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TITRE 1: Le droit objectif

Sommaire :
Chap 1 : la notion de droit objectif
Chap 2 : Les sources du droit objectif
Chap 3 : L'applicat° de la règle de droit objectif (L'applicat° dans l'espace/ L'application dans le
temps)

Chapitre 1 : La notion de de droit objectif


Section 1 : Les caractères distinctifs de la règle de droit
Le droit est destiné à organiser les rapports sociaux. Mais il y a d'autres règles qui permettent de
les organiser --> les modateurs de la vie sociale ( règles morales, coutumes, règles de politesse)
On distingue 5 caractères de droit
I) Le caractère normatif de la règle de droit
Nomos (grecque : règle). Le caractère normatif c'est le propre de la règle de droit, d'imposer des
normes, des règles. Il y a ainsi 2 leviers pour imposer des normes :
-Le droit dicte des actions ( Ex : Le code de la route impose de conduire sur la partie droite de la
chaussée, les articles 203 et suivant du code civil dictent le fait que l'on doit verser des aliments
aux ascendants ou aux descendants, lq ils sont dans le besoin, l'artcile 223-6 du code pénale : ce
dernier punit la non-assistance à la personne en danger). Dans ces hypothèses la, la loi impose des
obligat° de faire.
-Le droit préscrit des abstention ( Ex : 221-1 du codeP : le texte qui punit le meurtre, art 311-1 du
CP : texte punit le vole, article 9 du CC, texte sur la protection de la vie privée). Dans ces
hypothèses la loi fixe des obligation de ne pas faire.
En droit une question perpetuelle revient, la protection du respect des libertés indv , la règle de
droit doit respecter au maximum les libertés. L'existence même de la règle limite finalement les
libertés. Dans un système qui se veut libéral, il doit y avoir très peu d'obligation de faire.
II. Le caractère contraignant de la règle de droit
L'Etat crée les règles de loi, donc c'est lui qui les sanctionnent. On parle alors de contraintes
étatiques, on explique que c'est un critère infaillible pour savoir si c'est une règle de droit. Cpt, on
ne la rencontre pas dans toutes les règles de droit, il y a des contre-ex. Ex : le vol (311-1) est définit
comme la soustraction produleuse d'une chose appartenant a autrui. Cet objet pour être soustrait,
doit être corporel, il doit être matériel. En 1994, un articla donc alors été rajouté ( 311-2), la
soustraction produleuse, d'énergie au préjudice d'autrui, est assimilé au vol cpt, il n'y a pas de
sanctions, pas d'indications d'une quelconque peine --> paresse législative.
Il arrive également parfois que le législateur oublie de prévoir une sanction ( Ex : loi 5 janvier 1968,
a réglementé le contrat de construction d'une maison indiv, cette loi a imposé au contrustructeur
un ctn nmbre d'obligation --> garantir tous les défauts, garantie décennale, il doit également
prescrire une assurance, Cpt, aucune sanction n'existe).
a) La diversité des sanction de la règle de droit
Il y a deux grands types de sanct ー :
-Sanction préventives : Il s'agit de prévenir, il faut éviter une violation de la règle de droit.
Ex : Le Huit clos --> exeption au principe de publicité de la justice, principe qui permet a tout ctyn,
d'assister aux audiences, les ctyn doivent pouvoir vérfier comment la justice est rendue. Pouvoir
de contrôle que le peuple peut exercer sur le tribunale. Plusieurs hypothèses de huit clos : les
affaires qui concernent l'intimité( viols..). On rencontre le huit clos, lq on redoute que le public
trouble l'audience.
Ex : (article 172) Opposition au mariage, mariage valable à certaines conditions,
-Sanction répréssive : le but de la sanction répréssive est de punir la violation de la règle de droit.
-Sanction pénale : punissent l'auteur d'une infraction pénale ( droit, contravention.) Elles peuvent
concerner plusieurs domaines : dans sa liberté ( l'emprisonnement), dans ses droits ( le déchoir de
son droit de vote, on peut vous interdir d'exercer une activité sociale, économique, négation des
droits de famille : autorité parentale) , dans son patrimoine ( amende, confiscation: le produit de
l'infraction, objts qu'il a utilisé pour la commettre).
--> sanct° punitive

b) Les sanctions civiles


Sanction à un but diff, non punitif, mais de revenir à l'état antérieur à la violat° de la règle de droit,
il sagit de revenir au statut “quo ante”. 3 types
-L'annulat° : sanct° qui prive un acte juridique irrégulier de sa validité. --> acte juridique, contrat
qui crée des lois et des obligat°, pour q'un contrat soit valable il faut respecter ctn condit° : les 2
partis doivent être d'acc, leurs consentements doivent être libres.
Ex : le contrat à été fait par violence, la victime forcée peut saisir le juge en lui demandant
d'annuler le contrat, cpt un juge met un tps ctn à rendre sa décis° (5 ou 6 mois)
Il faut alors remettre les choses en état ou elles se trouvaient avt la format° du contrat -->
rétroactivité. --> il faut effacer tous les effets que le contrat avait produit entre sa format°) et son
annulat°.
Pr arriver à ce but, chn doit restituer les prestat° --> ce qu'il avait reçu dans le cadre de ce
contrat. ( Ex : contrat de vente : l'acheteur va rendre le bien, et le vendeur va rendre le prix)
Cpt, “quid” lq les prestat° ne sont pas restituable ( ex : contrat de W : contrat exécuté, cpt on
veut l'annuler, l'une des prestat° n'est cpt pas restituable, cr pas de matérialité, pas sur un bien
mais un service/ ex : contrat de baille : baille annulé, cpt prestat° non restituable, l'annulat° n'a pas
d'effet rétroactif, le contrat est nul, mais personne ne restitura rien.
Décis° de justice : arrêt rendu par la 1ère chambre civile de la cours de cassation du 12 juillet
1989 : Femme a conclu un contrat de vente --> A acheté un matériel d'occultisme ( devin) le
vendeur va livrer le matériel, cpt, cette femme ne va pas payer, il va alors l'assigner devant le
tribunal pour avoir le prix, La dame déclare que ce contrat est nul pq la profess° de devin était
interdite par le code pénal. Elle justifie alors le non paiement par la nulité du contrat. La cours de
cassation va donc considérer que ce contrat est nul et contraire à l'ordre pub. Le vendeur ne peut
exigé qu'elle paye le prix. Cpt, elle doit restituer les biens.
-l'éxécut° forcée : Contraindre le débiteur à exéctuer son obligat°, a respecter la loi. Il y a 2 sanct°
• La saisie ( ex : lq pers pas payer ses dettes, le créancier, peut faire saisir les biens du
débiteur) --> saisie des biens, saisie des salaires... ( ex : journalise écrit un article portant
atteinte à la vie priv, la victime peut demander au juge, la saisie de l'ouvrage)
• L'asttreinte : on va obliger le débiteur à exéctuer en le condamnant à verser au créancier
une somme d'argent par j de retard dans l'éxécut°. ( L'astreinte à communicat° de pièce :
cadre d'un procès, demandeur qui saisie le juge, cpt il faut des preuves, détenus par
l'adversaire, il demande au juge de faire condamnat° sous astreinte)
-éxécut° par équivalence : utilisée lq éxécut° imp, ou inutile. On va condamner le débiteur non à
fournir ce qu'il devait, mais à verser une somme d'argent, si poss équivalente à la prestat° qui était
la sienne, donc à livrer les dommages et intérêts ( ex : éxécut° forcée imp? Pers blessée dans son
accident (imp execut° forcée), il doit donc verser à la victime des dommages et intérêts,
correspondant à son préjudice/ ex : un commerçant qui vend des vêtements, alors j'ai commandé
aupr de mon fournisseur la collect° été, livraison non exécutée dans les délais --> execut° par
équivalent avc des dommages et intérêts, ses derniers réparents des préjudices, donc --> perte de
ventes, de bénéfices --> perte d'une chance.

Section 2: L'efficacité ou l'inefficacité de la règle de droit


-Quel est le but de la sanct° ? Règle de droit doit être respectée, la sanct° est une menace légale.
Le but est également que la sanct° ne s'applique jamais --> lq sanct° prononcée, échec de la loi
-La réalité est qu'une sanct° n'aboutie pas tj au respect de la règle (éxécut° par équivalence)
parfois même elle boutie à faire disparaître la règle ( Ex : les fautes dans le divorce: mariage pour
tous --> adultère, ne peut obtenir l'exécut° forcée de la fidélité, cette sanct° on ne l'admet pas car
elle porte atteinte à la lib indiv, on peut cpt demander le divorce pour fautes --> on prononce alors
le divorce --> on fait alors disparaître le devoir de fidélité, et donc de la disparit° de la règle.

Remarque : l'obligat° naturelle, précédemment nous avons évoquer le caractère sanctionnelle de


la règle de droit. Cette sanct° est une sanct° étatique. Pour être sanctionner, une obligat° doit être
prévu par une règle de droit. Existe alors des obligations naturelles : un devoir moral, un devoir de
conscience ( code civil prévoit que nous devons des aliments à nos descendants et ascendants qui
sont dans le besoin mais dans la dimens° colatérale, aucun texte du CC ne prevoit d'obligat°
alimentaire --> obligat° naturelle). La cour de cassat° décide que l'éxecut° spontannée d'une obli°
naturelle, transforme cette obli° naturelle en obli civile. Ce mécanisme de tranformat° s'appelle la
novat° .

Section 3 : Le caractère général de la règle de droit


La règle de droit s'adresse tj à un grp, une loi au sens large, ne s'adresse jamais à une pers en
particulier, sinon la loi manquerait d'objectivité.
Cpt, cmt définir ce groupe ?
I) Un groupe de personne
Les dimens° du gp sont variables ( Ex : art 3 CC alinea 1 : Les lois de police et de sureté oblige tout
ceux qui habitent le territoire/ Ex : les élect° municipales + les ressortissants de l'état de l'UE /Ex :
élect° présidentielle : seulement nationalité fr/ Ex : Restrict° du passage en Master dans le droit)

II) Un groupe de situation


On ne peut identifier de manière certaine les pers que la loi concerne. ( art 212: vise toutes les
pers ayant le statut juridique d'époux)

Section 4 : Le cractère social de la règle de droit


I) La loi est un instrument de paix social
Le but de la règle de droit est la paix sociale, organise les rapports entre les H de façon la + paisible
possible. Le droit est l'art du bon et du juste. Le droit c'est alors l'art de la conciliat° des intérêts
contradictoires, il faut trouver un terrain d'entente.
Le problème cpt est que ctn règle de droit ne correspodent pas à ce shéma :

-Les règles techniques ( ex : enfant doit être déclarer à l'état civil, code civil : délais de 3 jours pour
éviter trafic d'enfant/ ex : l'âge de la majorité civile, fixé à 18 ans)
-des lois” injustes” (ex : prescript° ( : mécanisme juridique qui fait produire à l'écoulement du tps,
des effets de droit --> lq l'écoulement fait acquérir un droit ( prescript° acquisitive) / lq écoulement
du tps fait perdre un droit ( prescript° extintive) ) de l'act° pub en matière pénale : act° par lq état
représenté par le ministère pub poursuit l'auteur d'une infract° pénale. ( auteur d'un délit : 3
ans, meurtre : 10 ans). Une fois le délais écoulé, on ne peut + le poursuivre.
Pq une prescript° en matière pénale : + le tps s'écoule apr l'infract°, + le risque d'erreur augmente/
ex : prescript° acquisitive des immeubles ( ch immobile, qui ne peut pas se déplacer elle même ou
être déplacer, le sol lui-m est un immeuble, et tt ce qui est scellé à l'immeuble : animaux ; ch
mobilière en matière civile et pq ctn meubles sont considérés comme des immeubles, on les appel
meuble par destinat° : meubles qui sont destinés, attachés à l'exploitat° d'un immeuble :
ne femme va occuper un immeuble pdt 30 ans, devient alors propriétaire. Le droit de propri est un
des seuls droit qui est perpetuel. Deux explicat° :
-Eco : proprio décédé ou désintéréssé. Cpt immeuble se dégrade, tandis que l'occupant s'en
occupe.
-Juridique: si cela à duré + de 30 ans, propriété à renoncé à son droit
--> DEIGNER – BLERY (collect° domat. On distingue aussi les meubles par anticipat° ) introduction
au droit privé
CABRIAC ( edit° Dalloz, 11ème édit° 2015)
Le lexique des termes juridiques

II) Le rapport du droit et de la morale


-La lutte du droit : le rapport entre le droit et la morale est le cap ordre des juristes. Entre le droit
et la morale il y a des ressemblances et des différences.
-Les buts du droit : but collectif
de la morale : vise la perfect° indiv de la pers
--> Ressemblance car si chq mmbre de la société est très attaché à la morale, la vie sociale serait
bcp + paisible, + besoin des règles de droit.
( ex : règle admis par le droit mais pas par la morale : divorce, suicide.
Principe admis par la morale mais pas par le droit : le mensonge, ctn obligat° naturelles sont
des devoirs que l'on s'impose à nous même, et qui ne rentre pas dans le droit)
Cpt règles de principe commun : le droit interdit le meurtre, l'un également des commandements
que D donne a Moise, même chose pour le vols/ adultère ( art 371 du Cc, art 6 Cc : fait référence à
la morale, cpt aucun texte du Cc, ne donne une def des bonnes moeurs, car c une not° a contenu
variante ( la morale évolue). Ce sont alors les juges, qui lq qu'ils sont face à une difficulté, donnent
un contenu à la not° de bonnes moeurs --> Cpt cela encoure la subjectivité du juge, d'autre part
cela est imprévisible. Décis° de justice

-Arrêt du conseil d'état de Octobre 1995 : affaire du Lancer de Nain –> société de spectacle, qui
se déplace de ville en ville, et qui doit demander un permis de stationnement au maire, donc une
autorisat° municipale, ils ont voulu s'installer a Aix-en-Provence, la mairie à cpt refusé. Du pt de
vue technique : délibérat° du conseil municipal, qui a donc refusé l'établissement de cette société,
cpt cette délibérat° peut faire l'ordre d'un retour. La décis° est alors rendu par un conseil d'état -->
cette traction porte alors atteinte à la dignité de la pers humaine, est et donc contraire aux bonnes
moeurs. Le CE refuse donc.
-Il faut alors donner notre avis juridique sur la solution, sur la décis° de justice : On fait donc une
liste des arguments allant dans le sens du résultat, et ceux à l'inverse du résultat. Le raisonnement
pour : est dire qu'on utilise un nain comme projectile – c'est contraire à la dignité de la pers hum,
car c'est un handicap qu'on utilise comme object d'attract° - c'est contraire aux bonnes moeurs –
Quand on utilise une personne comme projectile, c'est la catégoriser comme une chose.

Les arguments contre : -Le consentement des nains ( contrat de W --> ils ont donc un salaire, une
protect° sociale, une retraire)
Il faut cpt toujours exposer les arguments qu'on ne partage pas

-Arrêt de la cours de Cassation le 16 Septembre 2010 ( n° de pourvois : 09-67456) : "Affaire Our


body" --> Exposit° organisée par une société "encore Evens", elle installe dans tt les K
européennes, puis veulent s'installer a Paris, leur expo présente des cadavres humains plastinés et
sont présentés dans diverses positions. Cpt, lq expo installée à Bruxelles elle a attiré l'attent° d'un
ctn nombre de journalistes, qui ont constaté que tous les cadavres st ts de type asiatique,
l'enquête va permettre de montrer que ts les corps sont des corps de condamnés à mort chinois --
> Deux associat° se manifestent : "ensemble contre la peine de mort" et "solidarité Chine"
demandent l'interdict°. Le tribunal et la cour d'appel de Paris, ont ordoné l'interdict° AUX MOTIFS
"que la société "encore evens" ne rapportait pas la preuve du consentemment des personnes
concernées". La cour de cassat° va rejeteter le pouvois, mais retiens une autre motivat° AUX
MOTIFS que" l'expo de cadavres à des fins commerciales est contraire aux bonnes moeurs pq les
reste de personnes décédées dvt être traitées avc respect, dignité et décense". Expo est donc
interdite. Cpt, dans ce raisonnement, si l'expo n'avait pas été payante, l'expo aurait eu lieu cpt.
Les arguments pour : L'expo rémunérée – le fait d'exposer ouverterment le corps
les arguments contre : Ce n'est pas pq expo payante que expo contraire aux bonnes moeurs, ce
n'est pas le spectacle qui est contraire aux bonnes moeurs, c'est " a des fins commercials", le
spectacle en lui-m ne contrevient pas au principe de dignitié, le principe payant, oui par contre
( elle ignore finalement la réalité concrète, car une telle expo à un coût considérable – le spectacle
de corps ouverts, peut choquer – Histoire de consentement, on est pas sur qu'ils avaient consentis,
cpt consentement de la pers est une règle de droit français, dans cette situat°, c'est le droit chinois
qui est concerné. La cour de cassat° cible donc bien son raisonnement sur la parti qui réside en
France, cad le fait que l'exposit° soit payante.

Section 5) La structure spécifique de la règle de droit ( le syllogisme)


Toute règle de droit est construite sur un schéma : "SI ALORS"
Le "si" (mineur) correspond a une hypothèse
Le " alors" correspond à la conséquence que la loi attache à cette hypothèse.

Le "si" vise une situat° de fait, juridique


Le "alors" crpd à l'effet juridique

Ex : article 312 du Code civil "L'enfant conçu ou né pendant le mariage a pour père le mari"
Si l'enfant est conçu ou né pendant le mariage
Alors le mari est le père

Ex : article 212 du Code civil "Les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours,
assistance"
Ex : 1382 code civil : "Tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige
celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer.
Si une personne a causé un dommage a autrui
Alors on est tenu de le réparer

Ex : 311-1 du Code pénal " Le vol est la soustract° produleuse de la chose d'autrui
Si il y a une soustract° frauduleuse d'autrui
Alors c'est un vol --> syllogisme inversé, car c'est un texte de définition

Ex : 1441 du code civil :


La communauté se dissout :
1° par la mort de l'un des époux ;
2° par l'absence déclarée ;
3° par le divorce ;
4° par la séparation de corps ;
5° par la séparation de biens ;
6° par le changement du régime matrimonial.
Si la mort de l'un des époux... Alors la communauté se dissout

REMARQUE : Le rôle du juge est de mettre en oeuvre le syllogisme, de le faire fonctionner Ex : art
311-1, le si crrp à une hypothèse de fait, le juge va alors comparer les faits qu'on lui présente aux
faits prévus par le texte, et va alors voir que les faits sont les mêmes --> La qualificat°. ( prouver à
quel texte il correspond)
1ere situat° : les faits présentés aux juges corrp à l'hypothèse, le juge a l'obligat° d'en déduire la
conséquence déduite par le "alors", par les faits
2ème situat° : faits ne crpps pas au "si", aux faits, alors il ne peut pas appliquer le texte à ces faits
la. Mais il doit rechercher si les faits ne rentrent pas dans les prévis° d'un autre texte ( ex de l'abus
de confiance : 314-1 : fait de ne pas détourner une chose qu'on a reçu en vertu d'un contrat/ ex :
Une pers ayant une carte bleu va retirer de l'argent, il souhaite retirer + cpt qu'il a sur son compte :
provis°. Cela ne correspd pas à du vol, car il ne s'agit pas d'une soustract° , l'argent pris n'est pas
non plus remis en l'échange de vertu d'un contrat, il peut également y avoir de l'escroquerie :
obtenir la remise d'une chose à l'aide d'un ctn myn frauduleux. Donc, ce n'est pas un infract°
pénale, cpt cela n'est pas autorisé, car c'est une faute civile.

SECTION 2 : LES RAPPORTS DU DROIT AVEC LA PHILOSOPHIE


D'ou vient la force obligatoire de la loi ?

En doctrine, il y a deux théories, qui permettent de la justifier:


-Le droit naturel ( l'idéalisme)
-Le positivisme juridique

I. Le droit naturel
A) Le contenue de la théorie
-Dans cette théorie on considère que la loi des H est obli si elle est conforme à un ordre juridique
supérieur constitué de princips justes, universels et immuables ( =idéal de justice). Cette ordre sup,
n'a pas été édifié par les H, la loi des états ne peut donc pas l'abolir.
Mais d'ou vient cet ordre sup ?
Ctns auteurs admettent l'image de Dieu, mais d'autres auteurs, parle de "la nature des choses" -->
Platon, Aristote, St Paul ( image de Dieu), au XVIIIè, Les philosophes des lumières sont tous
partisants de la théo du droit naturel ( Voltère, Rousseau, Montesquieu..) inspire alors DDHC, ses
principes. Un des droits reconnus dans les droit de l'H est la resistance à l'oppress°, car si loi d'état
ne répond pas aux principes de justice, on peut s'opposer. La convent° europ des droits de
l'homme --> droit naturel

B) Les critiques
-théorie indémontrable, on se place alorssur un terrain scientifique, cpt autre terrain de la
croyance.
-Elle est conçu universelle et immuable ( ne change pas) --> DDHC prend modèle sur la déclarat°
am des droits de l'H. Cpt, les étasuniens pour la plt viennent d'Europe, cpt universel mais qui n'est
cpt le reflet que des européens, qui on crée cette declarat°. On dit qu'il est universel, cpt principes
européens, ctns pays refusent d'y adhérer.
Ce qui est ressentie comme juste varie d'une civilisat° à une autre et d'une époque à une autre cpt.
Ex : le vol dans l'ancien régime était puni de l'emputat° du poing = conclut comme juste, cpt
barbarie aujd.

II. Le positivisme juridique


A) Contenu
-Il n'existe pas d'ordre juridique sup, il n'y a rien au delà des états. Alors, la règle juridique tire sa
force obli de sa conformité à la norme qui lui est sup. Car dans cette théorie, on soutient qu'il
existe une hiérarchie des normes juridiques. Il a été étudié par Hans Kelsen (--> C°, Lois, decrets,
arretes --> L'arreter tire sa force obli de sa conformité à la norme qui lui est sup).

B) Critique
-Rien ne permet d'expliquer le carac obli de la C° --> faiblesse de sa construct°. Kelsen dit que le
cara obli de la la C° est un postulat ( ce que l'on doit accepter, sans pouvoir le démontrer) que ts les
juristes dt admettre.
-Si tt les C° sont obli, on traite de la m façon une consitut° demo et une C° d'un état dictatorial –
une C° imposée par un cp d'état et acceptée par un référendum.

Conclus° : trad on oppose les deux, cpt, on pourrait décider de les concilier, pq elles sont toutes les
deux une parte de vérité. Kelsen a raison, un arrete en droit fr est obli seulement s'il respecte le
decret.. On peut cpt admettre au dessus de la C°, il y a un ctn nombres de principes qui
représentent un ide de justice, ces idéaux sont dans la DDHC de 1789. On peut alors admettre que
la C° est olbi car elle respecte les droits fondamentaux.

-Jean-Etienne-Marie Portalis reposant au Panthéon, a été un des redacteurs du CC, il dit alors
cette phrase " le legislateur ne doit pas oublier que les lois sont faîtes pour les H, et non les H pour
les lois" --> Portalis parle d'un binome dans une société ( H et loi), dans ce binome, le + impt est
l'H. Les lois sont faîtes pour les H, la loi est un outils au service des H ( Liberté, protect°,
autonomie..). Si loi sup, elle peut venir écraser l'H.

SECTION 3 : LES DIVISIONS DU DROIT POSITIF


Droit positif : ( ne pas confondre droit positif avc positivisme ) Désigne le droit en vigueur, dans
une société à un mmt donné sur le territoire d'un état donné. Ce droit P, peut venir de l'état (loi,
décrets..) ou d'en bas ( les individus se donnent à eux-m : coutume) des décis° de justice
( jurisprudence)...
Le droit positif s'opp à l'histoire du droit : Ccar histoire du droit est étude des techniques juri qui
ne sont + en vigueur.
Le DP s'opp au droit prospectif ( le droit futur) : les projets de réforme, on pense alors aux
améliorat° qu'on peut apporter au droit ( = projet de réforme) mais il n'est encore en vigueur.

I. Les différentes branches du droit


-Summa ( div° principale) = opp droit pub et droit privé
--> Dans une situat° juridique on trouve l'état ( tt les pers pub, état, admi° pub, entreprises pub,
les établissements pub, les collectivités pub ( départmt, commune, rég°..): droit pub). Cpt lq dans
une situat° juridique on ne trouve que des particulies ( droit privé).
Ex : Locat° velib --> accident --> trou sur la chaussée --> entretiens voies communales de la mairie
--> procés envers la mairie donc droit pub.
Ex : procés vs voisin, pour nuisances sonores --> droit privé.

A) Le droit public
a) Le droit international public
--> Désigne des situat° juridiques dans lesquelles intervient un élément étranger --> on trouve tt les
convent° que les états peuvent signer entre eux ( convent° éco, rapport de justice, rapport de
guerre)

b)Le droit public inter


Au sein d'un même état, on trouve alors deux branches :
-Le droit consitutionnel : on réglemente l'organisat° interne de l'état ( rôle pres rep, conseil
constitu..)
-Le droit administratif : réglemente les rapports de l'admi° avec les administrés ( avc les ctyns) et
ces rapports pvt être de deux natures : rapport de responsabilité/ rapport d'autorisat° ( ex : le
permis de chasser, activité réglementée, permis de conduire..)

REMARQUE : le droit public a plsrs diff par rapport au droit privé.


la première diff est une diff d'esprit, d'état d'esprit. Il est protecteur des intérêts de l'état ( état
reprèsent l'intérêt général). Le droit est mise en oeuvre par des juridict° spécifiques( le tribunal
administratif, cour administrative d'appel, conseil d'état..)

B) Le droit privé
Le droit privé : Ensemble des règles qui régissent les rapports des pers privées ( on ne parle pas de
particuliers) il existe deux catégories de pers: les personnes physiques ( les êtres humains) / les
personnes morales ( des gpments auxquels la loi reconnaît une existence autonome, distincte des
des mmbs qui composent le gp) Ce gpm à la personnalité juridique, il est considéré comme une
pers par le droit et peut dc conclure des contrats, et donc il peut engager des procès.

L'activité des pers privées et très diverses contrairement à celle d'un état, on a dc une
multiplicat° des branches du droit privé :
a) Le droit commercial
--> Celui qui réglemente les rapports de commerce ( des commerçants entre eux) : Le commerçant
est celui qui achète pour revendre. Se distingue cpt du langage courant... ( ex : boulanger, épicier..)

b)Le droit rural


Réglemente les rapports entre les personnes privées, rapports qui naissent de l'explo° de la terre
(bail rural)

c)Le droit social


(= droit du W qui règlemente les rapports entre un employeur et un salarié ( droit à la sécurité
sociale qui protège les ctyns vs ctns risques sociaux) En 1945 il existe 4 risques sociaux : maladie,
maternité, invalidité, décès. Aj la quest° se pose de savoir s'il faut ajouter un autre risque =
dépendance

d)Le droit international privé


Rapport de 2 particuluers entre eux dans lq vient un élément d'extranéité, qui peut être un lieu
étranger, une nationalité étrangère. Deux questions à résoudre : un problème de loi applicable et
puis en conflit on a un problème de juridict° compétente.

e)Le droit judiciaire privé


Ensemble des règles, qui organise les procés. On va alors trouver plsrs disciplines :
-les juridict° compétentes
-Les règles de procédure devnt chq juridict°
-Le déroulement du jugement, de l'audience
-On réglement les voix de recours ( puis-je faire appel si je suis condamné ?)
-On réglement les voix d'exécut° ( myns dt on dispose pour faire éxecuter une condamnat°) -->
saisit réglementée par les vx d'exécut°.

REMARQUES :
Il y alors une spéc° des branches. Cette spéc° a un avantage et un inconvénient. A chq fois
qu'on a un droit spé, on a alors un droit bien adapté aux réalités pratiques. Les inconvénients :
pblmt de frontière, et aussi poser des problèmes de juridict° compétente. Ex : litige entre 2
commerçants ( droit commercial, juge compt : tribunal de commerce), cpt, litite entre un
commerçant et un client, qui n'est dc pas commerçant ( applique droit commercial ou droit civil ?/
tribunal de commerce ou tribunal civil ?)
Parmis toutes ces branches, le droit pénal. Cpt, droit pénal --> D privé ou D public ?
--> On aurait pu répondre, que finallement si l'on applique les critères ( état présent ds rapport
juridique D public), cpt en droit pénal ( celui qui fait le procés est un l'état) alors on devrait dire
que le droit pénal relève du droit public. Or, on considère que le droit pénal est rattaché au D privé.
--> Le juge administratif ( met D public) ne bénéficie pas de garantie d'indep à l'égard du pouv
éxécutif. Alors, le juge compétant pourrait être administratif, mais pas le pouvoir de condamner.
Alors que le juge privé est garantie du D d'indépendance. -->

II. Le droit civil


-Le droit civil constitue le droit commun ( il réglemente tt les ?, les matières, qui ne relèvent pas
d'un D spécial = ni droit commercial, social...) par opp° au droit spécial
-En D civil on réglement pour l'essentiel 2 choses : D'une part, les pers, les sujets qui peuvent être
titulaire de droit : Les personnes morales ou les personnes physiques. D'autre part, les droits qui
peuvent être reconnus à ces personne. Au sein de ces droits il y a une distinct° : le droit
patrimonial ( celui qui est évaluable en argent, il entre dans le patrimoine de l'individu = droit de
propriété) et le droit extrapatrimonial ( il n'est pas évaluable en argent, et ne rentre dc pas dans le
patrimoine) . En droit fr, on considère que les droits extrapatrimonaiux restent attachés à la pers
de leur titulaire = le droit à la vie; droit à l'intégrité morale, physique; les droits au respect, de
l'honneur, de la vie privé.
On peut soutenir que ces D extrap, sont des droits protecteurs de la pers. ( droit au respect)
Dans ces droits il y a aussi des obligat° qui vont composer le passif du patrimoine.

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