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ET DU DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL
- INPED -
LE
LEMANAGEMENT
MANAGEMENT
GENERAL
GENERALDE
DEL’ENTREPRISE
L’ENTREPRISE
1. ENTREPRISE ET MANAGEMENT J1
1.1. Le concept d'entreprise Comprendre ce qu'est une entreprise,
1.2. Le concept de management son management, son organisation, ses
systèmes de gestion et ses processus
1.3. Les concepts de besoin et
de motivation Comprendre les concepts liés à la
direction des hommes : autorité -
II. LES SYSTEMES DE GESTION responsabilité - leadership
J2
2.1. La gestion en tant que système
OBJECTIFS PEDAGOGIQUES
2.2. Le système de planification
2.3. Le système de direction
Préciser les concepts suivants :
III. L'ORGANISATION DE entreprise - management - organisation -
L'ENTREPRISE système de gestion - processus de
gestion
2.1. Le concept d'organisation
2.2. Les fonctions de l'organisation Préciser l'organisation de l'entreprise
et les fonctions de gestion
Préciser les différents modes de
IV. LA DIRECTION DE L'ENTREPRISE J3 direction de l'entreprise
J4
Préciser le système d’information et le
4.1. L'animation des hommes processus décisionnel
BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE
Page
L'ENTREPRISE ET SON
MANAGEMENT
6
CONSIDERATIONS PRELIMINAIRES
d/ PRODUIT : Il doit avoir une valeur d'usage (utilité, réponse à un besoin) pour
s'échanger (valeur d'échange).
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e/ PRIX / COUT : Cette relation doit guider le Management, car il faut fixer le
prix et le profit selon la CONCURRENCE et le COUT de production.
_ O W / mat. Premières +
_
+
+ _ +
+
_
Historique :
Ménage, dérive des anciens noms français maneir et manoir, et du latin manere,
séjourner, rester.
Ménage a donné ménager, vivre en ménage en vieux français, et plus tard conduire
son bien et sa fortune avec jugement (ménager ses intérêts), puis, employer un bien
avec mesure, avec économie pour le conserver et en tirer le plus de profit. D'où par
analogie, se ménager = s'économiser
Management vient de l'anglais to manage, manier, diriger, mener une affaire, qui
lui-même vient de l'italien maneggiare, manier (mano, la main), conduire. Au
départ, maneggiare signifie dresser un cheval ; c'est ainsi que s'expliquent le
français manège et l'utilisation de l'anglais manager d'abord dans le milieu
hippique avant de s'étendre à d'autres domaines sportifs.
LE CONCEPT DE BESOIN
La notion de besoin est extensible car les individus peuvent avoir des besoins
d’amplitude et de nature différente. Mais l'homme est obligé de travailler pour
satisfaire ses besoins et il éprouve, par contrainte naturelle, un intérêt au travail.
Mais comme il ne peut à lui tout seul produire ce dont il a besoin, il doit
comprendre que la réalisation de son intérêt est subordonné à la réalisation de
l'intérêt de chacun des individus auxquels il est associé ou desquels il dépend: ce
sont les hommes organisés qui doivent trouver ensembles les formes de leur
association - c’est à dire les règles - pour satisfaire collectivement les besoins de
chacun, faute de retourner au déséquilibre. Aussi l'homme doit trouver des raisons
(des mobiles) à cette association pour agir. Ce sont ces mobiles qui fondent sa
motivation.
MANGER / BOIRE
QUANTITE S'HABILLER
QUALITE SE LOGER " BIEN
SE SOIGNER ETRE "
SE REPRODUIRE
SE CULTIVER
SCIENCE
TECHNOLOGIE
ORGANISATION / GESTION
PRATIQUES TRANSFORMATIONNELLES
SI CONFLICTUEL
REDUCTEUR DES CAPACITES
INCOHERENT DE L'EFFICIENCE
Il a proposé une classification pyramidale des besoins devenue très célèbre, même si
seulement une topique (image).
Niveau 2 / Les besoins de sécurité (de protection : se mettre à l'abri de toutes les
agressions extérieures)
3/4/5
BESOINS
SECONDAIRES
1&2
BESOINS
PRIMAIRES
Critique : cette représentation n’explique rien ; elle est une image (une topique) et
non une réalité linéaire. En effet, lorsque les besoins primaires sont satisfaits
(niveaux 1 & 2), le besoin d’accomplissement (niveau 5) peut se révéler.
Cependant, pour le satisfaire, le rôle de la société (essentiellement l’Etat) est
primordial ; exemple : en Algérie, il faut soutenir le livre pour tous (Niveau 5 /
éducation scientifique) et non la farine/pain pour tous (Niveau 1 / besoin
physiologique de base très largement satisfait en Algérie).
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II.
LES SYSTEMES
DE GESTION
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UN SYSTEME COMPLEXE :
L'ENTREPRISE, SON PERSONNEL ET L'ENVIRONNEMENT
Pérennise
r ses
stratégies
Politiques
LA
CONCURRENC
L'ENTREPRISE Objectifs
E
L'ENTREPRISE
FAIT VIVRE
LES LES SALARIES
CLIENT DES DES LE PERSONNEL
S PRODUITS EMPLOIS ANIME
L'ENTREPRISE
LES
FOURNISSEURS LE PERSONNEL
Ses Son
Motivatio Ses Savoir- faire
ns Attentes
DROIT DU MARCHE
TRAVAIL SYNDICATS COUT DE
DU
LA VIE
TRAVAIL
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INTRODUCTION / DEFINITION DU CONCEPT DE SYSTEME
- Le BESOIN fonde la
COOPERATION.
Dans l'entreprise, chaque système est doté de pouvoirs et de moyen qui lui sont
affectés pour fonctionner de façon autonome par rapport aux autres systèmes. Mais
cette autonomie est relative car tous les systèmes que peut comporter une
entreprise sont soumis à une logique générale de fonctionnement de l'entreprise qui
les surdétermine (le mode de management de l'entreprise fixe et constitue cette
logique). Chaque système est donc sous la dépendance de la logique générale,
vecteur de régulation des systèmes. Chaque système (sous - système) n'est donc lui
- même qu'un élément du système d'ensemble qu'est l'entreprise.
d) Le substrat matériel :
Valeur liée au niveau de
Immobilier et infrastructures technologie (+/- évolué)
Matériels et équipements
e) Le substrat immatériel :
Joue un rôle important dans
Les systèmes de gestion développés
le développement pérein de
La documentation
l'entreprise
Le mode de valorisation des compétences
Quelles que soient ses composantes, un système de gestion assume trois missions :
Missions Désignation
Fixer le cap (c'est définir les finalités de " sous système de finalisation "
l'organisation : buts et objectifs)
Définir la trajectoire (c'est prendre
l'ensemble des mesures nécessaires à la " Sous système d'organisation "
réalisation des finalités assignées à
l'organisation) et organiser le parcours
(c'est la préparation, la formulation et le
lancement des projets avec définition des " Opérationnalisation"
tâches, des incitations, des sanctions et
l'allocation des ressources)
Assurer la cohésion de l'organisation (c'est
mettre en place des dispositifs de régulation et " sous système d'animation "
de mobilisation visant à obtenir l'adhésion des (ou d'activation)
collectifs et des partenaires sociaux).
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2.2. LE SYSTEME DE PLANIFICATION
DEMANDE DU CONSOMMATEUR
RAISONS D'ETRE DE L'ENTREPRISE : LA REALISATION D'UN PROFIT
LA DEMARCHE STRATEGIQUE :
a) Analyse stratégique :
Diagnostic stratégique
ENTREPRISE ENVIRONNEMENT
Capacités Situation de
Stratégiques L’environnement
Forces Menaces
Faiblesses Opportunités
ORIENTATIONS
STRATEGIQUE
(Positionnement
stratégique)
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c) Planification stratégique :
d) Planification opérationnelle :
PLAN D'ACTION A COURT TERME PLUS PRECIS DANS SES OBJECTIFS ET DANS
SES MODALITES (BUDGET, CONTRAT DE PERFORMANCE).
e) Contrôle de gestion :
PREPARATION
Evaluation de l'environnement Analyse
immédiat et à terme (celui retenu) Stratégique
Evaluation du potentiel interne de
l'entreprise
FORMULATION DU PLAN
Formulation des objectifs MT Plan stratégique
Formulation des politiques
Enoncé des projets et
programmation des réalisations
MISE EN ŒUVRE
Programmes d'actions
fonctionnels / CT Plan opérationnel
Calendrier
Affectation des ressources
Un objectif s'inscrit dans la poursuite d'un but. Le but résulte des contraintes de
l'entreprise (ex : développement de la mobilité dans l'entreprise - amélioration de la
productivité et de la qualité - maintien de l'emploi face aux restructurations).
R = Réaliste / un objectif est fixé pour être atteint; aussi il ne doit pas dépasser les
possibilités des acteurs, les moyens adéquats alloués par ailleurs.
Elle transforme les produits d'entrée en produits de sortie avec création d'une plus
– value (bénéfice – valeur ajoutée). Elle réalise concrètement les actions prévues
en le plan, mais également participe au recueil des besoins, à la construction du
plan, au suivi budgétaire etc.
Elle saisie l'information en la comparant aux normes et standards (c'est à dire aux
prévisions du plan) et analyse les écarts pour proposer les ajustements utiles.
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Stratégies, politiques et moyens
Propositions
PILOTAGE
Assure :
Suivi du système Tableau de bord
Convergence avec les buts de l'entreprise
Bilans
Cohérence avec les autres systèmes
Audits
REGULATION CONTROLE
Assure : Transmet Assure :
L'information du pilote
L'adaptation du sous et du régulateur
système de réalisation
Les ajustements
Rassemble
Saisie
Planifie - lance - ajuste - adapte information
Saisie Saisie
Information REALISATION information
Assure :
ENTREES SORTIES
La transformation des entrées en sorties,
Les réalisations
SYSTEME ASSERVI
SYSTEME REGULE
SYSTEME REGULE
SYSTEME AUTONOME
L'ORGANISATION
DE L'ENTREPRISE
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3.1. LE CONCEPT D'ORGANISATION
b/ Au sens de structure :
a/ Définition :
Une activité liée à une fonction précise ne peut être efficace si elle n'entretient pas
de relations avec une autre activité (dialectique du tout et des parties).
Les activités principales qui donnent naissance à des fonctions dites d'organisation
sont :
Pour que cette fonction soit bien comprise et assumée, il importe de rappeler le
cycle d'administration dans l'entreprise.
NB : Toutes ces fonctions existent dans l'entreprise, quelle que soit sa taille, (quitte
à ce qu'elles soient prises en charge par l'artisan seul ou secondé- y compris par
l'appel à l'extérieur).
LA DIRECTION DE L'ENTREPRISE :
Toute organisation en tant que groupement humain exige, pour continuer d'exister
et de fonctionner correctement, que ses membres se conforment à un minimum de
règles communes. (D’ou la définition des droits et obligations dans les conventions
collectives). Ceci explique aussi la notion de commandement (diriger et
coordonner). Cependant, le commandement ne peut - être synonyme de
domination; il doit se transformer en animation des hommes.
Au droit de décider (obtenir que les choses soient faites) s'attache la notion
d'autorité.
A l'obligation de répondre des actions, des actes accomplis et des
comportements développés correspond la notion de responsabilité.
A la capacité d'influencer correspond la notion de leadership.
4.1.1. L'AUTORITÉ
a) L'autorité statutaire
Elle est conférée par l'organisation de l'entreprise, mais est délimitée par la
définition des tâches confiées tant aux responsables qu'aux subordonnés (il faut
donc les préciser). Elle est le lieu d'exercice de l'autorité hiérarchique.
Elle s'exprime par le droit / pouvoir des supérieurs d'indiquer aux subordonnés :
Une telle forme d'autorité, pour ne pas paraître arbitraire, exige que celui qui
commande, contrôle et sanctionne possède les compétences nécessaires à l'exercice
du pouvoir qui lui est confié. L'affectation à des postes hiérarchiques doit donc
être entourée de soins particuliers.
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b) L'autorité fondée sur la connaissance
c) L'autorité personnelle
Dans une organisation, pour les "chefs", une telle autorité dépend certainement de
leurs aptitudes et de leur capacité à répondre aux besoins des personnes qu'ils
dirigent. Toutefois, il ne s'agit pas de la confondre avec l'autorité statutaire
conférée par l'organisation de la ligne hiérarchique, son titulaire ne disposant pas
forcément d'une autorité personnelle.
Rappel :
a) Définition de Tannenbaum
Remarque :
Le leadership est une relation dynamique entre le leader et les subordonnés dans
une situation donnée.
La direction (le leader) exerce un pouvoir efficace, si elle est en mesure d'exercer
le leadership, c'est à dire : comprendre la situation d'ensemble, communiquer avec
les subordonnés et emporter leur adhésion, allouer/disposer des ressources en
fonction des objectifs poursuivis.
Aussi, il propose un modèle de gestion des organisations fondé sur les interactions
entre responsables et collaborateurs (subordonnés). Il énonce ainsi 4 types styles de
direction :
Il étudie les formes de direction des entreprises par les managers. Il distingue chez
ceux - ci deux types de comportement.
Pour certains, leur perception est que l'homme n'aime pas le travail et refuse les
responsabilités; il doit être dirigé et contrôlé : le style de direction est
autoritaire, c'est la théorie X (vision de l'approche taylorienne).
Pour d'autres, leur perception est que l'homme peut - être motivé par le travail;
il accepte, voir recherche, les responsabilités et la direction n'a pas besoin d'être
autoritaire, c'est la théorie Y jugée préférable par MCGREGOR. Elle a fondé le
système de direction par objectifs où le contrôle porte sur les résultats de
l'action des collaborateurs auxquels une large autonomie est concédée
(leadership participatif).
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Conclusion :
a) L'entrepreneur / employeur
Mais une autorité sans pouvoir n'est pas pérenne comme un pouvoir sans autorité
n'est pas efficient - l'exécution des tâches sous la contrainte plus lourde que
l'acceptation volontaire.
Pour Max Weber, le pouvoir doit reposer sur une autorité pour que la domination
soit acceptée. La légitimité de cette domination a trois fondements différents.
La direction (le leader) exerce un pouvoir efficace, si elle est en mesure d'exercer
le leadership, c'est à dire : comprendre la situation d'ensemble, communiquer
avec les subordonnés et emporter leur adhésion, allouer/disposer des ressources
en fonction des objectifs poursuivis.
A la suite des travaux d'Henri Fayol, il est devenu fréquent de définir les rôles de la
direction de façon normative pour indiquer ce qui doit être fait par les dirigeants.
Cependant, des travaux postérieurs (Mintzberg- Ansoff - Porter) ont montré que
ces travaux étaient loin de cette vision normative.
- Prévoir Nous voyons qu'il a défini ce qui aujourd'hui est ramené sous
- Organiser le vocable de fonctions de gestion (planifier, organiser, diriger,
- Commander contrôler).
- Coordonner
- Contrôler
B C D
E F G H I J K L
Avantages Inconvénients
Clarté Coordination hiérarchique
Facilité de contrôle Communication lente
Discipline simple Risque d'incompétence du supérieur
Chef d'atelier
Ouvriers
Avantages Inconvénients
Compétence plus grande de la Dilution des responsabilités
hiérarchie Coordination à un niveau plus élevé
Rapidité de réaction Risque de conflits du fait de la pluralité
Développement de l'expertise de commandement
Ce type d'organisation est très valable pour des activités de projets. Les
spécialisations sont fondées sur des compétences distinctives, la coordination
pouvant intervenir par ajustement mutuel, l'autonomie concédée à chaque groupe
fonction n'étant pas un handicap.
A travers une étude du travail effectif des dirigeants, l'analyse descriptive de Henry
Mintzberg remet en cause le caractère normatif des principes énoncés par Fayol, ce
qui le conduit à s'interroger sue la nature exacte de la fonction de direction.
Les propriétaires ont des droits dont ils cherchent à tirer des dividendes (un
revenu) et à accroître la valeur (plus - value). Ils sont très souvent enclins à
privilégier des choix peu risqués visant l'accroissement rapide des résultats de
l'entreprise à court terme.
Les dirigeants ont un statut lié à leurs compétences, savoirs que les
propriétaires n'ont pas. De ce fait, ils cherchent à maximiser :
Dans les années 50/70, le pouvoir des dirigeants a pu paraître sans limites
(concurrence faiblement développée, marché porteur / demande forte).
Par ailleurs, prises loin de leur lieu d'exécution, les décisions ne sont pas
nécessairement comprises et correctement appliquées à la base. Enfin, soumis à
l'exercice d'un pouvoir centralisé, le personnel est souvent peu satisfait des
décisions qu'il juge prises sans connaissance réelle du terrain.
Ce que le pouvoir centralisé est censé gagner en cohérence sur l'ensemble des
décisions est souvent perdu en termes de pertinence de la décision : décision
souvent trop tardive, parfois imparfaitement informée, et presque toujours mal
exécutée car jugée inadaptée par le personnel.
Les degrés et les modes de décentralisation sont très divers, plus ou moins
formalisés et à tout pouvoir décentralisé devrait être associé un moyen de
contrôle de ce pouvoir.
La gestion par projet peut être perçue comme une forme de décentralisation limitée
à un objet (le projet) et à un temps séquentiel (la durée du projet) mais l'étendue
des décisions étant elle importante.
Centralisation Décentralisation
Plus grande cohérence des décisions Plus grande pertinence des décisions
Limite la duplication des fonctions Favorise la motivation du personnel
Uniformise les procédures Permet des expériences locales
Facilite le contrôle Développe la réactivité de l'organisation
Facteur d'intégration organisationnelle Facteur de différenciation organisationnelle
(meilleure compréhension globale) (meilleure adaptation au contexte)
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V.
LE SYSTEME D’INFORMATION ET
LE PROCESSUS DECISIONNEL
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5.1. LE SYSTEME D’INFORMATION
Le système d’information a pour rôle d’aider, avant pendant et après une prise de
décision :
Le manager est souvent désigné aussi sous le vocable de " décideur " en ce sens
qu'il doit évaluer le poids des choix possibles et donner des ordres. Par ailleurs, la
gestion est aussi parfois considérée comme la " science des choix ".
5.2. LA DECISION
Mélèze : " la décision est le comportement de l'homme qui opère des choix dans
une situation d'information partielle ".
Nizard : " la décision est une ligne d'action consciemment choisie parmi un
certain nombre de possibilités, dans le but de réduire une insatisfaction perçue
face à un problème; ce choix suppose un traitement d'informations selon des
critères de choix et une volonté de réalisation ".
Mintzberg : " un processus qui consiste à être, en permanence, placé devant des
choix ".
Quelle que soit la définition, 3 points essentiels pour caractériser une décision ;
Un processus est une suite ordonnée d'actions destinée à satisfaire des besoins
spécifiés et qui débouche sur un résultat (voir schéma du processus de recrutement
ci - après).
BESOIN A
A1 A2 A3 A4 A5 décision
BESOIN
SATISFAIRE
SATISFAIT
SATISFAISANTE ?
NB / le processus utilise des intrants pour obtenir des extrants (éléments de sortie
= résultat)
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Délimitation du problème
Identification du Diagnostic
problème
Préparation de la mise en
Communicatio œuvre de la solution
n des choix
Résultats de l'action
Contrôle Mesure de l'action
Réajustement (feed - back)
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