Annales L2 Janvier 2020

SUJET 4
ANNEE UNIVERSITAIRE 2019 – 2020

1ère SESSION – 1er SEMESTRE
FILIERE : Economie – Gestion Année d'Etude : L2

Intitulé précis de la matière : Economie des marchés financiers
N° de l’unité : Durée : 1h30
Nom de l'Enseignant auteur du sujet : O. BRUNO
Type d’épreuve : QCM
Aucun document autorisé, calculatrices non programmable autorisées.
Les téléphones portables doivent être éteints et rangés.
Vous répondrez à chaque question sur la feuille de réponse distribuée.
Réponses justes : 1 pt ; Réponses fausses : - 0.3 pt ; Pas de réponse : 0 pt
1. M. Dupont anticipe une baisse du prix de l'action Vinci et décide de vendre le titre à découvert au SRD. Le prix
moyen de vente de l'action est de € 90 et M. Dupont vend pour 100 000 titres le 04 novembre 2019. Quel est le
montant de la couverture que doit verser M. Dupont si cette dernière est versée en cash (liquide) ?
a. 9 000 000 euros
b. 2 250 000 euros
c. 3 600 000 euros
d. 1 800 000 euros
2. Le 23 novembre 2019, le cours de l'action se fixe à € 95 et M. Dupont décide de clore sa position. Quel est le
montant de son gain ou sa perte nette en euros le jour de la compensation ?
a. Un gain de 9 500 000 euros
b. Une perte de 500 000 euros
c. Une perte de 9 000 000 euros
d. Un gain de 500 000 euros
3. Quelle est la rentabilité approximative de son opération en % ?

a. – 5,5 %
b. + 22,2 %
c. + 27,7 %
d. – 27,7 %
4. Parmi les taux suivants, lequel ne correspond pas à un taux directeur de la Banque Centrale Européenne ?
a. Le taux REFI
b. Le taux EONIA
c. Le taux de facilité de dépôt
d. Le taux de facilité de prêt marginal
5. Lors d'une cotation en fixing :

a. Les transactions se déroulent à un prix différent pour tous les participants au marché
b. Les transactions sont possibles à tout moment dès lors qu'il existe une contrepartie
c. Les transactions sont possibles uniquement lors du fixing
d. Aucune des propositions précédentes n'est juste
6. Une IPO correspond :

a. A une première introduction en bourse d'une entreprise
b. A une augmentation de capital d'une entreprise cotée en bourse
c. A un indice boursier
d. A un titre financier négocié sur le marché OTC
7. Les Organismes de Placements Collectifs (OPC) ont pour rôle :

a. D'assurer la gestion d'un fonds d'investissement qui regroupe une multiplicité de clients
b. D'assurer une gestion sous mandat qui s'adresse à un individu particulier
c. D'assurer la gestion d'un fonds d'investissement représentatif des collectivités
d. Les trois propositions précédentes sont justes
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SUJET 4
8. Vous détenez 150 000 euros en liquide et 40 000 euros en actions. L'engagement maximal que vous pourrez
réaliser sur le SDR s'élève à :
a. 190 000 euros
b. 46 000 euros
c. 850 000 euros
d. 910 000 euros
Les questions 9 et 10 se réfèrent à l'énoncé suivant. Vous disposez du carnet d'ordres du titre CRACK en pré
ouverture d'Euronext :
Achat Vente
Cumul Quantité Prix Prix Quantité Cumul
150 Sans limite Sans limite 500
750 600 52 51,65 250 750
1 000 250 51,90 51,70 600 1 350
1 400 400 51,85 51,75 700 2 050
2 250 850 51,80 51,80 250 2 300
3 500 1 250 51,70 51,95 900 3 200
4 000 500 51,65 52,20 1 000 4 200
9. Le prix d'équilibre ainsi que les quantités échangées au fixing d'ouverture du titre seront :
a. € 51,80 et 850 titres
b. € 51,80 et 2 300 titres
c. € 51,80 et 2 250 titres
d. € 51,80 et 250 titres
10. Après l'ouverture, le nombre de titres restant à l'achat au prix du fixing sera de :
a. 4 200 titres
b. 900 titres
c. 1 950 titres
d. plus aucun titre
11. Le coupon couru d'une obligation mesure :

a. La valeur à partir de laquelle seront calculés les intérêts versés chaque année par l'obligation
b. Le montant des intérêts que versera l'obligation chaque année
c. Le montant exigé par le détenteur de l'obligation lors du remboursement du titre
d. Le montant des intérêts accumulés par l'obligation depuis le versement du dernier coupon
12. Le taux sans risque sur des emprunts d'Etat notés AAA est de 2,5 % et une entreprise notée BBB s'endette à
4,5 %. La valeur de la prime de risque payée par l'entreprise est de :
a. 2 %
b. 2,5 %
c. 4,5 %
d. 7 %
13. La capitalisation boursière d'une entreprise représente

a. Le nombre d'actions émis par une entreprise
b. La valeur de marché de l'ensemble des titres émis par une entreprise sur le marché boursier
c. Le nombre d'entreprises cotées sur un marché boursier
d. La valeur nominale d'une action
14. Laquelle des propositions suivantes est inexacte ?

a. La prime du call augmente lorsque le prix du sous-jacent diminue
b. Un put est un droit de vendre un actif sous-jacent à un prix fixé d’avance
c. L’achat d’un put permet de spéculer à la baisse du prix du sous-jacent
d. En cas d’évolution défavorable du sous-jacent, l’acheteur d’un call perdra au maximum 100% de son
investissement initial
15. Les BTAN sont :

a. Des titres de créances négociables émis par des entreprises privées
b. Des titres émis par le Trésor Public pour se financer à court terme (< 1 an)
c. Des titres émis par les banques et les sociétés d'assurances.
d. Des titres émis par le Trésor Public pour se financer à moyen terme (2 à 5 ans)
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Les questions 16 et 17 se réfèrent à l'énoncé suivant :
Un investisseur a réalisé depuis le début du mois boursier pour 2 750 500 euros d'opérations sur le SRD.
16. Parmi les couvertures de position suivantes, laquelle est insuffisante pour couvrir ses opérations ?
a. Un portefeuille composé de 1 150 000 € en actions
b. Un portefeuille d’obligations de 690 000 €
c. 530 000 € en liquidités
d. Un portefeuille composé de 520 000 € en actions et de 290 100 € en liquidité
17. Si l’investisseur ne dispose en compte que de 400 000 € de liquidités, comment peut-il compléter sa couverture
pour que ses opérations puissent être validées sur le SRD ?
a. En apportant 152 500 € en actions
b. En apportant 187 625 € en obligations
c. En apportant 135 200 € en liquidité
d. Aucune des trois solutions précédentes n’est valable
18. Une action est une part de capitaux propres donnant droit :
a. A une part des bénéfices (dividende) et à la participation à la gestion de l'entreprise via le droit de vote aux
assemblées générales
b. A un dividende prioritaire
c. A une rémunération certaine
d. A une plus-value régulière.
19. Parmi ces différents marchés financiers, lequel ne sert pas au financement des entreprises ?
a. Le marché monétaire
b. Le marché des options négociables
c. Le marché obligataire
d. Le marché action
20. Une option dite "européenne" est :

a. Emise uniquement en Europe
b. Emise uniquement sur des sous-jacents cotés en Europe
c. Exerçable uniquement à sa maturité.
d. Exerçable à tout moment entre sa date d'émission et sa maturité
21. Parmi les propositions suivantes, laquelle ne correspond pas à un titre financier ?
a. Un BTAN
b. Une OAT indexée sur l'inflation
c. Une option sur le pétrole
d. Un investissement immobilier à vocation locative
22. Sur un marché gouverné par les prix, que représente le Ask d'un titre ?
a. Le prix auquel un investisseur peut acheter le titre
b. Le prix auquel un investisseur peut vendre le titre
c. Le prix d'équilibre du titre
d. Le profit du market maker sur le marché
23. Laquelle de ces propositions est fausse ?

a. L'émetteur d’un emprunt obligataire s’adresse à un grand nombre de prêteurs
b. Les prêteurs détiennent des titres appelés obligations qui sont négociables en bourse
c. Le nominal de chaque titre est la valeur prise en compte pour le calcul des intérêts annuels ou coupon annuel.
d. Le prix d’émission et le prix de remboursement d’une obligation sont toujours égaux au nominal du titre
24. Laquelle des propositions suivantes est fausse ?

a. Un put est un droit de vendre un actif sous-jacent à un prix fixé d’avance
b. Le prix d’exercice est le prix payé lors de l’achat d’une option
c. Un call dans la monnaie a en général plus de valeur qu’un call hors la monnaie (les deux calls portant sur le
même sous-jacent et ayant des dates d’échéances identiques)
d. Un call américain peut être exercé tout au long de sa durée de vie
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25. Sur un marché organisé :
a. Tous les titres négociés sont uniquement cotés en continu
b. Tous les titres négociés sont uniquement cotés au fixing
c. Tous les titres sont cotés au fixing et en continu
d. Certains titres sont cotés au fixing et d'autres en continu
26. Un ETF se définit comme :

a. Un fonds indiciel négociable dont l'objectif est de répliquer la rentabilité d'un indice
b. Un Equity Trade Fund c'est-à-dire un fonds en actions
c. Un fonds obligataire dont l'objectif est de se couvrir contre le risque
d. Aucune des propositions précédentes
Les questions 27, 28 et 29 se réfèrent à l'énoncé suivant. Un spéculateur décide d’acheter 1 000 options d’achat
(Call) dont les caractéristiques, le 20 décembre 2019 sont les suivantes :
Type : Call (option européenne)
Sous-jacent : Orange
Prix d’exercice (strike) : 90 €
Parité : 1 pour 1 (une option donne le droit d’acheter une action)
Echéance : mars 2020
Prime de l’option (pour 1 option) : 8,5 €
Le 20 décembre 2019, l’action Orange cote 88 €
27. Quelle est la valeur intrinsèque de l’option au 20 décembre 2019 ?

a. 0 €
b. 2 €
c. 8,5 €
d. 6,5 €
28. Quelle est la valeur temps de l’option au 20 décembre 2019 ?

a. 0 €
b. 2 €
c. 8,5 €
d. 6,5 €
29. Si en mars 2020 l’action Orange cote 100 €, quel sera le profit net pour l’investisseur ayant acheté 1 000
options en décembre ?
a. – 8 500 €
b. + 8 500 €
c. + 2 500 €
d. + 1 500 €
30. Parmi les propositions suivantes, laquelle est inexacte ? Les agences de notation :
a. Fixent le taux de coupon des obligations en fonction de leur risque
b. Notent le risque des dettes émises par les entreprises
c. Notent le risque des dettes émises par les Etats souverains
d. Classent les risques de faillite en plusieurs catégories (de "sécurité maximale" (AAA) à "en défaut" (D))
31. Sur le marché interbancaire, une opération REPO est une opération où :
a. Deux banques commerciales se prêtent de la liquidité sans prise de garanties
b. Deux banques commerciales se prêtent de la liquidité avec prise de garanties
c. La banque centrale emprunte de la liquidité à une banque commerciale
d. Une banque commerciale prête de la liquidité à une entreprise
32. L'émission de titres par syndication consiste :

a. A réaliser une enchère et à vendre les titres aux plus offrants
b. A demander à un groupe de banques d'acheter l'ensemble des titres proposés à la vente
c. A vendre les titres dans une monnaie étrangère (dollar, yen, etc…)
d. Les trois propositions précédentes sont incorrectes
33. Laquelle de ces proposition est fausse ? Le SPREAD de taux, ou prime de risque d'un emprunt obligataire :
a. Augmente avec la durée de l'emprunt
b. Peut se modifier dans le temps
c. Dépend de la notation de l'emprunteur
d. N'est jamais payée par un Etat souverain
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SUJET 4
Les questions 34 et 35 se réfèrent à l'énoncé suivant.
Vous disposez du carnet d’ordres de la société TRUC en cours de séance (tableau suivant) :
Ordres d’achat Ordres de vente
Quantité Prix Prix Quantité
525 56 56,5 450
600 55,5 57 600
400 55 57,5 750
1 400 54,5 58 1 400
900 54 58,5 1 000
34. Si un investisseur passe un ordre de vente de 1 400 titres "au prix du marché", quel sera le prix de la dernière
transaction réalisée ?
a. 55 €
b. 55,5 €
c. 54,5 €
d. Sans réponse car son ordre ne sera pas exécuté.
35. Sans tenir compte de la question 34, si un investisseur passe un ordre d'achat "à cours limité" pour 525 titres à
55 euros, comment sera exécuté son ordre ?
a. Son ordre sera exécuté partiellement
b. Son ordre sera exécuté totalement
c. Son ordre ne sera pas exécuté. Il entrera simplement dans le carnet d’ordre
d. Son ordre sera rejeté car il est interdit de passer un ordre d'achat à cours limité
36. Le taux EURIBOR est :

a. Le taux de change moyen de l’euro durant les prochains mois
b. Un taux d’intérêt calculé sur base des transactions entre grandes banques européennes sur le marché obligataire
c. Un taux d’intérêt calculé sur base des transactions entre grandes banques européennes sur le marché monétaire
d. Un taux d’intérêt imposé par la Banque Centrale Européenne (BCE) et qui sert de taux directeur à l’économie
37. Dans le cas d’un put, si la valeur (le cours) du sous-jacent est plus grande que le prix d’exercice, alors :
a. La valeur temps est nulle
b. La valeur temps est égale à la prime de l’option
c. La valeur intrinsèque est positive
d. La valeur intrinsèque est égale à la valeur temps
38. Le flottant d'un titre mesure :

a. Le nombre d'actions émis par une entreprise sur le marché boursier
b. Le nombre de titres échangés dans une journée sur le marché boursier
c. La part variable de la rémunération d'un titre financier
d. La part des actions émises effectivement détenue par le public, hors autocontrôle
39. Le CAC 40 est :

a. Un des compartiments "action" d’Euronext Paris
b. Un indice boursier
c. Un marché réservé aux sociétés engagées dans le développement durable
d. Regroupe les 40 entreprises les plus jeunes d’Euronext Paris
40. Laquelle de ces propositions est inexacte ?

a. Lorsque le prix d'émission d'une obligation est identique à sa valeur faciale, le titre est émis à parité
b. Lorsque le prix de remboursement d'une obligation est identique à sa valeur faciale, le titre est remboursé au
pair
c. Lorsque le prix de remboursement d'une obligation est inférieur à sa valeur faciale, il existe une prime de
remboursement
d. Lorsque le prix d'émission d'une obligation est inférieur à sa valeur faciale, il existe une prime d'émission
Matériels autorisés : CALCULATRICE NON PROGRAMMABLE - Documents

autorisés : NEANT - Si OUI, lesquels : AUCUN
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INSTITUT SUPERIEUR D’ECONOMIE ET DE MANAGEMENT
Université Nice-Sophia-Antipolis

1ère SESSION – 1ER SEMESTRE
FILIERE : Economie Gestion Année d'Etude : Licence 2

Intitulé précis de la matière : Microéconomie 3 Groupes B et D
Durée : 1h30
Nom de l'Enseignant auteur du sujet : Joyez Charlie et Ragni Ludovic
Type d’épreuve : QCM1
QCM 1
Le présent document comporte 6 pages et 20 questions, les candidats devront répondre à
l’ensemble des questions proposées.
Répondre au QCM en remplissant la grille qui vous a été distribuée. Une ou plusieurs réponses
sont possibles pour chaque question (chaque question admet au moins une réponse). Lorsque
l’ensemble des réponses est juste un point est donné sinon aucun point n’est accordé. En
l’absence de réponse aucun point n’est accordé.
Aucun document ni calculette ne sont autorisés

Pour enregistrer votre numéro d’étudiant dans les cases du bas de la grille de réponse, chaque
colonne représente un chiffre du numéro d’étudiant, il faut noircir le chiffre correspondant.
Exemple avec un numéro d’étudiant fictif

N° d’étudiant : 20122013
Colonne 1 = 1er chiffre

du N° d’étu
Griser le chiffre
correspondant Colonne 2 = 2èmes chiffre
du N° d’étu. Griser le chiffre
correspondant
0
1
2
3 Etc
4 …
5
6
7
8
9
Pour répondre : 1. Bien noircir toute la case

2. Utiliser un stylo noir de préférence
3. En cas d’erreur utilisez du blanc, ne barrez pas.
SUJET 1
1. L’équation suivante est :
A Equivalente à l’équation de Lerner

B Différente de l’équation de Lerner
C Aucune de ces deux réponses
2. L’équation suivante suppose :
pi − Cmi 1
=−
pi i
A. Que le terme de gauche représente l’indice de concentration du marché

C. Que le terme de droite implique de pouvoir calculer l’élasticité de la demande par rapport aux
prix
C. Que le terme de gauche contient le profit marginal
D. Que le prix est égal au coût marginal si l’élasticité de la demande par rapport au prix est égale à 0
E. Que le prix est égal au coût marginal en CPP
3. Parmi les assertions suivantes la(les)quelle(s) est(sont) vraie(s) :
A. Plus l’indice de Lerner est élevé plus grand est le pouvoir de marché en monopole
B. Plus l’indice de Lerner est faible plus grand est le pouvoir de marché en duopole
C. En CPP l’indice de Lerner est égal à 1
D. En CPP l’élasticité de la demande tend vers plus l’infini.
E. En CPP l’indice de Lerner tend vers 0
4. Supposons qu’un monopoleur maximise ses profits. Parmi les assertions suivantes,
la(les)quelle(s) (sont) exacte(s) :
A. Le monopoleur égalise Rm et Cm pour maximiser ses profits

B. Le monopoleur fixe un prix de vente égale à la recette moyenne
C. Le monopoleur fixe un prix de vente égale à la demande
D. Le monopoleur fixe un prix de vente donné par la demande et la fonction de recette moyenne
E. Le monopoleur égalise prix et coûts marginal pour maximiser ses profits
5. En situation de duopole à la Bertrand-Stackelberg la concurrence peut s’interpréter comme :
A. Le résultat du comportement de la firme Leader qui anticipe que la firme Follower ajustera ses
prix comme le lui indique sa fonction de réaction à la Bertrand
B. Un mécanisme de maximisation des profits par rapports aux prix et aux quantités
C. Le résultat du comportement de la firme Leader qui suppose connue la fonction de réaction de
la firme Follower
D. Le résultat du comportement de la firme Leader qui anticipe que la firme Follower ajustera ses
quantités et ses prix comme le lui indique sa fonction de réaction à la Bertrand
E. Un principe de maximisation des profits permettant de déterminer deux prix d’équilibre
6. Si le graphique ci-dessous rend compte des effets du passage d’une situation de CPP à une
situation de monopole :
2
P
A
Coût marginal
E
B
H
C F
G
RM Demande
D Rm
A. Le point F correspond à l’équilibre de CPP

B. Le point G correspond à l’équilibre de monopole
C. L’aire BEGD représente le surplus du producteur en monopole
D. Les aires EFH et HGF correspondent à ce que perdent les consommateurs et les producteurs
quand l’économie passe de l CPP au monopole
E. L’aire BEHC correspond à ce que perdent les consommateurs à l’avantage des producteurs
quand l’économie passe de la CPP au monopole
7. Sur le graphique précédent :
A L’aire AEB correspond au surplus du consommateur en monopole

B L’aire EGF est appelée perte sèche
C L’aire BEGD représente le surplus du producteur en monopole
D En monopole la règle de tarification Rm = Cm suppose de déterminer les prix avant les quantités
8. En situation de concurrence marshallienne :
A La firme représentative peut réaliser des profits à court terme

B L’indice de Lerner de la firme moyenne est nul à long terme
C La firme représentative tend à ne réaliser ni bénéfice ni perte à long terme
D A long terme une firme donnée peut réaliser des profits positifs
9. En situation de duopole par les quantités :
A. La situation la plus souhaitable pour les consommateurs est atteinte si les deux entreprises sont
« follower ».
B. La situation la plus souhaitable pour les consommateurs est atteinte si une entreprise est « Leader »
et l’autre « Follower ».
C. La situation la plus souhaitable pour les consommateurs est atteinte si les deux entreprises se
comportent comme des « leaders ».
D. Toutes ces solutions sont équivalentes pour le consommateur.
3
10. Un producteur en concurrence pure et parfaite qui maximise ses profits suppose de vérifier
que (Condition de Premier Ordre) :
A.
B.
C.
D.
11. La « perte sèche »

A. Représente la perte nette de surplus du consommateur lors du passage de la CPP au monopole
B. Représente la perte nette de surplus du producteur lors du passage du monopole au duopole.
C. Représente la perte de surplus pour la société en cas de guerre des prix
D. Aucune de ces réponses
12. Parmi les modèles suivants le(les)quel(s) renvoie(nt) à la théorie des barrières à l’entrée
comme un processus stratégique et dynamique :
A. L’existence de rendements d’échelle

B. La théorie du prix limite
C. L’existence d’avantages de coûts absolus
D. Le modèle de Dixit
13. Si vous deviez ordonner les quantités produites dans les différents équilibres de CPP,
monopole (M) et duopole à la Cournot (D), vous diriez que :
A
B
C
D
E Aucun ordonnancement définitif ne peut être tiré.
14. Si vous deviez ordonner les prix de vente dans les différents équilibres de CPP,
monopole (M) et duopole à la Cournot (D), vous diriez que :
A
B
C
D
E Aucun ordonnancement définitif ne peut être tiré.
15. Dans les différents états du marché étudiés en cours (monopoles, duopoles, CPP) le
surplus de la société :
A est maximal en CPP
B est minimal en CPP
C est maximal en cas de monopole discriminant au 1er degré
D est minimal en cas de monopole discriminant au 1er degré
E Aucun classement ne peut être fait.
4
16. Dans le graphique suivant, les courbes A et B
Q2
Q1
A. Représentent des courbes d’iso-profit du producteur 1, la courbe A lui assure un plus grand profit
que la courbe.
B. Représentent des courbes d’iso-profit du producteur 2, la courbe A lui assure un plus grand profit
que la courbe B.
C. Représentent une courbe d’iso-profit du producteur 1, la courbe B lui assure un plus grand profit
que la courbe A.
D. Représentent des courbes d’iso-profit du producteur 2, et la courbe B lui assure un plus grand
profit que la courbe.
E. Les optima des courbes d’iso-profit de l’entreprise 1 sont alignés de manière à définir sa fonction
de réaction.
17. Dans le duopole de Cournot défini par la fonction de demande suivante

:
A L’expression suivante est la fonction de réaction de l’entreprise 1.

B. L’expression suivante est la fonction de réaction de l’entreprise 2.
C. Il existe deux prix d’équilibre.
D. Il existe un prix d’équilibre.
E. Il existe deux quantités d’équilibre
18. En situation de duopole « à la Bertrand » :
A. Les fonctions de réactions sont croissantes

B. Il existe deux prix d’équilibre
C. Le passage d’une solution de duopole de Bertrand à une situation de Bertrand-Stackelberg E1
Leader implique une augmentation des prix du Leader.
D. Le passage d’une solution de duopole de Bertrand à une situation de Bertrand-Stackelberg E1
leader implique une augmentation des prix du leader et du follower.
E. Le passage d’une solution de duopole de Bertrand à une situation de Bertrand-Stackelberg E1
Leader implique une augmentation des prix du Leader et une baisse du prix du Follower.
5
19. En duopole, le paradoxe de Bertrand est résolu lorsque :
A Les biens sont substituables

B Les biens sont partiellement substituables
C. Les biens ne sont pas parfaitement complémentaires
D. Aucune des deux entreprises n’est capable de répondre à la totalité de la demande
E. Les prix tendent vers 0
20. Dans le graphique suivant :
Q2
C B
Q1
A Le point C représente l’équilibre de Cournot, et les quantités produites de bien 1 et bien 2 sont
plus faibles qu’à un équilibre de Cournot-Stackelberg
B Le point C représente une situation d’entente et les quantités produites de bien 1 et 2 sont
plus faibles qu’à l’équilibre de Cournot-Stackelberg.
C Le point A représente une situation d’entente et les profits des entreprises 1 et 2 sont plus
élevés qu’à l’équilibre de Cournot Stackelberg.
D Le point B représente un équilibre de Cournot-Stackelberg et maximise les profits des

producteurs.
E Aucune de ces réponses n’est exacte
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FILIERE : Année d'Etude : Licence 2

Intitulé précis de la matière (conforme au Régime des Examens) : Droit de la consommation
et de la concurrence
Durée : 1h30 Groupe :
Nom de l'Enseignant auteur du sujet : Alexandra GARNIER
Type d’épreuve : Questions de cours
SUJET
Vous devrez traiter l’intégralité des questions posées.
I/ QUESTIONS LARGES (10 POINTS)
Question 1. Les obligations du professionnel (Détaillez).
Question 2. La protection du consommateur (Détaillez).
II/ QUESTIONS COURTES (10 POINTS)
Question 3. Qu’est-ce qu’une pratique commerciale trompeuse et quelles en sont les deux
catégories ?
Question 4.Qu’est-ce qu’une vente « à la boule de neige » ?
Question 5.Dans quelles conditions une publicité comparative est-elle licite ?
Question 6. Qu’est-ce qu’une entente en droit de la concurrence, et quels en sont les critères
de qualification ?
Question 7. Qu’est-ce qu’un abus de position dominante ?
QUESTION BONUS : Quels sont les grands principes guidant le droit de la consommation
et le droit de la concurrence ?
Matériels autorisés : AUCUN
Documents autorisés : AUCUN
Si OUI, lesquels :
Campus Universitaire Saint Jean D’Angely

24 Avenue des Diables Bleus - 06357 NICE Cedex 04 - Tél. : 04. 92. 00. 12. 22.

FILIERE : Economie-Gestion Année d'Etude : L2
Intitulé précis de la matière : Introduction au management de projet
N° de l’unité : UEF5 Management Durée : 1h30
Nom de l'Enseignante auteure du sujet : Savéria Cecchi
Type d’épreuve : Contrôle terminal (questions de cours)
→ Aucun document autorisé
SUJET
Répondre aux trois questions suivantes :
1. En étudiant des organisations japonaises, Imaï, Nonaka et Takeuchi (1985) ont identifié
six facteurs intra-organisationnels permettant de développer des projets plus rapidement.
Présentez et détaillez chacun de ces facteurs. / 10pts
2. Qu’est-ce que la motivation autonome selon la théorie de l’auto-détermination ? / 4pts
3. Présentez les trois risques ou pathologies du management de projet identifiés par Asquin,
Garel et Picq (2010) / 6pts
Matériels autorisés : Aucun

Documents autorisés : Aucun


FILIERE : Économie - Gestion Année d'Etude : L2

Intitulé précis de la matière : Marketing et enquêtes de terrain
N° de l’unité : UEF 5 Durée : 1h30 Groupe :
Nom de l'Enseignant auteur du sujet : A. Feraud
Type d’épreuve : QCM
SUJET 1
1. « La valeur que revêt le produit dans l’esprit du consommateur » est la définition de :

a. L’image de marque
b. Le capital – marque
c. La valeur perçue
d. Le positionnement
2. Lorsque Nespresso intègre dans sa chaîne de valeur la distribution de ses produits. Elle
procède à :
a. Une croissance par intégration aval
b. Une croissance par intégration amont
c. Une croissance par diversification
d. Une croissance par différenciation
3. Le flacon du parfum Chanel n°5 est :

a. Un emballage primaire
b. Un emballage secondaire
c. Un emballage tertiaire
4. Dans une échelle de Likert, l’individu :

a. Mesure l’importance d’un critère sur une échelle
b. Évalue la qualité d’un produit
c. Exprime son degré d’accord ou de désaccord
d. Classe ses réponses en ordre croissant ou décroissant
5. Dans la détermination de la taille d’un échantillon, p représente :

a. La population cible totale
b. La proportion d’individus concernés
c. La part de la population interrogée
d. La base du sondage
6. Dans un échantillon raisonné, l’enquêteur choisit la population :

a. Accessible pour recueillir l’information
b. Selon sa capacité à fournir une information fiable
c. Par tirage au sort
d. Selon des critères préétablis dans le plan d’étude
7. Quelle segmentation s’intéresse à la relation entre le produit et le consommateur ?

a. La segmentation comportementale
b. La segmentation descriptive
c. La segmentation par avantage recherché
d. La segmentation sociologique
8. Un véhicule Mercedes est :

a. Un produit courant
b. Un produit de spécialiste
c. Un produit non recherché
d. Aucune réponse n’est correcte
9. Qu’est-ce que les non consommateurs relatifs ?

a. Les consommateurs qui ne consomment pas le produit mais qui peuvent changer
d’avis
b. Les consommateurs qui parlent négativement du produit et portent atteinte à
l’image de l’entreprise
c. Les consommateurs qui ne consommeront jamais le produit
10. Lorsqu’une entreprise envoie un ticket de caisse par mail au client venant d’effectuer son
achat, elle réalise une offre numérique :
a. À potentiel de substitution
b. À potentiel d’automatisation
c. À potentiel de valorisation
d. À potentiel d’innovation
11. La méthode RFM est un modèle de segmentation :

a. A partir des avantages recherchés
b. Comportementale
c. Descriptive
d. Socioculturelle
12. Une enquête quantitative :

a. Répond à la question : pourquoi ?
b. Répond à la question : combien ?
c. Cherche à connaître les besoins des individus
d. Construit des hypothèses

13. A mesure qu’une entreprise augmente son volume de production, le coût unitaire diminue.
En marketing, cela se nomme :
a. Effet d’expérience
b. Effet de connaissance
c. Accumulation productive
d. Accumulation d’expérience
14. Qu’est-ce que nous apprennent les programmes de fidélisation ?

a. Plus un client reste fidèle à une entreprise, plus il dépense
b. Plus un client reste fidèle à une entreprise, moins il dépense
c. Le plus coûteux est de recruter un client
15. Quelle affirmation est fausse ? Dans la dimension attitudinale de la fidélité, l’individu
achète le produit :
a. Par praticité
b. Par attachement à la marque
c. Par peur de perdre des avantages monétaires
d. Par inertie au changement
16. La satisfaction transactionnelle est fondée sur une relation client / entreprise :
a. Lors d’un achat réalisé
b. De plusieurs expériences d’achats
c. D’un bouche-à-oreille positif
d. D’un héritage culturel et familiale d’attachement à la marque
17. Une segmentation comportementale implique :

a. Des comportements de consommation semblables
b. Des comportements d'achats répétitifs
c. Des styles de vie proches
d. Aucune réponse n'est correcte
18. Un produit peut être :

a. Une expérience
b. Un endroit
c. Une idée
d. Toutes les réponses sont correctes
e. Aucune réponse n’est correcte
19. Lorsqu’un client est accueilli par le sourire du réceptionniste d’un hôtel, il est face à :
a. Un produit générique
b. Un produit attendu
c. Un produit augmenté
d. Un produit potentiel

20. Les services sont des biens :

a. Tangibles et durables
b. Intangibles et durables
c. Tangibles et périssables
d. Intangibles et périssables
21. Lors de la phase de lancement d’un produit, l’entreprise doit maîtriser :

a. La commercialisation du produit : distribution et communication
b. La compétence technologique du produit
c. Le processus de production
d. La qualité du produit
22. L’entreprise Lego propose la co-création de ses produits avec ses clients, l’entreprise met
en place dans cette relation :
a. Un avantage non monétaire
b. Une personnalisation
c. Une ludification
d. Une offre promotionnelle
23. “Marketing one to one” et “marketing individualisé” désignent :

a. Deux stratégies marketing identiques
b. Deux stratégies marketing différentes
24. Le design modifie :

a. L’ergonomie du produit
b. L’apparence du produit
c. Le fonctionnement du produit
25. En marketing, si un produit est associé à une image de liberté, ce sera :

a. Son service rendu
b. Ses attributs
c. Sa dimension symbolique
d. Son habitude de consommation
26. La stratégie de spécialiste :

a. Augmente la profondeur des gammes de produits
b. Augmente la largeur des gammes de produits
c. Augmente la couverture du marché
d. Augmente la valeur des produits
27. Une innovation de rupture propose :

a. Un nouvel usage pour une technologie connue
b. Un nouvel usage pour une technologie nouvelle
c. Un usage ancien pour une technologie connue
d. Un usage ancien pour une technologie nouvelle
28. Un hôtel module ses prix selon la période de réservation. Il pratique

a. Une segmentation sociodémographique
b. Une offre groupée
c. Du yield management
d. Un prix d’appel
29. Lorsque l’entreprise opte pour la spécialisation marché, elle choisit de :

a. Diffuser le même produit à différents marchés
b. Développer une gamme de produit pour un marché
c. Propose certains produits aux marchés porteurs identifiés
30. La nouvelle Peugeot 208 est une innovation :

a. Incrémentale
b. De rupture
c. Technologique
d. Comportementale
31. Lorsque Nespresso propose la consommation sur place d’un café à ses clients,
l’entreprise partage avec Starbucks :
a. Un point de différenciation
b. Un point de similarité
c. Les deux réponses sont correctes
32. Lorsqu’un ménage imite les habitudes de consommation de la classe sociale supérieure, il
s’agit de :
a. Effet Veblen
b. Bien de Giffen
c. Effet Duesenberry
33. L’entreprise Orange propose à ses salariés qui ont une idée d’innovation d’être incubé
pour mener l’idée au marché. C’est une technique d’innovation :
a. Market-pull
b. De crowdsourcing
c. D’entrepreneuriat interne
d. De brainstorming
34. Par rapport à Coca-cola, Virgin cola est :

a. Un co-leader
b. Challenger
c. Suiveur

35. Lorsque la marque BIC lance de nouveaux modèles de rasoirs jetables à bas prix, c’est
une stratégie-prix :
a. D’écrémage
b. De pénétration
c. Every day low price
d. High-low pricing
36. Utiliser le terme « Bordeaux » seul pour désigner une bouteille de vin est autorisé :
a. Vrai
b. Faux
37. “Marketing one to one” et “marketing concentré” désignent :

a. Deux stratégies marketing identiques
b. Deux stratégies marketing différentes
38. Dans le prisme d’identité de Perrier, la bouteille en verre est la facette

a. Personnalité
b. Physique
c. Mentalisation
d. Reflet
39. Dans le calcul d'un échantillon probabiliste, la marge d’erreur est représentée par :
a. t
b. q
c. p
d. e
40. Imaginons qu’Apple commercialise un iPhone à 199€. Les utilisateurs ne font plus la
queue pour l’acquérir. En marketing, il s’agit d’une élasticité de la demande par rapport au
prix qualifiée de :
a. Effet Veblen
b. Inélastique
c. Élastique
41. En marketing, la manière dont un individu conçoit les marques Coca-Cola et Pepsi
relève :
a. De la personnalisation du produit
b. De la satisfaction
c. De la valeur perçue
d. Des facteurs clés de succès
42. Si un individu reconnaît le logo Nike parmi des marques de sport, la marque bénéfice de :
a. Notoriété assistée
b. Notoriété spontanée
c. Aucune des deux réponses
43. Lorsque Netflix demande au consommateur ses préférences. La marque procède à :

a. Un positionnement
b. Une répartition des gammes
c. Une répartition des produits
d. Une segmentation
44. La micro-segmentation fait référence à :

a. La segmentation des clients
b. La segmentation des produits
c. Les deux réponses sont correctes
45. L’Oréal propose des produits complémentaires sous une même marque avec une image
cohérente. Il s’agit d’une :
a. Marque ligne
b. Marque gamme
c. Marque produit
d. Marque caution
46. Sveltesse de Nestlé est :

a. Marque ligne
b. Marque ombrelle
c. Marque caution
d. Extension de marque
47. Lorsque Mercedes lance le modèle Classe A, il s’agit d’une :

a. Extension vers le haut
b. Extension vers le bas
c. Extension horizontale
d. Extension verticale
48. Lorsque Nivea et Phillips s’associent pour réaliser un produit commun, c’est :
a. Une innovation partagée
b. Un co-branding
c. Une extension de produit
d. Une extension de marque
49. La marque Andros décide de commercialiser une nouvelle compote pommes – gingembre.
Le prix est fixé selon un calcul coûts + marge. Il s’agit d’une technique :
a. Rentabilité visée
b. Positionnement visé
c. Direct costing

50. La marque Nespresso commercialise du café haut de gamme et pratique une stratégie de
prix élevés. En marketing, cette stratégie prix est qualifiée :
a. De pénétration
b. D’alignement
c. D’écrémage
d. D’innovation

Documents autorisés : AUCUN


FILIERE : ECO-GESTION Année d'Etude : L2

Intitulé précis de la matière : Macroéconomie
N° de l’unité : 1 Durée : 1h30
Nom de l'Enseignant auteur du sujet : Patrick Musso
Type d’épreuve : Ecrit

Nombre de sujets à traiter : 1
Sujet n° 1
Les candidats traiteront les différentes questions de ce QCM.
Chaque question a une seule réponse correcte.
Vos réponses ne doivent pas être cochées directement mais reportées sur la feuille d’examen.
Merci de bien remplir en NOIR les cases correspondantes à vos réponses.
Le barème de notation est le suivant :
Bonne réponse : 1
Pas de réponse : 0
Mauvaise réponse : -0,33

Documents autorisés : NON
Si OUI, lesquels :

1. Laquelle de ces affirmations est vraie ?

a. A court terme, l’activité économique est principalement déterminée par les
variations de l’offre et très peu par celles de la demande
b. A long terme, l’activité économique dépend avant tout de la demande
c. A moyen terme, l’activité économique tend vers un niveau déterminé par les
facteurs de demande
d. Aucune de ces réponses
2. La dichotomie entre la sphère réelle et la sphère monétaire signifie que…

a. La monnaie a un rôle fondamental dans la détermination des grandeurs réelles
b. La monnaie est neutre
c. La monnaie ne permet pas la détermination des variables nominales
3. Laquelle de ces propositions ne relève pas de la théorie keynésienne ?

a. La monnaie est neutre
b. L’origine du chômage se trouve sur le marché des biens et services
c. Les ménages n’ont pas un comportement d’optimisation
4. La demande effective…
a. N’a aucun rôle dans le circuit décrit par la théorie keynésienne
b. Représente la demande anticipée par les entreprises
c. Est la demande d’effectifs salariés
5. L’analyse Classique du marché du travail suggère que…

a. L’élimination du salaire minimum permettrait une baisse du chômage des
travailleurs les moins qualifiés
b. Le salaire se détermine grâce à la confrontation de l’offre et de la demande de
travail
c. Les réponses a et b
6. Selon l’analyse Classique du marché du travail, le profit de la firme est maximum

lorsque...
a. La quantité de travail utilisée est telle que la productivité marginale du travail
est égale au taux de salaire réel
b. La quantité de travail utilisée est telle que la productivité marginale du travail
est supérieure au taux de salaire réel
c. La quantité de travail utilisée est telle que la productivité marginale du travail
est inférieure au taux de salaire réel
7. Dans le modèle WS/PS, en considérant une représentation indiquant le taux de

chômage en abscisse et le salaire réel en ordonnée, une hausse du degré de
monopole dans l’économie provoque…
a. Un déplacement de WS sur la droite
b. Un déplacement de WS sur la gauche
c. Un déplacement de PS sur le bas
d. Un déplacement de PS sur le haut

8. Dans le modèle WS/PS, une hausse du taux de marge des entreprises aura la
même conséquence en termes d’emploi que…
a. Une baisse des allocations chômage
b. Une hausse du niveau de la protection sociale
9. Dans le modèle AS/AD, la fonction d’offre agrégée s’obtient à partir…

a. Du modèle IS/LM
b. Du modèle WS/PS
c. Du modèle IM/LS
10. Dans le modèle AS/AD, une augmentation du niveau général des prix anticipé…
a. Accroit dans les mêmes proportions le niveau général des prix effectif
b. Diminue dans les mêmes proportions le niveau général des prix effectif
c. N’a aucun impact sur le niveau général des prix effectif
11. Dans le modèle AS/AD, un accroissement des dépenses de l’Etat provoque à court
terme…
a. Un déplacement de AD sur la gauche et une baisse de l’emploi
b. Un déplacement de AD sur la droite et une hausse de l’emploi
c. Un déplacement de AS sur la droite et une baisse de l’emploi
d. Un déplacement de AS sur la gauche et une hausse de l’emploi
12. Dans le modèle AS/AD, lorsque les anticipations des prix correspondent aux prix
observés, ….
a. Le produit d’équilibre est égal au produit potentiel
b. Le produit potentiel est supérieur au produit d’équilibre
c. Le taux de chômage d’équilibre est égal au taux de chômage naturel
d. Les réponses a et c
13. Dans le modèle AS/AD, une politique monétaire restrictive provoquerait...

a. Un déplacement de AD sur la droite
b. Un déplacement de AS sur la droite
c. Un déplacement de AD sur la gauche
d. Un déplacement de AS sur la gauche
14. Dans le modèle AS/AD, la politique monétaire…

a. Est neutre à moyen terme
b. Influence la demande globale à court terme
15. Si la population compte 1.000.000 de personnes, la population active compte

500.000 personnes et les chômeurs sont 100.000 :
a. Le taux de chômage est de 5%
b. Le taux de chômage est de 20%
c. Le taux de participation est de 0,1%
d. Le taux de participation est de 10%

16. Si la population compte 1.500.000 de personnes, la population active compte

1.000.000 personnes et les chômeurs sont 100.000 :
a. Le taux de participation est de 5%
b. Le taux de participation est de 10%
c. Le taux de participation est de 66,6%
d. Le taux de participation est de 6%
17. Laquelle de ces propositions désigne une personne au chômage ?

a. Carla recherche du travail à plein temps et en attendant, elle travaille le
week-end dans un restaurant
b. Paul a perdu son emploi il y a 6 mois et ne recherche plus d’emploi
c. Cindy ne travaille pas mais elle recherche un emploi activement
18. Paul a perdu son emploi dans l’industrie manufacturière. Il est en recherche
d’emploi mais il rencontre des difficultés car cette industrie n’embauche pas du
fait d’une faible demande de biens manufacturiers provoquée par une récession.
a. Il n’est plus dans la population active
b. Il est en chômage conjoncturel
c. Il est en chômage structurel
d. Il est en chômage frictionnel
19. Le chômage frictionnel provient des…

a. Délais nécessaires à l’ajustement des prix et des salaires
b. Délais nécessaires à l’acquisition des qualifications correspondant aux emplois
proposés
c. Manques de demande dus à la récession
20. Afin de lutter contre le chômage, la France lance une grande campagne de
formation dans le but de réduire le chômage…
a. Keynésien
b. Conjoncturel
c. Structurel
21. Pour réduire le chômage structurel, il faut :

a. Augmenter les salaires.
b. Stimuler la consommation des ménages.
c. Renforcer les dispositifs de formation des actifs
d. Stimuler la dépense publique
22. Le déficit public est égal à :

a. Dépense publique + intérêts de la dette + impôts et taxes
b. Dépense publique – intérêts de la dette + impôts et taxes
c. Dépense publique + intérêts de la dette – impôts et taxes
d. Dépense publique – intérêts de la dette – impôts et taxes

23. Le déficit public structurel mesure :

a. Ce que serait la valeur du déficit primaire si le taux de chômage était nul
b. Ce que serait la valeur du déficit secondaire si le taux de chômage était nul
c. Ce que serait la valeur du déficit primaire si le produit global était égal à sa
valeur potentielle
d. Ce que serait la valeur du déficit secondaire si le produit global était égal à sa
valeur potentielle
24. Lorsque la Banque centrale mène une opération d’open market expansionniste :
a. Elle achète des titres
b. Elle vend des titres
c. Elle vend des devises
d. Elle achète des devises
25. La banque centrale est l'autorité publique chargée de…

a. Contrôler le financement de l'économie
b. Toutes les réponses sont correctes
c. Surveiller et gérer les systèmes de paiements
d. Surveiller la solidité du système bancaire et financier


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SUJET 4

ANNEE UNIVERSITAIRE 2019 – 2020

FILIERE : Economie – Gestion Année d'Etude : L2

3. Quelle est la rentabilité approximative de son opération en % ?

5. Lors d'une cotation en fixing :

6. Une IPO correspond :

7. Les Organismes de Placements Collectifs (OPC) ont pour rôle :

11. Le coupon couru d'une obligation mesure :

13. La capitalisation boursière d'une entreprise représente

14. Laquelle des propositions suivantes est inexacte ?

15. Les BTAN sont :

20. Une option dite "européenne" est :

23. Laquelle de ces propositions est fausse ?

24. Laquelle des propositions suivantes est fausse ?

26. Un ETF se définit comme :

27. Quelle est la valeur intrinsèque de l’option au 20 décembre 2019 ?

28. Quelle est la valeur temps de l’option au 20 décembre 2019 ?

32. L'émission de titres par syndication consiste :

36. Le taux EURIBOR est :

38. Le flottant d'un titre mesure :

39. Le CAC 40 est :

40. Laquelle de ces propositions est inexacte ?

Matériels autorisés : CALCULATRICE NON PROGRAMMABLE - Documents

ANNEE UNIVERSITAIRE 2019 – 2020

FILIERE : Economie Gestion Année d'Etude : Licence 2

Aucun document ni calculette ne sont autorisés

Exemple avec un numéro d’étudiant fictif

Colonne 1 = 1er chiffre

Pour répondre : 1. Bien noircir toute la case

1. L’équation suivante est :

A Equivalente à l’équation de Lerner

2. L’équation suivante suppose :

A. Que le terme de gauche représente l’indice de concentration du marché

3. Parmi les assertions suivantes la(les)quelle(s) est(sont) vraie(s) :

A. Le monopoleur égalise Rm et Cm pour maximiser ses profits

5. En situation de duopole à la Bertrand-Stackelberg la concurrence peut s’interpréter comme :

A. Le point F correspond à l’équilibre de CPP

7. Sur le graphique précédent :

A L’aire AEB correspond au surplus du consommateur en monopole

8. En situation de concurrence marshallienne :

A La firme représentative peut réaliser des profits à court terme

9. En situation de duopole par les quantités :

11. La « perte sèche »

A. L’existence de rendements d’échelle

17. Dans le duopole de Cournot défini par la fonction de demande suivante

A L’expression suivante est la fonction de réaction de l’entreprise 1.

18. En situation de duopole « à la Bertrand » :

A. Les fonctions de réactions sont croissantes

A Les biens sont substituables

20. Dans le graphique suivant :

D Le point B représente un équilibre de Cournot-Stackelberg et maximise les profits des

E Aucune de ces réponses n’est exacte

ANNEE UNIVERSITAIRE 2019 – 2020

FILIERE : Année d'Etude : Licence 2

Durée : 1h30 Groupe :

Nom de l'Enseignant auteur du sujet : Alexandra GARNIER

Type d’épreuve : Questions de cours

Vous devrez traiter l’intégralité des questions posées.

I/ QUESTIONS LARGES (10 POINTS)