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Introduction
Alimentation
Permet de combler notre
Aliment et boisson homéostasie interne mais également
externe.
Nutriment (Rôle sociale de l’aliment mais
comprend également le plaisir
L’alimentation permet ;
1. Fournir à l’organisme
- L’énergie dont on a besoin
- Les nutriments plastiques (au niveau des tissus)
- Les nutriments énergétiques en proportion adéquate
- Plaisir et convivialité
2. Prévenir les maladies en relation avec la nutrition
• La dimension hédonique
- Le plaisir sensoriel (caractéristiques organoleptiques)
- Plaisir affectif et émotionnel
Protéines Vitamines
Lipides Minéraux et OE
Glucides Antioxydants
Fibres alimentaires Eau
Alcool (non indispensable)
è Les micronutriments se retrouvent en plus petites quantités mais sont aussi indispensables à
l’organisme
Micro = Peut de quantité -> on les retrouve en mg = carence
Exemple ; vitamines, minéraux
Les glucides et les lipides apportent la majorité de l’énergie nécessaire à la vie. Les protéines
apportent aussi de l’énergie, mais leur fonction principale est la construction, l’entretien et la
défense du corps.
Petit rappel ;
1 Kcal = la quantité d’énergie qu’il faut pour réchauffer de 1°C (entre 14,5 et 15,5°C) un litre d’eau.
1Kcal = 1000 calories
- L’eau
- Vitamine
- Sels minéraux
- Fibre alimentaire
è On prend toutes les calories (déjà calculé) de chaque nutriment pour les additionner.
Exemple ; 3,4 calories de protéines + 46 grammes de glucide + 9 grammes de lipide = 58,4 Kcal
è On prend nos nutriments en gramme qu’on va diviser par 100 et multiplier par le gramme qu’on
souhaite.
Exemple ; 6 grammes de lipide pour 100g alors que je veux savoir combien de vais avoir de
gramme pour 57g -> 6/100 x 57g = 3,42g de lipide pour 57g.
Le besoin énergétique :
« Pour maintenir une masse, une croissance et un développement corporels optimaux et un niveau
d’activité physique permettant d’assurer une bonne santé sur le long terme. »
L’apport énergétiques conseillés pour les adultes selon le sexe et l’activité physique ;
Exemple ;
<xxx
Exemple ;
3. Activité physique
On doit toujours
prendre la toute
dernière formule
du tableau !
Faire attention
de ne pas mettre
les formules de la
femme pour
l’homme et les
formules de
l’homme pour la
femme !
Exemple un ;
Madame A à 26 ans, elle est secrétaire médicale (à temps plein), elle fait 58kg pour 1m64.
Exercice deux ;
Monsieur X à 32 ans, il est ouvrier dans le bâtiment (à temps plein), il pèse 68kg et mesure 1m76
L’alimentation doit apporter à chaque individu une quantité suffisante de différents nutriments
pour couvrir tous ses besoins physiologiques.
Comme il n’est pas possible d’évaluer précisément les besoins de chaque individu d’une population sont
proposées des valeurs d’apports alimentaires permettant de couvrir les besoins de groupes d’individus.
Ces valeurs sont des références pour les populations et des points de repères pour les individus.
La recommandation nutritionnelle :
Elle renseigne des quantités qui sont utiles et sûres pour la santé de la grande majorité de la
population.
è 950mg de Ca par jour
Au-delà = effet toxique et pas plus de 2500mg de Ca/jour
Exemple :
50 à 55% de 2000Kcal par jour -> 250 à 275 grammes par jour
10% de 2000Kcal par jour -> 200Kcal = 50 grammes de sucres ajoutés par jour
b. Sucres ajoutés
Sucres simples ajoutés - Lors du processus de production
- Lors de la préparation
- Lors de la consommation des aliments
Exemple :
• Le saccharose
• Le fructose (saveur plus importante)
c. Sucres libres
e. Les sucres naturellement présents dans le miel, les sirops, les jus et le concentré de fruits
® Le glycogène : il se retrouve dans les viandes de boucherie mais en très petite quantité car il se
dégrade très vite une fois l’animal abattu.
® Inuline (glucide voisin de l’amidon) : artichaut, topinambour, ..
Ces fibres atteignent le gros intestin où elles sont fermentées par des bactéries qui produisent
notamment des gaz. Les fibres solubles forment avec de l’eau, un gel visqueux qui :
Þ A un effet positif sur la satiété
Þ Freine la vidange gastrique et l’absorption des nutriment (ex : glucose)
Þ Se lie aux sels biliaires et facilite leur évacuation fécale
Þ Elles favorisent l’activité bactérienne dans le côlon
NB : L’amidon résistant : il s’agit comme une fibre soluble = fraction non digérée de l’amidon dans
l’intestin grêle car il est physiquement inaccessible aux amyloses (légumes secs) ou alors, il s’agit d’un
amidon rétrogradé (= produits riches en amidon chauffé en présence d’eau puis refroidi lentement)
Les fibres insolubles régularisent le transit intestinal. Une alimentation déséquilibrée et trop pauvre en
fibres insolubles peut causer une constipation.
Þ Physiologiques
- Bouche : augmentation de la mastication
- Estomac : diminution de l’acidité gastrique
- Intestin grêle : ralentissement du transit
- Côlon : augmentation du bol fécal, régularisation de la fonction colique, absorption des
sels biliaires et du cholestérol.
- Côlon : augmentation du bol fécal, régularisation de la fonction colique, absorption des sels
biliaires et du cholestérol.
Þ Métaboliques
- Diminution de la consommation d’énergie : mastication plus lente, densité énergétique
moindre, apparition plus rapide de la satiété
- Ralentissement de l’absorption des glucides, diminution de l’indice glycémique
- Diminution du coefficient d’utilisation digestive des protéines
- Diminution de l’absorption de certains aliments
-
Les sources essentielles de fibre alimentaires :
a. Les légumes secs (environs 25% de fibres solubles). Lors de la cuisson, la teneur en fibres est
abaissée d’un facteur de 2,5 à 3 à cause de l’hydratation
b. Les céréales à grains entiers (non raffinés) contiennent 7 à 15% de fibres dont la majorité sont
des hémicelluloses insolubles. Dans les céréales, les fibres sont concentrées dans l’enveloppe du
grain (le son qui contient plus de 40% de fibres) et de germe.
c. Les fruits (teneur en fibres de la manière sèche : 7-32%) et les légumes (teneur en fibres de la
manière sèche : 13-32%). Mais vu leur forte teneur en eau (85%-95%), ils contiennent 0,8-3,8% de
fibres dont un tiers sont des fibres solubles. Les fruits secs sont beaucoup plus concentrés.
Les fibres alimentaires les plus laxatives sont en général les fibres les moins fermentées (généralement
insolubles). Les FA présentes dans les pruneaux, figues, pommes et poireaux ont aussi un effet laxatif.
Au contraire, probiotique = aliment qui contiennent des bactéries vivantes qui vont coloniser notre
système digestif (comme le yaourt activia)
• Sucres doubles ou disaccharides (doivent être découpé par les enzymes en 2 monosaccharides)
Hydrolysés par les enzymes du suc intestinale :
- Saccharose + saccharase = glucose + fructose
- Lactose + lactase = glucose + galactose
- Maltose + maltase = glucose + glucose
è L’intolérance au lactose : elle n’a pas ou trop peur de lactase pour digérer le lactose
• Amidon, digéré par : (commence dans la bouche)
Il faut couper le lien entre les deux polysaccharides, donc on va se retrouver avec plusieurs
monosaccharides qui pourront passer la barrière, ce sont les enzymes qui vont couper le lien entre
les deux monosaccharide et donc, les libérer et les laisser passer librement
L’enzyme porte un nom bien précis pour la molécule qu’elle doit casser (voir plus haut)
Hydrolysé par :
Le rôle de la digestion est d’avoir du glucose seul pour lui faire passer la membrane.
Le pancréas est également important pour la digestion en sécrétant son enzyme pour l’amidon.
Les dextrines
L’amidon peut se briser partiellement sous l’action
è D’une enzyme
è De la chaleur
è En milieu acide
Maltodextrines
= Oligosaccharides
= Degré de polymérisation (DP) de 3 à 9
= Dérivés de l’amidon
Les plus petites chaines de dextrine ont une saveur que l’amidon n’a pas.
Les rôles du glucose
è Certains organes sont glucodépendant : cerveau.
La glycémie = taux de glucose dans le sang. Les valeurs normales à jeun sont comprises entre 0,7 et 1,1
g/l. Si l’aliment est très riche en fibres, son indice glycémique sera moins élevé.
L’hypoglycémie = une glycémie de <70mg par dl (fatigue, maux de tête, pâleur, faim, vie trouble, etc..)
Attention, ce n’est pas la même chose qu’une hyperglycémie, qui quand elle se prolonge peut provoquer
une hyperglycémie chronique et un diabète 1 (maux de ventre, fatigue, faim, bouche sèche, perte de
poids involontaire, etC..)
On distingue les index glycémiques. (Façon dont la glycémie va être influencée en fonction des repas) :
faibles (<55) : sucre lent
Moyen (entre 56 et 70)
Élevé (>70) : sucre rapide
Recommandations chez l’adulte : L’apport en glucides doit être d’au moins 50 à 55% de l’AET avec des
céréales complètes, des légumineuses, des fruits et des légumes, ..
Les sucres ajoutés ne doivent pas dépasser 10% de l’AET.
L’apport en fibres alimentaires doit être >=25g par jour, au moins, l’aide de crudités, de légumes verts
cuits, de fruits, de céréales complètes et de légumineuses.
L’apport en polyols = max 20-40g/jour.
Index glycémique (IG) : C’est un instrument qui permet de décrire la façon dont les glucides contenus
dans les aliments spécifique influencent la glycémie.
L’IG d’un aliment, formulé en pourcentage, rend compte de sa capacité à faire augmenter la glycémie
de manière plus ou moins importante et plus ou moins prolongée après digestion. Il définit la rapidité de
passage dans le sang mesuré par l’élévation de la glycémie de référence. Plus l’index est faible, moins
l’incidence glycémique sera importante. Plus il est élevé, plus l’aliment sera rapidement absorbé et
entrainera une élévation de la glycémie.
Les IG sont dépendant de la composition chimique globale des aliments et comme ils mesurent la
biodisponibilité du contenu glucidique des aliments, ils sont influencés par divers facteurs (la cuisson par
exemple, facilite l’attaque enzymatique de l’amidon, le rendant aussi rapidement assimilable)
Il ne faut plus dire ; sucres « rapides » ou encore, sucres « lents ».
Sa définition ;
« Aire sous la courbe de la réponse glycémique après l’ingestion d’un aliment glucidique à tester,
exprimée en % de l’aire sous la couche de la réponse glycémique après ingestion d’une quantité
équivalente du glucide de référence (50g sous forme de solution de glucose ou de pain blanc !) »
IG = rapport des aires sous la courbe de glycémie sur 2 ou 3 heures
Plus l’index est faible = moins l’incidence glycémique sera importante
= sensation de satiété plus durable
Les IG donnent donc essentiellement une idée de la quantité d’un glucide mais ne tiennent pas compte
de la quantité d’aliments ingérés :
« Charge glycémique »
Exemple ;
1. La pastèque
IG de la pastèque = 75
Teneur en glucide pour 100g = 8,4
CG de 100g de pastèque = (75 x 8,4) / 100 = 6,3
Fermentation alcoolique
C’est ce qu’on appelle la fermentation alcoolique, ce procédé transforme des sucres fermentescibles
par des levures (la levure de bière est la plus connues) en alcool et gaz carbonique avec dégagement de
chaleur
Exemples :
Fabrication des pâtes levées ou des boissons fermentées comme le vin, la bière, etc..
1. La caramélisation
C’est une réduction de sucre en caramel
Fait réagir du saccharose et de l’eau en chauffant le saccharose au-delà de son point de fusion
(180°C)
La chaleur hydrolyse le saccharose et les sucres obtenus vont alors se dégager, se condenser et
se recombiner.
Un catalyseur acide (jus de citron, vinaigre) favorise l’hydrolyse
2. La réaction de Maillard
Ensemble de réactions complexes
Sucre réducteur + acide aminé -> mélanoides (polymères bruns)
Acrylamide
C’est un composé chimique qui se forme habituellement dans les féculent cuits, frits ou rôtis à haute
températures (EFSA)
Du sirop de glucose-fructose ?
- Une partie de glucose du sirop de glucose est transformé en fructose.
L’amidon
• Il est composé de deux polymères : l’amylose et l’amylopectine
• Saveur fade
• Insoluble dans l’eau
• Se brise partiellement sous l’action d’une enzyme, de la chaleur et en milieu acide
La gélatinisation
La cuisson en milieu aqueux provoque l’éclatement du grain d’amidon.
è Il s’hydrate et gonfle. Il prend une forme gélatinisée
è Il devient facilement hydrolysable par les enzymes digestibles
Remarque :
- Plus la teneur en amylopectine est forte, plus le grain d’amidon se gélatinise rapidement, plus son
absorption est facilitée.
La rétrogradation
Lorsque l’amidon refroidit :
è Sa configuration se modifie à nouveau
è Il prend une forme rétrogradée
è Il est moins facilement attaqué par les enzymes digestives
Remarques :
Le phénomène de rétrogradation :
- Augmente avec le temps
- Augmente avec la diminution de la température
- Provoque le rassissement du pain (eau migre vers la croûte)
Sous l’effet de la chaleur l’eau pénètre dans les grains d’amidon qui commencent à gonfler, ils se serrent
les uns contre les autres, le liquide s’épaissit.
• La cuisson du riz (il est conseillé de laver le riz avant la cuisson afin de le débarrasser d’une partie
de son amidon)
® Riz à la Créole ou à l’Indienne (dilution à l’empois) = dans une eau bouillante salée. Dans
une grande quantité : 1L d’eau pour 125g de riz. Verser le riz en pluie dans l’eau bouillante
salée et le ramener à ébullition, remuer de temps en temps, ne pas excéder 20 minutes de
cuisson, égoutter et rincer à l’eau froide ou tiède.
® Riz à l’Orientale ou au Court-bouillon (empêcher l’empois) = dans l’eau totalement
absorbée. Cuire le riz dans 1,5 à 2,5 fois son volume dans l’eau bouillante salée ou court)
bouillon, ne pas remuer durant la cuisson, recouvrir jusqu’à ce que le riz ait absorbé tout le
liquide.
® Riz Pilaf : réduction d’un bouillon obtenu avec une base animale (viande ou poisson) = fond
plus concentré en arôme et saveur
Chapitre 2 : Les lipides
Les acides gras sont des chaines hydrocarbonées de longueur variable terminée par COOH.
Ils donnent aux corps gras alimentaires leurs propriétés physico-chimiques en fonction de ;
§ La longueur de la chaine d’AG
- Chaine courte : 6 C (digeste !)
- Chaine moyenne : 6 à 14 C
- Chaine longue : plus de 14 C
§ Du degré d’insaturation des AG
- Acide gras saturés (graisses animales) : les atomes C sont chacun lié à deux atomes H
- Acides gras insaturé : deux atomes C lié entre eux par double liaison (ou plusieurs liaisons) et
qui portent chacun un atome H :
• Acide gras monoinsaturés : 1 seule double liaison (huile d’olive
• Acides gras polyinsaturés : plusieurs doubles liaisons (2 à 6)
Exemple :
- Acide linoléique = W6 = huile de tournesol (18C et 2 doubles liaisons / C18 : 2n-6)
- Acide alpha-linoléiques = W3 = huile de colza (18C et 3 doubles liaisons / C18 = 3n-3) : 3 car la
première liaison est sur le carbone numéro 3.
(On va numéroter les atomes de carbones afin de pouvoir abréger les termes. Donc, on parlera
d’oméga 3 car la première des doubles liaisons se trouve sur le carbone 3 ou oméga 6 car le
premier des doubles liaisons se trouve sur le carbone 6)
è 2 familles essentielles !! (Car le corps ne sait pas le synthétiser donc c’est obligatoire de
les retrouver dans notre alimentation)
Favorise les maladie
arthéofareuse. Plaque au
niveau du sang. On les
retrouve dans les huiles
tropicales (huile de coco, huile
de palme) et dans les graisses
animale et laitiers pour l’acide
myristique
20 à 22 atomes de
carbones, polyinsaturée
donc chaine longue pour
EPA et DHA
Les acides gras sont nommés de façon simplifiée par une formule du type C18 : 3n-3 où
- C : L’atome de carbone
- 18 : Le nombre d’atomes de carbones (un nombre pair) dans la chaine hydrocarbonée
- 3 : Le nombre de double liaisons (ou d’insaturations)
- N-3 : La position de la première double liaison sur l’atome de carbone compté à partir de
l’extrémité méthyle de la chaine hydrocarbonée
§ L’aspect
Þ AG saturés : solide à température normale (beurre)
Þ AG insaturés : liquide à température normale (huile végétale)
§ Vitesse d’absorption
Þ AG saturés : absorption plus longue -> digestion plus lente.
Þ AG insaturées : absorption plus rapide -> digestion plus rapide
§ Conservation
Þ AG polyinsaturé : sensible à l’oxydation par la lumière et l’air, ne résiste pas à l’élévation
thermique, conservation au frais et à l’abris de la chaleur et de la lumière
Þ AG saturé et monoinsaturés : sensible à la lumière, conservation à l’obscurité
Þ Toutes huiles subit une auto-oxydation (même dans les condition optimales) -> y ajouter
des fines herbes et des aromates.
§ Qualités nutritionnelles :
Þ AG essentiels : oméga-3 et oméga-6. Notre corps ne sait pas en fabriquer, on n’en trouve
que dans l’alimentation. Agissant sur la reproduction, le maintien de l’épiderme, le système
immunitaire, la coagulation sanguine, .. (Oméga-6) sur la vision, fonctionnement du système
nerveux, diminution du taux de triglycérides (oméga-3)
Þ AG semi-essentiels : acide arachidonique, EPA et DHA (poisson gras) : hypotriglycéridémiant
Le glycérol : contient 3 molécules d’alcool solubles dans l’eau. Ils forment l’ossature de plusieurs graisses.
Ils sont peu présents dans la nature et sont utilisées comme émulsifiantes.
Les stérols :
® Cholestérol : Il faut en consommer 20% de l’alimentation totale), mais en excès, elles peuvent
être nocif (dépôts dans les vaisseaux sanguins)
Sources : jaune d’œuf, beurre, abats, crème, fromages à 40% de MG, viande, poisson, TOUJOURS
d’origine animale, jamais végétale !
Le corps produit le cholestérol donc nous avons besoin.
¼ provient des aliments et ¾ provient de notre corps.
HDL : bon cholestérol
LDL : Mauvais cholestérol, bouche nos artères
Lipoprotéine = transporte les graisses dans le sang et les véhicules vers les organes qui va les
utiliser.
® Stérols végétaux : analogues structuraux du cholestérol. Sources : huile végétales, graines de
céréales, légumes secs, MG tartinables, produits laitiers.
Provoquent une diminution du taux plasmique du LDL-cholestérol de 10 à 15%
Les lipides complexes : les plus connues sont les phospholipides (lécithines du jaune d’œuf) -> émulsifiant
Le pôle hydrophile s’hydrate, gonfle dans l’eau et favorise le foisonnement et l’émulsification.
(Lécithine = glycérol fixé à deux acides ras qui vont former la chaine carbonée. Elle va être composé
d’acide gras qui ne va pas aimer l’eau, l’autre partie qu’il reste du glycérol est composé d’une molécule
de phosphore et d’une base azotée qu’on appellera « la colline »
Elle apprécie l’eau et va s’orienter avec l’eau et le corps de la lécithine va alors s’agglutiner au centre de
la micèle. Mais on peut aussi former des bicouches pour que quand le tête hydrophile s’oriente vers l’eau
Alors le reste qui est hydrophobe, ne va pas la suivre et donc restera loin de l’eau.)
Triglycérides exogènes :
- Particules trop grosses mais va être émulsionnées
- Plus petite (pour être absorbée et passe la barrière intestinales)
- Dan l’intestin grêle
- Vont pouvoir être découpées = lipases pancréatiques
Il restera finalement, un glycérol avec un acide gras, c’est ce qu’on appellera un monoglycéride.
Quand on va manger de la graisse, après ce repas, la vésicule biliaires va déverser la bile dans l’intestin
grêle.
Les graisses sont trop volumineuses donc la lipase pancréatique va aller déchirer ses graisses mais elle aura
quand même beaucoup de difficulté et aura besoin d’aide.
Elle aura comme objectif de transformer ces grosses gouttelettes de graisses qui proviennent de
l’alimentation en fine goulettes (par émulsion)
Les mono glycérides et les AG libres pénètrent à travers la membrane lipidique des entérocytes. Ils sont
ensuite transformés en TG et enveloppés dans les lipoprotéines qui constituent les chylomicrons qui seront
déversés dans le canal thoracique. Les chylomicrons sont formées dans les entérocytes de l’intestin grêles.
Ils transportent donc un peu de cholestérol et beaucoup de TG synthétisées à partir des AG et des
mono glycérides du repas.
Le glycérol libéré lors de la digestion passe au niveau du foie pour y subir le sort des glucides.
L’absorption des micelles de lipides favorise celle des vitamines liposolubles. La consommation de TG
retarde la vidange gastrique.
N’étant pas soluble dans l’eau, les lipides sont transportés au niveau sanguin ou dans la lymphe par des
structures nommées apolipoprotéines qui froment les lipoprotéines qui se divisent en 5 classes :
- Chylomicrons (c’est le transporteur des TG exogènes, libère les acides gras pour les réutiliser (plus
il y a du carbone et plus la digestion sera longue) )
- VLDL (80% de TG)
- IDL
- LDL (« mauvais cholestérol » car ils distribuent du cholestérol du foie vers les différents tissus de
l’organisme)
- HDL (« bon cholestérol » car c’est un épurateur des tissus vers le foie et qu’ils forment des
protections cardiovasculaires)
W6 : acide linoléique (AGE) -> Acide arachidonique -> précurseur de prostaglandine W6 -> inflammation,
vasoconstriction, agrégation -> on en a trop.
W3 : acide alpha-linoléiques (AGE) -> EPA,DHA (poisson gras, MG à tartiner) -> précurseur de
prostaglandine W3 -> anti-inflammatoire, anti agrégation et vasodilatation, ..
(Similaire aux explications de la page 23)
L’hydrogénisation
On sature plus ou moins complètement les chaines hydrocarburées des molécules d’AGPI par de
l’hydrogène aboutissant ainsi à la solidification des huiles utilisés dans la composition des margarines par
saturation plus ou moins complète des doubles liaisons (diminution du nombre de doubles liaisons ; les AGPI
sont ainsi partiellement transformés en AGS et en AGMI). Le point de fusion est d’autant plus élevé que
la saturation approche de son maximum.
Le but est que la consistance solide et la résistance à haute température pour les margarines de cuisson