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Université HASSAN 1er

ETTAT
Faculté des sciences et techniques
SETTAT
Filière : procédés et ingénierie chimique
(PIC)

Présenté par : Demandé par:


- GOURRAM Meryem - Mr. BOUCHAREB
- EDDAKICHE Houda
I. Actes de langages

Les actes de langages sont les formes langagière qui ont force d’action entre les
interlocuteurs participent la plupart du temps de la coopération et la négociation, tels la
salutation ou le remerciement. Ils servent la bonne entente construisent des liens de
confiance mutuelle pour que l’on puisse se comprendre et avancer dans une parole
harmonieuse.

II. Actes de langages violents

On distingue deux types d’actes de langages violents :

1. Actes de langages directs :

Actes de langage directs ou primitifs sont les actes de langage qui ne doit son
existence qu’à la signification de la phrase énoncée, sans qu’un processus de
dérivation illocutoire n’intervienne.

2. Actes de langages indirects :

Actes de langage indirects ou dérivés sont les actes de langage qui sont générés par un
acte de langage direct sous-jacent et qui nécessite l’intervention d’un processus de
dérivation illocutoire pour être réalisé.
III. Actes de langages avec intermédiaire

Les actes de langages peuvent attaquer une personne qui participe à la conversation,
par exemple à travers le mépris qui lui est adressé implicitement, mais ils peuvent
viser une personne absente de la conversation.
Dans ce cas, la violence verbale va toucher à travers une personne intermédiaire.

1. Formes de la violence verbale avec intermédiaire :


a. Médisance et calomnie
- La médisance :
La médisance est le fait de tenir des propos malveillants à propos de quelqu'un, ou de
quelque chose. L'élément qui caractérise la médisance est la véracité des propos, son
but est généralement le dénigrement.
- La calomnie :
La calomnie est le fait d’attaquer l’honneur, la réputation de quelqu’un par des
mensonges.
- La différence entre la médisance et la calomnie :
La différence entre ces deux notions repose sur le caractère « vrai » des propos tenus.
Contrairement à la calomnie, la médisance est caractérisée par la réalité des propos
prononcés.
Ces deux notions restent motivées par le même objectif : nuire à quelqu'un ou à
quelque chose.

a. Bouc émissaire

Un bouc émissaire est un individu, un groupe, une organisation, choisi pour endosser
une responsabilité ou expier une faute pour laquelle il est, totalement ou
partiellement, innocent.

b. Violence symbolique

C’est un processus de soumission par lequel les dominés perçoivent la hiérarchie


sociale comme légitime et naturelle. Les dominés intègrent la vision que les dominants
ont du monde. Ce qui les conduit à se faire d’eux-mêmes une représentation négative.
La violence symbolique est source chez les dominés d’un sentiment d’infériorité ou
d’insignifiance.

La violence symbolique est pratiquée par le dominé (victime)

2. Les victimes absentes de la violence verbale avec intermédiaire


Parmi les victimes de la violence verbale, absentes au moment des propos tenus à leur
encontre :

a. Le médit

Le médit est la victime de la médisance.

b. Le tiers « triangulé »

La notion de triangle permet d’expliquer comment le couple, qui fonctionne en dyade


conflictuelle parvient à absorber une 3éme personne dans sa relation afin de régler
l’angoisse engendrée par la violence qui habite la relation conjugale.

c. Le troisième larron

Le troisième larron est celui qui profite d'un litige entre deux parties pour en tirer
avantage, il éprouve un plaisir narcissique à être l’objet de la rivalité et il est l’un des
moteurs de la violence verbal

Conclusion
Ne parle jamais des autres en mal. L’énergie négative que tu déverses dans l’univers se
multipliera et reviendra.

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