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Aout 2020 :
1) La pénétration des xénobiotiques toxiques solides par voie pulmonaire est conditionnée
par
2) En raison de la contamination ubiquitaire par des pesticides, nos fruits et légumes sont
susceptible d’être contaminés. Pour nous protéger, l’AFSCA vérifie que la teneur en
pesticides dans les aliments ne dépasse pas la norme que l’on appelle :
1. la LMR (limite maximal de résidus) qui dépend des DJA des divers produits et des habitudes de
consommation des ménages
2. la DJA (dose journalière acceptable) qui est calculée pour chaque pesticide
3. la DJA (dose journalière acceptable) qui est calculée pour chaque aliment
3) Les principaux usages des fluorures (et donc les sources de contamination) sont
1. Fluides hydrauliques
2. Opacification des verres et des émaux, engrais phosphatés, rodenticides, dentifrice et sels
dentaires
3. médicament fluorés (fluorocorticoides,fluoroquinolones,fluorouacile)
4. dégraissant, nettoyage à sec
5) Les phtalates sont des produits liquides, visqueux et dont les applications principales
sont les suivantes :
1. fabrication des matières plastiques souples, usage dans les cosmétiques (fixateurs), répulsifs
pour insectes
2. fabrication des parfums et vernis où ils sont utilisés comme filtres solaires
3. biocides dans les détergents et les dentifrices
4. fabrications des matières plastiques souples et dures
1. environ 1 g/L
2. environ 2 g/L
3. au dessus de 3 g/L
4. en dessous du seuil légal de 0,5 g/L
9) L’aluminium exerce des effets neurologiques qu’il induit en combinant divers mécanisme
parmi lesquels on identifie les mécanismes suivants :
1. en divisant le NOEL (dose maximale sans signe de toxicité, chez l’animal) par un facteur F
d’incertitude
2. en divisant le NOEL (dose maximale sans signe de toxicité, chez l’Homme) par un facteur F
d’incertitude
3. en divisant le NOEL (dose maximale sans signe de toxicité, chez l’animal) par un facteur F
dépendant du pesticide
4. en divisant le NOEL (dose minimale sans signe de toxicité, chez l’animal) par un facteur F
d’incertitude
1. qui devient toxique pour l’Homme après hydrolyse par la catalase en métabolites toxiques
2. qui est responsable de la toxicité du méthanol chez l’Homme (acidose métabolique)
3. qui rentre dans la voie des purines pour former des métabolites qui expliquent chez l’Homme la
toxicité du méthanol
13) Le point éclair d’un solvant, ou «flash point » est la température qui
1. fournit une quantité de vapeur déterminant une pression égale à la pression atmosphérique
2. fournit une quantité de vapeur formant avec l’air un mélange gazeux capable de propager une
flamme
3. Fournit une quantité de vapeur telle que le produit explose
14) L’arsenic existe sous différentes formes, qui n’ont pas le même profil de résorption par
voie orale :
15) La TLV (Threshold Limit Value) d’un solvant est un indice qui vise à protéger la santé des
personnes exposées.
On distingue 3 valeurs :
17) La toxicité par réduction de la production d’énergie disponible peut résulter de diverses
interventions du toxiques :
18) La résorption pulmonaire des produits chimiques toxiques gazeux est possible et
19) La résorption orales des produits chimiques toxiques est une voie importante de
contamination parce que
21) La toxicité par interaction avec les récepteurs inhibition d’enzymes de la glycolyse et
GABA-A est aussi un mécanisme d’action pharmacologique pour certains médicament
1. C’est le cas des barbituriques qui agissent comme agonistes de ce récepteur, mais pas des
benzodiazépines qui activent le récepteur au GABA B
2. C’est le cas des barbituriques et des benzodiazépines qui agissent comme agonistes de ce
récepteur
3. C’est le cas des barbituriques et des benzodiazépines qui agissent comme antagonistes de ce
récepteur
22) Le mécanisme de toxicité par formation d’adduits sur l’ADN à pour conséquence :
23) La toxicité chronique du benzène est surtout liée à la proportion des métabolites :
1. la proportion des dérivés phénoliques ( phénol, catéchol, hydroquinol) par rapport aux autres
métabolites
2. la proportion de forme ouverte ( aldéhyde muconique, acide muconique) par rapport aux autres
métabolites.
3. la proportion d’acide/aldéhyde muconique et d’hydroquinol par rapport aux autres métabolites.
1. sont issus de la décomposition thermique des PCBs, mais sont surtout en exposition aigue
(non bio accumulables)
2. sont issus de décomposition thermique des dioxines, s’accumulent dans la chaine alimentaire,
et sont dotés d’effets perturbateurs endocriniens (surtout reprotoxicité)
4. sont issus de la décomposition thermique des PCBs, s’accumulent dans la chaine alimentaire,
et sont dotés d’effets perturbateurs endocriniens (surtout reprotoxicité)