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PLAN
Chapitre I : La logistique des biens et services
I. La logistique d’approvisionnement
1. Les méthodes d’approvisionnement
2. l’internalisation des achats
II. La logistique des chaînes de fabrication
1. Types, rôle et fonctions des stocks
2. Les standards de travail : Standards de Temps Logistiques
III. La logistique de distribution
IV. La logistique de retour ou Reverse Logistics,
I. La logistique d’approvisionnement
Cette méthode permet d’une part d’identifier « quel produit » approvis ionner. Et
d’autre part associer les deux variables « quand » et l « combien ».
Le « quand » permet de savoir si l’approvisionnement sera à « date fixe »
(par exemple être livré tous les vendredis), ou s’il sera à « date variable»
(passer la commande en fonction du besoin).
Le « combien », même cheminement, permet de savoir si c’est la même
quantité (quantité fixe) ou adapter la quantité en fonction du besoin
(quantité variable).
Aussi connue sous le nom de « méthode calendaire », elle s’utilise le plus dans
le cadre d’un contrat de livraison annuelle conclu auparavant avec un
fournisseur. Des quantités presque équivalentes de matières sont livrées à des
dates fixes. Cette politique est mieux adaptée pour des produits dont la
consommation est constante et régulière.
Le lot économique est une quantité fixe et invariable d’un article que le
gestionnaire des stocks demande à chaque émission de besoin. Cette quantité
résulte d’une formule appelée « formule de Wilson ». Elle permet à la fois de
faire le minimum de commandes pour un article donné et d’obtenir le coût de
stockage optimal pour ce même article.
Cette méthode est adaptée aux stocks de projets. Les commandes se font
exclusivement sur besoin. En d’autres termes, les quantités sont à chaque fois le
résultat d’une estimation des besoins à court terme. Ces derniers peuvent aussi
simplement correspondre à une étape dudit projet.
Cross-Docking
Le cross-docking est une stratégie collaborative qui se traduit par le
passage des marchandises de différents fournisseurs/transports amont vers
un seul transport aval à destination des clients de la même zone. Ce
passage vers le transport aval s’effectue dans une plate-forme de tri, sans
qu’il y ait stockage intermédiaire et dans des délais courts.
Sur la plate-forme, les marchandises sont constituées de plusieurs colis
provenant de différents fournisseurs. Au lieu de les entreposer, ils sont
préparés immédiatement, puis regroupés par zone d’expédition, d’où le
nom cross-docking. Au lieu que chaque client reçoivent un transport
différent par fournisseur, un seul transport aval partira de la plateforme et
acheminera les commandes des clients de la même zone.
b) Sourcage
L'achat, vente et transport de biens sont régis par des Termes de Commerce
International, connus sous le nom d’Incoterms.
Les incoterms (2010 entré en vigueur le 1er janvier 2011)
Ces termes déterminent le lieu de transfert des risques, c'est-à-dire le lieu à partir
duquel sera défini qui du vendeur ou de l'acheteur aura à supporter l'avarie en
cas de mauvaise exécution du transport. Le lieu de transfert de risque correspond
également au lieu de livraison de la marchandise.
Incoterms ICC 2010 utilisables pour les modes de transport par voies
fluviales et/ou maritimes
FOB : Free On Board, chargé sur le bateau, les frais de chargement dans
celui-ci étant fonction du liner term indiqué par la compagnie maritime (à
la charge du acheteur) ;
CFR : Cost and Freight, chargé dans le bateau, livraison au port de départ,
frais payés jusqu'au port d'arrivée, sans assurance pour le transport, non
déchargé du navire à destination (les frais de déchargement sont inclus ou
non selon le liner term au port d'arrivée) ;
CIF : Cost, Insurance and Freight, chargé sur le bateau, frais jusqu'au port
d'arrivée, avec l'assurance marchandise transportée souscrite par le
vendeur pour le compte de l'acheteur.
Charge
ment du
Décharge Décharge Chargeme
moyen Trans
Sigle Charge Dédouane Pré- ment du ment du nt pour le Post- Dédouane
de port Assura Tax
Incoter ment du ment achemine pré- moyen de post- achemine ment
transpor princi nce es
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DAP Oui Oui Oui Oui Oui Oui Non Non
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DDP Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui
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Les stocks dans une entreprise sont constitués de stocks de production et de stocks
hors production.
Les stocks de production regroupent l’ensemble des matières qui après
transformation permet d’avoir les produits finis. Ce sont les stocks des :
Les stocks hors production sont ceux qui n’entrent pas dans la transformation,
mais accompagnent la production. Ils sont aussi dénommés stocks ERO
Pièces de rechange
Consommables des machines (lubrifiants, carburants, nettoyants …)
Emballages
Déchets
Une analyse des flux dans le magasin permet de distinguer les stocks à
commandes régulières ; les stocks de projet, les stocks d’usure et enfin les stocks
en transit.
Les stocks de projet : Ce sont des stocks qui prennent naissance au début
d’un projet et disparaissent à la fin de ce dernier. Les commandes de tels
articles sont faites directement par le chef de projet qui seul maîtrise ses
besoins Mais, la gestion des entrées et sorties des articles est confiée au
gestionnaire des stocks. Le but visé ici est de placer les articles en sécurité
et d’avoir un contrôle sur leur consommation.
Les avantages procurés par la genèse de tels stocks sont divers. Parmi les plus
importants, figurent l’absence de perte ou de vol ; une meilleure connaissance de
l’utilisation de ces articles ; les abus de consommation limités ; des imputations
Les stocks d’usure : Il s’agit des articles placés en stock, qui sont sortis
en cas de besoin pour réaliser un travail et qui ensuite sont retournés au
magasin. C’est le cas des machines-outils et de l’outillage en général. La
gestion des mouvements de tels articles est confiée au gestionnaire des
stocks. Cependant, la passation d’une commande émane d’une initiative
de la direction technique de l’entreprise. Deux raisons seulement peuvent
la justifier :
- L’augmentation du nombre d’unités de l’article - La quantité de travail
à réaliser est élevée. L’outil disponible ne permet pas de l’effectuer dans
les délais convenus. L’achat d’un outil supplémentaire s’impose.
- Le remplacement de l’article – l’outil disponible est défectueux et
irréparable. Son remplacement est indispensable.
EMh = 90 – 75 = 15 pots
SS = 15 x 2 = 30 Pots
La loi normale est une distribution statistique des données qui sur un repère
orthonormé prend la forme d’une cloche. Elle se caractérise par une moyenne et
un écart type. Ces derniers, lorsqu’ils peuvent être chiffrés sont utilisés pour le
calcul du stock de sécurité.
Une autre particularité de cette méthode est qu’elle permet non seulement de
définir un taux de satisfaction souhaité, mais aussi de prendre en compte ou pas
la variation du délai d’approvisionnement. On peut donc avoir au final trois
combinaisons possibles pour le calcul du stock de sécurité :
Le stock de sécurité : SS = Z x D x σV
o SS = 1,65 x 2 x 9 = 30 pots
Le but de cette étape est d’identifier et éliminer tous les temps improductifs.
Temps standard
où:
TS = TN TN: Temps normalisé (de base)
´ (1 + Maj: majorations exprimées en % (il
Maj) s’agit du temps de repos et autres besoins
personnels)
Caractéristiques de MUDA
Investissement perdu
Exemples de MUDA
Mura = Irrégularité
L’irrégularité des flux, des délais, des cycles d’activité est l’une des raisons qui
conduit généralement à constituer des réserves de stocks ou stocks tampons afin
de lisser les variations de la demande.
Lorsque l’on accepte de mettre en place ces stocks tampon, on génère des
Muras. Les Muras sont donc une forme de gaspillage provoquée par une
irrégularité du flux d’activité. La démarche préconisée pour les éviter est de
réduire graduellement la taille des stocks tampons, détecter les causes des
irrégularités et les éliminer.
Caractéristiques de MURA
Exemple de MURA
Muri = Excès
Caractéristiques de MURI
Exemples de MURI
Les différents types d'organisation les plus courantes sont décrites ci-dessous :
ce carton est acheminé vers les différents points de prélèvement pour être
alimenté. Ce mode de préparation exige des investissements assez élevés
en technologie et systèmes dynamiques de convoyage.
Le mode de préparation assistée « Pick to Light ». Adapté pour les
magasins de stockage des petits composants, ce mode de préparation a la
particularité de faire appel à l’utilisation de dispositifs lumineux (PCAO,
Préparation des Commandes Assistée par Ordinateur) pour guider et
renseigner le préparateur de la commande. Chaque emplacement de
stockage (tiroir ou alvéole) est muni d’un afficheur numérique associé à
un voyant lumineux. Le voyant indique l’adresse de prélèvement au
préparateur alors que l’afficheur indique les quantités à prélever. Grâce à
un bouton poussoir, le préparateur signale au système que le prélèvement
a été effectué.
Le mode de préparation « Pick to belt ». Ce mode de préparation se
rencontre dans les zones de stockage muni d’un convoyeur de drainage.
Adapté pour effectuer des prélèvements en masse. Les cartons contenant
des quantités importantes d’articles sont déposés sur le convoyeur qui
alimente à son tour le centre de tri.
La logistique des retours est l’ensemble des activités mises en œuvre pour
réaliser le flux inverse des marchandises. C.-à-d. partant du consommateur
jusqu’à l’entrepôt de l’unité commerciale ou du fabricant. Elle est aussi connue
sous les différentes appellations suivantes : « Reverse Logistics », « logistique à
rebours », « logistique inverse » ou « rétrologistique ».
La fonction logistique occupe une place de plus en plus importante au sein des
organisations.
pour les voies aériennes, gares pour les voies terrestres). Ces aménagements
sont à leur tour munis d’infrastructures destinées à recevoir les
véhicules de transport et les marchandises qu’ils contiennent (parcs de
véhicules, entrepôts, dispositifs de manutention fixes ou mobiles).
Les coûts relativement bas des taxes, des impôts locaux, des bâtiments
et des terrains ; l’abondance de la main d’œuvre qualifiée et bon
marché ;
La proximité des prestataires logistiques 3PL et 4PL ; des entreprises
dont les métiers sont complémentaires (intégration horizontale) ou des
entreprises participant au même métier (clients ou sous-traitants
potentiels : intégration verticale) ;
charges;
Le réseau logistique peut être défini comme l’ensemble des opérations successives
de transports, manutentions et stockages intermédiaires mises en œuvre pour
assurer l’acheminement des marchandises du lieu de fabrication au lieu de
consommation finale. Il désigne aussi l’ensemble des prestataires qui réalisent ces
opérations.
1. La portée de l’activité
C’est une activité qui se pratique pour tous les modes de transports. En transport
maritime (gestion de la flotte des navires) ; en transport aérien (gestion de la
flotte des aéronefs) ; en transport ferroviaire (gestion des voitures pour
passagers, des wagons pour marchandise, des UTI-Unité de Transport
Intermodal…) ; en transport routier (gestion des véhicules pour le transport de
personnes et véhicules pour le transport de marchandises).
Son but est d’optimiser les coûts logistiques, de planifier l’emploi des véhicules
de transport et engins de manutention, de garantir la disponibilité de ces derniers
pour d’éventuels besoins logistiques ou de transport (mise en œuvre des
contrôles techniques, mise à jour des documents de bords, suivi des chauffeurs,
gestion des stocks de carburant et des pièces de rechanges)…
b) L’espace géographique
c) Le véhicule de transport
L’avitaillement du véhicule
e) La technologie
Essentiellement administratives ;
Réception des marchandises à transporter ;
Planification du transport ;
Emission des ordres de missions ;
Gestion des heures de travail (pointage des chauffeurs)
Emission des notes de frais pour le chauffeur ;
Emission des documents de transport ;
Contrôle, suivi et actualisation des documents des véhicules et des
documents des chauffeurs ;
Suivi du contrôle technique des véhicules ;
Gestion des entrées et sorties des véhicules ;
Tracking (gestion de la traçabilité) des véhicules sur le terrain ;
Contrôle des processus de gestion informatique de l’information, etc.
La logistique est avant la gestion de flux. Un flux est une chaine d’activités et de
valeurs nécessaires à la production ou à la mise en consommation d’un produit
ou la satisfaction d’un besoin. Par ailleurs l’éternisation de la gestion des flux,
composer avec d’autres paritaires peuvent être une stratégie de réduction de
couts logistiques.
1. Contrat de sous-traitance
C’est l’opération par laquelle une entreprise dite « pilote » confie à une autre
entreprise appelée « sous-traitant », l’exécution de tout ou partie de ses
opérations logistiques, ou la fabrication des composants nécessaires à sa
production. Les principales raisons qui motivent l’entreprise pilote à recourir à
cette forme d’alliance se matérialisent à travers trois types de sous-traitance :
2. Contrat de franchise
C’est le contrat par lequel une entreprise dite « franchiseur » met à la disposition
d’une autre entreprise appelée « franchisé » ses signes de ralliement de la
clientèle (nom commercial, marque, logo, insignes, symboles, enseigne
commerciale…), une assistance technique et commerciale, transfère à cette
dernière son expérience et savoir-faire et la charge d’en faire un usage dans le
strict respect des standards. En contrepartie de ces droits d’utilisation, le franchisé
reverse au franchiseur une rémunération directe ou indirecte. En d’autres
termes, le contrat de franchise est une licence d’exploitation qui donne à son
bénéficiaire le droit d’utiliser les signes distinctifs, des enseignes commerciales et
le savoir-faire d’une autre entreprise. Très rependu dans le secteur de la
distribution, ce contrat lie l’entreprise pilote (le franchiseur, propriétaire d’une
marque ou d’une enseigne) à un ou plusieurs distributeurs indépendants (les
franchisés).
3. Contrat de concession
4. Les filiales
Les filiales sont des sociétés secondaires dont le capital est détenu à plus de 50
% par une autre entreprise, appelée la société mère. Les sociétés secondaires et
la société mère mettent en commun certaines activités. La société mère dans ce
cas assure généralement la direction, l'administration et le contrôle des filiales
par l'intermédiaire d'une ou de plusieurs personnes, administrateurs ou gérants
qu'elle a désignés.
Une société filiale peut être commune (filiale commune) à deux ou à plusieurs
sociétés qui se partagent les 50% du capital. On parle alors d'entreprise conjointe
(également appelée coentreprise ou joint-venture). C’est le cas typique lorsque
deux entreprises A et B (ou éventuellement plus), qui restent indépendantes,
créent une nouvelle société C dont elles se partagent le capital.
Dans la chaîne logistique, les flux de marchandises sont provoqués par les
échanges entre deux principales parties : d’une part le fabricant / industriel /
fournisseur et d’autre part le distributeur / client. Entre ces deux acteurs, se
trouvent de nombreux intermédiaires, qui suivant la nature de la prestation
offerte peuvent se distinguer en 3PL ou en 4PL
L'apparition des prestataires de type 4PL été favorisé par le développement des
NTIC et d'Internet. Vu la complexité actuelle et le nombre de prestataires de la
chaîne logistique, Il est devenu essentiel d'intégrer et d'optimiser les relations
entre les acteurs pour asseoir une solution logistique globale. Les applications
offertes sont connues sous le sigle CPFR.
Autres classifications
une région donnée, mais l'optimisation d'une chaîne intégrant son client,
les clients du client et les fournisseurs.
Échanges
électroniques de
Business to
B2A B2A données entre
Administration
entreprises et
administrations
Échanges
électroniques de
données entre
B2B Business to business B2B
entreprises (dans un
cadre de relations
clients/fournisseurs)
Transaction
électronique entre
B2C Business to customer B2C
une entreprise et une
personne privée
Ensemble des
échanges (services,
B2E Business to Employee B2E informations) entre
une entreprise et son
personnel
BO Business object AM Application metiers
Système de gestion
de processus métiers
Business Process
(ou des procédures
BPM Management System GPM
mises en place par
ou (BPMS)
l'entreprise pour
réaliser ses activités)
Système de gestion
Enterprise content commerciale
ECM SGC
management Gestion de contenu
d'entreprise
Réponse efficace au
consommateur
Efficient customer
ECR REC (efficacité et
response
réactivité au service
du consommateur)
Electronic data Echange de données
EDI EDI
interchange informatisées
Electronic Data Echange de données
Interchange for informatisées pour
EDIFACT Administration, EDIFACT l'Administration, le
Commerce and Commerce et le
Transport Transport
Enterprise Expertise Portail d'expertise
EEP PEE
Portal d'entreprise
Gestion électronique
Electronic file
EFMS GED des documents
management system
(équivalent GEIDE)
Gestion Electronique
Electronic file d'Informations et de
EFMS GEIDE
management system Documents pour
l'Entreprise
Enterprise Information Portail d'information
EIP PIE
Portal d'entreprise
Système
Executive information
EIS SIAD d’information et
system
d’aideàladécision
système de gestion de
campagnes marketing
Enterprise marketing - Automatisation des
EMA GCM
automation activités de
marketing de
l'entreprise
Employee Gestion de la
ERM Relationship GRE Relation avec les
Management Employés
Progiciel de gestion
Enterprise resource
ERP PGI intégré (des
planning
ressources)
Extraction
Transformation
Extract-Transform-
ETL ETA Alimentation
Load
(application de type
middleware)
Finite capacity Ordonnancement à
FCS OCF
scheduling capacité finie
FPO Firm planned order OFP Ordre ferme planifié
Système
Geographic
GIS SIG d'Information
Information System
Géographique
Human resource Gestion des
HRM GRH
management ressources humaines
Système de gestion
des évènements et
anticipation des
Supply-chain event
SCEM GEAD dysfonctionnements
management
de la chaîne
logistique grâce à des
alertes
Système de gestion
logistique intégré
Supply-chain
SCM SLI (système de gestion
management system
de la chaîne
logistique - GCL)
Système de
Supply Chain planification des
SCP SPA
Planning approvisionnements
(Stratégique)
Planification
Sales and Operations
SOP PIC Industrielle et
Planning
Commerciale
Statistical Process Maîtrise Statistique
SPC MSP
Control des Procédés
Statistical Quality Contrôle Statistique
SQC CSQ
Control de la Qualité
Supplier Relationship Gestion de la
SRM GRF
Management Relation Fournisseur
Transportation Système de Gestion
TMS SGT
management system de Transport