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DÉVELOPPEMENT DURABLE

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DÉVELOPPEMENT DURABLE – DÉFINITION, HISTORIQUE, ENJEUX ET OBJECTIFS


DÉFINITION
D’après le rapport « notre avenir à tous » de madame Harlem Brundtland, le développement durable se définit
comme étant un développement qui répond aux besoins du présent, sans pour autant compromettre la
capacité des générations futures de répondre aux leurs. Ce rapport, publié en 1987 par la Commission
mondiale sur l’environnement et le développement des Nations Unies, insiste sur la nécessité de protéger la
diversité des gènes, des espèces et de l'ensemble des écosystèmes naturels terrestres et aquatiques. C’est
notamment possible, par des mesures de protection de la qualité de l'environnement, par la restauration,
l'aménagement et le maintien des habitats essentiels aux espèces. Cela implique une gestion durable de
l'utilisation des populations animales et végétales exploitées. En d’autres termes, c’est la gestion rationnelle
des ressources humaines, naturelles et économiques qui vise à satisfaire les besoins essentiels de l’humanité,
dans le très long terme.

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Le développement durable suppose la réalisation de plusieurs conditions : la conservation de l’équilibre
général, le respect de l’environnement et la prévention de l’épuisement des ressources naturelles. La
diminution de la production des déchets, la rationalisation de la production et de la consommation d’énergie
est également à mettre en œuvre. Le développement durable est présenté comme une rupture, plus ou moins
nette, avec d'autres modes de développement qui ont conduit, et mènent encore, à des dégâts sociaux et
écologiques préoccupants, tant à l’échelle mondiale, que locale. Pour être durable, le développement doit
réunir trois éléments majeurs : l'équité, la préservation de l'environnement et l'efficacité économique. Un projet
de développement durable s'appuie nécessairement sur un mode de concertation plus abouti entre la
collectivité et les membres qui la composent. La réussite d'une telle politique passe aussi par l’acceptation de
certaines contraintes pour les consommateurs, ainsi que  par le respect d'exigences de transparence et de
participation des citoyens.

Historique
Face à la surexploitation des ressources naturelles liée à la croissance économique et démographique, le
groupe de réflexion appelé Club de Rome créé en 1968, prône la croissance zéro. Ce groupe rassemble des
scientifiques, des économistes, des fonctionnaires nationaux et internationaux, ainsi que des industriels de 53
pays. Il se préoccupe des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant
industrialisées, qu'en voie de développement. En 1971, cette association privée internationale lance une alerte
retentissante, en publiant « Halte à la croissance ». Schématiquement, le développement économique actuel y
est présenté comme incompatible avec la protection de la planète à long terme.

La conférence des Nations Unies sur l’environnement humain, à Stockholm en 1972, est à l’origine du premier
véritable concept de développement durable, appelé à cette date éco développement. Cette conférence
fondatrice s’était tenue dans un environnement d’affrontement entre l’écologie et l’économie. Grâce à l’appui
de personnalités comme Maurice Strong, le professeur René Dubos, Barbara Ward et Ignacy Sachs,
l’intégration de l’équité sociale et la prudence écologique, ont été intégrés dans les modèles de développement
économique du Nord et du Sud. Il en résultera la création du Programme des Nations Unies pour
l’Environnement (PNUE), de même que le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).

Au fil des années, les composantes des sociétés civiles, avec le timide appui des gouvernements, prennent
conscience de la nécessité de mettre en place une solidarité mondiale, pour faire face aux risques de chaos
des équilibres naturels. La découverte par le grand public, au cours des années 1980, des pluies acides, du
trou dans la couche d’ozone, de l’effet de serre, etc. vont contribuer à cette lente prise de conscience. Petit à
petit, les médias commenceront à vulgariser ces différents sujets.

En 1980, l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) publie sa stratégie mondiale de la
conservation. Ce document constitue l’une des origines de l’utilisation de l’expression « développement
durable », devenu « sustainable development » en anglais et « desarollo sustenido (ou sostenible) » en
espagnol. Le concept est donc né des constats suivants : la fracture Nord/Sud (porteuse de conflits futurs), la
recherche d’un développement humain et les risques écologiques, qui imposent la sauvegarde urgente de
l’environnement.

Le terme du développement durable reste pratiquement imperceptible, jusqu’à sa relance dans le rapport de
Gro Harlem Brundtland, « notre avenir à tous », publié en 1987. Premier ministre en Norvège et présidente de la
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concept de « sustainable development » par « un développement qui répond au besoin du présent sans Vous
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compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Depuis cette date, le concept de
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développement durable a été admis dans le monde entier.
Les enjeux et objectifs du développement durable
Après la conférence de Rio (1992), la plupart des Etats se sont
engagés à élaborer une stratégie nationale de développement
durable. La mise en œuvre de ces stratégies s’avère délicate,
car elle doit répondre à de lourds enjeux, dans des contextes
économiques et politiques marqués par de fortes inerties. Les
enjeux apparaissent à tous les niveaux et touchent
pratiquement tous les volets des politiques des états. Des
divergences de vues apparaissent entre les différentes
approches, notamment : libéralisme plus ou moins contraint,
volonté de mettre l’homme au cœur de l’économie, volonté
plus ou moins grande des différents états de la planète,
équilibre entre les intérêts à court, moyen, long et très long
terme. En outre, il est incontestable que l’interdépendance des économies modernes, oblige à une gestion des
problématiques environnementales au niveau mondial, ce qui ne simplifie pas la mise en œuvre des stratégies
nécessaires, du fait notamment des écarts de niveaux de développement.

L'objectif du développement durable est de définir des schémas viables qui réunissent les aspects
économiques, sociaux et environnementaux des activités humaines. Ces trois domaines sont donc à prendre
en compte par les collectivités, comme par les entreprises et les individus. La finalité du développement
durable est de trouver un équilibre cohérent et viable à long terme entre ces trois enjeux. À ces trois piliers
s'ajoute un enjeu transversal, indispensable à la définition et à la mise en œuvre de politiques et d'actions
relatives au développement durable, il s’agit de la bonne gouvernance. La gouvernance correspond aux
modalités du processus de décision. En matière de développement durable, la définition des objectifs et leur
mise en œuvre, suppose un consensus entre tous les acteurs de la société : les entreprises privées, publiques,
les associations, les ONG, les syndicats et les citoyens.

Le développement durable n’est pas le fruit d’une génération spontanée, mais plutôt un ensemble de
transformations, dans lequel l'exploitation des ressources naturelles, le choix des types d’investissements,
l'orientation des modifications technologiques et institutionnels sont en harmonie avec les besoins présents et
futurs. Comme nous l’avons déjà indiqué, les objectifs du développement durable, sont à considérer au plan
individuel, à celui des entreprises et au niveau planétaire.

Le concept de développement durable repose par ailleurs sur un ensemble d’exigences. Il doit permettre la
réalisation des besoins essentiels des générations actuelles et futures en rapport avec les contraintes
démographiques comme : l’accès à l’eau, à l’éducation, à la santé, à l’emploi, la lutte contre la faim ou la
malnutrition. Ce type de développement a aussi comme objectif, l’amélioration de la qualité de vie, c’est-à-dire
un accès plus facile aux soins médicaux, aux services sociaux, à la culture, et donc au bien-être social. En
outre, le respect des droits et des libertés et le renforcement de nouvelles formes d’énergies renouvelables
comme l’énergie éolienne, solaire ou géothermique sont des aspects importants du développement durable.
Le développement durable doit permettre de protéger les ressources et l'état de la planète pour les
générations futures et de partager les richesses naturelles. La notion de développement durable traite
également de la réduction des écarts entre les pays pauvres et les pays riches, dans la mesure, ou le maintien
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Développement durable – Initiatives, normes, défis et stratégies
Les initiatives des acteurs privés et publics

Présentation générale

Les initiatives en faveur du développement durable sont assez nombreuses. Cependant, elles sont souvent
dispersées, parfois peu connues (il y a notamment peu d’échange entre le public et le privé) et peu valorisées.
Ces initiatives, rarement inscrites dans la durée, sont portées par une grande diversité d'acteurs : entreprises
privées et publiques, associations, ONG, collectivités territoriales, établissements d'enseignement, structures
de santé, organismes publics...

Toutes ces initiatives constituent parfois un savoir-faire local qui doit être capitalisé, valorisé et partagé. Les
différents ministères doivent de plus en plus, jouer un rôle d'impulsion, d'animation, de valorisation et
d'encouragement de toutes les parties prenantes impliquées dans les démarches de développement durable.
Compte tenu de l’ampleur de la tâche, le développement durable suppose une action coordonnée de tous les
agents économiques et des pouvoirs publics.

Les acteurs
Legrand groupe s’engage concrètement dans le développement
durable et surveille en permanence  la réalisation de son
engagement de façon équilibrée, sur les aspects économiques,
environnementaux et sociétaux. Par exemple sur le plan
environnemental, la démarche du groupe vise à intégrer la
préservation de la planète à tous les niveaux de l’entreprise. Il s’agit
d’un axe important de travail qui se traduit par la participation du
groupe à l’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments.

Les pouvoirs politiques doivent œuvrer pour concilier une économie dynamique, un niveau important
d’éducation, de protection de la santé, de cohésion sociale et territoriale, autant que de protection de
l’environnement, dans un monde respectant la diversité dans sa globalité. La diversité des objectifs du
développement durable implique la conduite et la coordination de nombreuses politiques et actions menées
par l’État et par la société civile. La stratégie nationale de développement durable (SNDD) intègre notamment
les conclusions et les engagements du Grenelle de l’environnement. L’incitation, essentiellement fiscale, à de
nouveaux modes de production et de consommation, afin de penser autrement nos modes de vie et
comportements au bénéfice d'une croissance et d'une consommation plus durables, est le principal levier du
pouvoir politique.

Au niveau local, le plan « ville durable » incite à repenser l’urbanisme, le logement, l’énergie, les transports… Le
pacte de solidarité écologique est, quant à lui, une initiative visant à bâtir un nouveau «vivre ensemble
collectif», économe en ressources naturelles. L’objectif de ce pacte est que le développement durable soit une
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Les normes
La réglementation REACH
Le développement durable est basé sur l’instauration de
normes. Depuis le 1er juin 2007, la nouvelle réglementation
européenne REACH est entrée en vigueur. REACH vient de
l’acronyme anglais « Registration, Evaluation and Authorisation
of Chemicals ». La traduction en français serait : système
d’enregistrement, d’évaluation et d’autorisation des
substances chimiques. Les objectifs importants de REACH
sont : une meilleure protection de la santé humaine et de
l'environnement, contre les risques que peuvent engendrer les produits chimiques. Elle permet aussi
l’amélioration de la connaissance sur ces substances chimiques utilisées par les industriels. Cette norme à
pour objectif de ne pas utiliser les produits toxiques pour la santé et l’environnement et de les remplacer par
des produits inoffensifs.

La réglementation REACH concerne toutes les industries et toutes les matières existantes sur le marché
européen, qu’elles soient produites ou importées dans l’Union Européenne à partir d’une tonne par an. Elle
oblige ainsi les entreprises à enregistrer leurs substances auprès de l'Agence européenne des produits
chimiques, sous peine de ne pas être mise sur le marché européen. Néanmoins, l’enregistrement n’est pas
applicable aux substances déjà couvertes par d’autres réglementations (substances radioactives,
médicaments, phytopharmaceutiques, biocides, additifs alimentaires…). D’autres catégories, comme celles
des polymères font l’objet d’un traitement particulier.

La norme ISO 26000


Publiée le 1 novembre 2010, il s’agit d’une norme internationale d’application volontaire par définition, qui
donne les principales lignes directrices relatives à la responsabilité sociétale, d’un développement durable.
C’est le premier grand pas pour la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) et qui propose une méthode
d’appropriation et de mise en œuvre dans une organisation. Elle donne un cadre international de
comportement à tout type d’organisation (entreprises, collectivités, ONG, syndicats, etc.) quelle que soit sa
taille et ses domaines d’actions.

La norme ISO 26000 respecte les grands textes fondateurs internationaux comme la Déclaration Universelle
des Droits de l’Homme, les conventions de l’Organisation Internationale du Travail, etc. Elle éclaire, explique,
donne des compléments d’informations, évite les incompréhensions ou l’arbitraire. Elle est élaborée par
consensus, c’est-à-dire qu’elle ne peut privilégier les intérêts d’un groupe d’acteurs restreint mais bien au
contraire du plus grand nombre.

La norme ISO 26000 est ainsi un outil commun international pour tout acteur voulant construire sa légitimité «
responsable ». Afin de définir le périmètre de leur responsabilité sociétale, elle invite les organisations à
articuler leur démarche autour de sept questions centrales : la gouvernance de l’organisation, les droits de
l’Homme, les relations et conditions de travail, l’environnement, les bonnes pratiques des affaires, les
questions relatives aux consommateurs et l’engagement sociétal. Ces questions centrales visent à identifier
les domaines d’actions pertinents sur lesquels l’organisation va pouvoir se baser pour fixer ses priorités et
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La gestion des DEEE et RoHS
La gestion des DEEE et RoHS, correspondent à deux directives
européennes. La D3E (2002/96/CE), traite le cadre de la
gestion des déchets des équipements électriques et
électroniques en Europe. La directive RoHS (2002/95/CE)
(Restriction of Hazardous Substances) est relative à la
composition des équipements électriques et électroniques
(EEE). Selon l’article R.543-172 du Code de l'environnement,
les EEE représentent les équipements fonctionnant grâce à
des courants électriques ou à des champs
électromagnétiques, ainsi que des équipements de production,
de transfert et de mesure de ces courants et champs. Sont
ainsi concernés, les équipements conçus pour être utilisés à
une tension ne dépassant pas 1000 volts en courant alternatif et 1500 volts en courant continu.

L’un des objectifs de ces directives est d’informer sur les règles à suivre et les moyens mis à disposition pour
gérer ses déchets des équipements électriques et électroniques, dans le strict respect du développement
durable. Ces directives  permettent aussi d’identifier les besoins et problèmes des usagers et prestataires,
ainsi que des solutions existantes ou à créer. Il existe des organismes agrées dits éco - organismes tels que :
ECO-SYSTEMES, ECOLOGIC, ERP, RECYLUM. Ces organisations sont créées par et pour les producteurs, en
partenariat avec l’ensemble des acteurs de la filière. Les objectifs sont d’assurer la gestion économique de la
filière D3E, d’organiser la collecte et le traitement des D3E et de mettre en place des actions de sensibilisation,
d’information ou de communication,

Il existe une différence entre la réglementation D3E et la RoHS puisque le champ d'application de cette
dernière est plus restreint. En effet, à la différence de la directive D3E, la directive RoHS exclue les dispositifs
médicaux (sauf produits implantés ou infectés), les instruments de surveillance et de contrôle (détecteurs de
fumée…), les piles et accumulateurs.

Il y a deux catégories de DEEE : les ménagers et le professionnels. Les DEEE ménagers, comme leur nom
l’indique, proviennent des ménages, ainsi que les équipements similaires utilisés à des fins professionnelles en
raison de leur nature et des circuits par lesquels ils sont distribués. Les DEEE professionnels sont des
matériels typiques à l'activité des entreprises, tels que les distributeurs automatiques, le matériel médical ou
les instruments de mesure. Certains équipements sont proches de ceux des ménages, mais restent adaptés
aux besoins professionnels,  comme par exemple, les vitrines froides des supermarchés, les climatiseurs
mobiles ou les écrans vidéo informatiques professionnels.

Les DEEE sont des déchets très variés et leur composition type est bien trop complexe, pour pouvoir être
entièrement définie. La filière de collecte et de traitement des déchets d’équipements électriques et
électroniques est opérationnelle depuis le 15 novembre 2006 pour les DEEE ménagers. Elle l’est depuis le 13
août 2005 pour les DEEE professionnels. Elle se base sur le principe de la responsabilité élargie des
producteurs d’équipements électriques et électroniques. Ces déchets sont essentiellement composés de
métaux ferreux et non ferreux (10 à 85%), de matériaux inertes hors tube cathodique (0 à 20%), plastiques
contenant ou non des retardateurs de flamme halogénés (1 à 70%), composants spécifiques potentiellement
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Les défis 
Dans le domaine du développement durable, les défis à relever sont nombreux et importants. Ils nous
conduisent à repenser notre économie et notre croissance en faveur d'une société plus économe en matière
première et en énergie. Parmi ces défis citons : le changement climatique, la consommation d’énergie, la
production de déchets, les menaces pour la santé publique, la pauvreté, l’exclusion sociale, la gestion des
ressources naturelles, la perte de biodiversité et l’utilisation des sols. Dans un tel contexte, les démarches en
faveur du développement durable s'imposent aujourd'hui comme des obligations.

Le développement durable doit pouvoir répondre principalement aux différents problèmes posés par la
croissance démographique, la capacité limitée de la planète et les inégalités sociales. En effet en 2100, nous
serons près de 10 milliards d’habitants, mais les ressources offertes par la Terre ne sont pas illimitées,
d’autant que les consommations individuelles augmentent considérablement, compte tenu de la volonté de
rattrapage des pays pauvres. Les émissions de gaz à effet de serre sont, en particulier, une des conséquences
des activités humaines, qui accélèrent le réchauffement climatique. Ce réchauffement entraîne des risques de
pénurie et le bouleversement de certains cycles naturels comme l’eau douce, l’appauvrissement des sols à
vocation agricole, la déforestation et la réduction de la biodiversité. L'évolution de toutes les espèces vivant sur
terre, y compris à terme, celle des êtres humains, est ainsi menacée.

Pour être durable, le développement doit aussi être harmonieux. Une cohésion sociale minimale doit exister au
plan planétaire pour créer les conditions d’une paix nécessaire. En effet, les écarts importants entre les
situations des agents économiques sont des sources de tentions et conflits. La fracture économique entre le
Nord et le Sud et la répartition inégale de la consommation des ressources naturelles de la planète, entre les
populations du monde, sont notamment des causes potentielles de tensions. Les 10 milliards d'hommes et de
femmes que notre planète comptera en 2100, pourront-ils vivre comme les 750 millions de personnes qui
peuplent aujourd'hui les pays industrialisés ?

Les stratégies
Sur le plan politique, une stratégie a été fixée au niveau de l'Union européenne afin de faciliter un
développement plus durable. Le développement durable s'appuie sur les piliers, économiques, sociaux et
environnementaux, dans le cadre d’une gouvernance mondiale coordonnée. Un retour d’expérience, doit être
réalisé sur les différentes politiques économiques, sociales et environnementales, déjà mises en œuvre. Il
appartient aux états et à l'Union européenne d’assumer leurs responsabilités en jouant un rôle moteur en
matière de développement durable.

Cette stratégie qui s’inscrit dans la lignée de la conférence européenne sur les villes européennes durables
(Lisbonne 1996), doit jouer le rôle de facilitateur pour l’opinion publique et les politiques, dans le changement
des comportements de consommation et d’investissement. Cette stratégie est axée sur des mesures prenant
en compte les principaux défis identifiés, sur des mesures transversales, sur un financement adapté, sur
l'implication de toutes les parties intéressées et sur la réalisation et le suivi efficient des décisions politiques.
Les principales directives de la stratégie sont : la promotion et protection des droits fondamentaux, la
solidarité intra et intergénérationnelle, la garantie d'une société ouverte et démocratique, la participation des
citoyens, des entreprises et des partenaires sociaux, la cohérence et intégration des politiques, l’exploitation
des meilleures connaissances disponibles et les principes de précaution et du pollueur - payeur.
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•    Se responsabiliser face à l'avenir et aux générations futures : c’est à dire promouvoir le principe de
précaution, le principe du pollueur payeur et le principe général de responsabilité.
•    Prendre en compte les trois dimensions énumérées précédemment, de manière équilibrée : ce qui suppose
que les domaines «responsabilité environnementale», «capacité économique» et «solidarité sociale» doivent
être traités à égalité.
•    Intégrer le développement durable dans tous les domaines politiques. Toutes les activités et tous les
processus de la cité doivent être concernés.
•    Accroître la coordination entre les domaines politiques et améliorer la cohérence. Ainsi, toute décision
politique à grande portée doit être précédée d'une évaluation précoce de ses conséquences sociales,
économiques et écologiques. Cette approche nécessite des procédures de décision transparentes et
l'implication de tous les acteurs concernés, ainsi qu'une détermination préalable des conflits d'intérêts.
•    Atteindre les objectifs du développement durable par le partenariat. Tous les niveaux institutionnels doivent
collaborer de manière constructive et assumer pleinement leur rôle d'interface avec la société civile et le
secteur privé.

 
Le développement durable -  La problématique de l’énergie et les
impacts de sa consommation
La problématique de l’énergie
Généralité sur la problématique énergétique
L’énergie est fortement liée aux trois dimensions du développement durable que sont l’économie,
l’environnement et le social. Les services énergétiques sont évidemment essentiels, pour le développement
économique et social. Pour contribuer à ce développement pérenne, le principal enjeu dans le secteur
énergétique, consistera à maîtriser la consommation des ressources énergétiques naturelles. En effet, il nous
faut mettre en place un système qui permette la meilleure adéquation entre le maintien des niveaux de vie
actuels et la conservation de ressources énergétiques, pour les générations futures.

Incontestablement, l’énergie est le moteur, l’essence même, de la civilisation moderne. Les services
énergétiques sont capitaux pour le bien-être humain et contribuent au renforcement de la stabilité sociale
grâce à l’augmentation régulière du niveau de vie. L’énergie est décisive pour le développement et la prospérité
des agents économiques. Bien que les besoins en intensité énergétique des économies modernes diminuent
progressivement, il faudra d’énormes quantités d’énergie, pour améliorer les conditions de vie dans les pays en
développement. Le secteur énergétique lui-même occupe une place importante dans l’économie mondiale en
termes d’emploi, de revenu et d’échanges.

Pour tous les pays du monde, le niveau de vie des USA du


début du XXIème siècle, apparaît comme un objectif idéal. Le
moyen de parvenir à un tel objectif se heurte à une équation
simple. Cette équation évocatrice est la suivante : les USA (qui
représentent 5 % de la population mondiale), consomment 25
% de la consommation mondiale de pétrole ! Or, la plupart des
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développement des États-Unis d’Amérique, dont le modèle Européen s’inspire, n’est pas transposable au
niveau mondial. Il nous faut donc remplacer le gaspillage énergétique, par un modèle de développement
durable.
L’énergie et la pauvreté
L’énergie et la préservation des ressources sont aujourd’hui, au centre du débat  international sur le
développement durable. L’énergie occupe un rôle capital dans l’atténuation de la pauvreté et la construction du
développement durable. Il s’agit d’un aspect élémentaire du monde physique et naturel et des systèmes
socioéconomiques de l’humanité. L’énergie constitue donc un des domaines critiques d’interaction entre la
technologie, l’économie et la politique. Il est indéniable qu’elle est au centre des questions sociales et
environnementales, tout comme l’est son rôle fondamental, dans tout système de planification ou de
développement d’une société. En tant que ressource primaire, elle est cruciale pour la mise en œuvre de
toutes les initiatives de lutte contre la pauvreté et constitue le moteur du développement socioéconomique.
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L’accès à l’énergie facilite la mise ne valeur et le


développement de l’agriculture et des domaines économiques
productifs. L’énergie constitue un facteur clé pour, améliorer
les conditions de vie et réduire la pauvreté. Si les  producteurs
disposent de l’énergie, les produits agricoles locaux peuvent
être transformés et vendus à un prix plus intéressant dans les
villes, permettant ainsi aux ménages ruraux de bénéficier
d’une meilleure valorisation de leur travail. En outre, si ces
ménages sont raccordés au réseau d’électricité publique, ils peuvent profiter de tarifs qui sont souvent
subventionnés. La possibilité de financer la fourniture d’énergie à l’arrière-pays et la durabilité de ce
financement contribue à la promotion de la productivité économique en faveur des plus  pauvres.

Le cas de l’agriculture nous montre bien que l’énergie électrique peut améliorer de manière importante les
conditions d’existence dans les régions rurales des pays pauvres. Il faut aussi noter que l’élimination de la
pauvreté constitue l’un des objectifs centraux des politiques contemporaines de développements. L’accès aux
services énergétiques est un outil indispensable pour améliorer les capacités des pauvres et des défavorisés,
et ainsi aussi pour promouvoir l’égalité. Des courants plaident même pour que l’accès à l’énergie durable soit
formulé en tant que droit fondamental de l’être humain. Mais, si la production ne parvient pas à répondre aux
besoins croissants en énergie, l’accès de la population pauvre ou rurale, à l’électricité et aux autres sources
risque de devenir encore plus difficile.

La maîtrise de la demande d’énergie


L'énergie électrique est la première énergie finale consommée en France. Nous sommes particulièrement
concernés par le développement durable. La démarche pour la maîtrise de la demande d’énergie débute par
une meilleure utilisation de l'électricité consommée. Le but n'est pas de dégrader le confort des usagers, il est
plutôt de le maintenir au niveau actuel, tout en économisant l'énergie. Cet objectif peut être atteint grâce à
l'utilisation d'appareils peu gourmands en électricité et par la possibilité d’une gestion intelligente des
équipements en place. Dans ce domaine, Legrand joue un rôle moteur. De plus en plus d’usagers modifient
leurs comportements dans ce sens. L'énergie ainsi économisée, donc non consommée, n'émettra ni polluants
locaux, ni gaz à effet de serre !

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La maîtrise de la demande d'électricité passe par un ensemble de technologies et de méthodes visant à
optimiser les dépenses énergétiques des consommateurs. Il faut y parvenir, tout en limitant les coûts
d'infrastructures publiques, ainsi que les impacts sur l'environnement. Cette maîtrise regroupe un certains
nombres d’actions et de choix. En effet, les équipements doivent être le plus performants possible (lampes
basse consommation, isolation des bâtiments chauffés à l'électricité, appareils ménagers et professionnels
économes, …). Il convient aussi de choisir des dispositifs permettant de limiter la puissance souscrite appelée
sur le réseau (gestionnaires de puissance, programmateurs, …). Enfin, il faut tendre à substituer à l’électricité
du secteur, utilisée pour les usages thermiques (chauffage, eau chaude), de l’électricité obtenue à partir des
énergies renouvelables.

Les énergies renouvelables


Inévitablement, la part des énergies renouvelables dans notre
consommation d'énergie doit être fortement rehaussée. En
effet, l'exploitation de ces énergies est possible localement et
les techniques en sont de mieux en mieux maîtrisées. Chaque
citoyen est donc en mesure d’apporter sa contribution au
développement durable, en optant pour l’utilisation partielle ou
exclusive des énergies renouvelable.

La question du développement des énergies renouvelables est


inséparable de celle du développement durable. Fournies
généreusement par le soleil, le vent, la chaleur de la terre, les chutes d’eau, les marées ou encore la croissance
des végétaux, les énergies renouvelables n’engendrent pas ou peu de déchets ou d’émissions polluantes. En
les utilisant, nous préserverons les ressources fossiles de la planète, comme le gaz naturel ou le pétrole, dont
les réserves forcément limitées, s'épuisent inexorablement.

Grâce aux progrès scientifiques et techniques, les énergies renouvelables peuvent déjà répondre, hors secteur
du transport, à une bonne part des besoins énergétiques de la population actuelle. Les progrès à venir
permettront encore de réduire notre dépendance vis-à-vis des énergies non renouvelables. Le développement
durable permettra d’assurer la pérennité des ressources terrestre et de conserver des énergies fossiles, pour
les générations à venir. Une meilleure gestion des énergies renouvelables répond parfaitement à la
conservation de l’équilibre général et de la valeur du patrimoine naturel. En produisant plus d’électricité grâce
aux énergies renouvelables, nous réduirons la part d’électricité produite par les centrales électriques
traditionnelles ou nucléaires. Nous pouvons donc diminuer directement la production de déchets radioactifs,
qui dans tous les cas, devront être gérés par les générations à venir. Le très grave accident survenu le 11 mars
2011, à la centrale nucléaire de Fukushima au Japon, vient de nous montrer que l’option nucléaire ne peut pas
être la panacée pour nos approvisionnements en électricité.

D’autres sources d’énergie


La production d’électricité à partir d’énergie fossile est polluante sur toute sa filière. L’utilisation de ces
énergies non renouvelable est fortement émettrice de gaz à effet de serre. En outre, nous allons devoir trouver
une solution pour faire face à la pénurie des ressources fossiles. Les biocarburants ne représentent pas, pour
le moment, une option acceptable. En effet, ils consomment beaucoup d’eau, de pesticides et de surface
cultivable. Ils émettent
En poursuivant votreaussi des gazsur
navigation à effet de serre
ce site, vousdeacceptez
par la déforestation
l’utilisationqu’ils engendrent,
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de leur culture et leur transport. Les biocarburants donnant des résultats globalement négatifs, ils ne peuvent Vous
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durable.
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L’énergie nucléaire est produite et contrôlée dans les centrales nucléaires. Elle est l'objet de beaucoup de
débats, critiques, inquiétudes, et dangers. Néanmoins, elle présente l'avantage d'émettre peu de gaz à effet de
serre, par rapport aux énergies fossiles. Mais le risque d’accident dans les centrales existe (erreur humaine,
acte de malveillance, séisme, raz de marée, attentat, défaillance technique…).

Les impacts de la consommation énergétique


Les impacts sur le changement climatique
Comme nous l’avons indiqué précédemment, l'énergie en général et l’électricité en particulier, sont des
facteurs essentiels du développement économique des sociétés humaines.
Par contre, si les énergies sont un facteur déterminant du développement économique et social, au stade
actuel des connaissances, leur exploitation est une source de pollution qui pose indiscutablement problème.
L’augmentation régulière de la consommation énergétique, est l'une des causes du changement climatique. Si
l’humanité ne change pas son mode de fonctionnement, les spécialistes prévoient qu’il faut s'attendre à une
augmentation des températures comprise entre 1,4 et 5,8 °C, entre 1990 et 2100.

Outre l'évolution de la température moyenne, il est probable que les activités humaines aient des
conséquences visibles dès aujourd'hui sur d'autres aspects du climat. L’élévation du niveau de la mer, les
fortes augmentations de précipitations dans certaines régions, la diminution de la couverture neigeuse aux
pôles, la fréquence et l’intensité des phénomènes météorologiques extrêmes, seraient les signes avant-
coureurs de ces changements climatiques. Dans un tel contexte le développement durable s’impose.

Les impacts sur l’environnement


Comme toute activité humaine, la production et la
consommation d'énergie peuvent avoir des impacts sur
l’ensemble de la biosphère. Il est clair que certains systèmes,
secteurs et régions seront plus durement touchés que d’autres
par ces phénomènes à grande échelle. En effet parmi les plus
menacés, on peut citer : certains écosystèmes terrestres
(régions montagneuses, forêt boréale…), marins (récifs
coralliens…) ou côtiers (mangroves…). Sont également
concerné : certaines régions sèches des latitudes moyennes à
cause de la modification de la pluviosité, les basses terres
littorales et les grands deltas asiatiques et africains, les petites
îles, les populations disposant d’une faible capacité
d’adaptation, dont l'état sanitaire pourrait s'aggraver…

Il est donc important d’anticiper l’épuisement des réserves, afin de prévenir ou de limiter les impacts. En
matière de développement durable, l’efficacité énergétique est le premier levier de réduction de la
consommation des ressources naturelles. Les progrès  technologiques doit contribuer à améliorer les
performances énergétiques. Le groupe Legrand s’emploie, au quotidien.

Développement durable – Le grenelle de l’environnement


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acteurs de la société partage
civile, ontetcommencé
des remontées de des
à prendre contenu de plateformes
initiatives à la mesure dessociales.
enjeux auxquels notre est
pays est, lui aussi, confronté. En 2007, le Grenelle Environnement a permis d’engager un processus de
concertation avec toutes les parties concernées par les problématiques environnementales. État, ONG,
collectivités locales, syndicats et entreprises ont été associés à cette réflexion.
Une consultation a été réalisée et 268 engagements ont été portés par le Président de la République. Par la
suite, 34 comités opérationnels ont été mis en place pour proposer des actions concrètes pour mettre en
œuvre ces engagements. Puis, le Grenelle a été décliné en 2 lois : la loi Grenelle 1 et la loi Grenelle 2.
Aujourd’hui, le Grenelle Environnement se traduit par des réalisations concrètes partout sur le territoire
français et ce, dans tous les secteurs d’activités.

La loi Grenelle 1
A la suite de la consultation démarrée en juillet 2007 et devant
l’urgence à agir contre la dégradation de l’état de notre planète,
l’état a légiféré. La loi de programmation relative à la mise en
œuvre du Grenelle de l’environnement dite "loi Grenelle 1" a
ainsi été promulguée le 3 août 2009. Cette loi globale propose,
à travers 57 articles, des mesures touchant les secteurs de
l’énergie et du bâtiment, des transports, de la biodiversité et
des milieux naturels, de la gouvernance et enfin des risques
pour l’environnement et la santé.

La loi Grenelle 1 entend favoriser et accélérer la prise en compte des nouveaux défis environnementaux par
tous les acteurs. L’objectif est de garantir à la société et à l’économie un fonctionnement et un développement
durable. Il est aussi de préserver sur la durée le niveau de vie et le pouvoir d’achat des Français. Cette loi
reprend fidèlement les engagements du Grenelle. Elle précise et complète certaines des orientations à partir
des propositions émises par les comités mis en place dans la foulée du Grenelle et donne des estimations
budgétaires.

Les secteurs du Bâtiment et de l’Énergie sont concernés au premier titre par la loi Grenelle. Cette loi a
notamment confirmée l’ensemble des orientations en matière de maîtrise de l’énergie, de développement des
énergies renouvelables et de lutte contre le changement climatique. La division par 4 des émissions de gaz à
effet de serre à l’horizon 2050 a été décidée. L’objectif d’atteindre 23 % d’énergies renouvelables a été fixé. Il a
confirmé la norme de 50 kWhEP/m2/an, exprimée en énergie primaire.

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La loi Grenelle 2
La loi constituant un «engagement national pour l’environnement », a été promulguée le 12 juillet 2010. Cette
loi dite Grenelle 2, correspond à la mise en application d’une partie des engagements du Grenelle
Environnement, pris pour promouvoir un développement durable. Les 248 articles qui composent cet
important texte de loi ont été enrichi par le Parlement et déclinent des mesures pour six principaux chantiers :
•    Bâtiments et urbanisme,
•    Transports,
•    Énergie,
•    Biodiversité,
•    Risques, santé, déchets,
•    Gouvernance.
Signalons qu’en plus des lois Grenelle I et Grenelle II, d’autres textes législatifs intègrent les engagements du
Grenelle Environnement. C’est le cas des lois sur la responsabilité environnementale, sur les OGM et de la loi
d’organisation et de régulation des transports ferroviaires.
Le domaine de l’énergie figure en bonne place dans la seconde loi Grenelle. Il y est notamment question de
l’amélioration énergétique des bâtiments et de l’harmonisation des outils de planification en matière
d’urbanisme. L’objectif est de concevoir et de construire des bâtiments plus sobres énergétiquement. Il est
aussi d’obtenir un urbanisme mieux articulé avec les politiques d’habitat, de développement commercial et de
transports tout en améliorant la qualité de vie des habitants. Pour atteindre les buts fixés, il faut engager une
rupture technologique dans le neuf et accélérer la rénovation thermique du parc ancien. Il faut aussi favoriser
un urbanisme économe en ressources foncières et énergétiques.

 
Développement durable – Économie d’électricité, pratiques et gestion
Économie d’électricité
Lutter contre le changement climatique et diminuer la
consommation des matières premières énergétiques non
renouvelables, est viable. On entend par économies d’énergie,
l’ensemble des actions économiquement rentables,
entreprises pour réduire les consommations d’énergie, (par
exemple l’optimisation de la gestion de l’électricité, l'adaptation
des consommations aux plages tarifaires ou encore la
réduction de la puissance installée). L’objectif est aussi de
consommer l’énergie de façon optimale (en récupérant, par
exemple, la chaleur perdue dans les gaz de combustion, la valorisation énergétique des déchets…).

 « La meilleure énergie est celle que l’on ne consomme pas », dit-on. L’une des solutions pour y arriver, c’est
l’efficacité énergétique. Elle consiste à produire les mêmes biens ou services, avec le moins d’énergie possible.
Cette optimisation est au cœur du développement durable.

Le Grenelle Environnement a relancé avec détermination la politique en matière d’efficacité énergétique, en


donnant un rôle central à la maîtrise de l’énergie et à des modes de production et de consommation durables.
En poursuivant
Comme votre
nous l’avons navigation
indiqué, sur
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industrie… Les
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des vidéos, des
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consommateurs. Elles limitentetlesdes
partage émissions en gaz
remontées deàcontenu
effet de serre induites parsociales.
de plateformes la production d'électricité et
réduisent la construction d'infrastructures supplémentaires coûteuses, qui seraient dédiées à la fourniture
d'électricité et qui défigureraient les paysages.
Incontestablement l’efficacité énergétique est aujourd'hui une composante essentielle de chaque projet
Legrand. Elle devient même le critère majeur de sa réussite. Spécialiste mondial des infrastructures
électriques et numériques du bâtiment, Legrand propose toujours plus de solutions pour mieux gérer l'énergie
électrique, réduire durablement la consommation  et continuer à contribuer à fournir une énergie de qualité.
Au-delà de l'offre en elle-même, c'est l’implication de tous les acteurs dans leurs pratiques quotidiennes de
prescription et d’installation qui permettra à ces solutions respectueuses de l’environnement de donner leur
pleine puissance. Il en va de la diminution salutaire de l’empreinte environnementale des bâtiments.

Pratiques
Sur les lieux de travail, les économies d’énergies passent par le respect de bonnes pratiques
comportementales. Parmi celles favorisant le développement durable, citons :
•    éteindre la lumière lorsque l’on sort d’une pièce ;
•    ajuster la température et le recyclage de l’air en fonction de l’occupation ;
•    éteindre un ordinateur lorsque l’on s’absente quelques heures ou lorsque l’on part ;
•    débrancher sa batterie lorsque son téléphone portable est rechargé ;
•    éteindre les appareils qui restent en veille après utilisation (imprimantes, scanners…).
Logo Développement durable Legrand

Grâce aux solutions innovantes de Legrand, il est possible


d’automatiser ces bonnes pratiques sur les lieux de travail.
Même si ces petits gestes semblent relever du simple bon
sens, dans la pratique, ils sont souvent omis par les salariés,
peut attentifs ou qui vivent un rythme de travail effréné et sont
souvent submergés par une multitude des tâches. Alors, au-
delà de la prise de conscience collective d’une réelle nécessité de mieux maîtriser l’énergie consommée, la
technologie peut aider à une mise en pratique systématique. Pour aider les utilisateurs à adopter
automatiquement de bonnes pratiques, Legrand propose tout un panel de solutions qui contribuent au
développement durable. Les prises vertes, les détecteurs de présences, les systèmes de gestion d’éclairage,
etc. en font partie. Ces solutions contribuent à réduire significativement les consommations d’énergie et à
accroître l’efficacité énergétique, que ce soit dans le cadre d’une rénovation, d’une construction, mais aussi
dans l’exploitation d’un bâtiment.

Gestion optimisée
Éclairage
En matière d’éclairage, les ampoules à LED sont la meilleure référence en matière de faible consommation et
de développement durable. On peut ainsi utiliser des "ampoules" constituées de 5 ou 7 LED qui seront
équivalentes aux petits spots halogènes utilisés pour des éclairages directionnels (bibliothèque, vitrine, ...). Les
prix de ces ampoules du futur, très économiques, écologiques et parfaitement saines pour la santé, sont de
plus en plus accessibles. Il est maintenant possible de s'en procurer plus facilement, car elles commencent à
être disponibles dans les rayons des grandes surfaces. Elles peuvent être utilisées pour tout type d'éclairage,
qu'il soit d'appoint, fantaisie, à usage domestique ou d'extérieur.

Les ampoules basse consommation permettent aussi de faire de substantielles économies d'électricité. En
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pour la mêmeduquantité de lumière fournie,
site Legrand.com par laelles consomment
production 5 fois moins
de données d'électricité
statistiques que les ampoules
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vidéos, des boutons de
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qui pourraient perturber et et
la santé des remontées deLes
l'environnement. contenu de plateformes
ampoules sociales.contiennent du
basse consommation
mercure (très nocif s'il vient à s'échapper, en cas d'ampoule défectueuse ou brisée par exemple). Ces
ampoules ne doivent pas être accessibles aux enfants.
Allumage par détection
L'automatisme ou le système de contrôle entraîne également
des économies d'énergie électrique très significatives, par la
mise en veille ou l'extinction totale des équipements selon leur
programmation. Les détecteurs de présence, les équipements
domotiques complets, les interrupteurs automatiques, les
détecteurs autonomes…, constituent tous des solutions efficaces de gestion d’éclairage ou de la température.
Ces accessoires permettent de piloter et de programmer l’éclairage, le chauffage et les autres postes de
consommation pour optimiser leur utilisation à moindre coût. Les commandes peuvent être par BUS/SCS,
CPL, ZigBee ou des composants du Programme Mosaic.

Électroménager

Généralité sur les appareils électroménagers

Les appareils électroménagers (micro-ondes, machine à laver, sèche-linge…) sont commodes et utiles, mais
sont gourmands en énergie. Leurs consommations peuvent atteindre 40 % de la consommation d’électricité
d’une famille (hors chauffage, eau chaude et cuisson) et 60% pour des ménages très équipés. A l’heure
actuelle l’écologie et le développement durable deviennent peu à peu un mode de vie et les pratiques
environnementales s’intègrent de plus en plus à la vie quotidienne. Pour tenir compte de la prise de
conscience des consommateurs occidentaux, les grandes marques proposent des appareils économiques et
écologiques, plus respectueux de l’environnement.
 
Lors de l’achat d’un équipement électroménager, il est important de tenir compte de son «étiquette énergie».
Cette étiquette fournit les informations indispensables à la comparaison et au choix des appareils les plus
efficaces et le plus économiques. En effet, à performance égale, certaines machines peuvent consommer
beaucoup moins que d’autres.
 
L’étiquette énergie est le moyen le plus simple et le plus rapide pour guider le choix des équipements
ménagers. Ces appareils électroménagers consomment de moins en moins d’énergie, grâce aux efforts
incessants des constructeurs. Néanmoins ils représentent encore  une part importante de la facture électrique
des ménages.

Les appareils de classe A, A+ ou A++ sont les plus recommandés suivant le type d’utilisation. Le choix de tels
appareils présente de multiples intérêts. En effet la durée de vie d’un appareil classe A est généralement plus
longue. Il consomme jusqu’à trois fois moins d’électricité  qu’un appareil de classe C. La moindre
consommation des appareils ménagers allège le coût de fonctionnement des appareils et concrétise un acte
citoyen en matière environnementale. 

Le congélateur
Le congélateur est une des sources importantes de consommation d'électricité dans un foyer. Sa
consommation moyenne peut atteindre jusqu’à 20 % de la facture électrique du ménage. Il est donc
particulièrement rentable de prendre toutes les mesures nécessaires pour valider des économies d'énergie sur
Enutilisation.
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formation des boutons
givre, il faut de
partage
avoir le réflexe de laisser et des
la porte remontées
ouverte le moinsde contenupossible.
longtemps de plateformes sociales.
En effet c’est le contact entre la vapeur
d’eau contenu dans l’air et les parois froides de l’appareil qui crée ce givre. Cette formation de givre entraîne
une surconsommation inutile d’énergie, du à l’entretien de la masse de glace ainsi formée.
Une mauvaise étanchéité de l’appareil à cause de l’état des joints peut aussi être à l’origine du givre, tout
comme un mauvais réglage de la température. Il existe en outre la solution du tapis antigivre  qui isole et évite
l’accumulation de glace. Un dégivrage régulier, environ deux fois par an ou dès que nécessaire, limitera la
consommation d’électricité. D’autres bonnes pratiques existent aussi pour contribuer au développement
durable :

•    Choisir un appareil dont les dimensions sont en rapport avec vos besoins réels. En effet, pour un appareil
surdimensionné, la consommation est importante et inutile.
•    Placez votre congélateur dans un endroit frais, à proximité d’une ouverture. Évitez surtout de le placer à
côté de sources de chaleur, telle que four ou cuisinière. De fait, une source de chaleur proche, entraîne une
surconsommation importante d’énergie.
•    Ne réglez pas votre congélateur sur la position la plus froide. Les températures de -15°C à -20°C suffisent
en effet pour les aliments et évitent le gaspillage inutile d’énergie.
•    Remplissez au maximum votre congélateur. Il consommera d’autant moins d'énergie qu’il n’y a pas
d’espace vide.
•    Refermez la porte de votre congélateur aussi vite que possible après l'avoir ouverte. L’étiquetage des plats
permet de les retrouver plus vite dans le congélateur et réduira d’autant le temps d'ouverture de la porte du
congélateur.
•    Laissez au moins 5 cm d'espace derrière votre congélateur, entre la grille et le mur pour faciliter la
circulation de l’air circule. Nettoyez régulièrement la grille située derrière votre réfrigérateur - congélateur.
•    Laissez les aliments à congeler refroidir à l'air libre avant de les placer dans le congélateur. En procédant
ainsi, en plus de l’économie d’énergie réalisée, vous réduirez la formation de givre et de bactéries.

Le lave linge et sèche linge


Pour une lessive écologique et durable, il faut éviter les prélavages. Par ailleurs, il est préférable de faire
fonctionner la machine à 30 ou 40°C. En effet le résultat est le même qu’à 60°C, mais la consommation
d’énergie est bien moindre. Le mode « éco » ou programme court est conseillé. C’est la même chose pour
l’optimisation de la charge de la machine. Ces petites précautions peuvent engendrer jusqu’à 25%  d’économie
d’électricité et 30% d’économie d’eau pour une petite lessive.

Le sèche linge n’est pas un équipement allant dans le sens du développement durable. Il est, en effet, le plus
gourmand en énergie, parmi tous les appareils électroménagers. Sa consommation moyenne peut atteindre
quelque 500 kWh, ce qui représente près de 15 % de la consommation électrique annuelle d’une famille (hors
chauffage). A défaut de pouvoir s’en passer, il est conseillé d’essorer au maximum le linge à la main, avant de
le mettre dans le séchoir, de démarrer la machine seulement lorsqu’elle est pleine et de nettoyer régulièrement
le filtre. N’oublions pas que sans machine, on préservera mieux le linge. Il est possible de faire des économies
d’énergie en utilisant des séchoirs d’intérieurs ou à l’air libre.

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Développement durable - L’écologie
Définition de l’écologie
L'écologie est une science de la biologie née dans les années 1800. Mais l'écologie désigne aussi une
préoccupation très récente liée à l'avenir et aux conditions de vie sur la planète. Elle n’est pas qu’une affaire de
mode, l’écologie c'est notre planète, à terme elle conditionne notre vie et la vie, et même la survie des
générations futures.
La Terre est un système complexe qui n’existe que par son équilibre. Mais l’équilibre de la planète Terre est
fragile. À force d’exploiter les ressources de la planète, de créer de la pollution par nos activités et nos modes
de vie et d’accélérer la disparition de certaines espèces, nous, les hommes sommes en train de modifier et de
menacer l’équilibre fragile de la Terre. Le développement durable est une alternative crédible, qui s’impose à
nous. 

L’empreinte écologique
L’éco conception
L

'éco-conception consiste à intégrer l'environnement dès la


phase de conception des produits, qu'il s'agisse de biens ou de
services. Cette intégration repose sur une approche globale et
multicritère de l'environnement et est fondée sur la prise en
compte de toutes les étapes du cycle de vie des produits. Elle
ne peut se développer que grâce à l'implication des entreprises
dont les enjeux sont nombreux en termes de gains
économiques, d'image et de différenciation sur le marché.

L’éco-conception des bâtiments doit aborder les points


suivants :
•    Prendre en compte les aspects environnementaux dans la conception ;
•    Préservation des ressources (énergie, eau, matériaux, sol) ;
•    Protection des écosystèmes, au niveau planétaire (climat, ozone), régional (forêts, rivières…), local (déchets,
qualité de l’air…) ;
•    Liens environnement et santé.

La construction écologique (green building) s’inscrit évidemment dans les principes de développement
durable et d’éco-conception.

Le bilan carbone
Le bilan carbone s'inscrit dans une démarche globale de
maîtrise des émissions de gaz à effet de serre. Le bilan
carbone a été développé par l'Agence de l'Environnement et de
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la Maîtrise de l'Énergie (ADEME), un établissement publique
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l'écologie et de l'énergie. Il est
partage et des remontées de contenu de plateformes sociales. aussi bien une démarche
méthodologique, autant  qu'une batterie d'outils utilisés, pour
comptabiliser les émissions de gaz à effet de serre d'une
activité, d’entreprise publique ou privée.
C’est une évaluation qui facilite l'identification des principaux postes les plus émissifs et ainsi de mener les
actions les plus pertinentes pour réduire l’impact de l’entreprise sur le changement climatique. Il est conforme
à la norme ISO 14064 et au référentiel ISO 14000 qui s'appliquent tout autant à la "quantification des
émissions GES d'un organisme ou d'un projet". De plus, réalisé en phase de conception, le bilan carbone
permet de disposer d’une unique référence permettant de hiérarchiser les émissions de gaz à effet de serre
pour faire des choix de matériaux ayant moins d’impactant sur l’environnement. Cet un outil de mesure de la
mise en œuvre du développement durable. Le green building accorde naturellement une grande importance au
bilan carbone.
 

La responsabilité des entreprises


Le contrat social
Le développement durable couvre trois dimensions : économique,
sociale et environnementale. La responsabilité sociétale est la
contribution des organisations au développement durable. Elle se
traduit par la volonté de l’organisation d’assumer la responsabilité
des impacts de ses décisions et activités sur la société et sur
l’environnement et d’en rendre compte. Le 1er novembre 2010, la
première norme internationale sur la responsabilité sociétale, ISO
26000, a été publiée. Elle a pour but de fournir des lignes directrices à des organisations prenant en compte
les référentiels existants de conduite générale, de système de management et de reporting. La responsabilité
sociétale, ce sont les principes du développement durable ramenés à la sphère d’une organisation et de ses
parties prenantes.

L’organisation peut être une grande entreprise, une PME, une administration, une association ou bien encore
une ONG. Ses parties prenantes sont tous les individus ou groupes ayant un intérêt dans ses décisions ou ses
activités : personnels, syndicats, médecin du travail, actionnaires, clients, sous-traitants, fournisseurs,
partenaires technologiques ou financiers mais aussi représentants de l’État, collectivités locales, riverains,
associations, media, etc. Le champ est vaste et doit être délimité avec une juste appréciation des priorités.
L’engagement dans une démarche de responsabilité sociétale entraîne en premier lieu l’identification des
parties prenantes, l’établissement du dialogue avec elles pour connaître leurs attentes respectives, et
l’évaluation de l’impact de l’organisation sur ces attentes.

La norme NF ISO 26000 permet bien de faire ce travail. En effet, elle propose un cadre commun, universel,
international, et des lignes de conduite pour structurer la démarche et l’intégrer dans le système de
management. Elle permet à l’organisation et à ses parties prenantes de mettre au clair leurs attentes relatives
aux grands thèmes du développement durable. Comme un guide méthodologique, cette norme retient sept
questions centrales sur lesquelles elle invite à réfléchir et à agir. La démarche RSE consiste pour les
entreprises à prendre en compte les impacts sociaux et environnementaux de leur activité pour adopter les
meilleures pratiques possibles et contribuer ainsi à l’amélioration de la société et à la protection de
l’environnement. La RSE permet d’associer logique économique, responsabilité sociale et éco-responsabilité.

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partage et des remontées de contenu de plateformes sociales.
Une entreprise peut évaluer son niveau de responsabilité sociétale grâce à l’ISO 26000. L’intérêt se situe à
plusieurs niveaux : l’entreprise, les investisseurs ou actionnaires, les salariés. Au niveau de l’entreprise, la
responsabilité sociétale est un facteur avéré de croissance et de pérennité pour deux raisons. La première
tient à la pression de plus en plus forte des donneurs d’ordres et des consommateurs sur ce sujet : les «
acheteurs responsables » sélectionnent des « fournisseurs responsables ». La seconde est qu’avec la
responsabilité sociétale l’entreprise dispose d’un outil stratégique performant pour limiter l’exposition aux
risques (environnementaux, sociaux, litiges avec les parties prenantes, etc.). Pour ce qui est des investisseurs
et des actionnaires, la croissance du marché de l’investissement responsable est réelle et les performances
sociales et environnementales des entreprises sont prises en compte. Quant aux salariés, ils sont sensibles au
fait de travailler dans une entreprise responsable, c’est indéniablement un facteur de motivation.

La charte éthique
Il s’agit d’une démarche mise en place par les professionnels, afin
d’être utilisée comme système de référence pour donner un sens à
leurs action, aider à choisir entre plusieurs solutions et guider leurs
comportements. Les principes d’action et les actions constituent un
élément fédérateur pour envisager l’avenir. Cette démarche éthique
s’inscrit dans le cadre plus général du développement durable.

Cette charte éthique doit représenter des valeurs de responsabilité, d’engagement et de conviction de
l’entreprise et de ses partenaires vis-à-vis de la construction écologique. Les professionnels s’engagent à
respecter et à diffuser les « guides de bonnes pratiques ». Ils élèvent leurs responsabilités professionnelles au
niveau des exigences du développement durable.

La responsabilité des industriels


Présentation
La responsabilité environnementale des industriels est de
continuer à développer des solutions innovantes, favorisant le
développement durable. Le groupe a placé au cœur de ses
préoccupations la recherche continue de l’amélioration de
l’efficacité énergétique des bâtiments. Dans cette perspective
de respect de l’environnement et de développement durable, le
groupe Legrand a défini des actions prioritaires à mener dans
ses activités. Ces priorités constituent  la charte de son
intangible engagement :

•    Intégrer la démarche environnementale sur les sites du


Groupe, en mettant en place le management de
l’environnement sur les sites industriels certifié ISO 14001, d’améliorer de façon continue les performances et
de réduire l’impact environnemental des sites.
•    Prendre en compte la dimension environnementale dès la conception des produits, systèmes et solutions,
par l’intégration du concept éco – conception, dans l’ensemble des projets d’études et développement, afin de
permettre la réduction et la quantification de l’impact environnemental des produits sur tout leur cycle de vie.
• En poursuivant
   Bien votre
informer les navigation
clients sur ce
pour les aider site,choisir
à bien vous acceptez l’utilisation
les meilleures depar
solutions, cookies afin d’optimiser la
des informations
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transparentes et claires le
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les impacts environnementaux
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à vous proposersurdes
les produits, systèmes
vidéos, des et de
boutons
solutions. partage et des remontées de contenu de plateformes sociales.
•    Proposer aux clients des solutions permettant d’améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments, au moyen
de produits qui favorisent les économies d’énergie pour les installations résidentielles tertiaires, ou
industrielles.
Ces engagements environnementaux sont intégrés dans les activités quotidiennes de l’entreprise. Ils
impliquent la responsabilité de tous les acteurs de l’entreprise, en cohérence avec la démarche développement
durable. Cet engagement sur le développement durable sensibilise et fait adhérer tous les partenaires de
l’industriel.

La promotion de l’efficacité énergétique


L'efficacité énergétique est un élément basal dans les projets Legrand et un des critères majeurs de sa valeur.
De plus en plus de produits sont proposés pour optimiser la gestion de l’énergie électrique, fournir une énergie
de qualité, diminuer la consommation et contribuer au développement durable. Des offres de solutions
pratiques, telles que la station de recharge pour véhicules électrique, le système de gestion d'éclairage, les
prises vertes… permettent aux consommateurs de réaliser de fructueuses économies d’énergie, en même
temps que des actions concrètes en faveur de la préservation des ressources naturelles et énergétiques.

Des informations responsables et clairement affichées accompagnent chaque offre d’efficacité énergétique.
Les intérêts réels apportés par ces solutions de développement durable, englobent aussi l’économie
financière, la durée d’amortissement et l’équivalent en masse de CO2 économisé. Grâce à une communication
claire et sincère, les clients disposent de l’essentiel des informations les aidant dans leurs choix et ensuite
pour l’installation de solutions à mettre en œuvre.

Ces offres de solutions sont portées par l’implication majeure de tous les acteurs du groupe Legrand, afin de
donner à ces produits toute leur valeur économique, sociale et environnementale. La réduction de l’empreinte
environnementale des bâtiments, contribue ainsi, à la préservation des ressources non renouvelables et à la
diminution des émissions de gaz à effet de serre. Pour le groupe Legrand, la promotion de l’efficacité
énergétique, n’est pas seulement un challenge, c’est une raison d’être.

Produits à haute performance environnementale


La fabrication des produits est une étape importante pour
contribuer à la performance environnementale. La conception
et le développement de produits à haute performance
environnementale, doit reposer sur un certains nombres de
supports d’actions, depuis la gestion des matières jusqu’à
l’éco-conception. Ces produits respectueux de l’environnement
constituent aussi des solutions d’économie d’énergie et
participent ainsi au développement durable.

Les principales actions sont menées sur :

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•    les substances visées par la directive RoHS : Legrand a éliminé toutes ces substances, même dans des
équipements qui n’entrent pas dans les domaines abordés pars cette directive.
•    La traçabilité des substances : la norme CEI 62474 permet de référencer les substances. Ce référentiel et la
règlementation REACH en Europe sont des éléments importants pour le groupe Legrand et sont pris en
comptes pour une parfaite information des clients, partout dans le monde.
•    La recyclabilité doit être supérieure ou égale à 60% : il s’agit du pourcentage de matière pouvant être recyclé
en appliquant l’état actuel des connaissances dans ce domaine. Pour tenir compte de ce paramètre, tout en
facilitant la fabrication, l'armoire VDI a été reprise et conçue avec 20% moins de matériaux et de pièces
différentes que la précédente gamme. Le potentiel de recyclage a ainsi été porté à 99%.
•    Site de fabrication certifié ISO14001 : cette certification se concrétise par la diminution des
consommations énergétique, la réduction des déchets, la maîtrise des risques et la sensibilisation du
personnel.
•    Le management de l’environnement associé à la R&D : dans toutes les phases du processus de
développement, intègre le management de l’environnement. Par conséquent, l’innovation et la créativité sont
les fruits de cette recherche d’amélioration environnementale continue.
•    Le profil environnement produit (PEP) : c’est la fourniture de toutes les données transparentes et précises
sur l’impact environnemental des produits. Cette démarche implique la conformité à la norme ISO14025 qui
précise les caractéristiques environnementales de chaque produit sur l’ensemble de son cycle de vie.
•    L’éco-conception, pour les nouvelles versions de produits : selon la description de la norme ISO14040, c’est
produire des produits avec un impact environnemental mineur, sur l’ensemble du cycle de vie. A titre
d’exemple, l’éco-conception de la nouvelle génération de BAES a apporté des progrès très significatifs. Ainsi, la
masse totale du produit a été réduite de 48 %, soit une réduction de 70% de l'impact sur la surconsommation
des ressources naturelles. Ces produits permettent 74% de réduction de l'énergie totale consommée,
notamment grâce à l'utilisation de nouvelles sources d'éclairages utilisant la technologie LED. Ce BAES est
logiquement certifié NF environnement.

L’éco-étiquette
L’éco-étiquette est un outil simple et innovant mis au point par
Legrand. Il apporte des réponses aux trois principales
questions que se posent la plus part des maîtres d’ouvrage :
Combien gagne-t-on en €? Combien économise-t-on en CO2?
Avec quel retour sur investissement? Ce produit permet aux
clients d’identifier rapidement et facilement, les économies
effectuées, aussi bien en termes de coût, que d’énergie.

Cette étiquette est physiquement présente auprès de chaque


produit et solution de développement durable et détaille les
économies réelles et le délai de retour sur investissement.
C’est un outil d’aide à la décision pour tous les acteurs
intéressés par l’amélioration de l’efficacité énergétique des
bâtiments. Ainsi, pour l’installation de trois compteurs
d’énergie et une centrale de mesure combinés à des actions
correctives, on peut lire sur l’éco-étiquette : Économie
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bureaux deafin
300 d’optimiser la
m2 ; économie
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par an 799 € ; amortissement 16 mois maxi ; économie par an 1000 Kg éq. CO2 équivalent CO2 de tous les Vous
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Comme cela a été démontré dans le présent article, le développement durable, n’est plus une alternative, c’est
la voie de la raison. De nombreux moyens d’action existent déjà. Les décisions qui impliquent leur mise en
application, concernent tous les agents économiques. Chacun, à son niveau, peut et doit être acteur de cet
immense chantier, qui engage l’avenir des générations futures. Par sa politique d’innovation citoyenne, le
groupe Legrand met à notre disposition des équipements permettant d’allier la réalisation d’économies de
consommation très incitatives, à la préservation de ressources naturelles, d’autant plus précieuses qu’elles
sont rares. Profitons-en !

Droit d’auteur protégé par les articles L. 111-1 et L. 123-1,  du code de la propriété intellectuelle.

PNUE : https://www.unep.org
PNUD : https://www.undp.org/content/undp/fr/home.html

À DÉCOUVRIR

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