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Discipline: SVT

Professeur: M.Diouf
Groupe : 1

Thème : Besoin de l’organisme


Plan:
INTRODUCTION
I_Besoins en matière de l’organisme
1_Besoins en matière minérale
2_Besoins en matière organique
II_Besoins en énergie
1_Besoin en énergie
2_Apport énergétique des aliments
3_Depense énergétique
4_Gains et pertes d’énergie
5_Bilan énergétique
CONCLUSION

Noms des exposants:


Abdoulaye Beye
Mame Diarra Diba
Sokhna Maï Diba
Mame Sokhna Dieng
Sokhna Khady Bousso
Ndeye Astou Cisse
Fatou Ndiaye Toure

Introduction

Les besoins de l'organisme sont les éléments essentiels dont il a besoin pour
fonctionner correctement. Ces besoins comprennent les nutriments, l'eau, l'oxygène,
l'énergie et bien d'autres éléments. Pour maintenir une bonne santé, il est
important de comprendre ces besoins et d'adopter un mode de vie sain qui permet de
répondre à ces besoins.

I_Besoins en matière de l’organisme


1_Besoins en matière minérale

Les substances minérales sont des nutriments anorganiques vitaux, que le corps ne
peut produire mais qui sont absolument nécessaires pour rester en bonne santé.

Quels sont les minéraux ?


Les minéraux dont le corps humain a besoin sont variés car la zone dont chaque
minéral apporte du bien est différente. Lorsqu'il s'agit du corps humain les
minéraux les plus important peuvent être listé de la manière suivante; le calcium,
le fer, le sélénium, le cuivre, le zinc, le sodium, l'iode, le flore, le potassium,
le magnésium, le phosphore, le soufre, le manganèse et le chrome. Notre corps a
besoin de tous ces minéraux, chaque besoin de minéral doit être obtenu par le biais
des aliments ou des produits complémentaires.
Comme on en a parlé ci-dessus, chaque effets et zone dont les minéraux apportent du
bien sont différents. C'est pour cela s'il faut parler brièvement de chaque minéral
et de leurs biens;
• Calcium : Permet le bon développement de la structure d'os et de dent.
• Chrome : Régule l'insuline et le taux de sucre.
• Fer : Nécessaire pour des bonnes valeurs de sang.Lutte contre la
fatigue et les maladies, contribue à la croissance.
• lode : Contribue aux fonctions mentales et a un rôle important dans les
fonctions de thyroïde.
• Potassium: Contribue à la protection de la tension.
• Manganèse : Contribue au fait que le tissu d'articulation se forme
normalement.
• Cuivre : Aide à la formation des enzymes nécessairepour la reformation
de tissu du corps.
• Magnésium : Contribue à ce que le système nerveux etle systeme
musculaire restent en bonne santé.
• Phosphore : Contribue au bon fonctionnement des reins et du cœur.
• Zinc : Nécessaire pour le fonctionnement de plusieurs enzymes. Joue un
rôle important dans le rétablissement des plaies et dans la réparation du tissu
Les minéraux se mélange à notre sang lorsqu'ils sont dans notre système
immunitaire, puis ils contribuent à notre corps en se déplaçant avec les vitamines
résultant des aliments vers différents endroits de notre corps. Le rôle des
minéraux est très important dans la formation des os, muscles et dent tout comme
chez les enfants et les adultes. Ils contribuent également à l'équilibre des taux
de liquide dans les cellules et a l'extérieure des cellules. Il s'agit de la
structure de base des enzymes puis il aide au fonctionnement des enzymes. Ils
jouent un rôle sur la lutte du corps contre les maladies et sur le développement
sain su corps.

2_Besoins en matière organique

. Les protéines
Les protéines forment un groupe de nutriments très important utilisé par
l'organisme pour le renouvellement des tissus et la croissance. Elles peuvent être
obtenues à partir d'un large éventail d'aliments pour lesquels les teneurs en
protéines varient grandement d'une espèce à l'autre et en fonction du degré de
maturité des items. Les jeunes feuilles et les fruits immatures contiennent
généralement de plus grandes quantités de protéines que les feuilles matures et les
fruits. Les teneurs en protéines sont principalement mesurées avec la procédure de
Kjeldahl (Chang, 1994). Cette procédure mesure la teneur totale en azote de
l'échantillon multipliée par le facteur de conversion 6,25. Ce facteur de
conversion a été calculé à partir de la teneur moyenne en azote des protéines
(16 %) pour des plantes croissant en milieu tempéré.

. Les lipides

Comme pour les protéines, il existe différentes procédures pour estimer les teneurs
en lipides bruts des aliments. L'une des plus communément utilisées est la
procédure décrite par Soxhlet en 1879 et depuis automatisée. Les huiles et les
graisses sont extraites des aliments par des lavages répétés (percolation) dans un
solvant organique (hexane ou éther de pétrole). Certaines procédures automatisées
ont recours aux ultrasons (García-Ayuso et al., 2000). Bien que standardisée,
l'extraction des lipides est coûteuse en temps. Il existe aussi des méthodes plus
rapides comme la méthode d'analyse rapide des lipides développée par Hansen et al.
(1975).

. Les sucres solubles

Les sucres solubles se divisent en monosaccharide (glucose, fructose, galactose),


disaccharide (saccharose, lactose, maltose) et oligosaccharide (raffinose,
stachyose, verbascose). Ces glucides facilement assimilables sont principalement
contenus dans les fruits. De nombreuses techniques d'analyse ont été développées
pour mesurer leur concentration totale dans les aliments (pour une revue : Pomeranz
et Meloan, 1987). Les méthodes les plus couramment utilisées sont les méthodes
chromatographiques et électrophorétiques. Les méthodes chimiques sont la titration
(la méthode de Lane-Eynon ou de Luff-Schoorl), la gravimétrie (la méthode de Munson
et Walker) et la colorimétrie. Une autre approche consiste à calculer la
concentration des glucides en calculant la proportion de nutriment restant d'un
item après avoir soustrait les proportions de protéines, de lipides, de minéraux et
d'eau. Économique et simple, cette méthode souffre de l'addition des biais associés
aux erreurs expérimentales des différentes analyses utilisées pour estimer les
proportions des autres nutriments.

. Les fibres

Les fibres alimentaires sont les parties d'un aliment d'origine végétale
constituées de mélanges complexes de glucides provenant de la paroi cellulaire ou
du cytoplasme des cellules végétales, et qui ne peuvent pas être complètement
décomposées par les enzymes digestives humaines.
Les fibres comme la cellulose et les hémicelluloses sont des polysaccharides
constitutifs des parois cellulaires des plantes. Ces sucres de structure se
distinguent des autres glucides par leur insolubilité dans l’eau. Les lignines
insolubles, qui sont des polymères phénoliques, et les substances pectiques
partiellement hydrosolubles se retrouvent également sous le vocable de fibres
alimentaires

II_Besoins en énergie
1_Besoin en énergie

Le besoin d'énergie est la quantité de calories que ton corps a besoin pour
maintenir ses fonctions vitales et te permettre de bouger et d'accomplir tes
activités
Les besoins énergétiques individuels dépendent de l’âge, du sexe et de l’activité
physique. Les besoins énergétiques sont assurés par l'alimentation. Ils sont
importants, autour de 100 kilocalories par kilogramme de poids, chez un nourrisson,
puis diminuent, allant de 1 900 kilocalories/jour pour un enfant de 7 à 9 ans
jusqu'à 2 900 kilocalories/jour pour un adolescent en pleine croissance. Ils sont
moindres chez l'adulte (environ 2 200 kilocalories pour l'homme, 1 800 pour la
femme) mais augmentent un peu chez la femme lors de la grossesse et de la
lactation.
Si, chez un adulte, la quantité d'énergie apportée par les aliments est égale à la
quantité d'énergie dépensée, l'individu conserve un poids stable. Si elle est
insuffisante, celui-ci puise dans les réserves nutritives stockées par l'organisme
et il maigrit. Si, au contraire, l'apport est supérieur aux dépenses, le sujet
stocke des réserves énergétiques et grossit.

2_Apport énergétique des aliments

Les apports nutritionnels conseillés en énergie

Les apports énergétiques sont évalués en fonction de l’importance des dépenses


énergétiques journalières (d'où aussi les AJR en nutrition) classées en fonction de
6 niveaux d’activité physique (NAP). Cette donnée pouvant être croisée avec l’âge
et l’IMC.
Apports nutritionnels conseillés pour les adultes entre 20 et 60 ans, dans le cadre
des activités habituelles pour la majorité de la population
Âge 20 - 40 ans 41 - 60 ans
Hommes 2 700 kcal 2 500 kcal
Femmes 2 200 kcal 2 000 kcal
L'équilibre entre les dépenses et les apports énergétiques permet d'assurer une
stabilité du poids corporel, ce qui est indispensable pour le maintien d'un bon
état de santé.
Répartition des apports en glucides, lipides et protéines 1,2
La contribution des macronutriments à l'apport énergétique total devrait être de :
• 15 % pour les protéines : 1 gramme de protéines fournit 4 kcal
• 45-50 % pour les glucides : 1 gramme de glucides fournit 4 kcal
• 35-40 % pour les lipides : 1 gramme de lipides fournit 9 kcal
L’apport énergétique des protéines : Les protéines sont des composants
indispensables de l’alimentation. Selon le rapport de l’Afssa publié en 2007,
l’apport nutritionnel conseillé en protéines a été établi à 0,83 g/kg/jour pour un
adulte en bonne santé.
L’apport énergétique des glucides : Les glucides tiennent une part majoritaire dans
la couverture des besoins énergétiques de l’adulte. Il est en effet recommandé que
les glucides contribuent à hauteur de 45 à 50 % de l’apport énergétique total.
les apports nutritionnels conseillés en lipides et acides gras essentiels
On distingue différentes catégories d’acides gras :
• les acides gras saturés (AGS), synthétisés par l’Homme en particulier par le
foie, le cerveau et le tissu adipeux, et apportés par l’alimentation. ANC : maximum
12 % de l’apport énergétique journalier
• les acides gras monoinstaurés (AGMI), provenant d’une part de la
synthèse endogène et d’autre part de l’alimentation. 15 à 20 % de l’apport
énergétique
• les acides gras polyinsaturés (AGPI), Ils sont indispensables car
rigoureusement requis pour la croissance normale et les fonctions physiologiques
des cellules, mais non synthétisables par l’Homme. Cependant notre organisme a la
capacité de convertir ces acides gras indispensables en acides gras dérivés
« conditionnellement indispensables » (acide arachinodique, EPA et DHA
principalement).

Les apports nutritionnels conseillés en vitamines et minéraux


Les apports nutritionnels conseillés en vitamines
Les vitamines sont des substances qui n’apportent pas d’énergie, mais qui sont
vitales à très faibles doses. À l'exception de deux d'entre elles (vitamines K et
D), l’organisme ne sait pas les fabriquer, leur apport par l'alimentation est donc
primordial pour le bon fonctionnement de notre organisme. Les vitamines sont
impliquées dans de nombreuses fonctions biologiques : construction (croissance,
développement du squelette…), fonctionnement et entretien (transformation et
utilisation des macro-nutriments, vision, fonctionnement normal du système
musculaire, nerveux, immunitaire…).
On distingue deux types de vitamines :
• les vitamines liposolubles, qui sont solubles dans les graisses, et que
l'organisme peut mettre en réserve. Elles sont essentiellement apportées par les
aliments d'origine animale et les huiles végétales. Ce sont les vitamines A, D, E
et K.
• les vitamines hydrosolubles, qui sont solubles dans l'eau et ne sont
pas stockées dans l'organisme (à l'exception de la vitamine B12) ; leurs apports
doivent donc être assurés quotidiennement par notre alimentation. Ces vitamines
sont apportées par la quasi-totalité des groupes d'aliments (viande, poisson, œufs,
produits laitiers, céréales, fruits et légumes). Ce sont la vitamine C et les
vitamines du groupe B (B1, B2, B3 ou PP, B5, B6, B8, B9 et B12).
Les meilleures sources de vitamine A : huile de foie de morue, foies, beurre et
fromage, carotte anguille et thon rouge... 9
Les meilleures sources de vitamine D : huile de foie de morue, poissons gras
(saumon, hareng, sardine, maquereau…), jaune d’œuf cru, huiles végétales enrichies
en vitamine D, produits laitiers enrichis en vitamine D... 10
Les meilleures sources de vitamine B9 : levure, foie de volaille, foie gras,
haricots blancs secs, germes de blé, lentilles, épinards, fromages affinés... 11
Les meilleures sources de vitamine C : cassis, persil frais, kiwi, agrumes (fruits
et jus frais), poivrons rouge et vert cuits, choux de Bruxelles cuits, fraise,
litchi, cresson, ciboulette fraiche...12
Les apports nutritionnels conseillés en minéraux 13
Une vingtaine de minéraux présente un caractère essentiel chez l'homme. Ils sont
classés en 2 catégories :
• les minéraux majeurs ou macroéléments qui sont le calcium (Ca), le
chlore (Cl), le magnésium (Mg), le phosphore (P), le potassium (K) et le sodium
(Na)
• les oligoéléments ou éléments en traces qui comprennent l'arsenic (As),
le bore (B), le chrome (Cr), le cobalt (Co), le cuivre (Cu), le fer (Fe), le fluor
(F), l'iode (I), le manganèse (Mn), le molybdène (Mo), le nickel (Ni), le sélénium
(Se), le silicium (Si), le vanadium (V) et le zinc (Zn)
Les quantités d'éléments minéraux dans l'organisme sont très variables : près de 1
kg pour le calcium et le phosphore, quelques grammes pour le fer, le zinc et le
fluor et moins de 1 mg pour le chrome et le cobalt. Au total, les éléments minéraux
représentent environ 4 % du poids corporel mais interviennent dans une large gamme
de fonctions : minéralisation, contrôle de l'équilibre en eau, systèmes
enzymatiques et hormonaux, systèmes musculaire, nerveux et immunitaire. Par
exemple, il n'y a pas de fabrication d'hormone thyroïdienne sans iode, pas de
fabrication d'hémoglobine sans fer et pas de contraction musculaire sans calcium,
potassium et magnésium. Excepté l'iode, le fluor et le cobalt, tous les autres
éléments minéraux exercent des rôles multiples.
Les apports quotidiens en éléments minéraux permettent de compenser les pertes
inévitables et une alimentation équilibrée et variée permet de garantir ces
apports. Les éléments minéraux sont solubles dans l'eau, d'où une perte plus ou
moins importante en fonction des modes de préparation des aliments.
les apports nutritionnels conseillés en fer, calcium, magnésium, potassium

Les meilleures sources de fer : viandes (viandes rouges en particulier), certaines


charcuteries et abats (boudin noir, foie de volaille, foie de génisse ou de veau),
céréales du petit déjeuner, germe de blé, certains mollusques et crustacés (clam
ou palourde crus, bigorneau cuit, moules cuites) 15
Les meilleures sources de calcium : les produits laitiers représentent la
principale source de calcium alimentaire (lait, yaourt, fromage...) 16
Les meilleures sources de magnésium : cacao en poudre, graine de tournesol, graine
de sésame, noix du Brésil, bigorneau cuit... 17

Concernant les fibres alimentaires, il est conseillé d’en accroitre notablement la


part dans notre alimentation journalière/habituelle. Le PNNS s’est d’ailleurs fixé
comme objectif d’augmenter de 50 % la consommation de fibres. Il est ainsi
recommandé de consommer entre 25 et 30 g de fibres par jour à l’âge adulte. Les
quantités efficaces de fibres solubles sont de 10 à 15 g par jour.

3_Depense énergétique
La dépense énergétique peut être divisée en différentes composantes : le
métabolisme basal, la thermogenèse, l’activité physique, la mise en réserve de
calories dans le tissu adipeux et des coûts additionnels comme la gestation ou
l’allaitement. Ces différentes composantes peuvent prendre une part plus ou moins
importante dans la dépense énergétique totale.

Le métabolisme basal
Le métabolisme basal (BMR : Basal Metabolic Rate chez les Anglo-saxons) correspond
à la dépense énergétique nécessaire au fonctionnement a minima de l’organisme,
mesurée dans des conditions standardisées, c’est-à-dire sur un individu à jeun, au
repos et dans des conditions de thermoneutralité. Dans ces conditions, puisqu’il
n’y a aucun travail musculaire fourni, toute l’énergie dépensée est dissipée sous
forme de chaleur

La thermogenèse
La thermogenèse est l’augmentation de la dépense énergétique en réponse à des
stimuli tels que la prise alimentaire, l’exposition au froid, les situations
psychologiques telles que la peur ou le stress et l’administration de drogues ou
d’hormones qui stimulent le métabolisme.
L’activité physique
L’énergie dépensée pour l’activité physique correspond à toute forme de dépense
énergétique liée à l’exercice qui s’ajoute au métabolisme de base. C’est la
composante la plus variable de la dépense énergétique totale puisqu’elle dépend
totalement de la durée et de l’intensité de l’activité de l’individu. Elle
représente 20 à 30 % des dépenses totales chez des individus sédentaires. Chez un
sportif effectuant des épreuves de longue durée, la dépense énergétique due à
l’exercice physique peut atteindre 60 à 70 % de la dépense totale.

4-Gains et pertes d’énergie

L’être humain, comme un grand nombre de mammifères, est un organisme homéotherme,


c’est-à-dire que sa température interne centrale (température du noyau central)
reste à une valeur constante, aux alentours de 37° C. Cette thermorégulation repose
sur un équilibre entre les apports et les pertes d’énergie de l’organisme.
Les différents modes de transferts thermiques
On peut distinguer trois types de transferts thermiques.
La conduction thermique
Le transfert d’énergie s’effectue par diffusion de proche en proche, sans
déplacement global de matière, de la partie la plus chaude vers la partie la plus
froide. Ce transfert peut se réaliser au sein d’un seul corps ou par contact entre
deux corps. Il s’agit du seul mode de transfert thermique possible dans les
solides.
Exemple : les parois extérieures d’une tasse de café se réchauffent à cause du
transfert thermique par conduction au sein de ces parois.
La convection thermique
Le transfert d’énergie s’effectue par le biais d’un déplacement macroscopique de
matière. Il se produit dans les fluides (liquides ou gaz) et à l’interface entre un
solide et un fluide. Les entités du fluide, en se déplaçant, transfèrent leur
énergie thermique à une autre partie du système. On peut distinguer la convection
naturelle (ou libre) et la convection forcée pour laquelle
le fluide est mis en mouvement sous l’effet d’une action extérieure au transfert
thermique.
Exemple : le café se refroidit notamment par transfert thermique à sa surface par
convection libre de l’air, ce phénomène est accentué lorsque l’on souffle sur le
café, entrainant
une convection forcée.
Le rayonnement thermique
Le transfert d’énergie s’effectue par l’intermédiaire d’un rayonnement
électromagnétique. Tout corps émet un rayonnement, dont la longueur d’onde au
maximum d’émission est fonction de sa température (loi de Wien). La puissance
totale perdue par le corps est donnée par la loi de Stefan-Boltzmann.
Exemple : les parois de la tasse contenant du café chaud émettent un rayonnement
infrarouge dont la longueur d’onde diffère selon la température du point considéré.

5-BILAN ÉNERGÉTIQUE
Le bilan énergétique est la différence entre la quantité d'énergie que tu consommes
(par exemple, à partir de la nourriture que tu manges) et la quantité d'énergie que
tu dépenses (par exemple, en faisant de l'exercice).
Un bilan positif correspond à une situation où l'apport énergétique par
l'alimentation est supérieur à la dépense énergétique dans le cadre d'activités
physiques (gain de matières grasses).
# Un bilan négatif désigne une situation où la dépense énergétique au cours
d'activités physiques est supérieure à l'apport alimentaire (perte de matières
grasses).

Le bilan énergétique d'un être humain dépend de plusieurs facteurs, notamment


l'âge, le sexe, la taille, le poids, le niveau d'activité physique et le
métabolisme de base. En général, une personne a besoin d'un certain nombre de
calories par jour pour maintenir son poids actuel. Si elle consomme plus de
calories qu'elle n'en dépense, elle prendra du poids, tandis que si elle en
consomme moins, elle perdra du poids.

CONCLUSION

L'organisme a des besoins en matière et en énergie pour fonctionner correctement.


Les besoins en matière sont satisfaits par l'alimentation, qui fournit les
nutriments nécessaires à la croissance, à la réparation et au maintien des tissus
corporels. Les besoins en énergie sont satisfaits par les aliments qui fournissent
des calories, nécessaires à la production d'énergie pour les fonctions corporelles.
Pour maintenir une bonne santé, il est important de répondre aux besoins en matière
et en énergie de l'organisme en adoptant une alimentation saine et équilibrée, en
pratiquant une activité physique régulière et en évitant les comportements à risque
pour la santé.

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