Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
TQM Fisher
origine : controverse Bodin / Malestroit sur les causes de la hausse des prix en Europe
- Malestroit : qté de métal précieux contenu dans les pièces moins importantes, tandis que le prix en
métal précieux des B est resté le même, donc il faut nécessairement plus de pièces pour acquérir un
bien
- Bodin : la hausse des prix est liée à l’augmentation de la qté de métal précieux issu du Nv Monde
⇒ la cause c’est l’augmentation de la monnaie en circulation
- Fisher :
TQM = l’abondance de la monnaie en circulation, pour un volume donné de B, provoque sa
dépréciation
il définit l’identité comptable : MV=PT
M = masse monétaire
P = NGP
V = vitesse de circulation de la monnie = nb de paiement qu’effectue une monnaie durant
une période donnée(+ la monnaie circule vite, +on peut effectuer de transactions)
T = volume des transactions
école de Cambridge :
équation de Cambridge : Md = k. P.Yo
école de Cambridge : un agent désire une qté de monnaie proportionnelle à on revenu, ainsi,
Md est proportionnelle au revenu nominal (P.Y) et le facteur de proportionnalité est l’inverse de la
vitesse de circulation de la monnaie
équilibre général dans le modèle classique
L’équilibre général désigne un équilibre simultané sur les 4 marchés concurrentiels et
indépendants :
- mdL
- mdBS
- md titres
- md monnaie
sur chaque marché, l’équilibre est atteint par ajustement des prix
1/ le mdL
permet de déterminer le niveau d’emploi + le niveau d’activité
O de L des ménages
D de L des E
équilibre via taux de salaire réel = w/p
ménages non victimes d’illusion monétaire (confondre l’augmentation des encaisses monétaires et
l’augmentation du PA)
offre de travail :
déterminée par l’arbitrage L/Lo
critère de décision : w/p
ES = qd le salaire réel augmente, le coût d’opportunité du loisir augmente
⇒ offre de travail croissante du salaire réel
ER = qd le salaire réel augmente, on consacre plus de temps au loisir
demande de travail :
déterminée par les conditions de production = manière dont sont combinés les inputs pour obtenir
un nv d’output donné
Y = F(K,L)
- demande de travail d’une E déterminée à partir de la fonction de profit de l’E
- à CT, on considère le stock de K fixe soit K
- Y(.) est croissante mais concave, autrement dit Pm(L)>0 et décroissante = la production augmente
tjrs mais de moins en moins vite (loi des rendements décroissants)
rendement = rapport qui mesure la variation des qtés produites (output) sur la variation des qtés de
fdp
rendement factoriel = rapport qui relie la production à une combinaison de fdp dont un est fixe
en général rendements factoriels décroissants
rendements d’échelle = rapport qui relie la production à une combinaison de facteurs, tous les
facteurs variant simultanément
constants = proportionnels
croissants = + que proportionnels
décroissants = - que proportionnels = déséconomies d’échelle
comparaison entre F(aK,aL) et a.F(K,L)
PmL = supplément de production induit par l’augmentation d’une unité de la qté de L
équilibre du producteur :
max {profit} = max {P.F(K, L) – wL – r K }
CPO
- profit maximal quand PmL = w/p
- la fonction de demande inverse du travail a les mêmes propriétés que la fonction de production :
décroissante du w/p
chômage involontaire
approche classique : seuls sont au chômage ceux qui ne veulent pas travailler pr le salaire
d’équilibre
mais, en réalité, dès qu’il y a des rigidités sur le mdL qui empêchent la flexibilité du salaire réel, il
peut y avoir du chômage involontaire
ex : SMIC
2/ le md BS
OG de BS = production globale de BS
le marché de l’emploi détermine à la fois :
- le nv d’emploi optimal sur le marché de l’emploi
- le nv de production optimal soit l’OG optimale sur le marché des BS
la production génère des revenus qui sont soit consommés soit épargnés : Yo = C + S
3/ le md titres
marché autonome dans l’ana classique car n’a pas besoin des autres marchés pr être à l’équilibre
le md titres détermine la structure de la production (répartition entre C et S)
permet de mettre en relation :
- les épargnants qui apportent les fonds = offreurs de S = demandeurs de titres
- les acteurs en recherche de financement = demandeurs de S = offreurs de titres
2 types de demandeurs de S :
- les E qui ont besoin de fonds pour financer leurs projets d’I
- l’État qui a recours à l’S des ménages et aux investisseurs institutionnels pour financer son déficit
budgétaire
la D d’I de l’état est considérée indépendante du ti car il n’a pas les mêmes contraintes financières
(offre des garanties régaliennes)
3/ le md monnaie
le md monnaie détermine le NGP
les grandeurs réelles de l’éco sont déterminées sur :
mdL = détermine L*=N* qui détermine Y*
md titres = détermine I*, S*, ti* qui détermine C*
le md monnaie permet seulement de fixer les grandeurs nominales à travers la fixation du NGP : la
monnaie a un effet neutre le nv des variables réelles
O et D de monnaie
l’offre de monnaie est exogène et contrôlée par les autorités monétaires (BC)
monnaie uniquement demandée pr motif de transaction
équation de Cambridge : Md = k. P.Yo
école de Cambridge : un agent désire une qté de monnaie proportionnelle à on revenu, ainsi,
Md est proportionnelle au revenu nominal (P.Y) et le facteur de proportionnalité est l’inverse de la
vitesse de circulation de la monnaie
la demande de monnaie est croissante du nv de l’activité
PM de relance
tout accroissement de la MM n’a aucun effet sur les grandeurs réelles
- md monnaie :
pour un nv d’activité inchangé, une PM de relance se traduit par une augmentation de la monnaie en
circulation = augmentation de la valeur des transactions via l’augmentation des prix = augmentation de la D
de monnaie = nouvel équilibre sur le marché
- mdL :
PM expansionniste = pas d’effet sur le mdL
la hausse des liés à la PM de relance entraîne baisse du salaire réel : déséquilibre temporaire sur le
mdL car D excédentaire ⇒ rétablissement de l’équilibre par augmentation du salaire nominal
PB de relance
toute politique qui consiste à augmenter les dépenses de l’État est sans effet sur le nv d’act et le N
et ce qq soit le mode de fi de la PB :
- par l’impôt ⇒ baisse du Rd des ménages
- par endettement en créant des titres ⇒ effet d’éviction de l’I privé (les titres publics vont se substituer aux
titres privés)
- par création monétaire ⇒ hausse des prix, éviction de la C°
md titres :
1er effet = baisse de la C
2e effet = baisse de l’I privé