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1. Expliquez comment est formé le nom « déportation » et proposez d'autres mots de la même famille.
2. a. Quels sont les sens du nom « déportation » ? b. Indiquez, parmi ces définitions, celle qui a un
rapport avec la Shoah.
2. En vous aidant si besoin d'un dictionnaire, définissez les noms composés suivants : « témoin à
charge », « crime contre l'humanité » et « mise en accusation ».
Exercice 5 : J'enrichis mon vocabulaire des émotions.
1. Classez les mots ci-dessous, suivant qu'ils expriment la colère, l'indignation, l'admiration ou la
tristesse : agressif, courroux, accabler, scandaleux, haine, vénération, ébahi, rage, écœurement,
amertume, morose, émerveiller, éblouir, animosité, rancune, furieux.
2. Enrichissez les champs lexicaux que vous avez constitués en ajoutant au moins quatre mots
par émotion.
Exercice 6 : Complétez le texte suivant avec ces mots ou expressions : honnêteté, historique,
générations, récits, engagement, oublier, témoignage, personne, collectif, devoir de mémoire,
autobiographique, personnel
Une jeunesse au temps de la Shoah est d'abord un écrit X , c'est-à-dire que son autrice a eu pour
vocation de raconter, à la première X, sa propre vie, ou du moins, ici, une partie de celle-ci, dans un
effort constant d' X. Mais c'est aussi un acte de X : au-delà de raconter sa vie, Simone Veil raconte aussi
une période X et comment, personnellement, elle a traversé cette période et ses épreuves. Cet X à dire
la vérité sur soi est donc doublé d'un autre à dire une vérité plus large, à destination de ses
contemporains et des X futures. L'enjeu est donc tout à la fois X et X : ne pas X. Dans Une jeunesse au
temps de la Shoah, comme dans d'autres X concentrationnaires, l'autobiographie s'ouvre au X .