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Signifiant littéralement "entreprise qui démarre", la startup est liée à la notion
d’expérimentation d'une nouvelle activité sur un marché émergeant et dont les risques sont
difficiles à évaluer. Le conférencier Steve Blank, auteur et autorité dans le domaine de
l'innovation, la définit ainsi : une "organisation temporaire à la recherche d'un business
model industrialisable, rentable et permettant la croissance".
Il y a donc une différence fondamentale entre une entreprise et une startup :
L’entreprise vit sur l'optimisation d'un business model dont elle tire un maximum de
profit pour supporter ses coûts et rémunérer ses équipes et actionnaires.
La startup expérimente son business model, teste son marché et évolue de manière
itérative.
Cette dernière n'est pas une entreprise traditionnelle et stable avec une organisation établie,
commercialisant un produit ou un service sur un marché parfaitement identifié. Le caractère
innovant de son offre et de son modèle économique ne permet pas de définir clairement
toutes les composantes de son marché lui assurant une rentabilité immédiate.
Auparavant , la puissance des grandes entreprises reposait sur leur capacité financière à
intégrer les petites. Maintenant, ce sont les plus rapides qui absorbent les plus lents. C'est là,
toute la force des startups.
Une startup n'est pas encore une entreprise comme on peut l'imaginer, avec une
organisation bien en place, commercialisant un produit ou un service sur un marché
parfaitement identifié. Le caractère innovant de son offre et de son modèle économique ne
permet pas de définir clairement toutes les composantes de son marché et de lui assurer
une rentabilité immédiate.
Au terme de la phase d’expérimentation, la startup :
devient une entreprise traditionnelle avec un modèle économique établi,
ou est absorbée par une entreprise plus grande,
ou disparaît par manque de trésorerie.
L’Algérie ne fait pas partie des pays producteurs d’OGM faute de la technologie de
pointe que requièrent ces produits. Seuls des essais sur la culture du soja sont en
cours. « Le développement de la biologie moléculaire ou du génie génétique s’est
limité en une formation théorique et l’utilisation uniquement des techniques de
marquage moléculaire »
Lors du débat sur le projet de loi relative aux semences et plants, le ministre de
l’Agriculture, Saïd Barkat, a réaffirmé que les OGM seront interdits à la culture en
Algérie jusqu’au “jour où l’on verra que les OGM n’auront aucun effet négatif sur la
santé des Algériens”. Par ailleurs, un responsable du Ministère algérien de
l’Agriculture a signalé à Inf’OGM une confusion dans l’article sur l’Algérie (Inf’OGM
n°58) dans l’intitulé des lois. La loi sur les OGM a été présentée par le Ministère de
l’Environnement et intègre une partie sur les ressources biologiques. Elle a été
discutée en commission à l’Assemblée Populaire Nationale mais pas sous le nom de
loi sur les semences et plants. D’autre part, la loi sur les semences et plants existe
bel et bien, mais n’a aucun lien avec les OGM qui sont toujours interdits par un arrêté
ministériel. Cette loi prend également en charge la protection des obtentions
variétales en conformité avec les accords de l’OMC.
Les OGM pourraient être cultivés sur des terrains jusqu'ici inutilisables.
Les OGM peuvent réduire l'utilisation des insecticides (exemple : réduire
l'utilisation des insecticides contre la pyrale).
Les OGM pourraient produire des organes (par des animaux génétiquement
modifiés) greffables chez l'Homme...