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L’économie sociale et solidaire

INTRODUCTION :
L’économie sociale et solidaire es-tu une justice sociale et solidaire. On est dans l'idée que
c'est un type d'économie qui s'oppose radicalement
Le libéralisme génère de façon inhérente (qui virent de soi) va favoriser les talents. C’est de
nature inégalitaire car ce qui ne sont pas talentueux ils ne servent à rien.
John Rawls est un des plus grands intellectuels qui a pensé la théorie de la justice sociale.
Comme J.R l’a dit ceux qui ont les talents. Favorise ce qui ont du talent n’y sont pour rien.
Le libéralisme va favoriser les talents, favoriser ce qui vont créer des emplois. il faut mettre
en place une économie alternative au libéralisme, en favorisant des politiques
redistributive.
Pour Rawls Une société juste, c’est une société qui accorde à chaque personne le plus de
liberté possible
Économie sociale et solidaire : c'est une alternative au libéralisme
L’économie sociale et solidaire c’est une économie au service de l’homme cad a pour but le
partage équitable
Problème : le politique estime que quitter les institutions est plus compliqué.
On ne peut faire du social que si on a le moyen donc afin de faire le social il faut créer des
richesses
Justice sociale égale diminution où augmentation des inégalités
Est-ce qu’Il y a plusieurs façons de traiter les inégalités ?
1ére façon : liberté, Egalité, fraternité, on a un droit à la baisse d'inégalités.
Par exemple :
 La CAF (c'est la caisse des allocations familiales) c’est une des solution ou on a des
prestations.
 Égalité des conditions : hé si on est malade ou vieux on n'est pris en charge.
 En Europe on a fait un compromis entre croissance et bien-être, 3/4 des gens ne sont
pas ultra riches mais des classements moyennes
Donc il faut avoir une égalité des conditions quelle que soit la personne que nous sommes
Dernière façon : principe de différence
Ceux qui sont les plus fragiles, on doit les prendre en considération cela n'est pas seulement
à prendre en compte. On peut aussi prendre en considération les gens qui sont en bas de la
marge de la société (les plus démunis) on redistribue de l'argent afin d'équilibrer les
différences entre les plus riches et les plus pauvres.
John Rawls qui a inventé le voile de l'ignorance (le concept de la position d’origine) et la
théorie de la justice sociale ? et la conception de la position originaire (quand on arrive au
monde par exemple on ne sait pas qui on est)
 John Royce postulé que les individus sont égoïstes mais puisqu’ils sont égoïstes, on a
tous peur que cela nous impacte et comme individu égal égoïste et rationnel il va
choisir ses qui lui est favorable. Dans le doute rationnellement il va opter pour que
les sociétés valorisent les constitutions des plus pauvres.
C’est le concept de la voile d'ignorance : c'est une expérience fictive, ?? de principe de
justice sans connaître sa place dans la société ?? donc individu sans connaître la possibilité
d'être un homme ou une femme, c'est le coup de on ne sait pas si on est de type européen
donc rationnellement on va aider tous ceux qui en ont besoin directement sans le vouloir et
comme personne n'a rationnellement mais je veux pas faire partie d'une personne
discriminée donc le sort de plus défavorisé va être pris en compte par tous.
Pour Royce, une société juste c'est une société qui accorde à chaque personne le plus de
liberté possible.
Liberté = concept philosophique, c'est de faire ce que l'on veut être libre de vivre la vie que
l'on veut.
Royce dit également
IL a fait 2 concepts :
1er : voile d'ignorance = c'est une expérience fictive => principe de justice sans connaître sa
place dans société => donc chaque individu sans connaitre la possibilité d'être un homme
ou une femme, on ne sait pas si on est de type européen donc rationnellement on va aider
tous ceux qui en ont besoin indirectement sans le vouloir et comme personne
rationnellement ne veut pas faire partie d’une personne discriminée donc le sort des +
défavorisés va être pris en compte par tous.
• 2éme : principe d'ignorance => les inégalités peuvent être tolérées mais il faut qu'elles
soient méritées.
: le médecin gagne beaucoup mais en contrepartie il soigne les gens donc c'est une
richesse méritée.
3éme : le Maximin = l'idée Maximin c'est qu'il faut maximiser les gains de ceux qui en ont le
moins, le minimum. On maximise les gains des + défavorisé, Comment faire pour valoriser
le Maximin ?
On maximise les biens sociaux premiers (tout ce qu'un individu rationnel désire.
C’est comme avoir des droits, être libres, avoir un minimum de richesse)
La justice sociale c'est de donner de la même force à tous, possibilité de mener une vie
pour soi. Donc la société injuste c'est une société ou les biens premiers ne bénéficient pas à
tous
2. ESS : alternative au capitalisme
Les machines aident les capitalistes d'évoluer et de gagner de l'argent, c'est plus pratique.
Ceux qui travaille c'est ceux qui n'ont pas de machines, ceux qui ne travaillent pas c'est ceux
qui ont les machines c'est-à-dire les moyens de production.
Dans le monde économique : II y a un capitaliste qui possède les moyens de production et
ceux qui ne possèdent que leur force de travail.
Une machine c'est ce qui permet de produire, c'est donc un moyen de production. On a des
travailleurs et des propriétaires. Un capitaliste c'est celui qui possède du capital (machines).
Il y a du capital fixe. Par ex : une machine lourde qui ne bouge pas ; capital immobilier donc
les maisons etc.
c'est comme avoir des droits, être libres, avoir un minimum de richesse)
La justice sociale c'est de donner de la même force à tous, possibilité de mener une vie
pour soi. Donc la société injuste c'est une société ou les biens premiers ne bénéficient pas à
tous
2. ESS : alternative au capitalisme
Les machines aident les capitalistes d'évoluer et de gagner de l'argent, c'est plus pratique
Ceux qui travaille c'est ceux qui n'ont pas de machines, ceux qui ne travaillent pas c'est ceux
qui ont les machines c'est-à-dire les moyens de production.
Dans le monde économique : II y a un capitaliste qui possède les moyens de production et
ceux qui ne possèdent que leur force de travail.
Une machine c'est ce qui permet de produire, c'est donc un moyen de production. On a des
travailleurs et des propriétaires. Un capitaliste c'est celui qui possède du capital (machines).
Il y a du capital fixe. Par ex : une machine lourde qui ne bouge pas ; capital immobilier donc
les maisons etc.
Au début de l'ère industrielle, les gens qui vont travailler dans les industries, ce sont les
gens qui partent de la campagne, et donc ils sont perdus => ils ont donc tendances a faire la
fête, boire, et ils vont être ruinés. Donc le chef d'entreprise va se dire qu'il doit moraliser
ses ouvriers. Le chef d'entreprise va fonctionner comme un père d'enfant : il va donner des
primes et accorder des vacances si ses travailleurs travaillent bien. MAIS ce sont en fait des
incitations à travailler plus, c'est l'effet pervers, car les ouvriers vont se mettre à travailler
plus dur pour gagner des primes... Si l'ouvrier se comporte mal, il va falloir le punir, en
disant qu'il fait ça pour un bien. Donc il v a y avoir cette ambiguïté dans le paternalisme qui
fait qu'il va avoir 2 type de paternalisme :
L’idée maximi : il faut maximisé les gains de ceux qui en n’ont le moins
Pour maximise le

Un biens sociale premier c’est tout ce qu’un individue désire avoir.


Si on valorise le bien premier tout le monde aura la possibilité de de tous et la possibilité
Société injuste c'est une société bien premier ne bénéficie pas a tous
2. Alternative au capitalisme
On est dans l’idée que on va avoir le capitalisme va s’accumuler
Avec l’air industriel qui cpmmence le capitaliste deviens ( les machine et
les outils).

En parallèle de l’acculturation de capital va des banque afin des financé des produit,
industrielle
Il y’a deux types de paternalismes : le paternalismes bien veillent et mal veillent

Le capitalisme technocratique

ESS égale association, coopérative


L’économie sociale c’est la somme des coopérative mutuelle association et cofondassions
C’est un groupement d’individue( commerçant, consommateur ou producteur) qui ont la
particularité de mettre en capacité leurs moyen en commun afin de satisfaire leurs besoins
La coopérative fonction sur le fait un homme (X) égale une voix .
Pour les mutuelles
Une mutuelle est un système de prévoyance contre les risques
Avant la mutuelle était géraient par les entreprises.
Les associations 1 er juillet 1901, Waldeck-Rousseau Pierre marie Rooney, (1846-1904, un
homme politique )
Dans la faite de s’associe il y’a indéniablement de se mettre d’accord sur le prix
Waldeck rousseau C’est celui qui met en place les associations ????
2 mars 1791 décret d’Allarde : La loi d'Allarde vise à renouveler l'édit de Turgot de 1776
supprimant les corporations, et libéralisant le commerce des grains. Cette mesure avait
provoqué tellement d'émeutes populaires pour protester contre la baisse des salaires et
l'augmentation du prix du pain, que le roi avait dû renvoyer Turgot le 13 mai 1776 et
rapporter sa loi.
La loi d'Allarde est d'abord votée sous la forme d'un décret, le. C'est le baron Pierre
d'Allarde qui le soutient, en affirmant que « la faculté de travailler est un des premiers
droits de l'homme »

14 juin 1791 lois la liberté d’entre prendre


Il met en place l’autorisation de s’associer
 Être au moins deux personnes
 N’est pas avoir pour but le partage des bénéfices

Une association doit avoir une activité sociale et dégager des bénéfices
Une fondation doit toujours servir un intérêt général (éducatif, humanitaire)
Il y’a 3 conditions pour monter une Fondation
1. Qu’elle soit reconnue par l’Etat
2. Qu’elle puisse recevoir des dons, des lègues
3. Qu’il ait un caractère irrévocable
La fondation est ???? mise en cause publique.
Une association fonctionne de façon démocratique une fondation possède une
organisation pyramidale
L’éco sociale c’est toutes les initiatives qui placent les personnes aux centre du
développement administratives
L’ESS s’inscrits aux tiers états
L’expression économique sociale est apparue en 15 décembre 1981 au travers d’un
règlement.

I. Précision entre économie sociale et économie solidaire


A. Economie sociale
Le terme d'économie sociale stricto sensu fait référence à l'approche qui délimite
historiquement le secteur en fonction du statut juridique des organisations : dans cette
approche, l'économie sociale désigne les associations, coopératives, mutuelles, fondations,
fonds de dotation, indépendamment de leur objet social ou activités.
Les organisations de l'économie sociale adhèrent à des principes fondateurs, parmi lesquels
: la recherche d'une utilité collective, la non-lucrativité ou la lucrativité limitée (bénéfices
réinvestis au service du projet collectif), une gouvernance démocratique (primauté des
personnes sur le capital : « 1 personne = 1 voix », implication des parties prenantes).

Principes de l'économie sociale :


L'économie sociale se compose des activités économiques exercées par des sociétés,
principalement des coopératives et des mutuelles, ainsi que par des associations. Elle a sa
propre éthique, qui se traduit par les principes suivants :

 Un statut privé,
 La primauté de l’humain sur le capital,
 Un secteur économique à part entière qui œuvre sur le marché mais avec ses
principes propres,
 L’indivisibilité des réserves : patrimoine collectif et impartageable,
 Une finalité explicite au service de la collectivité : intérêt général et utilité sociale
(inscrite dans les statuts de l'entreprise),
 Un ancrage territorial des entreprises,
 L’indépendance politique.
Les formes de l'économie sociale
L'économie sociale est constituée par les organisations qui la composent, qui ont
traditionnellement des statuts associatifs, coopératifs ou mutuellistes. L’économie solidaire
se définit plus que l'économie sociale par la finalité de ses activités, et revendique des
nouvelles formes de gouvernance remettant en cause celle - plus figée - de l'économie
sociale traditionnelle. On peut inclure dans ces nouvelles initiatives plus récentes les
associations pour le maintien d'une agriculture paysanne (AMAP) visent à préserver
l'existence de fermes de proximité, le nouveau statut juridique de société coopérative
d'intérêt collectif (Scic), les monnaies locales, les systèmes d'échanges locaux, le commerce
équitable.
L'économie sociale comme secteur
Les économies peuvent être considérées comme ayant trois secteurs :

1. Le secteur privé lucratif, composée d'organisations actionnariales appartenant à des


individus, motivées par l'esprit d'entreprise individuel, une gestion patrimoniale des
biens et/ou la recherche du profit ;
2. Le secteur public, détenu par l'État ou par les collectivités territoriales ;
3. Le secteur privé non lucratif (associations loi 1901, fondations…), parfois appelée l'«
économie sociale », qui peut se définir en creux par rapport à ces deux premiers
secteurs : il n'est pas public mais privé et n'appartient pas à un nombre limité
d'actionnaires comme parfois le sont les sociétés du secteur privé lucratif. Par
conséquent, il désigne un large éventail de groupes de bénévoles ou
communautaires et d'activités sans but lucratif.
Parfois, il est fait également référence à un quatrième secteur, le secteur informel, où les
échanges informels ont lieu entre la famille et les amis, entre membres d'une famille ou
entre membres d'un groupe d'amis.
Historique du mouvement coopératif et mutualiste :
Au XVIIIe siècle apparaissent les premières sociétés de secours mutuel.
o En 1844 est créée Équitables Pionniers en Angleterre.
o En 1847, Friedrich Wilhelm Raiffeisen crée une boulangerie coopérative en
Allemagne.
o En 1884, abrogation définitive de la Loi Le Chapelier qui proscrivait les organisations
ouvrières, notamment les corporations des métiers, mais également les
rassemblements paysans et ouvriers ainsi que le compagnonnage. Naissance de
l'ancêtre de la Confédération Générale des SCOP, la Chambre Consultative des
Associations Ouvrières de Production.
o En 1895, l'identité coopérative est déclarée.
o En 1901, la liberté d'association est définie en France.
o En 1947, le statut de la coopération est défini en France.
o Depuis 2002, l'Organisation internationale du travail (OIT) recommande la
structuration coopérative des entreprises pour le travail décent.
Régit par 3 points
1. Une personne égale une voie
2. Principe d’indivisibilité des réserves : qu’une partie de produit de l’entreprise ne
peut pas faire objet d’une appropriation ou d’une rétrocession aux associés.
3.
I.4 Le principe de lucratif
Qu'appelle t'on alors la lucrativité limitée ? Principe fort de l'économie sociale et solidaire,
la lucrativité limitée, c'est s'assurer que la majorité des bénéfices sont réinvestis pour le
développement ou le maintien de l'activité de l'entreprise
L’entreprise sociale fonction comme entreprise classique en termes de marchandisation.
La seule caractéristique l’entreprise mca n’as pas ?? de dégager du profit

B. L’économie solidaire
Plus floue, l’« économie solidaire » peut être considérée comme le résultat d'un
mouvement qui s'est affirmé dans les années 1990, se définissant plus par la finalité de
l'organisation, parfois ses activités et sa gouvernance, indépendamment de son statut :
commerce équitable, insertion par l'activité économique, etc. Le terme solidaire tend à
caractériser une forme de réciprocité, prioritaire sur les principes du marché et de la
distribution. Elle se définit d'une façon politique, comme l’ensemble des activités de
production, d’échange, d’épargne et de consommation contribuant à la démocratisation de
l’économie à partir d’engagements citoyens

L’économie sociale est plus ancienne que l’économie solidaire


L’économie solidaire c’est une ? avec la crise elle devient une autre manière de vivre et va
pleinement s’intégré ??
Elle se cordonne autour de REAS c’est de pouvoir épargner au travers de cigale (club
d’investisseur pour une gestion alternative ??)
L’économie social se définit par du concret on est dans l’opérationnel (elle s’inscrit dans
l’économie marchande EX : lorsqu’une entreprise emploie des salarié handicap)
L’économie solidaire c’est au nom de quoi on fait les choses on est dans l’éthique
NB : l’Eco solidaire est plus large que le sociale
II. Les organisations de l’ESS
Le secteur associatif c’est le secteur qui crée bcp d’emplois pendant le période de crise
II.2. Le mouvement coopératif : les exemples des SCOP (société coopérative ouvrière
production, maintenant devenue Société coopérative de production)
Qu'est-ce qu'une Scop ?

Juridiquement, une Scop (Société coopérative de production) est une société coopérative
de forme SA, SARL ou SAS dont les salariés sont les associés majoritaires et le pouvoir y est
exercé démocratiquement.
Les salariés détiennent au moins 51 % du capital social et 65 % des droits de vote. Si tous
les salariés ne sont pas associés, tous ont vocation à le devenir. Chaque salarié associé
dispose d’une voix, quel que soit son statut, son ancienneté et le montant du capital investi.
L’Etat a un droit de regard sur les SCOP et l’Etat a aussi égale donnera la propriété a la SCOP
en matière de marché publique
Le crédit agricole c’est une banque coopérative

Le crédit agricole devient indépendant de l’Etat en 88


En 2001 elle entre en bourse sous le nom de Crédit Agricole SA (société par Action)
Société par Action : Les capital de l’entreprise est détenue par les actionnaire ou des clients
Une société par actions (SPA) est une entreprise organisée sous la forme d'une société
commerciale ayant un capital dont la souscription par les associés a fait l'objet de l'émission
de titres représentatifs du capital, les actions ou parts sociales, remises aux souscripteurs
ou associés, dès lors appelés actionnaires. Les actions confèrent à l'actionnaire des droits
pécuniaires et des droits sociaux.
Un droit pécuniaire recevoir des dividendes et avoir un droit social celui de participé à
l’assemblé générale

II.4. le mouvement mutualiste


C’est la gestion du risque
les mutuelle aurons un déontologie
les mutuelles on eu préoccupation altruiste mais rationnel
Le mutualisme est en France le mouvement politique et historique qui a conduit à la
création des formes mutualistes ou coopératives d'association dans les domaines de
l'assurance, de la banque, de la construction, de l'instruction, et en général de toutes
formes de production ou de commerce.
Histoire du mouvement coopératif / mutualiste
Modifier

L’association coopérative n’est pas un groupement instinctif, mais une forme déjà
structurée de la vie en société. On peut imaginer à juste titre que les premières
manifestations coopératives ont été spontanées sous forme d’entraide (économie
politique), ou de troc de services et de nombreuses formes de « préhistoire coopérative »
(c'est-à-dire avant la formation de règles et de lois organisant le mutualisme en France).

L’aménagement du fermage collectif dans la Babylonie, les confréries d’assistance et de


sépulture de l’antiquité romaine auraient eu d’un certain point de vue quelque parenté
avec les institutions coopératives. On peut aussi évoquer les équipes de compagnons du
bâtiment, lors de la con…

2.5. La protection sociale.


La protection sociale est l'ensemble des mécanismes de prévoyance collective qui
permettent aux individus ou aux ménages de faire face financièrement aux conséquences
des risques sociaux, c'est-à-dire aux situations pouvant provoquer une baisse des
ressources ou une hausse des dépenses ( vieillesse, maladie, invalidité, chômage… ).
La protection sociale a donc à la fois des objectifs matériels (permettre aux individus de
survivre quand ils sont malades, ou âgés, ou chargés de famille nombreuses, par exemple)
et des objectifs sociaux (réduire l'inégalité devant les risques de la vie et assurer aux
individus un minimum de revenus leur permettant d'être intégrés à la société).
Elle est assurée par des institutions : c'est d'abord la Sécurité sociale (protection contre la
maladie, la vieillesse, etc.), mais pas seulement elle. Il s'agit aussi de lui-même dont le
budget assure certaines dépenses (bourses scolaires, indemnisation des chômeurs en fin de
droits, par exemple) et des collectivités territoriales (les Communes peuvent prendre en
charge certaines dépenses des retraités ayant peu de ressources, comme les dépenses de
transport, par exemple). Enfin, les administrations privées (les organisations caritatives,
comme le Secours catholique ou le Secours populaire, par exemple) prennent en charge
également une partie de la protection sociale, souvent en direction des populations les plus
marginalisées.

La plupart des dépenses de protection sociale sont financées par les prélèvements
obligatoires. Les impôts permettent de payer les dépenses inscrites aux budgets de l'État ou
des collectivités territoriales. Les cotisations sociales patronales et salariales permettent de
financer les dépenses de la Sécurité sociale. Les administrations privées sont par les dons
des particuliers et les subventions éventuellement reçues de l'État, des collectivités
territoriales ou même des organismes supra-nationaux (l'Union européenne verse des
subventions à certaines associations s'occupant de l'aide alimentaire ou du logement des
exclus, par exemple).
La crainte de la réalisation d’un risque
Les Français se sont basés sur les modèles BISMARCKIENNE et BEVERIDEGIEN pour s’inspiré
de la protection sociale.
Otto von Bismarck, il a créé le premier système de protection sociale

2.6. Nouveau monde, nouveaux risques...et nouveau modèle social.


Lorsque arrive à partir des année 18 arrive des nouveaux risques, la sécurité sociale doive
être reformer :
Les risques :
 Le chômage
 La pauvreté
On va déterminer un seuil de pauvreté.
Il devient de plus en plus critique de reposé la sécurité sociale sur les actifs
Chap. III. Application de l’Économie Sociale et Solidaire vs. Révolution industrielle.

3.1. Le socialisme utopique où l’expérimentalisme social.


L'expression « socialisme utopique », désigne l'ensemble des doctrines des premiers
socialistes européens du début du xixe siècle (qui ont précédé Marx et Engels), tels Robert
Owen en Grande-Bretagne, Saint-Simon, Charles Fourier, Étienne Cabet et Philippe Buchez
en France. Afin de sortir de la lecture engelienne et donc de sa définition politique, les
historiens français préfèrent actuellement utiliser pour les définir les catégories de «
premiers socialismes », « socialismes romantiques », « socialismes prémarxistes »[1], «
socialismes conceptuels », voire pour Loïc Rignol ils sont les premiers « socialismes
scientifiques »[2].

Ce courant est influencé par l'humanisme. Parfois lié au christianisme social comme chez
Philippe Buchez, il s'éloigne néanmoins radicalement du christianisme institutionnel chez
Saint-Simon, qui construit un système athée. Le socialisme utopique s'inscrit à l'origine dans
une perspective de progrès et de confiance dans l'homme et la technique. Il connaît son
apogée avant 1870, avant d'être éclipsé, au sein du mouvement socialiste, par le succès du
marxisme. La notion de socialisme utopique a été conçue par Friedrich Engels et reprise par
les marxistes (qui l'opposent à la notion de socialisme scientifique) ; le qualificatif
d'utopique, accolé au socialisme, est donc né d'une intention polémique avant d'être
ensuite consacré par l'usage. Les doctrines qu'englobe le socialisme utopique ne sont, pour
les adversaires de ces idées, pas plus utopiques que toute autre doctrine tendant vers la
réalisation d'une société idéale n'ayant encore jamais existé (y compris les doctrines
marxistes qui annoncent, à terme, l'avènement d'une société sans classes).

Le socialisme utopique se caractérise par la volonté de mettre en place des communautés


idéales selon des modèles divers, certaines régies par des règlements très contraignants,
d'autres plus libertaires ; certaines communistes, d'autre laissant une plus grande part à la
propriété individuelle. Le socialisme utopique se caractérise surtout par sa méthode de
transformation de la société qui, dans l'ensemble, ne repose pas sur une révolution
politique, ni sur une action réformiste impulsée par l'État, mais sur la création, par
l'initiative de citoyens, d'une contre-société socialiste au sein même du système capitaliste.
C'est la multiplication des communautés socialistes qui doit progressivement remplacer la
société capitaliste.
Des milliers d'expériences de création de communautés socialistes s'inscrivant dans la
filiation du socialisme utopique peuvent être relevées à travers l'histoire. À l'image du
familistère créé par Godin en 1854 à Guise, qui s'inspire directement du phalanstère de
Charles Fourier, qui a compté jusqu'à 1 748 personnes en 1889, et qui a fonctionné
durablement jusqu'en 1968[3], le socialisme dit « utopique » a donné lieu à la création de
nombreux projets sociaux à échelle humaine, durables et réalistes. L'idée selon laquelle le
socialisme dit « utopique » n'aurait réalisé que des expériences à des échelles limitées (des
communautés de quelques centaines de personnes au plus) et sur des durées
généralement limitées est un point de vue sur l'histoire du socialisme qui est très influencé
par Marx.
Jean-Baptiste André Godin, né à Esquéhéries le 26 janvier 1817 et mort à Guise le 15 janvier
1888, est un industriel français, inspiré par le socialisme utopique et acteur du mouvement
associationniste, créateur de la société des poêles en fonte Godin et du familistère de
Guise, dans le jardin duquel il est enterré
André GODIN est le fondateur du socialisme utopique « Expérimentaliste »,
« Associationnisme »

Jean-Baptiste André Godin Il va découvrir


Le socialisme c’est la recherche ?? de justice et notamment cette justice passe par une
économie juste.
C’est de lutter contre les injustices
Le progrès ne peut se faire que si on a confiance en l’homme et à la machine
Le libéralisme c’est faire appel à la raison et au comportement humain tandis que le
socialisme c’est une perte de liberté pour le bonheur des autres
Le libéralisme est assez naïf car il croit que l’être humain est bon
Le socialisme né au 19-ème siècle au milieu de la révolution industriel c’est une réaction à
la mise générée par l’industrie notamment l’exploitation des enfants aux travail
Le socialisme utopique c’est la volonté de crée des communautés idéals en favorisant le
citoyen idéal
Le ? c’est dispo expérimentale qui destiné a démontré par la pratique la validité de fourrier
La proposition expérimentale représente une proposition sociologique qui représente la
société

Cette Hétérogénéité implique ceux qui vont habiter dans l’hémisphère


L’idée du phalanstère : Pour se protéger du monde
C’est de facilité les relation inter individuel
Dans le phalanstère il faut que les gens soit libre avec certaines règles
L’anarchie c’est de l’anomie « Durkheim »
L’économie libérale (libéralisme) c’est le libre échange des marchandises
Le phalanstère de Fourrier implique l’hypothèse de comportement libertaire anarchique
(sens premier) qui implique la collectivisation des moyens de productions ce qui emmène in
finé a l’autogestion.
Les phalanstères sont des micro-société idéal qui permet ??
Le phalanstère existe toujours au

Le phalanstère est le premier laboratoire des sciences sociale, on dit que Fourrier fait de
l’expérimentalisme sociale.

Un des disciples s’appelle Victor CONSIDERANT, André GAUDIN (considéré comme le


symbole de l’économie sociale)
Pour Gaudin l’économie sociale est la dénonciation des excès du capitalisme
Godin parle du Familistère
Le sociale passe par la vie basse
Zola va être contre fourrier. Il dira que c’est une prison de verre

3.2.
3.3. Rendre le travail attrayant.

Il faut que le travailleur soit ?

Fourrier pense que le travail de grouppe est excellent et estime que pour que le grouppe
soit efficient il faut qu’ils soient composés de 7 personnes. Mais il aimerait que pendant le
temps qu’ils travaillent, qu’ils discutent entre eux : la passion cabaliste
La passion papillonne : qui consiste à changer de groupe d’activité,

3.4. Les deux courants du Fouriérisme.


On les appels les réalisateurs, ceux qui vont réaliser les choses.

Les réalisations sont nombreuses on estime entre 25 et 30 réalisation dans le monde

La plupart ders réalisation seront des « feux de paille » a l’exception de celui de l’Amérique
du nord payer par brisebane
Toute foi on peut quand même a défaut de rien dire que Brisbane est
3.5. Les fondements de l’économie sociale
un véritable complexe coopérative, cette coopération elle va se faire à plusieurs niveaux
1er niveau c'est au niveau du capital : aux niveaux de la rémunération des capitales ? Gaudin
va dire le familistère complexe coopératif on va décliner cette coopération
La règle de 4/12
Un capitaliste Ne pourra récupérer que 4 parts sur 12
Mettez-le en œuvre faites des investissements en fait ce que vous voulez avec et nous
partagerons les bénéfices mais s’il y’a des bénéfices vous en prenez 4 et j’en prend 6
Il y’a du sens une valeur de la personne il est clair que le travail sera bien fait c'est un
double dividende le premier dividende c'est que vous travaillez bien donc vous vous en
épanouirez ici au travail et le 2e dividende c'est la productivité et au rendez-vous donc si on
se sent que vous devez écrire que Godin ça s'inscrit pleinement dans l'économie sociale
La mission de l’économie Sociale et de libérer l'ouvrier

3.6. La synthèse
Il est classé en 4 points
1. Fourrier est mal connus donc l'économie sociale et solidaire a toujours une mauvaise
presse parce que dès l'origine sauf fondateur et méconnu critiquer par Marx et elles
et en plus il rajoute de lui sur le feu en disant des trucs un peu extravagants. Au
début d'âge adulte il va contester la Révolution française parce qu'il la trouve trop
autoritaire
Le phalanstère n’a jamais existé, c'est familistère il existe le phalanstère c'est quelque
chose de théorique qui n'a jamais été créé par son inventeur mais si vous lisez les
livre vous allez voir « Un projet de société qui se dessine »

C'est parce qu’il est intimement persuadé que l'activité industrielle pollues
l’environnement, et que l'activité industrielle génère de la déforestation d’où l’effet de sert
Donc quand je dis un utilitarisme hédonique ça veut dire que lorsque on est dans la sphère
ou du familistère les gens travail pour valoriser leurs propres utilités et en même temps le
bien-être en ce sens

Donc on peut dire que ? s’inscrit dans un certain utilitarisme hédonique. *


Le phalanstère ne pas été appliqué du vivant de Fourier mais les salons stères ont été
appliquées par d'autres personnes notamment Victor considérant notamment Brisbane ce
sont des femmes en stères mais Fourier en tant que tel ne l'a pas créé
News CHAP
LA GRAMEEN DANONE FOODS

Intro :
Le Rapport Brundtland, 1987 est le nom communément donné à une publication,
officiellement intitulée Notre avenir à tous (Our Common Future), rédigée en 1987 par la
Commission mondiale sur l’environnement et le développement de l'Organisation des
Nations unies, présidée par la Norvégienne Gro Harlem Brundtland. Utilisé comme base au
Sommet de la Terre de 1992, ce rapport utilise pour la première fois l'expression de «
sustainable development », traduit en français par « développement durable », et il lui
donne une définition : « Le développement durable est un mode de développement qui
répond aux besoins des générations présentes sans compromettre la capacité des
générations futures de répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le
concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à
qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos
techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à
répondre aux besoins actuels et à venir. »
La grameen bank c’est de la responsabilité sociale des entreprises est l’application en éco
social et solidaire la plus
La Grameen Bank (littéralement, « Banque des villages ») est une banque spécialisée dans
le micro-crédit. Elle a été créée officiellement en 1983 par Muhammad Yunus au
Bangladesh. Elle dispose de près de 2 564 succursales et travaille dans plus de 81 367
villages. Depuis sa création, elle a déboursé 4,69 milliards de dollars de prêts et affiche des
taux de remboursement de près de 97 %.
L'organisation et son fondateur ont été récompensés du prix Nobel de la paix en 2006[1].
Ole Danbolt Mjøs (président du Comité Nobel norvégien) a dit qu'« Une paix durable ne
peut pas être obtenue sans qu’une partie importante de la population trouve les moyens
de sortir de la pauvreté » et « le microcrédit est l’un de ces moyens ».
Son fondateur, Muhammad Yunus, a été limogé de la Grameen Bank le 2 mars 2011,
probablement du fait de pressions provenant du gouvernement du Bangladesh.
Le successeur de Frank Riboud va faire un partenariat avec Muhammad Yunus la Grameen
Danone Food (joint aventure) mettre
Des risques
Des moyens financiers
Du pilotage
On a un problème aux Bangladesh de la mal nutrition c’est ce qui donne naissance a la
coopération entre Danone et Grameen
QCM : c’est quoi une entreprise social = » une entreprise qui investit ses résultats financiers
au profit de différentes actions sociales. Ou la recherche du profit n’est pas la finalité. Son
activité doit avoir comme but d'apporter du soutien à des personnes en situation de
fragilité et/ou contribuer au développement du lien social et/ou contribuer à l'éducation à
la citoyenneté et/ou de concourir au développement durable, à la transition énergétique,

Danone va créer une société d’investissement à capital variable (société sœur de Danone)
qui est dédier au Bangladesh (Danone communities) qui a comme but d’atteindre le point
mort
Le 1er c’est : l’alimentation enfantine le 2e c'est l'accès à l'eau, le 3e c’est distribution au
travers de la grande banque

Danone communities c’est lui qui va financer le projet de Grameen Danone Food et c’était
perçu comme une externalité positive
Banque des villages = Grameen Bank
Le banquier des pauvres Muhammad Yunus
La grameen Bank a octroyé plus de 4 milliards de dollar et possède plus de 87% de
remboursement

QCM : Est-ce que la logique de la Grameen Bank est de céder des projets : Oui
Le but de la grameen Bank est de sortir les gens dans l’obscurité (la pauvreté)
Les femmes n’avaient pas accès au crédit à la Bangladesh mais avec la grameen Bank c’etais
possible des les octroyer du crédit

4.2.
Déf : sociale businesse : c’est l’entreprise sociale qui lutte contre la pauvreté et le verse
aucune dividende.
Les profits sont entièrement réinvestis dans l’activité social businesse, les investisseurs
peuvent en revanche récupéré leur mise initiale

L’aventure grameen Danone englobe tout le sphère social économie environnement

Mettre les moins de machine pour favoriser la main d’œuvre


Shokti-ladies c’est son des vendeuses
Danone apporte la technicité quant à la grameen bank elle apporte le réseau
Il y’a une expertise qui est emmener par la grameen bank en termes de ruralité
Il y’a des ou des groupes d’expert qui produise des rapports sur ceux qui vient de faire
La norme iso (organisation internationale des normalisation) 26000
5.1. L’origine de la
Howard R. BOWEN
Il va définir pour la première fois le concept de RSE (Social Responsibilities of the Business
man)
La première forme de RSE ça permet
La pyramide de Archie B. CARROL : il soulève que l’entreprise doit intégrer 4
responsabilités :
- la responsabilité économique : je dois etre responsable
- la responsabilité légale : je dois respecter le droit en vigueur
- La responsabilité éthique : je dois respecter mon environnement
- La responsabilité philanthropique : je partage ma réussite avec ceux qui sont dans le
besoin
5.2 l’institutionnalisation de la RSE
La rse remplie des fonctions sociales et répond à des nouveaux besoins

5.4. La théorie des parties prenantes (stakeholder theory)


Plus l’entreprise est confrontée au stakeholder plus elle doit etre confronter a des
multitudes des
Freeman et Caroll ( 1984) (1989) les père fondateur de la RSE comme partie prenante
Le problème avec stakeholder les Risque d’opportunisme
C'est à dire qu'on va cibler comme certains qui m'intéressent et on va les valoriser
L’entreprise a des obligations morales vis-à-vis de tous les stakeholder
Pour les rse c’est une alternative entre la relation

Les critique contre la RSE :


1. Si les RSE centralise tous les pouvoirs alors on a une société qui trop de
l’importance ;
2. Fridman dit que la RSE est une doctrine fondamentalement subversive (on peut
pas faire du profit et de la RSE)
Les défenseurs de la RSE vont travailler sur la définition profits RSE

Le secrétaire générale de l’ONU demande aux entreprise d’adhérer aux pacte mondiale
(c’est lorsque on valorise les norme des droit des travail lorsque on fait pas alliance avec
des pays mafieux )
Elle peut restornée la bio diversité
Elle limité le GES
Elle peut travailler sur l’efficience énergétique
Le devoir de la vigilance : c’est le fait d’élargir la RSE aux 3 stakeholder
Si la RSE n’est pas appliqué il y’aura des sanctions
Il n’y a rien qui oblige les entreprises à adopter la RSE si se n’est que de la volontariat
L’ISR : Investissement Socialement Responsable
CSR ou RSE : Corporate Social Responsability ; Responsabilité Sociale des Entreprises
ESG : Environnement Société Gouvernement
Le CSR c’est fonder sur le comportement responsable sur les entreprises
L’uss c’est une alternative économique financière
Problèmes environnementaux
L’USS est nouvelle façon de produire et de consommer tout en augmentant la cohésion
sociale
Commerce équitable alternative aux commerce classique
Le premier à avoir parlé de commerce équitable c’est Rober OWEN … mais le commerce
équitable va prendre son essor a la fin de la seconde guerre mondiale
On est dans la chrématistique
L’échange est juste si sa permet de vivre mieux
Le juste prix c’est l’idée qui va s’approché
Le juste prix c’est ce qui intègre le bien social
épargne solidaire
A partir de la fin des années 80 on va avoir le premier label du commerce qui s’appelle Max
Havelaar qui va populariser le commerce équitable
Il ne s’agit pas de crée des filières alternatives dédié aux commerces équitables mais
d’intégrer la filière classique et meme d’ouvrir la porte pour qu’il devienne équitable
Le respect du cahier de charge
Max Havelaar presente80% du commerce équitable
Le commerce équitable est différent du commerce solidaire différent du commerce
conventionnel
Commerce équitable
échange économique où la partie la plus puissante s'engage à respecter les intérêts de la
partie la plus défavorisée.
Commerce solidaire
Le commerce solidaire permet au consommateur de soutenir par son achat une
organisation de solidarité, par exemple, une entreprise d’insertion qui embauche un
personnel habituellement marginalisé du marché de l’emploi.. Le commerce solidaire
relève de l’économie sociale et solidaire.
Ses critères de définition sont moins globaux que ceux du commerce équitable car il n’y a
pas de contrôle rigoureux de l’ensemble des modalités de production et de distribution,
mais seulement une initiative de solidarité dans le processus. La solidarité s'exerce le plus
souvent dans un cadre national.
Le commerce conventionnel, fondé sur le principe de l'économie de marché, n'a pas permis
de réduire les inégalités voire les a renforcées dans les pays défavorisés.
Limites du commerce équitable
- Une tendance à un circuit long (augmente la distance entre le consommateur et le
producteur et s’a pour but de diluer la responsabilité du producteur)

Plus y’a de monde mois il y’a de responsabilité

E.DEKKER
II. L’Epargne Solidaire
Il y’a plusieurs épargnes :
- L'épargne disponible est également appelée " épargne liquide ". Elle permet de se
constituer une épargne de précaution pour la vie de tous les jours ou de réaliser des
placements financiers en vue de projets (immobilier, retraite, transmission du
patrimoine, etc.).

- L'épargne solidaire est une pratique consistant à s'assurer que son épargne est
(ré)investie dans des activités à utilité sociale, sanitaire et/ou environnementale,
relevant de l'économie sociale et solidaire.

Le niveau d’épargne détermine le taux d’intérêt


Pour le keynésien c’est le revenu apres la consommation qui détermine le niveau d’épargne
J. TOBINE il va s’intéresser au motif d’incitation des agents économique a s’intéresser de
l’épargne
Il y’a des motifs d’incitation des agents économique à s’intéresser de l’épargne relève du
principe des précaution.
On valorise ce que on appel ISR (Investissement socialement responsable)
On est dans l’idée que l’ISR va prendre en comptes trois critères qui sont : (ESG)
Environnement Sociaux bonne Gouvernance

L’innovation sociale : L'innovation sociale consiste à élaborer des réponses nouvelles à des
besoins sociaux nouveaux ou mal satisfaits dans les conditions actuelles du marché et des
politiques sociales, en impliquant la participation et la coopération des acteurs concernés,
notamment des utilisateurs et usagers. Ces innovations concernent aussi bien le produit ou
service, que le mode d'organisation, de distribution, dans des domaines comme le
vieillissement, la petite enfance, le logement, la santé, la lutte contre la pauvreté,
l'exclusion, les discriminations

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