou mutuellistes. L’économie solidaire
se définit plus que l'économie sociale par la finalité de ses activités, et revendique des
nouvelles formes de gouvernance remettant en cause celle - plus figée - de l'économie
sociale traditionnelle. On peut inclure dans ces nouvelles initiatives plus récentes les
associations pour le maintien d'une agriculture paysanne (AMAP) visent à préserver
l'existence de fermes de proximité, le nouveau statut juridique de société coopérative
d'intérêt collectif (Scic), les monnaies locales, les systèmes d'échanges locaux, le commerce
équitable.
L'économie sociale comme secteur
Les économies peuvent être considérées comme ayant trois secteurs :
B. L’économie solidaire
Plus floue, l’« économie solidaire » peut être considérée comme le résultat d'un
mouvement qui s'est affirmé dans les années 1990, se définissant plus par la finalité de
l'organisation, parfois ses activités et sa gouvernance, indépendamment de son statut :
commerce équitable, insertion par l'activité économique, etc. Le terme solidaire tend à
caractériser une forme de réciprocité, prioritaire sur les principes du marché et de la
distribution. Elle se définit d'une façon politique, comme l’ensemble des activités de
production, d’échange, d’épargne et de consommation contribuant à la démocratisation de
l’économie à partir d’engagements citoyens
Juridiquement, une Scop (Société coopérative de production) est une société coopérative
de forme SA, SARL ou SAS dont les salariés sont les associés majoritaires et le pouvoir y est
exercé démocratiquement.
Les salariés détiennent au moins 51 % du capital social et 65 % des droits de vote. Si tous
les salariés ne sont pas associés, tous ont vocation à le devenir. Chaque salarié associé
dispose d’une voix, quel que soit son statut, son ancienneté et le montant du capital investi.
L’Etat a un droit de regard sur les SCOP et l’Etat a aussi égale donnera la propriété a la SCOP
en matière de marché publique
Le crédit agricole c’est une banque coopérative
L’association coopérative n’est pas un groupement instinctif, mais une forme déjà
structurée de la vie en société. On peut imaginer à juste titre que les premières
manifestations coopératives ont été spontanées sous forme d’entraide (économie
politique), ou de troc de services et de nombreuses formes de « préhistoire coopérative »
(c'est-à-dire avant la formation de règles et de lois organisant le mutualisme en France).
La plupart des dépenses de protection sociale sont financées par les prélèvements
obligatoires. Les impôts permettent de payer les dépenses inscrites aux budgets de l'État ou
des collectivités territoriales. Les cotisations sociales patronales et salariales permettent de
financer les dépenses de la Sécurité sociale. Les administrations privées sont par les dons
des particuliers et les subventions éventuellement reçues de l'État, des collectivités
territoriales ou même des organismes supra-nationaux (l'Union européenne verse des
subventions à certaines associations s'occupant de l'aide alimentaire ou du logement des
exclus, par exemple).
La crainte de la réalisation d’un risque
Les Français se sont basés sur les modèles BISMARCKIENNE et BEVERIDEGIEN pour s’inspiré
de la protection sociale.
Otto von Bismarck, il a créé le premier système de protection sociale
Ce courant est influencé par l'humanisme. Parfois lié au christianisme social comme chez
Philippe Buchez, il s'éloigne néanmoins radicalement du christianisme institutionnel chez
Saint-Simon, qui construit un système athée. Le socialisme utopique s'inscrit à l'origine dans
une perspective de progrès et de confiance dans l'homme et la technique. Il connaît son
apogée avant 1870, avant d'être éclipsé, au sein du mouvement socialiste, par le succès du
marxisme. La notion de socialisme utopique a été conçue par Friedrich Engels et reprise par
les marxistes (qui l'opposent à la notion de socialisme scientifique) ; le qualificatif
d'utopique, accolé au socialisme, est donc né d'une intention polémique avant d'être
ensuite consacré par l'usage. Les doctrines qu'englobe le socialisme utopique ne sont, pour
les adversaires de ces idées, pas plus utopiques que toute autre doctrine tendant vers la
réalisation d'une société idéale n'ayant encore jamais existé (y compris les doctrines
marxistes qui annoncent, à terme, l'avènement d'une société sans classes).
Le phalanstère est le premier laboratoire des sciences sociale, on dit que Fourrier fait de
l’expérimentalisme sociale.
3.2.
3.3. Rendre le travail attrayant.
Fourrier pense que le travail de grouppe est excellent et estime que pour que le grouppe
soit efficient il faut qu’ils soient composés de 7 personnes. Mais il aimerait que pendant le
temps qu’ils travaillent, qu’ils discutent entre eux : la passion cabaliste
La passion papillonne : qui consiste à changer de groupe d’activité,
La plupart ders réalisation seront des « feux de paille » a l’exception de celui de l’Amérique
du nord payer par brisebane
Toute foi on peut quand même a défaut de rien dire que Brisbane est
3.5. Les fondements de l’économie sociale
un véritable complexe coopérative, cette coopération elle va se faire à plusieurs niveaux
1er niveau c'est au niveau du capital : aux niveaux de la rémunération des capitales ? Gaudin
va dire le familistère complexe coopératif on va décliner cette coopération
La règle de 4/12
Un capitaliste Ne pourra récupérer que 4 parts sur 12
Mettez-le en œuvre faites des investissements en fait ce que vous voulez avec et nous
partagerons les bénéfices mais s’il y’a des bénéfices vous en prenez 4 et j’en prend 6
Il y’a du sens une valeur de la personne il est clair que le travail sera bien fait c'est un
double dividende le premier dividende c'est que vous travaillez bien donc vous vous en
épanouirez ici au travail et le 2e dividende c'est la productivité et au rendez-vous donc si on
se sent que vous devez écrire que Godin ça s'inscrit pleinement dans l'économie sociale
La mission de l’économie Sociale et de libérer l'ouvrier
3.6. La synthèse
Il est classé en 4 points
1. Fourrier est mal connus donc l'économie sociale et solidaire a toujours une mauvaise
presse parce que dès l'origine sauf fondateur et méconnu critiquer par Marx et elles
et en plus il rajoute de lui sur le feu en disant des trucs un peu extravagants. Au
début d'âge adulte il va contester la Révolution française parce qu'il la trouve trop
autoritaire
Le phalanstère n’a jamais existé, c'est familistère il existe le phalanstère c'est quelque
chose de théorique qui n'a jamais été créé par son inventeur mais si vous lisez les
livre vous allez voir « Un projet de société qui se dessine »
C'est parce qu’il est intimement persuadé que l'activité industrielle pollues
l’environnement, et que l'activité industrielle génère de la déforestation d’où l’effet de sert
Donc quand je dis un utilitarisme hédonique ça veut dire que lorsque on est dans la sphère
ou du familistère les gens travail pour valoriser leurs propres utilités et en même temps le
bien-être en ce sens
Intro :
Le Rapport Brundtland, 1987 est le nom communément donné à une publication,
officiellement intitulée Notre avenir à tous (Our Common Future), rédigée en 1987 par la
Commission mondiale sur l’environnement et le développement de l'Organisation des
Nations unies, présidée par la Norvégienne Gro Harlem Brundtland. Utilisé comme base au
Sommet de la Terre de 1992, ce rapport utilise pour la première fois l'expression de «
sustainable development », traduit en français par « développement durable », et il lui
donne une définition : « Le développement durable est un mode de développement qui
répond aux besoins des générations présentes sans compromettre la capacité des
générations futures de répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le
concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à
qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos
techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à
répondre aux besoins actuels et à venir. »
La grameen bank c’est de la responsabilité sociale des entreprises est l’application en éco
social et solidaire la plus
La Grameen Bank (littéralement, « Banque des villages ») est une banque spécialisée dans
le micro-crédit. Elle a été créée officiellement en 1983 par Muhammad Yunus au
Bangladesh. Elle dispose de près de 2 564 succursales et travaille dans plus de 81 367
villages. Depuis sa création, elle a déboursé 4,69 milliards de dollars de prêts et affiche des
taux de remboursement de près de 97 %.
L'organisation et son fondateur ont été récompensés du prix Nobel de la paix en 2006[1].
Ole Danbolt Mjøs (président du Comité Nobel norvégien) a dit qu'« Une paix durable ne
peut pas être obtenue sans qu’une partie importante de la population trouve les moyens
de sortir de la pauvreté » et « le microcrédit est l’un de ces moyens ».
Son fondateur, Muhammad Yunus, a été limogé de la Grameen Bank le 2 mars 2011,
probablement du fait de pressions provenant du gouvernement du Bangladesh.
Le successeur de Frank Riboud va faire un partenariat avec Muhammad Yunus la Grameen
Danone Food (joint aventure) mettre
Des risques
Des moyens financiers
Du pilotage
On a un problème aux Bangladesh de la mal nutrition c’est ce qui donne naissance a la
coopération entre Danone et Grameen
QCM : c’est quoi une entreprise social = » une entreprise qui investit ses résultats financiers
au profit de différentes actions sociales. Ou la recherche du profit n’est pas la finalité. Son
activité doit avoir comme but d'apporter du soutien à des personnes en situation de
fragilité et/ou contribuer au développement du lien social et/ou contribuer à l'éducation à
la citoyenneté et/ou de concourir au développement durable, à la transition énergétique,
Danone va créer une société d’investissement à capital variable (société sœur de Danone)
qui est dédier au Bangladesh (Danone communities) qui a comme but d’atteindre le point
mort
Le 1er c’est : l’alimentation enfantine le 2e c'est l'accès à l'eau, le 3e c’est distribution au
travers de la grande banque
Danone communities c’est lui qui va financer le projet de Grameen Danone Food et c’était
perçu comme une externalité positive
Banque des villages = Grameen Bank
Le banquier des pauvres Muhammad Yunus
La grameen Bank a octroyé plus de 4 milliards de dollar et possède plus de 87% de
remboursement
QCM : Est-ce que la logique de la Grameen Bank est de céder des projets : Oui
Le but de la grameen Bank est de sortir les gens dans l’obscurité (la pauvreté)
Les femmes n’avaient pas accès au crédit à la Bangladesh mais avec la grameen Bank c’etais
possible des les octroyer du crédit
4.2.
Déf : sociale businesse : c’est l’entreprise sociale qui lutte contre la pauvreté et le verse
aucune dividende.
Les profits sont entièrement réinvestis dans l’activité social businesse, les investisseurs
peuvent en revanche récupéré leur mise initiale
Le secrétaire générale de l’ONU demande aux entreprise d’adhérer aux pacte mondiale
(c’est lorsque on valorise les norme des droit des travail lorsque on fait pas alliance avec
des pays mafieux )
Elle peut restornée la bio diversité
Elle limité le GES
Elle peut travailler sur l’efficience énergétique
Le devoir de la vigilance : c’est le fait d’élargir la RSE aux 3 stakeholder
Si la RSE n’est pas appliqué il y’aura des sanctions
Il n’y a rien qui oblige les entreprises à adopter la RSE si se n’est que de la volontariat
L’ISR : Investissement Socialement Responsable
CSR ou RSE : Corporate Social Responsability ; Responsabilité Sociale des Entreprises
ESG : Environnement Société Gouvernement
Le CSR c’est fonder sur le comportement responsable sur les entreprises
L’uss c’est une alternative économique financière
Problèmes environnementaux
L’USS est nouvelle façon de produire et de consommer tout en augmentant la cohésion
sociale
Commerce équitable alternative aux commerce classique
Le premier à avoir parlé de commerce équitable c’est Rober OWEN … mais le commerce
équitable va prendre son essor a la fin de la seconde guerre mondiale
On est dans la chrématistique
L’échange est juste si sa permet de vivre mieux
Le juste prix c’est l’idée qui va s’approché
Le juste prix c’est ce qui intègre le bien social
épargne solidaire
A partir de la fin des années 80 on va avoir le premier label du commerce qui s’appelle Max
Havelaar qui va populariser le commerce équitable
Il ne s’agit pas de crée des filières alternatives dédié aux commerces équitables mais
d’intégrer la filière classique et meme d’ouvrir la porte pour qu’il devienne équitable
Le respect du cahier de charge
Max Havelaar presente80% du commerce équitable
Le commerce équitable est différent du commerce solidaire différent du commerce
conventionnel
Commerce équitable
échange économique où la partie la plus puissante s'engage à respecter les intérêts de la
partie la plus défavorisée.
Commerce solidaire
Le commerce solidaire permet au consommateur de soutenir par son achat une
organisation de solidarité, par exemple, une entreprise d’insertion qui embauche un
personnel habituellement marginalisé du marché de l’emploi.. Le commerce solidaire
relève de l’économie sociale et solidaire.
Ses critères de définition sont moins globaux que ceux du commerce équitable car il n’y a
pas de contrôle rigoureux de l’ensemble des modalités de production et de distribution,
mais seulement une initiative de solidarité dans le processus. La solidarité s'exerce le plus
souvent dans un cadre national.
Le commerce conventionnel, fondé sur le principe de l'économie de marché, n'a pas permis
de réduire les inégalités voire les a renforcées dans les pays défavorisés.
Limites du commerce équitable
- Une tendance à un circuit long (augmente la distance entre le consommateur et le
producteur et s’a pour but de diluer la responsabilité du producteur)
E.DEKKER
II. L’Epargne Solidaire
Il y’a plusieurs épargnes :
- L'épargne disponible est également appelée " épargne liquide ". Elle permet de se
constituer une épargne de précaution pour la vie de tous les jours ou de réaliser des
placements financiers en vue de projets (immobilier, retraite, transmission du
patrimoine, etc.).
- L'épargne solidaire est une pratique consistant à s'assurer que son épargne est
(ré)investie dans des activités à utilité sociale, sanitaire et/ou environnementale,
relevant de l'économie sociale et solidaire.
L’innovation sociale : L'innovation sociale consiste à élaborer des réponses nouvelles à des
besoins sociaux nouveaux ou mal satisfaits dans les conditions actuelles du marché et des
politiques sociales, en impliquant la participation et la coopération des acteurs concernés,
notamment des utilisateurs et usagers. Ces innovations concernent aussi bien le produit ou
service, que le mode d'organisation, de distribution, dans des domaines comme le
vieillissement, la petite enfance, le logement, la santé, la lutte contre la pauvreté,
l'exclusion, les discriminations