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CHAPITRE 15

Exercice 4 p.293

1)

En droit, il existe plusieurs types de responsabilité, premièrement la responsabilité civile et au


sein de celle-ci il existe 2 régimes : contractuelle qui suppose l’existence d’un contrat ( elle sanctionne
la mauvaise exécution d’un contrat ), et extracontractuelle naît d’un dommage causé à un tiers en
l’absence de contrat. Pénal, elle suppose la commission d’une infraction et résulte de la violation de la
loi ou d’un règlement même si l’acte préjudiciel ne porte atteinte à personne. Selon les articles 29 et
32 de la loi sur la liberté de la presse, la diffamation est puni d’une amende de 12 000€

En l’espèce, le concurrent de Monsieur Bogdanov en critiquant sa méthode de vente et en


qualifiant ses produits de mauvaise qualité commet un acte de concurrence déloyal. Comme un
dommage est subit par Monsieur de Bogdanov en l’absence de tout contrat, la responsabilité civile
extracontractuelle est engagé. Pour le cas numéro 2 le salarié qui dénigre publiquement Monsieur
Bogdanov dans un article de presse comme tune diffamation créant un préjudice ( dommage ) auprès
de Monsieur Bogdanov la responsabilité civile, pénale et contractuelle du salarié est engagé.

2) En droit, lorsque la responsabilité civile est engagée, le but recherché est de réparer le
préjudice subi par la victime ( dommages et intérêts versés à la victime ou une exécution
en nature ). Sur le plan pénal, les sanctions peuvent prendre plusieurs forme, comme
atteinte à la personne ( emprisonnement ), atteinte aux biens ( amendes ), atteinte aux
droits ( accessoirement ).

En l’espèce, le concurrent de Monsieur Bogdanov devra réparer le dommage causé à


Monsieur Bogdanov en lui versant des Dommages et Intérêts. D’autres parts le salarié de
Monsieur Bogdanov encourt un dédommagement de 12 000€ pour sa diffamation
CHAPITRE 16
La responsabilité civile et extracontractuelle

Cas 6 p.307
1/ En droit, tout fait quelconque de l’homme qui a causé à autrui un dommage oblige celui par la
faute duquel il est arrivé à le réparer. Ensuite, chacun est responsable du dommage qu’il a causé non
seulement par son fait mais encore par sa négligence ou par son imprudence. De plus, la
responsabilité de plein droit montre que la responsabilité est fondée sur une présomption
irréfragable. De plus, il y a deux responsabilités : celle des commettants du fait de leurs préposés et
celle des artisans et du fait de leur apprentis. La responsabilité des commettants du fait de leurs
préposés montre que ce dernier est responsable du dommage causé par leurs préposés dans les
fonctions auxquelles ils les ont employés. De plus, pour que la responsabilité soit engagée, il faut
l’existence d’un lien de préposition et l’existence d’une faute du préposé commise dans le cadre de
ses fonctions. La présomption irréfragable peut avoir un recours possible si le salarié a excédé les
limites de sa mission.

En l’espèce, Claude Laferre n’est pas cliente de la banque citée ; mais aussi sachant que M.Vaillant a
excédé les limites de sa mission en dérobant cette somme sans que la banque en ait conscience ; ici
la responsabilité de la banque ne pourra pas être mise en jeu. Il faudra s’attaquer à M.Vaillant pour
pouvoir espérer récupérer sa somme. De plus, M.Vaillant a dépassé le taux d’intérêt est supérieur au
taux employé sur le marché de base.

Cas 7 page 3

CAS 3 p.305

En droit, on est responsable non seulement du dommage que l’on cause par son propre fait mais
encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l’on a
sous sa garde. La garde de la chose implique la maitrise de la chose. Un fait de la chose est un
dommage causé par le rôle actif de la chose.

En l’espèce dans la situation 1 le responsable est Corentin et dans la situation 2 le, responsable est
Mr.Lenglet

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