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I-Méthodologie générale :
1.1 Le labo de CIV : une organisation rationnelle des locaux sont une des
conditions de la rentabilité d’un labo.
Pièce 5 : la plus propre et la plus calme avec une hotte à flux laminaire pour
un travail en conditions stérile.
Les milieux de culture sont très favorables au développement des bactéries et des
champignons dont la Croissance est plus rapide que celle du tissu végétal qui
envahissent la culture.
1-Supports
a) La Gélose :
b) Bio-gels :
Le problème majeur de la CIV sur milieux liquides est l’aération du milieu ; celle-ci
réaliser par agitation vigoureuse.
2-Milieu minéral :
Les exigences varies avec l’espèce, la nature du tissus et son état physiologique et
avec le mode de culture et le type d’organogenèse étudié.
Cours de Culture in-vitro [4éme Année Phytopathplogie]
a) Les macroéléments :
De nombreux minéraux ont été utilisés, certain de ces milieux ont été mis au point
pour des objectifs bien déterminés.
b) Les Microéléments:
Les microéléments sont apporté seulement dans le bute d’enlever toute carence
éventuelle, et afin d’évité également tous risque de toxicité. Les concentrations en
oligoéléments sont faibles.
c) Composés organiques :
* Sucres :
*Les vitamines :
*Autres :
- Acides aminées & extrais protéiques cellulaire : bien que les tissus végétal sont
autotrophe à l’azote, il est parfois observer que l’apport d’a.a favorise la
prolifération des cals.
- Acides organiques :
1-Auxines et anti-auxines :
*AUXINES :
Pour des recherches physiologiques. Ils sont sensibles aux sys. enzymatique de
dégradation de l’auxine. Manque de stabilité et oxydation à la lumière. Pour les
multiplications végétales il est souvent remplacer par AIB, AIP
Utiliser en association avec les cytokinines ou le lait de coco pour les travaux sur
l’embryogenèse somatique
*ANTI-AUXINES :
Cours de Culture in-vitro [4éme Année Phytopathplogie]
2-Les cytokinines :
Les cytokenines sont entré ou employés à des faible [ ] dans les milieux les plus
3-Les gibbérellines :
1-L’état hygrométrique :
2-La Température :
Généralement constante dans les salles de culture (22-25°C), elle peut être plus
élevée pour les plantes tropicales (27-28°C) ou basse pour certaine espèces (18-
20°C)
*L’intensité d’éclairement :
L’éclairement est fourni par les tubes fluorescents (2000 à 5000 lux)
Ils sont formés de cellules différenciées, à l’origine de tous les tissus de la plante.
Leur culture permet d’obtenir une plante identique à la plante initiale. L’intérêt du
méristème réside dans le fait que se sont des structures intercellulaires INDEMNES
de virus, leur culture donne des plantes saines.
Les embryons obtenus après fécondation peuvent être prélevé et mis en CIV et
donner un nouvel individu
4-L’haplodiploïdisation :
5-L’obtention de protoplastes :
I- Assainissement :
Le problème phytosanitaire posé pour les plante. par les agent phytopathogènes
1-Culture de méristèmes :
Grace aux travaux de WHITE sur la répartition des virus dans les racines de tomate.
Il a remarqué que dans les racines isolées, cultivées in-vitro et provenant de plante
infestées, le nombre de particules virale diminue régulièrement des parties
anciennement formées vers les parties apicales.
Les méristèmes caulinaires sont beaucoup moins riche en virus que les tissus sous-
jacents, en particulier les ébauches foliaires.
2-la thermothérapie :
Le traitement des végétaux par des températures élevées fut utilisé par KUNKEL
en 1936 pour éliminer l’agent responsable du jaunissement du pêcher
(Probablement un mycoplasme)
Les rameaux, en période hivernal, sont plongés durant 10min en un bain d’eau
chaude à 50°C ou en aire à 35-38°C durant 2-4 semaines.
Cette technique n’est pas généralisée et elle n’est pas appliquée dans le cas des
virus thermostable.
Les organes peuvent soit proliférer de façon anarchique et constituer des amas
cellulaires indifférenciés appelé cals, soit développer des bourgeons et/ou des
racines donnant naissance par voie directe à des plantules viables.
1-Multiplication et allongement :
Dans de nombreux cas, il suffit de laisser grandir suffisamment les plantules sur le
milieu de multiplication avant de les passer en enracinement, si tel n’est pas le cas
on permet leur allongement on les posant sur un milieu dépourvue de régulateur de
croissance ou additionné de GA3
2-Enracinement :
Ce n’est pas tjr une étape facile, mais on apporte des modifications sur le milieu de
culture de base en vue de l’enracinement :
*Délutions des sels inorganiques (KI) jusqu’à 1/2 des valeurs des MS
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3-Acclimatation :
*L’application d’un fongicide en spray pour éviter l’attaque des jaunes plantules.
*Eviter la fanaison par perte de d’eau excessive de ces jeunes plantules (le sys
vasculaire et la cuticule foliaire ne sont pas développés
*Les trains sont recouverts soit d’une plaque soit placer sous tente durant 15jrs.
IV-Les haplométhodes :
1-Haploïdes spontanés :
Se rencontrent avec des fréquences faibles. On les distingue par deux méthodes :
b- Marquage génétique
Le 1er haploïde repéré dans une graine à deux embryon a été signalé chez le riz,
aussi chez le lin, le cotonnier, le blé dure, le blé tendre.
Important à retenir
Les milieux de cultures :
1. MS : Murashing et Stroog
2. Gonborj
3. Haller
4. Wite
5. Gantheret
-Les Micro-proporation
-Callogénese
*Organogenèse