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logistique de distribution
Fournisseurs
Transport Consommateur
Transport
Entrepôt/plateforme
Fournisseurs Consommateur
Consommateur
Fournisseurs Entrepôt/plateforme
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Gestion d’entrepôt 2
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Les objectifs de la distribution physique sont la logistique du dernier Km, s’intéresse à la fois à la
d’assurer la qualité du service au client à un coût circulation des flux physiques à travers le réseau de
raisonnable par la gestion efficace des activités distribution (gestion des transports, gestion des
suivantes : stocks…), mais aussi à la gestion des infrastructures
logistiques qui composent ce réseau (implantations,
gestion d’entrepôt…)
le traitement des commandes,
l’entreposage,
la gestion des stocks,
le transport.
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Maîtrise des coûts logistiques. Réduction des parcours (pour faire Maitrise des risques liés à l’acheminement (risques de transport,
moins de Km, Il faut opérer une bonne détermination des routes, manutention et entreposage). Il convient de réduire le nombre de
bien organiser les tournées, réduire le nombre de retours à vides des rupture de charge lors de l’acheminement, de bien protéger les
camions en leur proposant un fret de retour) ; marchandises et de respecter les conditions de transport pour les
bon choix des prestataires (les prestations achetées doivent denrées périssables. Moins de manipulations engendrent moins de
correspondre aux besoins) ; risques et par ailleurs, des coûts d’assurances maîtrisés ;
meilleure combinaison de moyens ;
meilleur taux de remplissage des véhicules ; Logistique des retours. Organisation de la collecte et du le retour des
recours aux stratégies logistiques collaboratives (GPA, GMA, Cross- emballages vides…
docking…) ;
optimisation des coûts des derniers Km ; recours au DRIVE ;
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Contraintes réglementaires. Obligations documentaires liées à la nature des ✓ce qui existait autrefois, la distribution historique,
produits à distribuer (licences, certificats d’origine, certificats de circulation…) ;
obligations documentaires liés au type d’expédition (documents à produire suivant ✓ce qui existe aujourd’hui, l’âge d’or de la grande distribution,
le mode de transport) ; réglementation applicable en cas de litiges ;
✓ce qui existera peut-être demain, et qui est du domaine de la
Contraintes géographiques. Le climat, l’environnement socioculturel, et tout conjecture, la grande distribution à domicile
simplement la météo peuvent amener à reconsidérer certains choix du logisticien ;
Distribution historique:
Distribution historique:
Il y a un demi-siècle, la distribution ne connaissait que deux
variantes. Les marchandises parvenaient depuis les usines
jusqu’au consommateur :
– soit par l’intermédiaire de boutiques,
– soit par l’intermédiaire de grands magasins de centre ville.
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Les discounters: Ce sont des grands magasins offrant une multitude Le secteur de la grande distribution : Est l'ensemble des
de produits à des prix très bas. Ils se concentrent sur les produits à groupements de commerces de détail de biens de consommation.
forte rotation et ont des présentations souvent rudimentaires. Ils Chaque groupement est intégré horizontalement et dispose d'une
essayent de compresser au maximum leurs charges (de personnel enseigne commerciale, afin de bénéficier d’une communication et
surtout). d’une image de marque commune à tous les commerces qui le
Ex : Magasins Leclerc, Aldi... compose. Quelques soient les liens juridiques ou
Cash and carry: C’est un magasin de libre service géré par économiques unissant les points de vente : intégrés, coopératifs ou
un grossiste à destination des détaillants franchisés, ils constituent la base d’une intégration verticale pouvant
Ex : Metro, Dar Al Joumla couvrir, outre la fonction d’achat en gros, la logistique, la production
Centrale d’achat : Organisme ayant pour objet de centraliser de biens et/ou le partage de services supports (comptabilité,
les commandes d’un certain nombre de magasins et d’effectuer les informatique, ...).
achats directement auprès des fabricants aux meilleurs conditions.
Ex : Centrale d’achat de Yatoo, Kitea,...
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L’hypermarché est un magasin de détail d’une surface de 2500 m² Le Supermarché est un magasin de détail d’une surface de vente
ou plus, vendant en discount des biens de consommation comprise entre 400 et 2500 m2 , à forte dominante alimentaire,
alimentaire et non alimentaire. Il faut distinguer plusieurs types proposant un choix important de produits alimentaires périssables
d’hypermarchés : ou non et une part variable de produits non alimentaires. On
• les petits hypers (ou hyperettes), de 2500 m2 à 5000 m2, distingue 2 types de supermarchés :
• les hypermarchés moyens, de 5000 à 8000 m2, • le petit supermarché de proximité, de moins de 1000 m2 (500 à
• les grands hypermarchés, de plus de 8000 m2. 600 m2 le plus souvent). Il est fortement orienté vers
l’alimentaire et est situé le plus souvent en centre- ville.
• le grand supermarché de 1000 m2 et plus. Il propose une offre
L’hypermarché est situé quatre fois plus souvent en périphérie qu’en non alimentaire plus développée et est situé soit en centre-ville soit
centre-ville et le plus souvent implanté au sein d’un centre en proche périphérie.
commercial dont il est la locomotive. Il met également à la
disposition de la clientèle un vaste parking et une station-service. Exemple : Acima .
Ex : Auchan, Carrefour, Marjane…
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Magasin populaire est un magasin de détail à rayons multiples d’une Hard-discounter est un magasin de détail en libre-service intégral,
surface moyenne de 1500 m2 vendant en libre-service ou en dont la surface est en général comprise entre 300 et 1000 m2 . Le
présélection un assortiment large et peu profond d’articles de hard-discounter propose à des prix très compétitifs un assortiment
consommation courante. En plus des secteurs textiles et bazar, le restreint (moins de 1000 références) de produits à forte rotation,
magasin populaire offre généralement des rayons alimentaires, qui avec une dominante de marques propres. Les frais sont réduits (peu
selon leur surface peuvent constituer un supermarché intégré. de personnel, décor dépouillé, pas de service à la clientèle)
Implanté le plus souvent en centre-ville, le magasin populaire n’est permettant ainsi d’atteindre un taux de marge de 12%.
pas un discounter.
Exemple : Monoprix Exemple: Lidl, Aldi
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Spécialisation
• Regroupement de produits(l’achat et la vente d’une gamme
de produits ou de plusieurs produits, souvent en grande
quantité)
• Personnalisation de produits(pour répondre aux
besoins particuliers des clients)
• Acheminement des produits(aux magasins/clients par le
fractionnement d’un ensemble de produits de grande quantité en
des lots de taille plus petite)
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• Réseau Marketing
• Réseau Logistique (peuvent être assurées par deux
organismes/institutions différents)
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Les coûts d’exploitation des entrepôts sont évités JC Penny(chaine de grands magasin américaine), un distributeur de
• Les délais de livraison sont réduits par rapport prêt à porter, vend des articles achetés chez 20,000 fournisseurs
aux autres stratégies de distribution • Chaque magasin de distribution doit faire ses
• Les coûts de transport augmentent car le fournisseur propres prévisions et passer ses commandes aux fournisseurs
doit envoyer plusieurs camions de petites tailles (camionnettes) à • Les articles commandés sont livrés directement
plusieurs destinations dû aux livraisons de point à point. au magasin
• Efficace lorsque la demande d’un détaillant • Les commandes sont communiquées aux fournisseurs
justifie une livraison par un camion de chargement complet ou qui coordonnent les livraisons avec leurs services de distribution
dans le cas où le délai de livraison est critique (marchandises pour assurer une réponse rapide(une livraison rapide)
périssables)
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• Les entrepôts stockent des produits et les livrent aux • La distribution via entrepôt peut profiter de la mutualisation
détaillants lorsque ces derniers en ont besoin des risques de stockage afin de palier l’incertitude et la variation de
la demande
• Elle Peut réduire les coûts de transport
amont(transport des usines aux entrepôts)
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• Trois types d’entreposage • Stratégie efficace lorsque les coûts de transport sont plus
✓ Un entrepôt central importants que les coûts de stockage/entreposage et que l’effet de la
✓ Plusieurs entrepôts (dépôts) locaux mutualisation des risques de stockage est important
✓ Un entrepôt central plus plusieurs entrepôts
locaux (les entrepôts locaux
s’approvisionnent à partir de l’entrepôt
central)
• Le choix d’un type d’entreposage dépend des: coûts de
stockage/entreposage, coûts de transport, délais de livraison aux
clients
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La vente directe
• 3 usines
• 100 centres de distribution
Les systèmes à 1 étage :
• Un entrepôt prés d ’Indianapolis un entrepôt central
• Assemblage peut être effectué aux centres de distribution ou à l
’entrepôt n dépôts locaux
• Deux stratégies à évaluer:
• i :Livraisons directes pour tous les produits Les systèmes à deux étages :
• ii :Tous les produits passent par l ’entrepôt
un entrepôt central et n dépôts
un entrepôt central et n plate-formes de distribution
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ruptures de charge
mutliplication des stocks
Tournées
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Usines
Usines préparation des
commandes livraison
Entrepôt
livraisons les usines livrent des Clients
Plate-forme commandes globales
Clients Les produits sont stockés.
Les produits ne sont pas stockés. L’entrepôt prépare les
Les lots affectés ne font que commandes en puisant les
transiter par la plate-forme. produits dans le stock.
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On peut chercher à minimiser soit un coût total, soit un temps total, soit un Résolution par l’algorithme des écartements de Kruskal
kilométrage total. • Son objectif est la minimisation des distances à parcourir ou du temps
correspondant.
Un temps de tournée est la somme des temps : • Il est basé sur la notion d’écartement de couples de points (A,B) par
•de manutention et de chargement du véhicule au dépôt rapport au centre O (le dépôt) : e(A,B) = d(O,A) + d(O-B) - d(A,B)
•d’approche jusqu’au premier client • Cet écart représente le gain obtenu en intégrant les deux points dans une
•de déchargement chez le client (n fois) même tournée. On démontre que pour une localisation donnée du dépôt,
•de parcours jusqu’au client suivant ((n-1) fois minimiser la longueur de la tournée revient à maximiser la somme des
•de retour au dépôt écartements
•Le coût d’un véhicule s’exprime habituellement sous la forme de coûts fixes et de coûts • Algorithme
variables proportionnels au kilométrage parcouru. C’est cette dernière valeur que l’on – 1. Calculer les écartements de tous les couples par rapport au centre
cherche à minimiser. – 2. Les classer par importance décroissante
• Les problèmes de gestion de tournée sont rendus beaucoup plus complexes du fait des – 3. Sélectionner successivement chaque couple de la liste en abandonnant
contraintes fixées par le donneur d’ordre : plages d’horaires de livraison à respecter ceux formant une boucle (interdiction de passer plus de 1 fois en chaque
(ordonnancement). point)
•Nous nous limitons par la suite à la recherche de la minimisation du circuit de livraison – 4. Arrêter la procédure lorsque (n-2) couples ont été retenus (ou plus tôt si s’y
sans prise en compte de ces contraintes de temps intermédiaires, problème connu sous le rajoutent des contraintes de tonnage, de temps...)
terme de «voyageur de commerce et qui est NP complet »
– 5. Joindre le centre à ces deux extrémités
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Outillages
Infrastructures
2012-10-02 SLI 75
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