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I Résumé :
IV Référence :
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I Résumé :
La partie délimitée de 195 à 213 de l'ouvrage du GRAND monsieur Jeffrey George
traite les axes principaux qui suivent :
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❖ Les liants qui dépendent :
• Des vides interstitiels
• Trafic
• Calibre et forme des granulats
NB : le dosage en liant diminue tant que le trafic est grand (risque de
ressuages)
❖ Règles usuelles :
❖ Circulaire n° 66 du 18 septembre 1962
• Sur granulat
✓ d et D sont choisis exclusivement parmi les valeurs discrètes
suivantes (deux calibres voisins) : 2.5 – 5 – 8 – 12.5 – 18 mm
✓ Adapter le calibre : le poids retenu sur une passoire de diamètre
𝑑+𝐷
doit être compris entre 1/3 et 2/3 du poids total
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𝑑+𝐷
✓ Adapter la quantité du granulat : cette dernière croit avec
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calibre moyen
• sur liant
✓ Adaptation du liant dépend de l’état de l’ancien revêtement, des
vides entre les granulats et des facteurs secondaires tels que le
climat et le trafic.
• Dosage en granulat :
• Dosage en liant :
Le dosage en liant est laissé aux soins des ingénieurs.
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❖ Centre de recherches de Belgique (Travaux de Hveem)
• Gravillons :
𝐴2 𝑑+𝐷
V= 𝐴 − avec A= (un rejet est ajouté en fonction de A)
100 2
• Liants :
𝐿 = 𝑎 + 𝑏𝑉 (avec L est la quantité de liant et dont a et b dépendent
respectivement de l’état de la couche et du gravillon).
❖ Méthode anglaise
La méthode anglaise est concrétisée par un abaque. Le dosage en gravillon est
fixé par une ligne charnière (la diagonale), tandis que le dosage en liant dépend
des diagonales graduées qui tiennent compte de certaines corrections en
fonction de l’état de surface de la couche à recouvrir, type de granulat et
conditions climatiques.
N.B. Pour les différentes méthodes on apportera à la fin des corrections afin de
prendre en compte l’influence du trafic et du climat
✓ Epandage de liant
Le liant est épandu sur la chaussée en film mince à l’aide de camions citernes
spéciaux muni de rampes. La circulation du liant entre la citerne et la rampe se
fait généralement par pompe, parfois (cas des liants froids) par mise en pression
de la citerne. Plusieurs paramètres sont pris en considération pour s’assurer du
dosage du liant (le débit de la rampe, vitesse du camion et la pression de travail).
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✓ Epandage de gravillon
L’épandage du gravillon se fait sur la couche du liant déjà épandue, le gravillon est
distribué par des camions-bennes qui doivent se vider en marche-arrière tout en
roulant sur le gravillon déjà répandu
✓ Cylindrage (Compactage)
Cette opération est exécutée par des compacteurs à pneu ou des cylindres lisses
améliore la répartition des gravillons et permet un meilleur collage.
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II Volet Etude :
II.I Comment choisir le liant pour une imprégnation ?
Afin de déterminer le liant approprié pour une bonne imprégnation on doit
passer par quelques étapes :
✓ Détermination des propriétés du matériau à imprégner (texture,
composition chimiques, porosité…) par exemple si le matériau est poreux
on doit choisir un liant de faible viscosité.
✓ Définition des propriétés souhaitables après l’imprégnation tel que la
résistance.
✓ Vérification du processus d’imprégnation tel que ce dernier est réalisable
avec le liant sélectionné en termes de temps de séchage et de cout.
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appliquée jusqu'à ce que le résultat souhaité soit atteint (Essai de
durcissement, Essai de résistance, Essai de densité et essai de porosité).
Pour les enduits superficiels le dosage en liant dépend étroitement du trafic
et du climat pour éviter beaucoup de problème tel que le phénomène de
ressuage ou bien le décrochage des gravillons ce qui n’est pas souhaitable.
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III Volet Travaux :
Tel que :
o M0 : masse initiale de l’éponge.
o M1 : masse finale de la l’éponge après
passage de la répondeuse.
o S : surface de l’éponge
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Remarque :
Cette méthode peut présenter des pièges : par exemple la répondeuse peut
diminuer le dosage puis elle l’augmente lorsqu’elle s’approche à l’éponge. Ce
qui nous invite de proposer une 2ème option afin d’éviter ce scénario.
Calculer la longueur à doser :
Cette méthode consiste à vérifier la longueur répandue et ceci en suivant les
étapes suivantes :
✓ Le pesage du camion-citerne à vide au centre de production
d’émulsion : mi
✓ Le pesage du camion-citerne après remplissage en émulsion : mf
✓ La déduction de la longueur imprégnable par ce camion en tenant
compte de la largeur de la chaussé l et du dosage D visé par le CPS
(cas échéant le CCTP)
𝒎𝒇−𝒎𝒊 𝒎𝒇−𝒎𝒊
D= -> L=
𝑳∗𝒍 𝑫∗𝒍
Une fois cette longueur calculée, il nous reste de vérifié la longueur réelle
répandu en fin de journée et les comparé.
➢ Cas du vent :
Lorsque le vent souffle de partout, la solution optimale est d’arrêter l’épandage
du liant afin que l’imprégnation ou la couche d’accrochage soit homogène et
éviter d’avoir de pellicule de liant libre en surface.
Néanmoins et puisque la rampe est réglable en hauteur on peut envisager de
l’abaisser pour que le vent vient moins encombrer le jet des pulvérisateurs.
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➢ Cas pratique : Rapport de planche d’essai d’imprégnation
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Reste à indiquer que le coefficient de variation transversal C.V.T est
primordial pour évaluer la dispersion des valeurs autour de la moyenne en
d’autres termes est-ce la couche d’émulsion homogène transversalement ou
pas ;
𝒔
𝑪. 𝑽. 𝑻 = ∗ 𝟏𝟎𝟎
𝒎
S = est l’estimation d’écart type des masses mi de liant recueilli (g)
m = est la moyenne des massa mi de liant recueilli (g)
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IV Référence :
Ouvrage de monsieur Goerges JEUFFROY « Ingénieur des ponts et
chaussées / Professeur à l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées »
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