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CIC EMOLAFRE
Réalisé et présenté par: Rafath Oladimédji ABIOLA
1
Analyse de l’efficacité des outils du contrôle de gestion dans les entreprises : cas de
CIC EMOLAFRE
DECLARATION DE L’AUTEUR
DEDICACE
Je dédie ce travail :
REMERCIEMENTS
Nous exprimons notre profonde gratitude à tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre
ont contribué à la réalisation de ce mémoire.
Qu’il nous soit permis d’adresser une fois de plus nos remerciements à l’endroit de :
LISTE DES TABLEAUX Tableau 1 : Regroupement des problèmes par centre d’intérêt 9
Tableau2 : Tableau de bord de l’étude.......................................................................................14
......................................................................................................................................
............................................................................................................................................. 36
Graphique 7 : l’atteinte des objectifs fixés par CIC EMOLAFRE explique l’efficacité des outils
mobilisés en contrôle de gestion ................................................................................ 36
SOMMAIRE
INTRODUCTION ................................................................................................................. 1
CONCLUSION ................................................................................................................... 46
L’entreprise est une organisation ou une unité institutionnelle, mue par un objet
décliné en stratégie, en politique et en plans d’action, dont le but est de produire et
de fournir des biens et services à destination d’un ensemble de clients, en réalisant
un équilibre de ses comptes de charges et de produits.
C’est pour cette raison, nous avons décidé de mener notre recherche sur « l’analyse
de l’efficacité des outils du contrôle de gestion dans les entreprises : cas de CIC
EMOLAFRE » afin d’apporter notre contribution pour une meilleure gestion de
cette institution.
Ce thème est développé en trois chapitres. Le premier chapitre est consacré au cadre
institutionnel de l’étude observation de stage, le deuxième chapitre articulera autour
cadre théorique et méthodologique de l’étude puis le dernier l’analyse des résultats,
approche de solution et condition de mise en œuvre.
Il s’agit ici de vous présenter le cadre institutionnel de notre à travers les points
suivants : historique et évolution ; objectifs ; structure organisationnelle.
C. Objectifs de CIC-EMOLAFRE
L’objectif du CIC EMOLAFRE est d’assurer la protection de la population
béninoise en ce qui concerne les risques auxquels elle pourrait être confrontée et de
mettre à disposition de la population des services de transfert d’argent fiable et des
D. Structure organisationnelle
Le CIC-EMOLAFRE est structurée en six (06) organes qui sont sous la tutelle
du Directeur Général. Il s’agit du :
1. Les organes de décision :
CICEMOLAFRE dispose d’un conseil d’administration qui assure le
fonctionnement de l’organisation. Il est composé :
1. L’accueil
Tout d’abord l’accueil est fondamental dans toute relation client. L’accueil de l’agence CIC
EMOLAFRE consiste à recevoir les clients avec courtoisie, de connaitre leurs besoins et de
les orienter selon ces derniers. Au niveau de ce poste le facteur déterminant c’est la
maitrise des langues locales du milieu, malheureusement le fait que les clients ne maitrisent
pas certaines langues pose problème. Nous notons ici une difficulté linguistique de
communication avec les clients.
1. Forces
Le CIC-E MOLAFRE est doté
• D’un personnel dynamique et bien expérimenté
• D’une main d’œuvre de qualité
• De la diversité de ses activités
• D’une bonne organisation de travail
• D’un bon climat qui règne entre les personnels
• L’existence de plusieurs agences
2. Faiblesses
• L’inexistence d’un manuel de procédure
• Malhonnêteté des personnels
• Control interne peu faible
• Mauvaise gestion de la trésorerie
• Manque de personnel au niveau de quelques services (assurance, control
général)
• Absence d’une politique de formation continue pour l’équipe comptable
• Analyse peu satisfaisante dans le traitement des opérations et différents
documents
Il est capital de faire ce regroupement par centre d’intérêt afin d’orienter le choix de
la problématique, objet de la présente étude.
Il s’agit :
1. Problème général
Le thème de l’étude est fondé sur l’analyse de l’efficacité des outils du contrôle de
gestion. La résolution de ce problème passera par celle des problèmes spécifiques.
2. Problèmes spécifiques
Ces problèmes spécifiques peuvent être énoncés comme suit :
A. Hypothèse de l’étude
Pour bien mener notre analyse en vue d’aboutir à des résultats concluants, nous
mettrons quelques hypothèses tout en identifiant les causes qui sont à la base des
différents problèmes spécifique évoqué. Nous recevrons ensuite le tableau de bord
de l’étude.
• Hypothèse liée au problème spécifique N 1 :
Cause spécifique 2
S Inexistence du
P Problème spécifique 2 Objectif spécifique manuel de Hypothèse 2
E Non fiabilité du contrôle 2 procédure L’inexistence d’un
C de gestion Accroitre la manuel de procédure
I fiabilité du contrôle explique la non
F de gestion fiabilité du control
I de gestion
Q
U
2. Gestion :
Selon Pierre G. et Bergeron P. G. (1984 :91), la gestion est définie comme étant un
processus par lequel on planifie, organise, dirige et contrôle les ressources d’une
organisation afin d’atteindre les buts.
La définition la plus populaire de la gestion est celle de Lassegue P. (1993 :197).
3. Contrôle de Gestion :
Plusieurs définitions et points de vue permettent de déduire la finalité du contrôle de
gestion. Ces définitions peuvent également orienter sa mise en place et son
fonctionnement dans une entité.
D’un côté, BURLAUD A., « Découverte de la gestion », Cahiers français n°234,
janvier- février (1998) donne la définition suivante : « le contrôle de gestion est l’un
des rouages essentiels de la régulation interne et du pilotage ». Il a pour objectif de
mettre sous tension les ressources humaines de l’organisation et de rendre
cohérentes les activités des différents acteurs au sein de l’entreprise afin qu’elles
concourent à la réalisation de l’objectif commun.
De l’autre côté, AnthonyR. N., Planning and Control Systems : a Framework for
Analysis, Harvard University, (1965) « le contrôle de gestion est un processus par
lequel les dirigeants s’assurent que les ressources sont mobilisées et utilisées d’une
manière efficace (par rapport aux objectifs) et efficiente (par rapport aux moyens
employés) pour une bonne atteinte des objectifs organisationnels ».
Mais pour une bonne atteinte des objectifs organisationnels il faut faire appel à des
moyens ou outils de contrôle de gestion. Quels en sont donc ces outils ?
Les outils utilisés par le contrôleur de gestion peuvent être classés en deux
catégories différentes dont la première se nomme outils prévisionnels alors que la
seconde est les outils de mesure des réalisations.
4. Contrôle Interne :
Le terme contrôle interne au sens classique selon Bernard, Gayraud et Rousseau
(2013) proposent de définir le contrôle interne comme « l’ensemble de dispositifs
ayant pour but, d’un côté d’assurer la protection, la sauvegarde du patrimoine et la
qualité de l’information, de l’autre, d’assurer l’application des instructions de la
Direction et de favoriser l’amélioration des performances » p. 23.
5. Contrôle Externe :
C’est une organisation ayant des compétences de vérification et d’audit comptable et
financier (discipline budgétaire, conformité). Le domaine fonctionnel Contrôle
externe regroupe les emplois assurant la mission de vérifier l’application et le
respect de la norme. Assurer l’activité de contrôle d’un service ou d’une direction,
ainsi que son pilotage, son animation et sa coordination. Ce contrôle relève de
l’expert-comptable, du reviseur soit de manière permanente et constante ou
périodiquement.
Le contrôle externe est assuré par un ou plusieurs commissaires aux comptes. Le
contrôle externe porte sur le contrôle du cahier des charges, du produit et de
l’efficacité du contrôle interne. Il donne lieu à des sanctions.
6. Le Budget :
Selon Cabane P. (2004), le budget est l’instrument qui permet de traduire en termes
financiers les activités de l’organisation et son fonctionnement.
CABANE P. (2005 :259) « le budget est l’un des outils majeurs de la planification
qui permet à l’entreprise d’optimiser son développement dans un environnement
futur et, par conséquent, incertain ». Dans cette phase de réflexion permanente de
préparation de l’avenir, le budget représente le contrat souscrit par les différents
acteurs de l’entreprise pour garantir la cohérence entre les objectifs et la stratégie. Il
permet une formalisation comptable et financière des plans d’action sur un horizon
à court terme, en général l’année.
Comme un outil de contrôle, le budget permet de disposer de la meilleure visibilité
possible sur l’année à venir et fixe un cadre et des objectifs claire à chacun, son
8. La gestion budgétaire :
Pour Kanda J. (2012) le budget, qu’il soit public, privé ou familial en son sens strict,
est une prévision annuelle détaillée, en générale mois par mois, des charges et des
produits ou des recettes et des dépenses.
La gestion budgétaire est un plan ou un état prévisionnel des recettes et des
dépenses présumées qu’une personne aura à encaisser et à effectuer pendant une
période donnée. D’après Béatrice et Francis Grandguillot (2008), la gestion
budgétaire est un mode de gestion prévisible à court terme consistant à traduit en
budget (prévisions chiffrées de tous les éléments correspondant à un programme
9. Contrôle Budgétaire :
Le contrôle budgétaire est un instrument essentiel à la gestion budgétaire. Cette
étape consiste en un rapprochement entre prévisions et réalisation afin de dégager
des écarts qui seront par la suite analysés afin de déterminer les causes ou les
responsables, et d’engager des mesures correctives.
Selon Bouquin H. (2001), le contrôle budgétaire intègre les budgets et compare «
l’état réel du système à son état prévu ». Le budget est (ou devrait être) l’expression
comptable et financières des plans d’actions retenus pour que les objectifs visés et
les moyens disponible sur le court terme (l’année générale) convergent vers la
réalisation des plans opérationnels. Ces définitions assez larges permettent de
trouver dès les années trente des exemples de budgets et de contrôle budgétaire.
Elles permettent également d’éviter la traditionnelle confusion liée à l’utilisation du
mot de contrôle. Il est commun de le rappeler, presque une habitude, mais contrôler
signifie tout à la fois vérifier maitriser. Selon que l’on retienne l’une ou l’autre des
acceptions, ce sont des images différentes qui se dégageront du contrôle budgétaire.
Alors que le contrôle budgétaire devrait être synonyme de maîtrise du budget, il est
trop souvent compris avec le sens restrictif de vérification du budget, sens qui est le
sien en finance publique ; le budget et le contrôle qui l’accompagne sont alors de
13. Performance :
Dans une entreprise, la détermination de la performance se fait en évaluant sa
rentabilité. Cette dernière se définir par le degré d'accomplissement des objectifs
poursuivis.
Ainsi, une entreprise performante doit être à la fois efficace et efficiente. Elle est
efficace lorsqu'elle atteint les objectifs qu'elle s'est fixés. Elle est efficiente
D’une manière générale, on sait que l’objectif principal poursuivi par une
entreprise est la rentabilité financière. Pour réaliser cet objectif prioritaire
l’entreprise doit mettre en œuvre différents facteurs de production qui exigent qu’on
connaisse leurs niveaux de rentabilité. C’est le cas des investissements de longue
durée (actifs fixes) et de courte durée (cycle d’exploitation ou activité
commerciale), c’est le cas du facteur travail, etc. Ces différents facteurs pousseront
l’analyste à examiner la performance de l’entreprise sur plusieurs points de vue. On
distingue parmi tant d’autres :
14. Efficacité :
En répondant à la question suivante :’’est ce que l'objectif est atteint ?’’, une
nouvelle question vient d'apparaitre ‘’existe-t-il une autre alternative plus efficace,
Dans une opération basée sur l'efficience, pour ensemble de ressources utilisées le
produit obtenu est maximum, ou encore les moyens utilisés sont minimaux pour
toute qualité et quantité donnée de produits ou de services, c'est-à-dire que
l'efficience correspond à la meilleure gestion possible des moyens, des capacités en
relation avec les résultats.
Aucune idée 00 00
Total 14 100
Source : Résultat de nos enquêtes Mai 2023
De l’analyse des données présentées dans le tableau ci-dessus, il ressort que pour la
totalité des enquêtés soit 100% confirment que CIC EMOLAFRE ne dispose pas
d’un manuel de procédure relatif à ses activités. Donc on peut conclure CIC
EMOLAFRE ne se base pas sur un manuel pour l’exécution des tâches au sein de sa
structure.
Oui 14 100
Non 00 00
Aucune idée 00 00
Total 14 100
D’accord 14 100
Pas d’accord 00 00
Indifférent 00 00
Total 14 100
Le tableau ci-dessus présente l’un des outils de contrôle de gestion utilise par. De
son analyse, il ressort que la totalité des enquêtés ont reconnus que les outils
prévisionnels sont des outils de contrôle de gestion utilisé par CIC EMOLAFRE.
D’accord 14 100
Pas d’accord 00 00
Indifférent 00 00
Total 14 100
75%
80%
70%
60%
50%
25%
40%
30%
20%
0%
10%
0%
D’accord Pas d’accord Indifférent
100%
100%
90%
80%
70%
60%
50%
40%
30%
20% 0% 0%
10%
0%
D’accord Pas d’accord Indifférent
50%
40%
40%
30%
20%
10%
0%
0%
D’accord Pas d’accord Indifférent
0%
Indifférent
100%
Pas d’accord
0%
D’accord
35%
60%
5%
Pour la réussite des activités de CIC EMOLAFRE, certains objectifs sont fixés. Et
pour 60 % des enquêtés, ces objectifs ne sont pas atteints. Par contre, pour 5 % , ils
sont atteints. Le reste des enquêtés soit 35 % sont restés indécis par rapport à la
question.
55%
Indifférent
5%
Non
45%
Oui
70% 65%
60%
50%
40% 35%
30%
20%
10% 5%
0%
Oui Non Indifférent
A. Vérification de l’hypothèse 1
De l’analyse des données présentées dans le tableau 1, il ressort que pour la totalité
des enquêtés soit 100%, CIC EMOLAFRE ne dispose pas d’un manuel de
procédure relatif à ses activités. De plus ils y n’ont pas accès en temps voulu à des
informations, ce qui est aussi confirmé par 100% des interviewés.
B. Vérification de l’hypothèse 2
En ce qui concerne l’hypothèse N°2, pour la réussite des activités de CIC
EMOLAFRE, certains objectifs sont fixés. Et pour 60 % des enquêtés, ces objectifs
ne sont pas atteints. De plus, de l’analyse du graphique 6, il ressort que l’inefficacité
des outils mobilisés en contrôle de gestion par CIC EMOLAFRE est confirmée par
45 % des enquêtés. Et pour 65 % des enquêtés, l’atteinte des objectifs fixés par CIC
EMOLAFRE n’explique pas l’efficacité des outils mobilisés en contrôle de gestion.
Paragraphe 1 : Recommandations
Les recommandations que nous formulons ici sont issues non seulement des
résultats de nos enquêtes, mais aussi des aspirations et suggestions du personnel.
Paragraphe 2 : Suggestions
Nous proposons à CIC EMOLAFRE les séparations des tâches et fonctions afin
d’éviter, tout d’abord, le non accomplissement de ces dernières, le retard dans les
objectifs, ainsi que toute forme de conflit professionnel.
Les tâches et missions doivent être aussi bien reparties et définies afin d’échapper
aux confusions. Il faut ainsi renforcer la prise en considération des facteurs
humains par des recrutements afin de renforcer le nombre en personnel et d’éviter
le cumul des tâches des employés ; le recrutement serve aussi de motivation pour
les employés. Puis, l’entreprise doit augmenter les formations, et ce, de façon
régulière, afin de mettre et de faire connaître au personnel l’évolution et le
changement de l’environnement où se situe l’organisation ; la formation augmente
ainsi la performance du personnel. Au niveau du CIC EMOLAFRE, le respect des
procédures de fonctionnement est effectué par le contrôleur de gestion, alors nous
CONCLUSION
En guise de conclusion, notre travail de recherche basé sur l’analyse des outils du
contrôle de gestion mené au sein du CIC EMOLAFRE arrive à son terme malgré
l’existence des difficultés rencontrées ainsi que des limites qui ne peuvent être
surmontées. Rappelons que cette recherche a pour objectif d’améliorer le système
de contrôle adopté par CIC EMOLAFRE afin qu’il réponde ce qu’entendent les
bénéficiaires tout au long de son utilisation. Dans ce sens, le traitement de ce thème
se trouve pertinent car le caractère actuel de l’environnement exige l’existence d’un
ou des outils qui aident les décideurs à prendre des bonnes décisions. Ces dernières
ne sont autres que celles qui s’adaptent à l’évolution de l’environnement d’une part
et engagent la pérennité de l’entreprise d’autre part.
de son pilotage. Ces relations montrent que le contrôle de gestion est une fonction
transversale de support.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
- SIDQUI.A (2021) « L’impact des outils du contrôle de gestion sur la
performance de l’entreprise », Revue du contrôle, de la comptabilité et de
l’audit « Volume 5 : numéro 3 » pp : 456- 476.
- Khemakhem A. (1976) « la dynamique du contrôle de gestion » ; 2 ème édition,
Dunod
- Christophe G. (Mai 2005) « Conception des systèmes de contrôle de gestion :
les relations entre les budgets et les systèmes de mesure de la performance »
Comptabilité et Connaissances, France pp. CD-Rom
- Gervais M. (1991) « contrôle de gestion et stratégie de l’entreprise », p.
245248
- FINECO, le dictionnaire économique de l’entreprise, éd. Dunod, Bodas,
1986, P 32.
OUVRAGES
WEBOGRAPHIE
- https://www.larousse.frcontrolebudgetaire
- https://www.cairn.infole-controle-budgetaire
- https://wikimemoires.net2011/04
- https://www.cairn.info/revue-des-sciences-de-gestion-2010/1-n°241
ANNEXE
Annexe 1 : QUESTIONNAIRE D’ENQUÊTE
Bonjour, Madame/Monsieur,
Dans le but de recueillir des informations entrant dans le cadre de la rédaction de
notre mémoire sur le thème : Analyse des outils de contrôle gestion utilisés dans
les entreprises : cas de CIC EMOLAFRE, nous vous prions de bien vouloir
répondre à nos différentes questions de recherche afin de proposer des approches
solutions aux problèmes que pose ce thème.
Les résultats seront traités sous anonymat et nous vous prions de bien vouloir
répondre à ces questions en toute honnêteté et bonne foi.
1- D'après vous quels sont les outils de contrôle de gestion les plus utilisés au
sein de votre organisation ? …………………………………………………
……………………………………………………………………………………….
2- D'après vous quel est l'outil le plus efficace pour piloter la performance de
votre organisation ? …………………………………………………………
………………………………………………………………………………………..
DEDICACE ...........................................................................................................................
ii
REMERCIEMENTS ............................................................................................................
iii
SOMMAIRE .........................................................................................................................
vi
INTRODUCTION .................................................................................................................
1
2.1. Directeur
général ........................................................................................................ 5
2.4. Service
commercial .................................................................................................... 6
2.5. Service
assurance ........................................................................................................
6
2.6. Service
caisse ..............................................................................................................
6
2.7. Service
comptable....................................................................................................... 6
Paragraphe 2 : Observation de
stage...................................................................................... 7
10
bord ............................................................. 13
15 Paragraphe 1 : Revue de
littérature...................................................................................... 15
1. Contrôle : ..................................................................................................................
15
2. Gestion : ....................................................................................................................
15
6. Le Budget : ...............................................................................................................
17
7. La planification : .......................................................................................................
18
26
B. Réalisation de l’enquête................................................................................................
29
hypothèses ......................................................................... 37
CONCLUSION ...................................................................................................................
46
ANNEXE ...............................................................................................................................
a